Les ados se lâchent
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Les ados se lâchent
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Quelques temps après l'épisode de la peinture, j'étais retombé dans des questionnements sans fin. Je n'avais pas revu les copains qui avaient assisté à notre scène torride, et je craignais que quelques uns aient décidé de nous éviter pour marquer leur désapprobation. Je pensais que tout ces mecs étaient de vrais faux-culs, car en fait, ils étaient tous bien restés pour nous mater en train de nous donner du plaisir... et j'étais sûr que tous les garçons n'avaient pas manqué d'aller se palucher, chacun dans son coin, pour calmer leur belle petite bite de faux jeton.
Ce qui m'inquiétait le plus c'est que je n'avais pas non plus revu Martin qui hantait mes jours et mes nuits. Je repensais à ces instants, et je rêvais de pouvoir un jour avoir à nouveau la chance et le privilège de consommer son petit corps d'amour. J'étais grave morgane de lui, de sa douceur, de ces yeux noirs, de son odeur bouleversante, de son beau petit cul bien rond, et de son sexe qu'il m'avait offert comme une friandise, un fruit frais et mûr.
Je pensais que décidément les mecs c'était tellement mieux, qu'avec eux normalement on ne pouvait pas tricher, et que lorsqu'un mec se pointe devant toi, avec des yeux comme ceux de Martin, et un sexe qui se redresse aussi fort et droit que celui de Martin, c'est difficile de résister. Son désir était bien plus que visible et s'affichait comme un étendard. Je n'avais pas pu me tromper... Cette pensée m'a remonté le moral. J'ai eu envie de retourner sur les lieux de notre première aventure.
Il était déjà très tard, j'ai décidé de sortir après le repas du soir. L'air était encore chaud et sentait bon, en dépit de l'atmosphère qui habituellement était polluée par les bagnoles. Il faisait déjà assez sombre lorsque j'ai débouché sur le terrain vague et sur le wagon de notre petite bande. Le silence était remarquable. Pas un bruit, et toujours une douceur merveilleuse.
Je me suis approché et à la faveur du clair de lune qui commençait à monter, j'ai entr'aperçu des mouvements dernière les premiers arbres qui bordaient l'endroit. Je n'ai pas été long à reconnaitre la silhouette de Martin, mais il n'était pas seul, et d'autres formes se dessinaient en contre jour, que je ne parvenais pas encore à reconnaitre. J'étais rassuré. Il n'avait pas disparu, et j'allais peut-être pouvoir retrouver son amitié intacte. Au fur et à mesure que je m'approchais, je comprenais que quelque chose d'inhabituel se maquillait dans le secteur. Je n'ai pas cherché à me dissimuler, de toute façon, depuis leur cachette, toutes les formes présentes avaient dû détecter mon arrivée depuis longtemps. En tout cas mon intervention n'avait pas l'air de beaucoup les déranger, à en croire les rigolades qui remontaient du petits bois.
Lorsqu'enfin je suis tombé sur eux, je les ai bien reconnu. Ils étaient cinq sur place, qui m'ont accueilli sans la moindre discrétion. Et pourtant il aurait mieux valu qu'ils évitent tout ce boucan... Le premier que j'ai vu, c'était Martin lui-même. Il était complètement à poil et cachait trop maladroitement son sexe dans le creux de sa main. Décidément, ce mec me surprenait de plus en plus. Jamais je n'aurais auparavant imaginé qu'il soit aussi extraverti. Lorsqu'il a lu mon étonnement sur mon visage, il était écroulé de rire. À cette seconde même j'ai su que ce petit salaud était beaucoup plus émancipé qu'il n'y paraissait à première vue, et qu'en tout cas, il devait avoir sur les choses du sexe une sérieuse avance sur moi. Je savais aussi que nous allions bientôt nous retrouver, corps à corps, et qu'il allait à nouveau me faire jouir comme un fou...
Les quatre autres étaient les plus jeunes de la bande, tous de 13 et 14 ans. Ils étaient tous nus comme des vers. Visiblement ils trouvaient beaucoup de plaisir à se sentir aussi libres dans l'air doux de la nuit. Cette histoire les mettait dans un état d'excitation invraisemblable.
— C'est Martin qui nous a obligé à nous déshabiller, dit Adel, en rigolant, en s'approchant de moi la trique à la main, et en feignant de se sentir coupable.
— Oh... Les p'tits salauds, y'a pas eu besoin de les pousser beaucoup. C'est eux qui m'ont donné rendez-vous ici ce soir. D'ailleurs quand je suis arrivé, j'ai vu qu'ils avaient déjà une petite idée en tête, et Adel essayait d'arracher le slip de Moustaf.
Alors que j'avais encore l¹air surpris devant cette scène inhabituelle, ce fût le plus jeune, Malik, qui m'embarqua le plus vite dans l'ambiance locale.
— Tu as l'air étonné de nous voir... Et pourtant c'est un peu à cause de toi que nous sommes là. Oui, oui... Tu crois qu'on ne sait pas ce que vous faites les après-midis dans le wagon avec les grands ? Mon frère m'a tout raconté...
Il me regardait d'un air futé, il était comme les autres entièrement nu, et lui ne prenait pas du tout le soin de cacher son sexe avec sa main. Bien au contraire, on était certain en le voyant qu'il était très fier de lui et n'avait honte de rien. Il bandait déjà comme un chevreuil du haut de ces treize ans.
