Après l'interview c'est sexuel

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Cette remarque, qui peut être aussi assimilé à "tu es sûr que tu bandes ?" est vraiment à bannir. Rien de pire pour tuer le désir de votre partenaire. C’est hyper vexant. "Cela ramène à la fragilité de l’homme avec son sexe " informe Nathalie Giraud-Desforges. De la même façon, mieux vaut éviter toute critique sur le sexe de votre homme. On évite ainsi de lui dire "dommage tu as grossi, sauf ton sexe", "t’es pas un peu mou, non ? ".
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Une nouvelle étude nous en dit plus sur un sujet qui est longtemps resté tabou, la sexualité après cinquante ans.
Dans les médias et dans les esprits, cinquantaine et sexualité riment souvent avec la ménopause et la baisse du désir. Pourtant, beaucoup de femmes, et d’hommes, expérimentent une hausse de leur libido après la quarantaine. Une nouvelle étude LELO s’est penchée sur la question du désir des quinquas et des séniors. Visiblement, beaucoup d’entre elles et eux vivent de meilleures expériences sexuelles à cet âge-là (45 % des 2000 sondés). 37% d’entre elles et eux déclaraient même être bien plus actif·ves que dans leur jeunesse.
Pourtant, il reste des inégalités sexuelles après cinquante ans. Une étude Ifop pour « Marianne » révèle que la moyenne des rapports sexuels hebdomadaires pour les hommes de plus de 50 ans est de 1,4 et de 0,9 pour les femmes de la même tranche d’âge. Seules 4 % des quinquagénaires femmes ont plus de 3 rapports sexuels par semaine et « 22% des 7.403 personnes sondées confient avoir une seule partie de jambes en l’air par semaine », rappelle « Auféminin ». À partir de 60 ans, la fréquence des parties de jambes en l’air baisse progressivement. Les hommes de 50 à 64 ans ont en moyenne 1,6 rapport sexuel par semaine, contre 1 après 65 ans. Les femmes entre 50 et 64 font l’amour 1,1 fois par semaine et 0,6 fois après 65 ans.
Si le sexe devient moins fréquent avec l’âge, il n’en reste pas moins qualitatif. 22% des personnes ont déclaré être devenues plus aventureuses dans leur vie sexuelle en vieillissant, d’après une étude du site de rencontres Lumen, qui précise que 8% des sondé·es sont devenu·es beaucoup plus aventureux après 50 ans. Surtout, les participant·es disent prendre plus de temps pour se satisfaire sexuellement. Selon l’étude, un rapport dure en moyenne 24 minutes, tout simplement parce qu’avec la retraite, iels ont beaucoup plus de temps pour s’amuser sous la couette (24%) ! Et iels ne sont pas près de s’arrêter. 51 % des personnes déclarent qu'elles vont continuer à avoir des relations sexuelles jusqu'à ce qu'elles en soient physiquement incapables. Et si c’était la meilleure période pour se redécouvrir au lit ? 
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Lâcher prise au lit : 7 pistes pour s’abandonner au plaisir - © jeffbergen / iStock






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Dans la vie comme au lit, lâcher prise n’est pas évident. Mais la bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas impossible. La sexothérapeute Aina Razafinimanana partage ses conseils pour y parvenir. 
Est-ce que je vais jouir ? Maintenant ou dans dix minutes ou jamais ? Est-ce que mon sexe est aussi beau qu’il sent bon ? D’ailleurs, sent-il bon ? Est-ce que mon partenaire est content d’être là ? Est-ce que j’ai pensé à arroser les plantes ? Que de questions qui nous rappellent combien nous pensons pendant l’amour. Et s’il est complètement normal d’être traversé par des pensées, exactement comme lorsque nous méditons, cuisinons ou cherchons le sommeil, il va de soi que certaines d’entre elles nous freinent dans notre rapport à l’autre et au plaisir ; à trop intellectualiser l’acte sexuel, les positions, notre allure et nos orgasmes, nous restons dans le contrôle – loin du plaisir, qui a besoin d’espace pour se déployer.  
Voilà pourquoi il est intéressant d’apprivoiser la notion de « laisser-aller sexuel », que l’on peut définir par le fait de « décider d’être là et d’accepter que pendant un temps donné, on se dédie au voyage sexuel sans questionner le contenu de sa valise et la destination », image la sexothérapeute Aina Razafinimanana , aussi ambassadrice de Gapianne , plateforme consacrée au bien-être intime et sexuel féminin.  
Se laisser aller sexuellement, on le peut. Mais pas forcément tous les jours, et ce n’est pas grave. Parfois, nos pensées sont plus fortes que nous. Parfois, nous sommes particulièrement complexées ou crevées. « Même le plus entraîné au lâcher-prise peut ne pas y parvenir », rassure d’emblée la sexothérapeute Aina Razafinimanana. C’est bon à savoir : ce n’est pas parce qu’aujourd’hui ça ne prend pas que ça ne fonctionnera jamais. Une information que l’on intègre pour ne pas courir après le laisser-aller sexuel comme si notre plaisir en dépendait.  
