Frénésie asiatique non censurée

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Frénésie asiatique non censurée
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All eyes on China 透视中国
Puissance ou domination ? 权力或统治?Les récits de jùn mǎ

A 120 Km de Beijing, Tianjin, 11 millions d'habitants, est une ville en plein développement. Autour des anciennes concessions occidentales et du fleuve Hai, les grattes ciels pullulent. Dans les faubourgs, les zones de développement industrielles s'étendent de toutes parts, depuis des ateliers de production à de prestigieuses usines comme la future ligne d'assemblage d'Airbus.
Le tableau serait enthousiasmant si une contrariété de taille ne venait le tempérer, l'air de Tianjin est empoisonné ! Ne se comptent plus les polluants avérés qui interagissent en entre eux ou s'agglomèrent à d'autres paramètres (UV solaire, ozone, humidité de l'air, acides, etc.). Comme partout en Chine, les raisons de la pollution de l'air sont établies : explosion du trafic automobile, croissance de l'activité industrielle, utilisation soutenue du charbon, dégagement incontrôlé et… bienveillance des autorités.
Découpé en 17 districts sur une étendue de 11 920 Km², Tianjin offre une variété inégalée de composites volatiles que tout visiteur serait bien avisé de connaître.
Dans les districts portuaires et périphérique de Tanggu et Dagang, les relevés concernant le monoxyde de carbone s'accordent sur des chiffres approchant 250 mg/m3 d'air alors que la norme recommandée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) est de 20 mg/m3. La présence d'incinérateurs, de chaudières industrielles et de fours d'affinage justifie ce record. Dans ces quartiers, l'air est également balayé par des rejets de dioxyde de soufre à hauteur de 600 mg/m3 alors que le niveau de référence est de 20 mg/m3. Dans le district de Hangu, le seuil d'alerte au dioxyde d'azote (NO2) est souvent dépassé (400 µg/m3 en moyenne horaire). En centre ville, dans le quartier de Heiping district, les concentrations en fine particules sont de l'ordre de 150 /300 µg/m3 alors que les normes européennes fixent le seuil d'alerte à 20µg /m3. Aux gaz d'échappement des véhicules s'ajoute la circulation du vent. Venant du bassin du Bohai, brassant déjà toutes sortes de composites, il tourne en rond sur Tianjin, favorisant l'agrégation des particules chimiques. Vous avez alors l'impression de vous trouver au coeur d'une raffinerie. Vos mains sont noires, encombrées de manière permanente par un agglomérat de poussière visqueuse. Aux portes des universités de Tianjin et Nankai, la pollution est tellement prégnante qu'elle envahit les habitations. Pour pallier à cette situation, des surodorants destinés à masquer l'odeur sont régulièrement déversés dans les rues. Si cette pratique apporte un mieux, il n'est pas sûr que l'accouplement entre émanations chimiques et molécules de désinfection soit correctement maîtrisé sur le plan sanitaire.
Résultat, à Tianjin, les pathologies liées à la pollution de l'air ne cessent de croître. Dans les hôpitaux, les patients asthmatiques se bousculent avec des augmentations annuelles de 15 %. Cependant aucun chiffre n'existe sur les décès prématurés attribuables à la pollution atmosphérique. Toutefois selon la délégation à la santé de la ville, le nombre de morts de cancer a augmenté de 18% en 2006, de 16 % en 2007. Malgré cela, les autorités sont hésitantes sur la marche à suivre. D'un côté, elles encouragent les acteurs industriels à faire des efforts, de l'autre, aucune fermeture de sites polluants n'a été envisagée dont certains se trouvent pourtant au coeur de la ville. Pas davantage de restrictions n'a été apportée à la circulation automobile. Dans tous les cas, le système surveillance de la pollution atmosphérique de Tianjin mériterait une refonte totale, notamment, avec un accès plus libre à l'information, des relevés plus réguliers et des systèmes d'alerte.
François de la Chevalerie

Mi appellido Chino es Junma (Bonito caballo). Por lo presente, asumo el cargo de director de dos empresas : CHINA MESSENGERS, la cual se dedica al manejo de proyecto de montajes industriales en el ámbito del sector ambiental y las energías renovables y PANEUROCHINA, la cual desarrolla técnicas de valorización para los sedimentos, sanos o contaminados (barro de mar) y su explotación con el fin de fabricar materiales de construcción. Las dos compañías están ubicadas en Tianjin. .

Dentro de mis actividades, ambiciono favorecer el desarrollo de nuevas tecnologías o procesos tecnológicos (estudios, validez técnica, unidad piloto, definición de las normas, etc.) en los países emergentes.
Accueil > Chinoises Paris > Les filles de joie chinoises à Paris. Prostitution Chinoise en France. Weixin, la voie royale (微信).
