Wonderwoman se prend une bite

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Wonderwoman se prend une bite
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Édité par sebastienbillard Auteur parrainé par melissabounoua
Quand j'ai appris qu'Osez le féminisme s'était fendu d'un communiqué pour condamner une fresque pornographique ornant depuis 15 ans un mur d'une salle de garde du CHU de Clermont-Ferrand, et récemment légendée en référence au projet de loi sur la santé , sous prétexte que cette peinture représentait le viol de Marisol Touraine, communiqué signifiant que l'association remuait ciel et terre pour voir la fresque effacée (la chose est depuis faite) et ses auteurs sanctionnés au plus vite, j'ai d'abord ri très fort, j'avoue.
Parce qu'il faut vraiment être particulièrement niais ou particulièrement de mauvaise foi pour estimer que le dessin incriminé représente 1. un viol 2. le viol de Mme. notre ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes.
Il est explicitement fait référence à une loi 
Si on consent à un énorme effort mental pour estimer vraie la première hypothèse (dans ce cas, il faudra qu'on m'explique, notamment, ce que fait la main de Wonder Woman autour du sexe de Flash Gordon), accorder la moindre crédibilité à la seconde me semble juste totalement et radicalement impossible, vu qu'il est explicitement fait référence à une loi (j'avais l'impression que, depuis une quinzaine de jours, la différence entre une offense faite à des entités abstraites et un préjudice causé à des personnes physiques avait pourtant été comprise par à peu près tout le monde, mais j'ai dû encore me tromper, pardon), et que c'est bien Wonder Woman (ahem, personnage fictif ) et non pas Marisol Touraine qui est ici représentée.
Détail ô combien significatif, vu que dans la "tradition" des fresques pornographiques des salles de garde des hôpitaux français personne ne s'est jamais gêné pour dessiner de "vraies gens", que ces individus soient connus du grand public (ministres et autres célébrités politiques ou non) ou pas ( hiérarchie de l'établissement hospitalier concerné, profs, etc.).
Une fois la rigolade terminée, je me suis dit que, décidément, certaines branches du féminisme adoraient encore et toujours recourir à ce bon vieil expédient qu'est l'intimidation juridico-morale pour réduire au silence celles et ceux qui ont l'outrecuidance de ne pas penser ni de voir le monde comme elles.
Cette apologie de la violence n'a rien de factuel
Car quoi de mieux pour fermer tout débat, toute expression de la moindre contradiction, que de désigner ses adversaires comme émissaires d'un message contraire non seulement aux bonnes mœurs, mais à la loi ?
De la même manière qu'il faudra autrement plus de temps pour démontrer que la Lune est un satellite de notre planète que d'affirmer qu'il s'agit d'une meule de fromage accrochée dans le ciel, démonter une accusation d'apologie du viol sera autrement plus fastidieuse que le simple fait de la proférer. Quand vous faites œuvre de propagande, euh, pardon, de militance, tout mensonge est bon à prendre, c'est bien connu.
Certes, l'apologie de la violence est interdite et il est donc interdit d'en appeler par tous les moyens d'expression possibles à taper, brûler, violer ou encore écarteler autrui, nous sommes parfaitement d'accord.
Sauf que, dans le cas qui nous occupe, cette apologie de la violence n'a rien de factuel, elle est liée à l'interprétation que fait Osez le Féminisme (et tous ceux qui sont d'accord avec l'association) de la fresque condamnée, interprétation qui sera d'ailleurs soumise au débat si la justice, comme le laissent aujourd'hui entendre le CHU de Clermont-Ferrand et le Conseil national de l'Ordre des médecins , en vient à être saisie pour arbitrer un éventuel litige.
Et, de même que la preuve du jambon est qu'on le mange, l'interprétation de cette fresque comme d'une apologie du viol est ambiguë, vu que je suis loin d'être la seule à la considérer comme (au mieux) exagérée.
Un objet d'expression qui peut déplaire à notre morale
À titre personnel, je me fous du caractère traditionnel de cette peinture (l'excision, aussi, est une tradition), mais je ne peux pas accepter sans un minimum de résistance qu'on se drape dans une soi-disant légitimité juridique pour censurer un objet d'expression qui déplaît à notre goût ou à notre morale.
Qu'on trouve la pornographie, le gang bang, le fist-fucking, l'éjaculation faciale et les héros de Marvel moches et dégueulasses, la chose est tout à fait plausible et recevable.
Mais, dans des sociétés démocratiques et pluralistes, la justice n'a rien à faire de litiges où la culpabilité d'un accusé est présumée du simple fait qu'il aura heurté telle ou telle sensibilité, vu que (là encore, je croyais que la chose avait été confirmée ces derniers jours, oups) la liberté d'expression l'emporte sur les émotions forcément subjectives de toute personne que cette même liberté sera susceptible de perturber. Ce qui s'applique à tout le monde.
Que ces perturbés soient les bigots d'une quelconque religion révélée ou les petits flics d'un certain féminisme qui passent leur vie à traquer le moindre recoin de nos existences pour voir si elles sont bien conformes à ce qu'en professe la doxa de leur secte. 
Un peu d'originilaté dans le dessin est fort sympatique. C'est une forme de provocation mais totalement pacifiste c'est ce qui est intéressant dans la démarche des médecins.
C'est un gang bang de super-héros. Osez Le Ridicule n'aime pas les super-héros c'est ça?
Il est évident que celles qui ont osé condamner ce dessin sont fortement dérangées, et qu'elles devraient consulter au plus tôt !
Merci Audrey.
Il reste à comprendre comment il se fait que ces posts disparaissent.
Soit vous pouvez le faire directement sur le site, cela ne me gêne en rien. Soit vous avez mon mail.
Je ne crois guère aux "erreurs" dans ce domaine...
Et pourtant, Robert, vous seriez surpris. Certains termes ne passent juste pas alors qu'ils ne sont pas employés de façon négative, je fais de mon mieux pour rétablir ce genre de commentaire. Bonne fin de journée !
@Audrey
Je n'en crois pas mes yeux "certains termes ne passent juste pas"
Si je lis bien entre les lignes, on applique au Plus la méthode du Grand État Major pendant la guerre de 14 pour filtrer le courrier des piou pious?
Avant, il y a 7 ou ans , avec "Conciléo", c'était pire. Il fallait contourner les mots avec ruse pour passer.
"j'ai d'abord ri très fort, j'avoue."

