Vouée à sa bite

Vouée à sa bite




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Vouée à sa bite
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Étant l'aîné de la fratrie, on m'a toujours considéré comme un garçon sur lequel on pouvait compter. J'ai trois sœurs dont deux sont mariées. La petite dernière, Élodie, je l'ai choyée plus que les autres, m'étant beaucoup occupé d'elle après le décès de mon père auquel je me suis substitué. Nos 14 ans de différence ont rendu la chose plausible. J'étais presque un homme, en effet, lorsque cette mission m'incomba. J'approchais de mes 19 ans et Élodie en avait 5. Nos sœurs de 16 et 17 ans pouvaient se débrouiller sans père et comme elles étaient très liées, étant pratiquement jumelles, elles purent traverser le deuil sans bouleversement notable. Mais il fallait à Élodie une référence masculine, une figure d'autorité et surtout de sécurité et je fus tout cela pour elle. Autant dire qu'elle m'adora et continue de m'adorer, ignorant presque tout de moi alors que moi je sais tout d'elle.

Élodie ne saura jamais. Son mari ne lui dira rien et pourtant je suis seul coupable car je l'ai contraint et forcé, en tout cas la première fois. Cette chose qui est arrivée, elle s'est produite et c'est tout, on ne peut pas revenir en arrière. Voici le récit détaillé de l'aventure incestueuse que j'ai eue avec mon beau-frère.

Tout à mon rôle de frère-père, je ne vis pas le temps passer. Mon amour pour ma petite sœur primait sur toute autre affection, et je ne cherchai pas ailleurs de quoi remplir mon cœur aimant. Toute la place était déjà prise. Déjà par nature casanier, je n'eus pas envie de sorties et je laissai choir les amis du temps de mon adolescence. Je n'échappais pas pour autant aux fringales sexuelles de mon âge, que j'assouvissais dans mon lit par de rapides masturbations. Aucune image de femme ou d'homme ne venait hanter mes pulsions. Je me suffisais à moi-même et je déchargeais sur mon ventre autant de fois qu'il le fallait pour éteindre ma libido. Entre 19 et 32 ans, j'ai lâché des litres de sperme sans fantasmer, en solitude, sur un(e) éventuel(le) partenaire. Tout changea quand mon Élodie me présenta son petit ami le jour-même de ses 18 ans.

Un tel jour devait arriver, celui où ma petite chérie, quittant le cocon familial, voguerait vers l'indépendance, mais tel une autruche entêtée, j'avais refusé d'y penser. Je ne voyais que le présent, l'avenir me paraissait loin, noyé dans une brume incertaine. Élodie s'y mouvait parfois mais je l'accompagnais toujours, protecteur, toujours vigilant. Il n'y avait d'homme que moi dans cette brume de l'avenir et je n'en imaginais aucun autre. Élodie se confiait beaucoup, mais par une rouerie intuitive jamais ne parlait des garçons qu'elle fréquentait au lycée qu'en les désignant de connards. Elle savait depuis toujours éviter l'épineux sujet qui pourrait égratigner mon cœur. J'éclatais d'un rire sonore et elle me regardait, pensive.

— Oui, tous des connards, ces jeunes mecs, et qui n'ont qu'une seule chose en tête...

Ces paroles qui m'échappaient, le ton haineux qu'elles renfermaient, marquaient ma jalousie profonde. Que savais-je de ces lycéens pour les catégoriser ainsi ? N'avais-je pas été l'un d'entre eux ? N'avais-je pas noué des amitiés en ma période adolescente ? Mais tout cela était avant, car maintenant je ne voyais en eux tous que des prédateurs, dont l'unique but consistait à me dérober Élodie.

Quand Élodie entra en fac, ce fut un tournant dans nos vies. Elle logeait sur le campus et revenait à la maison régulièrement chaque weekend. Elle me faisait le récit de son travail estudiantin, me décrivait ses professeurs avec une verve imagée qui me faisait rire aux éclats. Elle ne me parlait pas de garçons, et je n'en parlais pas non plus. Je me disais avec bonheur que ma petite sœur était sérieuse, que c'étaient sans doute dès connards et j'en étais ravi pour elle. Il serait plus juste de dire que j'en étais ravi pour moi. Aussi, quelle ne fut pas ma surprise quand elle demanda à sa mère la permission d'inviter un camarade pour le weekend.