Le regret de ma vie est de ne pas l’avoir rassurée en 1992 devant l’église de Saint Germain des Près.
N’avais-je pas compris que sa voix chaleureuse et douce allait porter l’âme de la Chine encore pour de longues décennies ?
Brutalement, ce jour là, son visage se glace d’effroi.
Elle reprend sa respiration, baisse légèrement la tête, les yeux fuyant.
Glisse une larme sur sa joue.
Une autre encore.
Elle pose délicatement sa main au visage, cherche à réprimer une soudaine tristesse.
Ma belle endormie, je l’aime toujours, sa voix, sa beauté, ce goût à la vie.
« Une femme tel un rêve
Un rêve perché loin dans le ciel, désormais à notre portée sous les couleurs d’une femme d’exception. »
Tels étaient les mots du Xinyang Daily, le jour du lancement de Shenzhou 9, lancé le 16 juin 2012.
A l'âge de 33 ans, originaire de Línzhōu (林州) dans le Henan, Liú Yáng est devenue la première spationaute chinoise (háng tiān yuán 航天员).
« N’est ce pas la meilleure promesse d’avenir que de laisser une de nos femmes contempler depuis le ciel, l’œil plongeant, le regard avide de beauté, la Chine éternelle ? » souffle un internaute.
Liú Yáng occupe le grade de commandant dans l'Armée populaire de libération (Zhōngguó Rénmín Jiěfàng Jūn) et membre du Parti communiste Chinois (Zhōngguó Gòngchǎndǎng).
« Ma Terre, celle de centaines de millions de chinoises. Je porterai leur espoir, leur parole, leur rêve loin dans le ciel, toute honorée que je suis de voler dans l’escape en leur nom. »
Un ami m’a dit : si tu veux connaitre la force romantique d’un couple chinois, plonge toi dans la vie de Lin Huiyin et de Xu Zhimo.
Couple illégitime, s’aimant dans l’ombre, se chahutant.
Xu Zhimo admirait par trop celle qui deviendra la toute première architecte de chine.
Dans sa quête d’amour, il s’abîme, l’abîme aussi.
Le temps enfin de se dire Adieu et ils meurent tous deux comme enlacés vers le même destin.
Sòng Qìnglíng, Madame Sun Yat-sen, deuxième épouse du Père de la Chine moderne offrait une beauté sage telle que je les aime.
A la mort de ce dernier, a-t-elle conçu une affection particulière pour Israel Epstein et Edgar Snow, deux fervents soutien de la révolution chinoise ?
Dieu seul le sait mais si d’aventure j’avais été dans les parages, je lui aurais dit : « L'amour de la patrie est notre Loi. (Amor patriæ nostra lex).
Mère de la Chine moderne (guomu), elle a accompagné le peuple de Chine dans ses heures sombres et de gloire.
Deux semaines avant sa mort, elle devient la Présidente honoraire de la République populaire de Chine.
Danseuse et chanteuse, en son temps, on la surnommait la Judy Garland chinoise.
Membre de l’ethnie Yi, elle est la neuvième d’une fratrie de onze enfants, ce qui lui vaut le surnom de "Xiaojiuer".
Elle a joué dans de deux célèbres comédies musicales avant d’être totalement détruite par la révolution culturelle.
Laminée à tel point qu’elle ne reviendra plus jamais sur scène.
Pour ces deux raisons, je l’adore plus que tout – son talent comme son courage – et je me rends souvent sur sa tombe à Shanghai.
Lorsque je l’ai rencontrée la première fois, son visage était sévère, comme intraitable.
Jonglant avec les contrats publicitaires, Chiling Lin n’avait alors aucune inclination à offrir au tout venant un sourire fut-il pâle.
Dans son sillage, son agent publicitaire m’avertissait.
« Au prix coutant de plusieurs dizaines de milliers de dollars, chaque seconde valant son or, vous serez vite ruiné. »
Longtemps après, je l’ai croisée.
Elle venait d’être exclue d’une superproduction.
La larme à l’œil, elle m’aperçut dans un coin d’ombre.
Cherchant à chasser ce désordre, elle laissa filer un sourire sincère sur son visage cependant défait.
Je lui ai alors dit :
- Lacrimis struit insidias cum femina plorat (Lorsque la femme pleure, elle tend un piège avec ses larmes, Dionysius Cato)
- Non ! a-t-elle répondu, je pleure avec mon cœurs, je souris avec mon cœur.
Quelle drôle d’aventure, la vie !
La première fois, j’allais à reculons voir sa chorégraphie "Dynamic Yunnan". Tout grognon, soupirant d’ennui.
Divine surprise ! Rarement ai je été autant bousculé dans ma vie !
Le rideau tombant, j’applaudissais à tout rompre l’épopée des 26 tribus du Yunnan.
