Avale jusqu'à la dernière goutte

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Archivé de: Lettres Gay – Numéro 100
Date de parution originale: Juin 1999

Date de publication/archivage: 2012-02-15

Auteur: Daniel
Titre: Jusqu'à la dernière goutte
Rubrique: Toi, tu seras à moi!
Note: Le magazine Lettres Gay ayant disparu, nous archivons sur Gai-Éros des textes y ayant été publiés au fil des ans, à titre d'archive, notre but premier étant que la littérature homo-érotique se préserve au fil du temps. Si vous êtes l'auteur de ce texte ou si vous détenez des droits légaux sur ce texte, veuillez communiquer avec nous sans délais.
Ce texte a été lu 5165 fois depuis sa publication (* ou depuis juin 2013 si le texte a été publié antérieurement)


Pendant plus de deux ans, j’ai pensé que Bruno resterait toujours inaccessible, que je ne pourrais jamais rien faire avec lui. Pourtant, chaque fois que je le croisais dans les escaliers de mon immeuble ou dans la rue, je rêvais de pouvoir le tenir un jour dans mes bras. C’était plus fort que moi. Le hic, c’était que Bruno n’était pas seul dans le petit appartement situé juste au-dessus du mien. Ce mec merveilleux était marié à une blonde et semblait très amoureux d’elle. Rien dans ses attitudes ou ses gestes ne laissait présager qu’il pouvait être attiré par les hommes. Bien sûr, j’ai déjà baisé pas mal de types mariés, et souvent, j’ai été assez étonné de découvrir comment ils se comportaient comme des salopes soumises, des chiennes.

Pour nous séparer un peu plus encore, il y avait la différence d’âge. Bruno n’avait que vingt-cinq ans quand il a emménagé dans l’immeuble. Alors que moi, j’approchais déjà les quarante-six. Malgré cela, j’ai éprouvé un véritable coup de foudre. Il était jeune, beau, un visage aux traits doux et fins, blonds avec les yeux bleus. Pour le reste, il n’était pas mal non plus: taille moyenne mais corps joliment musclé. Il ne portait que des jeans serrés qui lui moulait les fesses. J’étais amoureux, bien que je continuasse tout de même à chercher des partenaires. Bruno n’était pas pour moi, il ne serait jamais à moi. Puis, dès que je le croisais et qu’on se saluait, je me mettais de nouveau à espérer, à me dire qu’il ne fallait pas se décourager. Moi-même, j’avais découvert mon homosexualité après vingt-cinq ans et après avoir mené une vie hétérosexuelle presque des plus “conformes”. Alors pourquoi pas lui... De toutes manières, j’étais sûr que les commérages de l’immeuble l’avaient renseigné sur moi...

Je n’aurais jamais imaginé que ce soit lui qui prenne les devants.

Sa femme s’était absentée une semaine pour un stage professionnel. Il en a profité pour passer me voir, un soir, sous le prétexte de me demander un paquet de café. Je venais juste de rentrer de mon travail et je venais de prendre une douche, alors j’étais simplement revêtu de mon peignoir de bain. Une occasion inouïe de bavarder un peu avec lui. Je l’ai invité à prendre un verre. Il n’a pas refusé. Je le sentais assez intimidé et anxieux. Quant à moi, je ne pus contrôler un début d’érection. Il me voussoyait alors que je le tutoyais. Après quelques paroles banales, il m’a demandé si je vivais seul, si je n’étais pas marié. Je l’ai vu légèrement rougir quand je lui ai répondu: “On ne t’a pas dit? Je suis sûr que la concierge a dû se faire un malin plaisir de te mettre au courant!”

À partir de là, je l’ai senti encore plus nerveux, et moi, je bandais pour de bon. Ma bite était aussi raide qu’un piquet, sous mon peignoir. En rougissant encore plus, il a ajouté: “Ça ne me dérange pas si vous êtes homo.” Il a hésité et, fuyant mon regard, il a continué: “C’est même un peu pour ça si je suis passé vous voir.” Dans sa lancée, il m’avoue qu’il a déjà baisé avec des hommes, c’était avant son mariage. Il n’a plus eu de relations homosexuelles depuis quatre ans. S’il a épousé Céline, c’est à cause de sa famille. À présent, plus rien de le retient. On dirait même que ça lui fait un bien fou de se confier à moi. Il aime les hommes plus âgés que lui, ses relations sexuelles avec sa femme ne le comblent pas du tout... Je ne cherche pas à refermer mon peignoir quand je me lève de mon fauteuil et il peut tout de suite découvrir ma queue raide entre mes cuisses avec le gland entièrement décalotté. Je bande tellement que ma pine reste plaquée contre mon ventre. Avant de l’embrasser, je lui murmure: “Salaud! Et c’est seulement maintenant que tu me dis tout ça! Moi, ça fait deux ans que je rêve de baiser avec toi!”