— Oui, un garçon brillant, sympa. On s'aide à la bibliothèque, Tu verras, tu vas l'adorer.

Notre mère donna son accord. Je n'avais aucune raison ni aucun droit de m'opposer à cette demande et fis mine d'être satisfait. J'enrageais en réalité, mais contins mon hostilité. S'il était si brillant que ça, il devait être boutonneux et porter des lunettes de myope, sans doute ressembler à un rat. On dit rat de bibliothèque pour désigner les mal bâtis, ceux qui ont un physique ingrat et usent leurs yeux sur les livres. En somme, tout le contraire de moi.

Voici le temps de me décrire. Je suis un sportif accompli, plus physique que cérébral. Je suis fier de ma condition de coach pour l'équipe de rugby locale. J'ai juste un baccalauréat, mais c'est bien suffisant pour moi. J'adore entraîner des garçons, les faire devenir des athlètes. Je suis sévère et exigeant, mais extrêmement professionnel et rien ne me fait plus plaisir que de voir leurs corps se muscler au fil de nos entraînements. J'aime les contempler nus sous la douche. Leurs épaules et leurs abdos, c'est moi qui les ai fabriqués. C'est moi qui sais les exercices grâce auxquels ils sculptent leur chair comme le statuaire sculpte son marbre. Quand ils essuient de leurs serviettes leurs corps chargés de gouttelettes, leurs biceps gonflent et leurs aisselles apparaissent, poilues, ombrées de noir comme leurs pubis. De ces garçons je fais des hommes. C'est à peine si quelquefois mon regard se pose sur leurs sexes. Une pudeur, ou une gêne, m'empêche de m'y attarder. En revanche, eux s'y intéressent et les quolibets vont bon train car la douche fait naître toujours des érections mal maîtrisées. Il y a des gestes salaces, des postures de sodomie auxquels je mets fin aussitôt. Gêne ou pudeur ou autre chose, j'évite de m'interroger là-dessus. Je suis dans un univers d'hommes mais il y a des attitudes, dans la masculinité offerte, qui me font me sentir coupable. Je préfère les voir en tenue, dans leur attirail bleu et jaune qui fond leurs individualités en une équipe triomphante. Je les pousse vers l'excellence et ils m'en sont reconnaissants.

Inutile de préciser que le weekend de la rencontre me parut très long à venir, et quand Élodie arriva, escortée de son camarade, je faillis tomber sur le cul. Le garçon qui l'accompagnait n'était autre que Romain Vinçon, le demi de mêlée de l'équipe que j'entraînais chaque samedi. Exit le boutonneux mal bâti, binoclard penché sur les livres dont mon imagination fertile m'avait fait le portrait précis. Je découvrais avec horreur une situation inquiétante, car je me sentis menacé. Je découvris en même temps que ma petite sœur chérie avait eu des secrets pour moi. Elle savait sans aucun doute que j'étais le coach de Romain. Nonobstant, elle avait omis de me confier sa relation, pour une raison qui me semblait maintenant évidente. Elle vivait sa vie à elle et je n'en étais plus le centre. Tout autre que moi eût compris que c'était une issue logique. Mon Élodie s'émancipait, mais je n'y étais pas préparé. C'est ce qui explique certainement pourquoi mon accueil fut distant. Romain me parut perturbé, mais Élodie fit tant et bien que je me dégelai rapidement et jouai mon rôle de grand frère tout en prenant beaucoup sur moi. Le soir je regagnai ma chambre, restant toutefois aux aguets. Mal m'en pris. À peine 11h étaient sonnées que je vis ma petite sœur rejoindre Romain dans sa chambre. Elle n'en sortit qu'au matin. Cette nuit-là je me branlai avec une sorte de rage qui m'était inconnue avant. Moi qui n'avais aucun support pour mes branlettes solitaires, je me surpris à évoquer pornographiquement leur union. Des images m'apparaissaient, celles d'une bite, d'une chatte, scellées dans un accouplement. J'entendais des soupirs, des râles, et ma rage se décuplait. Le lendemain, les yeux cernés, je descendis dans la cuisine prendre mon petit déjeuner. Ma mère et le couple, paisibles, discutaient agréablement et m'accueillirent tout souriants.