Oui, c'est ma réaction naturelle des gens sains d'esprit face aux messages de "Osez le féminisme". La "culture du viol", notamment, est un de leurs meilleurs gags.
Vous avez décidément un sens de l'humour qui me dépasse, Pierrick.
Que tout cela vous dépasse, je n'en doute point, Audrey, attendu les échanges que nous avons pu avoir.
ah non ! faut pas embêter Audrey hein !
L'ordre moral règne au Plus.
Je me suis fait sèchement censurer pour avoir comparé la façon dont certains traitent cette histoire hilarante de Carabins d'une part, et le "mur des cons d'autre part". J'avais juste oublié que Le Plus n'est pas Charlie Hebdo.
Merci à la modération de me l'avoir sèchement rappelé.
"L'ordre moral règne au Plus."
"Le Plus n'est pas Charlie Hebdo."

Pardon, mais l'ordre moral règne tout autant à Charlie Hebdo. Il ne s'agit pas d'un journal subversif qui dézingue à tout va, comme on essaie de le faire croire. Il s'agit simplement d'un journal qui s'en prend à des cibles très identifiées et classées à droite.
C'est vrai que représenter Mahomet avec une plume dans le cul, c'est une cible de droite très identifiée.
Il n'ya pas d'Islam politique, dès lors c'est un peu vain d'essayer d'avoir une lecture politisée de ces caricatures.

Nonobstant ces caricatures du prophète, ils tapaient principalement sur les flics, la religion, les fachos, etc... qui sont clairement des cibles classées à droite. On ne les voyait pas taper sur les écolos, les féministes, les vegan, par exemple.

Tout ça restait très propret.
Robert, votre commentaire a été remis en ligne. Bonne journée.
11:41
" On ne les voyait pas taper sur les écolos, les féministes...."
Bin en voilà un qui connaît bien mal la famille Hara-Kiri-Charlie-Hebdo...et ferait mieux de se taire sur ce sujet....
Bien dit, il aurait mieux fait de se taire, car Charlie y allait pas de main morte.
Encore que de nos jours comme disait pierrick qu'on ne voit plus, ce n'est plus du tout ça, je suis abonné et ça c'est sûr de chez sûr
Harak-Kiri ? Charlie Hebdo n'a plus rien à voir avec Hara-Kiri, et depuis un bon moment, hein. C'est même tout le problème.
Pauvre Peggy. extraordinaire d'être aussi catégorique sans essayer de réfléchir 1 mn pour peser le pour et le contre et essayer de comprendre la partie adverse. Mais bon, en même temps, essayer de réfléchir, pour Peggy, est-ce bien raisonnable ?
il est extraordinaire de califier cette scene de viol alors que personne sur un plan fixe sur un dessin ne peut savoir ce qu'il en est du consentement des protagonistes. Pour ma part je ne sais pas parler aux personnages des dessins animés comme certains.