— Oui, c'est à cause de toi, on sait maintenant que les garçons, surtout ceux qui disent des saloperies sur les pédés, et bien ce sont ceux qui y pensent le plus, et même qu'ils se font plein de trucs tous ensemble... Pourquoi nous on y participerait pas un peu aussi... C'est vrai c'est pas juste, dit-il. Regarde ! Tu ne trouves pas que je suis aussi bien gaulé que certains des grands qui se croient des canons ?
Et en parlant, il montrait ses muscles et paradait comme le font les bodybuildeurs. Il était vraiment trop mignon. Puis il s'approcha tout près de moi et en prenant ma main dans la sienne, il la porta vers son sexe et me fit caresser sa queue bien raide en disant :
— Martin, lui, il y a longtemps qu'il sait comme j'en ai une bien dure... C'est pas la première fois que tous les deux on s'amuse... On ne fait pas de mal. Ça ne fait pas envie de la sucer ?
Tu parles que ça me faisait envie. Ce petit mec était trop craquant. Je sentais frétiller sa queue circoncise dans ma main et ça me mettait dans un état pas possible. Derrière lui, Martin se marrait toujours et lui pelota les fesses à deux mains. Le gamin se retourna et lui roula un patin d'enfer. Tous les autres se montraient brûlants comme des braises, et commençaient déjà à s'astiquer, seuls ou à deux, sans se poser de questions.
— PARTOUZE ! cria Martin. Ce soir on vous fait les honneurs du wagon. Allez les p'tits cons, vous allez montrer à Sherpa ce que vous savez faire, et ce que je vous ai appris.
Tous les petits culs ont déboulé en courant, pour s'engouffrer dans le wagon.
— Hep là ! cria Adel à l'entrée. Les mecs, Sherpa est encore habillé.
À cet instant, tout le monde m'a sauté dessus, et en quelques secondes, je me suis retrouvé couché au sol. Je sentais toutes les mains qui s'affolaient sur moi, comme autant de plaisirs qui me portaient aussi vite à une excitation aussi maximum qu'instantanée. Toutes mes fringues m'ont été arrachées une après l'autre. Je sentis aussitôt ces petits salauds qui me pelotaient le torse et se faufilaient déjà dans mon short avant de le faire sauter. J'entendis même mon slip se déchirer sous la pression de leur attaque. En moins de 10 secondes, je me retrouvais comme eux : totalement nu et chaviré par le plaisir.
Malik et Martin, apparemment les plus chauds, se sont emparés de mon sexe et de mes couilles en les triturant avec frénésie. Je ne m'appartenais plus. J'étais enseveli sous des torses, des bras et des jambes. Quelqu'un m'a passé un doigt dans les fesses jusqu'à trouver mon cul. Je bandais à en hurler, et des bouches brûlantes m'embrassaient partout sur le corps. Au hasard des mouvements que j'arrivais à percevoir, j'ai attrapé un poignet pour tirer très fort sur le bras et attirer sur moi celui que je pouvais. Celui que je tenais a perdu l'équilibre avant de s'écrouler complètement sur moi. Couché sur le dos, Je l'ai serré très fort, ses omoplates sur mon torse. Il se débattait un peu mais j'ai réussi à le bloquer. Il se tortillait. Je sentais ses fesses toutes douces qui épousaient ma queue.
À mon tour, je lui ai peloté le torse, titillant avec joie ses seins durs. Ma queue a trouvé puis investi le creux de son cul. J'étais excité au maximum. Mon sexe était déjà trempé et bien lubrifié... Je n'ai eu qu'à pousser un peu plus fort pour sentir la résistance de son anus céder pour me laisser passer. J'ai entendu un cri aigu, et j'ai reconnu la voix. C'était Malik. Je ne pouvais pas tomber mieux. Déjà je ressentais les mouvements de son corps qui ondulaient merveilleusement bien, pour mieux s'empaler sur mon pieu. Mes mains tenaient fermement son torse. Je distinguais tous les muscles de son corps que je faisais rouler entre la peau fragile et les côtes. J'adore que les garçons soient secs, voire un peu maigres. Leur corps est dur et musclé. Ils ont les nerfs à fleur de peau.
Très vite Malik s'est mis à crier de joie, multipliant encore mon excitation. Je l'ai baisé bien plus fort. Son cul était maintenant une merveille. Nous nous sommes arcboutés l'un sur l'autre, il bougeait en cadence et ronronnait de plaisir. Dans un déluge de plaisir, j'ai déchargé tout mon sperme en lui. Mes spasmes n'étaient pas encore finis que ma main se saisissait de sa belle bite. J'ai fait rouler deux ou trois fois la peau fine sur le gland. Son sexe était brûlant. Sa peau était d'une douceur inimaginable. J'ai senti son liquide qui engluait mes mains. Malik était en sueur. Au-dessus de nous, je voyais Martin qui s'était approché et qui me regardait avec ses beaux grands yeux noirs.
J'ai encore profité de son corps quelques temps, en caressant chaque parcelle, chaque muscle... J'ai enfoui mon visage dans ses cheveux. Il sentait bon... Grave... Ses cheveux en nage étaient tout mouillés comme si nous sortions d'un bain. Martin caressait mon torse avec une douceur incomparable. À cet instant, j'ai compris qu'après lui, Malik m'avait aussi envoûté. J'étais fait pour tomber amoureux de tous ces petits mecs... Je les aurais tous un jour ou l'autre, ils étaient vraiment trop bons, ces petits beurs.
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