— Bonjour mon grand, me dit ma mère.

— Salut, coach, bien dormi cette nuit ? me dit Romain, en fixant sur moi un regard étrange, pas autant par sa fixité que par une sorte d'ironie qui rendit ma face écarlate.

Je savais que mon célibat donnait lieu à des commentaires au sein du mouvement sportif. Un mec bien gaulé de 30 ans, qui n'a pas de petite amie, qui ne sort pratiquement pas, qu'est-ce qu'il peut bien faire de sa bite ?

Romain avait baisé ma sœur, il savait que je le savais, et en voyant mes traits tirés, avait tiré la conclusion que je me paluchais au lit. Pure supposition de ma part face à une question anodine, mais je l'interprétai ainsi. Ma réponse fut évasive.

— J'ai lu très tard comme chaque samedi, et j'ai voulu te faire honneur en me levant pour déjeuner en ta charmante compagnie.

J'exagérai un bâillement et je pris place en face de lui. Il semblait frais comme un gardon et ma sœur fraîche comme une rose après un nuit entrecoupée de sessions de baise frénétique. Quant à ma mère, cette innocente, elle n'aurait jamais soupçonné que sous son toit une chatte s'ouvrait pour accueillir une grosse bite, et que son Julien adoré se masturbait toute la nuit.

Oui, Romain avait une grosse bite, la douche me l'avait révélé. Toujours en semi-érection il surpassait de loin les autres. Musclé sec, beaucoup moins massif que ses autres co-équipiers, il avait hérité du poste de distributeur de ballon, c'est à dire demi de mêlée. Rapide, efficace, le garçon jouissait du rare prestige que procure la solidité jointe à la grâce d'un beau visage. Viril autant qu'il le fallait, mais sans la lourdeur du quintal dont les piliers s'enorgueillissent. Bon camarade au demeurant, avec une vraie modestie méritoire chez un si beau gosse. Et je découvrais maintenant qu'il était un intellectuel, en première année de faculté, et qu'il couchait avec ma sœur.

Celle-là, elle m'avait trahi, doublement, ce qui était pire. Non contente de prendre un amant, elle me volait Romain Vinçon. Ce sentiment de trahison, avec le recul, quand j'y pense, était un trait pathologique d'une personnalité troublée. Depuis cinq ans en analyse, je mesure maintenant combien mon amour était incestueux et que d'avoir violé Romain m'avait fait, par procuration, violer ma sœur à travers lui. Mais j'anticipe sur la suite et je reviens à ce moment où je me sentis dépossédé.

À force de mauvaise foi et poussé par ma jalousie, j'arrivai à me persuader que ma sœur, la pauvre innocente, avait été manipulée, et je lui pardonnai très vite. Le coupable, c'était Romain qui avait usé de son charme et de son prestige de sportif pour la draguer et "se la faire". L'expression, tellement vulgaire, hantait sans cesse mon esprit et j'imaginais le garçon dans toutes les positions possibles pendant que ma petite sœur, passive, se faisait baiser, enculer, et qu'il la forçait à sucer sa grosse bite en fond de gorge. Ces images déclenchaient en moi des érections incontrôlables et je me branlais furieusement afin de retrouver mon calme. Le pire, c'était à la douche au moment où l'équipe, à poil, se savonnait mutuellement avec des plaisanteries salaces. Je me pris de haine pour Romain, à voir étalée devant moi sa nudité quasi parfaite, et je voulus le rabaisser. Une fois, chahuté par un gars qui le tripotait sans malice, il voulut rendre la pareille et je le traitai de tafiole.