Certains justifient le viol par l'image degradante que donne wonder woman. Mais ils se comportent alors commes les fondamentaistes qui imposent le voile en expliquant que c'est pour empecher les femmes de donner d'elle meme une image degradante.

"Le pour et le contre" dans cette histoire. Donc selon vous, c'est bien une intrumentalisation pour un enjeux plus grand.
Que ne ferait-on pas pour faire parler de soi ? Les fresques découvertes dans les ruines de Pompéi, notamment les bains pour hommes, ainsi que les fresques de Michel-Ange, les discours de Platon, les relations des Philosophes, les peintures du peintre iranien montrant Mahomet, le plafond de La Chapelle Sixtine, etc, tout ça existe. Si nous interdisons tout et détruisons notre passé, que restera-t-il ? Des tonnes de bouteilles en plastique. La men ta ble !
Peggy Sue, Peggy Sue, et Peggy fait suer, comme chantait Buddy Holly.
La "fresque" datent de plusieurs années.
C'est ne connerie de carabins parmi des milliers.
C'est lourdaud-rigolo.... comme l'était Charlie époque Choron avec les machins de Vuillemin, Les romans photos avec "Patinette" et les fausses publicités avec bites en plastique.
Pas de quoi fouetter (même en rapports SM) un chat.

Quelle époque de tristasses et de balais dans le cul !!!!
La bien pensance dans ce pays est véritablement débridée. Nous aurons eu les cathos, pendant quelques siècles, pourquoi pas les musulmans à présent, et il faudrait subir également les neo-moralistes de tout poil, que "osez le féminisme" semble rallier?
On peut toujours critiquer le goût plus ou moins douteux de telle ou telle représentation. Mais s'il vous plait, les coincés, ou plutôt les coincé(es) du c..., à la niche!
Merci Peggy...
Et ils ont défilé en criant "je suis Charlie " !!
Un article datant de 2010 sur ces lieux séculaires, en voie de disparition, que sont les salles de garde avec leurs fameux chromos:

http://www.liberation.fr/societe/2010/11/24/hopital-fesses-en-fresques_695828
La salle de garde la plus célèbre actuellement continue à se réunir au Boeuf Couronné à Paris cinq fois par an, dans la plus vaillante tradition.
Le sujet principal : la femme !
(c'est pour ça qu'elles y sont interdites)
Le secrétaire adjoint de l'assoce vient de nous quitter beaucoup trop jeune.
C'était le 31 décembre dernier. Peut-être le connaissez grâce à vos relations mondaines et proximales (il était avocat).
Je vous tweete ses initiales.
J'ai été très touché.

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Brigitte Bardot pose en 1950. La jeune fille n'a que 16 ans mais a déjà posé pour le magazine Elle.

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Brigitte Bardot en 1956. Belle pour les uns, scandaleuse pour les autres
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Brigitte sur le plateau de "En effeuillant la marguerite" en 1956. Elle campe le rôle d'une fille de général qui pratique le strip-tease
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Brigitte Bardot en 1959 dans "Voulez-vous danser avec moi?".

5/10 -
Alain Delon et Brigitte Bardot en 1961. L'actrice a tourné avec les plus grandes stars du cinéma français
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Brigitte Bardot dans une scène du film "La Bride sur le cou" en 1961de Roger Vadim avec qui elle s'est sont mariée en 1952
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Brigitte Bardot dans une scène du film de Roger Vadim "La Bride sur le cou" en 1961.

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Brigitte Bardot dans une scène du film "La Bride sur le cou" en 1961.

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Brigitte Bardot dans le film "Vie privée" de Louis Malle en 1962.

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Brigitte Bardot, l'actrice rencontre Serge Gainsbourg pour la première fois en 1959.