Le lendemain, reprenant mes quartiers dans la même salle de spectacle, je l’applaudissais plus encore
Ce soir là, je me faufilais dans les coulisses.
Je la retrouvais méditant devant un the Jasmin.
- Puis je vous connaitre ? Demandais-je dans un sursaut.
- Serait ce trop tôt ou trop tard ? Je n’ai plus l’âge à me faire fêter mais j’ai l’âge de comprendre.
Je lui ai dit tout ce que je savais sur les entrailles du Yunnan, un bataillon de mots.
- Le brouillard est parfois intense à Xishuangbanna, l’on ne voit pas l’on devine seulement.
- Toute jeune, me dit-elle, je n’avais pas la moindre intention de devenir actrice. Je souhaitais alors apprendre aux jeunes enfants la lecture, le savoir.
Cependant, en 1993, une proche lui suggére de faire un tour au très renommée Shanghai Drama Institute in 1993.
- J’y suis allé en un coup de vent. Ce jour là, un vent trop fort peut être, j’y suis restée le temps d’une saison.
Dès 1999, dans le film Zhang Yuan's Seventeen Years (1999), elle noue avec la célébrité. La voilà propulsée au rang des meilleures actrices lors du 12th Beijing College Film Festival.
Viennent les propositions Hollywoodiennes : Resident Evil, Transformers.
- Je ne me laisse pas emporter par ce furieux coup de vent, je reste moi même, heureuse dans ma tête, le regard rivé vers des enfants à qui je lis des poèmes.
Lorsque je la rencontre, je lui demande pourquoi diable avoir changé ton prénom ?
- Jing, ceint en or, n’est ce pas le plus merveilleux des prénoms ?
- Jingchu, c’est le mien dorénavant, ceint en or, en argent, en bronze.
Diplômée de la fabuleuse Central Academy of Drama de Beijing, (Zhōngyāng Xìjù Xuéyuàn), Jingchu enchaine les rôles.
Inquiète, l’âme en peine, luttant contre l’homme, belle toujours.
Bientôt elle est portée aux nu par Time magazine, belle Asia's Heroes de notre temps.
Je l’interroge encore :
- Est ce de trop tout cela lorsqu’on s’ébat encore avec la jeunesse ?
Se dresse un sourire sur son visage.
- Je me souviens de mon premier cours de diction
Agnosco veteris vestigia flammæ, je reconnais la trace de mes premiers feux. Virgile, l’Énéide,
De mes feux mal éteints j'ai reconnu la trace. Racine, Andromaque.
D’abord, une inquiétude.
Elle fait la une de Time Magazine.
Aurait-elle la grosse tête, enflée à jamais ?
Agréable objet à l’usage des médias occidentaux à la recherche d’une icône chinoise bon teint, plutôt jolie, prêtant sa voix sensuelle à de belles chansons.
Je la croise, l’interroge.
Elle retient ses larmes.
Une chanson file entre ses lèvres.
Elle raconte la naissance de sa fille.
- Comme le temps avance inexorablement, je ne verrai plus la lumière dans 50 ans mais ma fille sera toujours de ce monde, portant la mémoire de sa maman.
Je la taquine alors.
- La présence sur Terre le temps d’une vie, est-ce bien utile ? N’avons nous pas mieux à faire en restant dans l’au-delà ? Que d’infortune pour une musique connue, celle d’une mort annoncée ?
Elle porte alors son regard sur une affiche qui domine son appartement.
Des enfants à l’air hagard, le visage en sang, sous les décombres d’une maison.
Le souvenir de l’effrayant tremblement de terre du Sichuan (2008).
- J’ai chanté pour eux. Lorsque j’ai vu sur leur visage glisser un sourire, je me suis dis que mon existence avait un sens.
Fraiche et généreuse, telle est Fan Bingbing alias Jin Suo, allant et venant élégamment, dans le film Taiwanais Princess Pearl (1997).
Certains se demandaient alors comment cette toute jeune femme, âgée seulement de 17 ans, se muerait dans le monde âpre et violent du cinéma.
L’ayant approché à cette époque, je l'interroge sur ses rêves.
Elle en rit, se laissant aller à une réponse audacieuse.
- Comme le temps venant mais toujours au delà de mes espérances.
Voilà qu’elle devient dans la décennie suivante l’égérie de marques commerciales de renommée, au million de yuan la prestation.
Elle crée en 2007 son propre studio, le Fan Bingbing Studio (范冰冰 工作室 , Pinyin : fàn bīng bīng gōngzuòshì) et multiplie les productions.
Je la vois encore dans les films Shaolin et Buddha Mountain.
Au delà de mes espérances, disait elle.
Je la retrouve alors autour d’un dangereux élixir, un mélange hasardeux de vodka et de tequila.
Alors que je souhaite la questionner sur l’air du temps comme du plaisir de vivre, elle m’interrompt.