Le silence se fit aussitôt et chacun se tourna vers moi. Cela ne me ressemblait pas, j'étais amical, bienveillant, et brusquement me révélais brutal, bassement insultant. Je ne me reconnaissais pas moi-même, sinon que oui, j'avais changé. La jalousie me torturait, ou bien autre chose peut-être, que je n'identifiais pas encore. Mon psy m'a expliqué depuis. Je voulais Romain pour moi seul, et qu'il couchât avec ma sœur était pour moi une trahison dont je le jugeais responsable.

Romain réagit le premier. Il me fixa droit dans les yeux et me dit avec un sourire.

— Tu es bien placé pour savoir vers qui s'orientent mes préférences. Et si tu as le moindre doute, renseigne-toi auprès de ta sœur.

Je reçus cela comme une gifle. Je tournai le dos et partis, dans un silence toujours glacial. Je ne doutai pas un instant que dans ce court affrontement, j'avais laissé de mon prestige et largement perdu la face. Mon ressentiment s'accentua et au cours du weekend suivant, il me fallut faire bonne figure quand Élodie et son amant vinrent pour un grand repas de famille qui officialisait leur couple. Ce fut ma sœur Manon qui, je crois, lança les mots " Petit beau-frère" pour désigner le jeune Romain. On n'en était pas au mariage, mais l'expression parut si juste que toute la famille l'adopta tout comme elle adopta Romain. Il sut si bien se comporter que tout le monde, excepté moi, trouva le garçon adorable.

Romain n'avait pas soufflé mot de notre algarade à la douche. J'en eus l'intime conviction en voyant ma douce Élodie faire preuve à mon égard d'une tendresse particulière, me dédiant ses plus beaux sourires, comme pour se faire pardonner de prendre son envol dans une vie où je compterais moins qu'avant. Car il paraissait évident que je serais maintenant exclu des confidences fraternelles, lesquelles avaient cimenté nos rapports au cours des 15 dernières années. Un rival les recueillerait sur l'oreiller de leurs amours, posséderait son corps, son cœur, peut-être même son esprit. J'en eus la conviction intime lorsque, retirés dans nos chambres, la mienne contiguë à la leur, j'entendis des rires étouffés et le dialogue de deux corps qui entamaient leur joute sexuelle. Il me parut même cette fois qu'ils y ajoutaient de l'audace, sans se soucier le moins du monde de ma présence tout près d'eux. Les gémissements de plaisir qui traversaient la cloison mince mettaient mon esprit au supplice et mon ventre en ébullition. À un moment j'entendis même Romain dire très distinctement :

— Laisse-moi te prendre par derrière, tu vas voir, tu vas adorer.

— D'accord, mais vas-y doucement. Ah mon amour, je t'aime, je t'aime !

Mentalement je vis la scène, Romain introduisant sa bite dans le petit trou d'Élodie et le lui ramonant à plaisir. Je sentis des fourmillements agiter l'anneau de mon cul comme si c'était moi que ce bâtard défonçait avec son gros chibre. J'y mis un doigt et je massai délicatement ma rondelle, découvrant la jouissance anale en même temps que ma petite sœur, jouissance renforcée par les mots que prononçait Petit Beau-frère.

— Ouvrez-le bien, comme ça, super. Tu la sens bien, ma grosse queue ? Tu veux mon jus blanc dans ton cul, ma petite salope adorée ?

Étouffant un rugissement, je me déchargeai en pleine gueule tellement j'étais excité. Je mis mes mains sur mes oreilles pour ne pas entendre leurs râles quand la jouissance les posséda à quelques secondes d'intervalle. Si cela se reproduisait, je ne pourrais pas tenir le coup, je me trahirais forcément. J'eus pendant un moment l'idée de louer un appartement, mais y renonçai rapidement. Partir, c'était quitter la chambre où chaque weekend, régulièrement, je prenais un pied fantastique en entendant Romain baiser. Il ne prenait même plus la peine de baisser le ton de sa voix et j'entendais distinctement ses instructions à Élodie.