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A 82 ans, Brigitte Bardot fait encore rêver. L'actrice incarne à elle seule l'esprit français, alliant le charme à la beauté sans oublier son sens indéniable de la provocation. Retour en images sur la carrière d'une icône sulfureuse.
Vendredi 27 janvier à 20h55, France 3 propose un beau documentaire sur Brigitte Bardot et l'existence exceptionnelle pour l'une, sinon la plus grande star française de tous les temps. Depuis 1956 et son rôle dans Et Dieu créa la femme , Brigitte Bardot est mondialement connue. Ses photos, sulfureuses pour l'époque ont fait le tour du monde et sa chute de reins est reconnaissable parmi des milliers.
Sa carrière débute très jeune, en 1949. Cette année là, la jeune fille réalise sa première couverture pour le magazine Elle . A 15 ans pourtant ses parents refusent qu'elle deviennent actrice, seul son grand-père prendra sa défense : " Si cette petite doit un jour être une putain, elle le sera avec ou sans le cinéma, si elle ne doit jamais être une putain, ce n'est pas le cinéma qui pourra la changer ! " Malheureusement pour elle, Brigitte Bardot a longtemps souffert de cette image de femme fatale et légère.
 Mariée trois fois, Brigitte Bardot a tourné avec les plus grands noms du cinéma. Dans les années 60, tous veulent tourner à ses côtés, donner la réplique à celle qu'il considère comme la plus belle femme du monde. De Kirk Douglas à Jean Gabin, en passant par Alain Delon , Jean Marais , Gérard Philippe ou encore Jean-Louis Trintignant.
Mais Brigitte Bardot c'est aussi le destin d'un sex-symbol, d'une femme prise en otage de son corps et d'elle-même. Celle qui petite demandait à ses parents " pourquoi je vis" cache au fond d'elle des blessures profondes. Un mal être qui la pousse presque jusqu'au néant. En 1960 le jour de son anniversaire, elle tente de mettre fin à ses jours.
En 1968, alors que Brigitte Bardot tente de se défaire de son image de femme sexy, elle rencontre Gainsbourg . Au-delà de la complicité artistique, les deux chanteurs tombent sous leur charme respectif. Pour ne pas attiser de nouveau les critiques et encore une fois se faire traiter de "sal...", elle demande à ce que le titre Je t aime...moi non plus soit remplacé par Bonnie and Clyde .
Celle qui enchaîne les films, parfois même sans lire les scénarios n'aura de cesse que de prouver que son existence ne se résume pas à son physique de "blonde idiote", comme elle le dit.
Lasse de se battre, en 1975, Brigitte Bardot arrête définitivement le cinéma et promet de se consacrer à la cause animale. Mais il n'y a rien à faire, ni le temps qui passe, ni les phrases chocs n'effaceront de nos mémoires les photos les plus sublimes et les plus envoutantes de la comédienne.
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Un article intéressant de Cécile Morana sur BB, Dommage qu’il y ait quelques fautes.
Je me propose de vous les corriger si vous lisez mon commentaire.
Un article intéressant de Cécile Morana sur BB, dommage qu’il y ait quelques fautes.
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Une véritable honte ce qu'elle a dit sur la Réunion et les réunionnais. Elle ne peut être une marianne car elle incarne désormais la méchanceté et la bêtise.
toutes les photos de Brigitte bardot nue fouille au corps
Je rêvais d’avoir plusieurs enfants, donc de commencer à fonder une famille plus jeune. Mon choix n'était pas de devenir maman tard et je suis devenue en même temps jeune maman avec ma première fille qui était sous la responsabilité de ma mère depuis sa naissance, car il fallait faire des études universitaires par honneurs pour la famille. Cette année, j'avais pris ma décision, celle d'assumer mes responsabilités de mère envers cette jeune fille qui pensait que j'étais sa grande sœur. Dès l’arrivée de ma première fille à la maison et 3 mois après j'étais enceinte. Une grossesse tant attendue. L'affirmation des femmes sur le plan professionnel empêche parfois plusieurs d'entre elles de penser à la maternité. Il faut prendre les grandes décisions.

J’avais 3 entreprises à gérer et c'était difficile d'abandonner le fruit de plusieurs années de travail, 60 heures par semaine de travail. Rédaction du plan d'affaires, élaboration des projets, recherche du financement, consolidation des équipes, bref, mes sociétés étaient florissantes. L’arrivée de NANA
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