Nos bouches se soudent, nos langues s’emmêlent. Je caresse son dos, ses fesses alors que lui empoigne aussitôt ma bite et la branle entre ses doigts. Je le sens très excité, autant que moi. Je l’entraîne vers ma chambre et je le débarrasse de son tee-shirt. Sa peau est imberbe et bien bronzée. Nous sommes au mois de juillet. Avant de lui défaire le pantalon, je lèche tour à tour ses tétons rosés. Les pointes se sont érigées. Je les suce et les mordille, ce qui le fait gémir. Il est déjà hors de lui et me répète: “Oh, oui, c’est très bon! Continue, je suis excité de partout!” Je joue avec ses seins un long moment et je l’entends gémir encore plus fort quand je les pince et que je les étire en les faisant rouler. Je n’ai pas besoin de lui demander ce qu’il aime, je l'ai compris. Tout en travaillant ses tétons, je déboutonne son jean et je découvre que Bruno ne porte pas de slip. Je l’aide à se déshabiller. J’ai une queue de dix-huit, mais la sienne est encore plus longue. Le pubis est recouvert d’une toison blonde et bouclée, ses couilles sont peu poilues. Nous nous allongeons sur mon lit et tout en nous embrassant, je le branle, je caresse ses burnes.

Il me demande de ne pas l’astiquer trop fort par peur de jouir trop vite. Alors, je lui demande de se mettre à plat-ventre sur mon lit et je découvre ce cul qui m’a fait si longtemps fantasmer. Il est comme je l’avais imaginé, avec des fesses fermes, bien rondes, aussi lisses que musclées. Je caresse sa croupe, j’écarte ses miches pour mater sa rondelle toute plissée. J’ai envie de le baiser tout de suite et, en même temps, de prendre tout mon temps avec lui. Je lèche sa raie, je darde ma langue dans son trou et quand je l’ai bien mouillé de salive, je le doigte avec mon index. L’anus est serré. Il faudra le travailler un peu avant que j’y enfonce ma pine. Bruno gémit et se tord de plaisir, puis me dit qu’il a très envie de me sucer avant de se faire enculer.

Je l'invite à se placer en 69 sur moi. J'ai envie de continuer à m'occuper de son trou du cul pendant qu'il me pompe. Je vous jure que lorsqu’on a bandé pendant deux ans pour un homme et qu’il est enfin là, en train de vous branler et de vous sucer la queue, c’est dur de se retenir. Il s’arrête seulement de me pomper pour me dire que ma bite est délicieuse, que pendant quatre ans, il n’avait cessé de se branler en rêvant d’une tige bien raide comme la mienne. Il écarte mes fesses et me lèche le cul. Moi, je suis en train de dilater le sien avec deux, puis trois doigts. Je le lèche et je le doigte encore. Je suis hors de moi. J’ai l’impression que je n’avais plus bandé comme ça depuis des années. Bruno m’excite de plus en plus. Il me demande de me montrer très vicieux avec lui, il aime se sentir dominé, insulté, humilié: “Traite-moi comme une vraie salope! Une pute! Fesse-moi si ça te fait plaisir!”

J’ajuste plusieurs claques bien sèches sur son petit cul. Je fais mettre Bruno en levrette et je le force à bien creuser les reins et à cambrer ses fesses. Lui-même les écarte pour m’offrir sa jolie pastille. Au moment où je pose mon gland protégé d’une capote sur sa rosette pour le forcer, il recule et s’emmanche tout seul sur ma bite en poussant de puissants râles de plaisir. En quelques secondes, il s’est empalé jusqu’aux couilles. Je n’ai plus qu'à le prendre par les hanches pour le pistonner. Nous sommes en nage, tous les deux. Je me retiens déjà alors que ça fait seulement cinq minutes que je suis dans son cul. Heureusement, Bruno qui branle sa queue, me supplie de jouir avec lui et j’explose avec la sensation de me vider les couilles jusqu'à la dernière goutte.

Bruno passera la nuit avec moi. Il me suffira de fumer une cigarette pour me remettre à bander. Cette fois, j’ai pu l’enculer plus longuement, et pendant six mois, il a été mon amant sans que sa femme ne soit au courant de notre relation. Puis, il a fini par tout lui avouer et ils ont divorcé. Sa liberté retrouvée, Bruno est allé chercher d’autres hommes. Je ne lui suffisais plus. Il a déménagé aussi et peu à peu, nos rencontres se sont espacées, puis, il n’est plus passé me voir chez moi. Je pense encore souvent à lui. Il restera mon meilleur souvenir.



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