- Je n’ai toujours pas atteint mes espérances.
- Fan Ye (son surnom), lui dis-je, on vous accable de nombreux talents mais celui qui l’emporte, c’est votre incroyable détermination.
- Bravo, Madame ! conclus-je en Français.
Malgré sa renommée sulfureuse, c’est une femme ravissante.
Trop sur les devants de la scène, elle est honnie par une partie de la Chine.
A son encontre mille soupçons.
Comme elle me l’a déclaré, d’une voix bien chaloupée : “Je suis phénoménalement ambitieuse”.
Comment pourrait on lui reprocher de vouloir porter si haut, si loin, son si beau visage ?
A mon avis, elle sera pleinement heureuse lorsqu’elle donnera à sa vie un élan romantique.
Un français aimable et élégant, fin connaisseur des usages et des Lettres chinoises, pourrait volontiers y répondre et répandre chez elle l’idée du bonheur.
Avec en partage ce slogan : Omnia vincit amor
(L'amour triomphe de tout).
Il est toujours dangereux de se frotter avec une icône nationale, une Madame aux mille chansons dont le si beau Today is Your Birthday utilisé comme thème de la fête nationale chinoise.
Lorsque je la rencontre à Hohhot, en Mongolie intérieure, ville de sa naissance, je cherche mes mots, la voix légèrement tremblante.
Elle me rassure par un sourire puis elle m’interroge :
- Ai je le droit de dire la vérité ?
J’acquiesce favorablement.
- Je suis heureuse d’être chinoise comme je suis fière de mon pays, de mon peuple, de mes ancêtres et de tous ceux qui me succéderont sur une Terre que j’aime tant.
Certains s’amusent à taquiner ce qu’ils nomment peu élégamment Madame l’échalas.
C’est vrai que du haut de sa grande taille (1,82m), augmentée par des escarpins à la courbe vertigineuse, Zilin domine le monde, souvent des nabots qui la mitraillent de photos.
Miss World 1987, elle pourrait en tirer quelque arrogance.
- Nullement, seule m’importe l’idée de bonheur ! s’exclame-t-elle avec vigueur.
Je l’interroge alors.
- Le bonheur étant si rare, comment s’y prendre pour le retenir à soi, le répandre ensuite ?
Elle sourit avec un tel ravissement, une telle assurance, le regard chaleureux, que son idée du bonheur se propage naturellement dans les âmes.
Lorsque je l’ai vue chanter pour la première fois Huà Xīn (畫心; Painted Heart) musique tirée du film Painted Skin (畫皮), j’ai été saisi par le timbre de sa voix s’en allant sans hésitation vers de belles hauteurs.
Lorsque je l’ai revue envelopper sur des notes longues la fresque musicale de Kitaro “Impressions Of The West Lake », je l’ai admirée, applaudissant à tout rompre, lançant sans compter des « Bravo ! ».
Tout comme je me laissais alors surprendre par son regard où se mêlent tristesse et mélancolie.
Sans doute Jane portera-t-elle longtemps sur son visage la douleur du divorce chahuté de ses parents alors qu’elle avait tout juste 13 ans.
Peut être est-ce cette souffrance la raison d’une force inébranlable qui lui a fait gravir tous les échelons : première place dans la compétition la plus courue en Chine devant plus de 400 millions de téléspectateurs (super girl), devenant l’invitée vedette du Oprah Winfrey" talk show, côtoyant même les Pink floyd.
Dieu sait où les vents l’emporteront !
Toute la force de cette femme repose sur un effroyable souvenir qui la tient jusqu’à ce jour.
Le suicide de son père, honni, écrasé, laminé par de lamentables gardes rouge durant la révolution culturelle.
Du coup, chez elle, l’essentiel, c’est de vivre par dessus tout, droit dans ses bottes.
Merveilleuse actrice, je l’ai rencontrée plusieurs fois en sa qualité de vice présidente de l’association du Cinéma Chinois.
Chaque fois, elle ouvre le bal sur ce bon mot :
« Tant qu'il y a de vie, il y a de l'espoir (Dum vita est, spes est). »
Là, gisant sous nos pieds, le venin se répand.
Tout doucement s’insinue dans l’opinion l’idée que la Chine est un pays hostile, la charge s’invitant bientôt dans les campagnes électorales.
Que lui reproche-t-on exactement ?
De laminer nos industries dont certaines sont moribondes depuis longtemps ?
De détruire l’emploi ?
De laisser exsangue nos économies ?
De porter atteinte à notre modèle social ?
Par delà le factum, levons le voile sur une hypocrisie.
D’aucuns pays ne souhaiteraient pas connaitre le développement économique de la Chine ?
Que ces thuriféraires fassent preuve de cohérence !
Si d’aventure ils en
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