« Le risque, c’est de faire du lâcher-prise sexuel une nouvelle injonction. Or, si le lâcher-prise est difficile à atteindre, c’est bien parce que nous sommes déjà soumises à de nombreuses injonctions. Il faudrait jouir, et puis être originale, mémorable, épilée , et ainsi de suite. Si en plus il faut lâcher prise, on ne s’en sort pas », explique la sexothérapeute. Mieux vaut donc ne pas voir le lâcher-prise comme une nécessité, mais comme un état d’esprit positif qui, justement, nous invite à larguer (et narguer) les injonctions. Et pour ça, on retient que notre état d’esprit varie d’un rapport à l’autre et que nous avons le temps d’expérimenter cet abandon de soi.  
La sexothérapeute Aina Razafinimanana tient à préciser qu’à l’origine du manque de laisser-aller sexuel, il y a parfois le ou la partenaire. Nous sommes deux (ou plus) à faire l’amour, et si nous ne parvenons pas à lâcher-prise, c’est peut-être parce que la personne à nos côtés n’est pas des plus à l’aise. « Si l’un des deux partenaires ne se laisse pas aller, l’autre peut le ressentir, si bien qu’il reste sur la retenue », explique la spécialiste. Alors avant de se remettre en question, et sans accuser l’autre, observons : est-ce que notre partenaire est timide ? Quel ton donne-t-il au rapport ? Il est probable que notre absence de laisser-aller sexuel soit une simple réplique. Dès lors que le ou la partenaire n’est « pas dedans », que l’on perçoit ses ruminations, son stress ou sa fatigue, nous ne franchissons pas le seuil du lâcher-prise. Or, lâcher prise, c’est bien plus évident à deux. « Il est nécessaire de communiquer, recommande la sexothérapeute. Comprendre ce que l’autre vit, attend, ressent, permet de plonger à deux dans un rapport sexuel que l’on construit ensemble. » 
Généralement, quand des pensées « parasites » nous surprennent pendant l’amour, c’est qu’un ou plusieurs tracas nous envahissent. Ces tracas ont à trait à la sexualité (suis-je suffisamment belle ? Vais-je jouir cette fois ?) ou à la vie quotidienne (je dois terminer une mission de travail). Et s’ils s’invitent précisément durant le rapport, c’est bien parce que nous aimons contrôler le quotidien, la vie et ses dossiers, et que le sexe, à l’inverse, se propose de nous vider la tête. C’est le clash : on ne va quand même pas s’ouvrir au plaisir alors que nous avons mille choses à penser et étudier !  
La solution, selon Aina Razafinimanana, est de se rappeler qu’un rapport sexuel ne dure pas trois jours (enfin, rarement) : « On peut donner rendez-vous à ses pensées dans trente minutes pour s’accorder le droit, un instant, de vivre ce moment sensuel à deux. » À partir du moment où l’on promet à nos pensées que nous allons revenir, on s’autorise davantage à profiter du rapport puisque l’on sait notre laisser-aller temporaire. 
« Je conseille de travailler la connexion entre partenaires à travers des massages et des caresses plutôt que de courir au plaisir et à la mécanique sexuelle », partage Aina Razafinimanana. Une recommandation qui vaut de l’or : après tout, qui n’a jamais ressenti le besoin de se détendre après une bonne journée de travail pour évacuer son stress et ses pensées négatives ? C’est exactement la même chose dans la sexualité : si l’on fonce dans le sexe sans prendre le temps de se détendre ensemble avant de baisser la culotte, notre cerveau reste branché sur un mode « cogitations », encore noyé dans l’hyperactivité de la journée. « Privilégier l’énergie relationnelle le temps des préliminaires aide les partenaires à lâcher-prise ensuite », assure la sexothérapeute. C’est aussi une excellente façon de quitter la performance et donc d’abandonner les pensées relatives à celle-ci : on ne pensera plus tant à notre corps (beau ou pas beau ?) ou notre orgasme (présent ou absent ?) puisque l’essentiel, à ce moment précis, sera de partager une parenthèse de complicité et de douceur. 
Lorsque l’on questionne le rapport et les pratiques, ou que l’on pense à notre ventre, nos fesses et notre orgasme, c’est en grande partie parce que nous craignons de ne pas être assez bien, bonne, douée. Derrière tout ça se cache généralement un manque de confiance : nous imaginons que notre corps n’est pas apte à « faire plaisir » et à prendre du plaisir. On doute de lui. Dommage, car c’est en faisant équipe avec lui que nous nous abandonnons davantage à l’extase. L’idéal serait donc de savoir son corps « capable ». Aina Razafinimanana recommande de partir à la conquête de soi-même. Conquête qui peut passer par la masturbation , ou, si ce n’est pas notre truc, le soin de soi (une bonne douche, un automassage…) : « Lorsque l’on connaît son corps, on lâche prise, puisqu’on ne le surveille plus. On ne guette plus l’orgasme, on sait comment jouir. Et on n’épie plus notre partenaire comme si notre plaisir dépendait de lui », remarque l’experte. 
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