— Maintenant tu vas me sucer. Fais bien comme je t'ai appris. Décalotte mon gland doucement, passe ta langue sous mon prépuce, nettoie-le avec ta salive. Maintenant, nettoie la couronne, mets tes lèvres autour de mon gland. Branle-toi ton clito en même temps. Tu mouilles déjà, ma salope. Elle est bonne, la bite de ton homme, bien longue et bien grosse. Tu vas la prendre en fond de gorge, mais continue à te branler, ouais tu mouilles, tu m'inondes, t'aimes ça, hein, t'aimes la baise, petite pute. Mets ta chatte au-dessus de ma bouche, on va se faire un bon 69. Suce-moi la tige bien profond pendant que je te bouffe ta chatte.

J'entendais des bruits de succion et je m'astiquais, frénétique, et venait ensuite l'explosion, car nous étions devenus synchrones. Mon plaisir montait en même temps que le leur, se construisant avec le leur au travers de leurs commentaires.

— Vas-y, avale-moi mon foutre, gueulait Romain sans se gêner. Et il poussait un hurlement.

Il ne m'en fallait pas davantage pour larguer le mien au plafond, et imaginant Élodie se délectant d'un jus épais, je ramenais jusqu'à ma bouche mon propre sperme et l'avalais.

Fantasme homosexuel classique, m'a expliqué depuis mon psy. On commence à boire son sperme, ensuite on veut celui de l'autre, et l'autre, l'objet du désir, pour l'homosexuel, c'est un homme, en l'occurrence votre Romain.

Cela, je ne le savais pas. Je ne voyais qu'une seule chose : Romain avilissait ma sœur, lui faisant faire des trucs indignes, la traitant de pute, de salope. Je n'imaginais pas en effet qu'elle pût les faire de son plein gré, en être même l'initiatrice et même y trouver du plaisir. Ma détestation de Romain de doublait d'une frustration dont il était à l'origine mais que je n'identifiais pas. Je vais décrire l'acte insensé par lequel je me libéral.

Un samedi, après l'entraînement, Romain s'attarda sous la douche, laissant ses co-équipiers se sécher, se vêtir et partir, pendant qu'il se savonnait les cheveux, faisant traîner l'opération. Une fois de plus, devant les autres, je m'étais montré d'une sécheresse à son égard qui ne surprenait plus personne et qui d'habitude chez Romain ne rencontrait qu'indifférence. Cette fois, j'y étais allé fort, critiquant une phase de jeu où je l'avais trouvé mauvais. C'était vrai, il l'avait été, mais en me défiant du regard il s'était justifié ainsi :

— Si je suis mauvais, c'est ta faute, et d'ailleurs, je veux t'en parler. Et tant qu'à prendre un bon savon, je vais me shampouiner la tête, ça t'évitera du boulot.

Il était là, nu devant moi, celui qui enculait ma sœur et frimait avec sa grosse bite et sa jolie gueule de beau gosse.

— Explique-moi en quoi c'est ma faute. C'est toi qui fait un en-avant, une bêtise de débutant. Tu l'as fait en me regardant. J'appelle ça une provocation.

— Tu m'as fait tellement de reproches injustifiés que pour une fois j'ai décidé de mériter ton engueulade. Pourquoi une telle hostilité, Julien ? On dirait que tu ne digères pas que je sois l'ami de ta sœur.

— Son ami ? Est-ce qu'un ami ça t'encule ?

— Ben, si on le demande gentiment... Je n'ai jamais forcé personne, et certainement pas Élodie. Elle est majeure et vaccinée, elle sait ce qui lui fait du bien. Et d'ailleurs je compte l'épouser quand nos études seront finies. Sa petite culotte, c'est mes oignons, alors coach, occupe-toi des tiens.

— Justement, tu n'es pas son mec. Tu as un problème, Julien, tu fais comme si elle t'appartenait. Tout le monde sait à quel point tu l'aimes, mais je trouve que tu l'aimes un peu trop. Tu es malsain, coach, très malsain. Mets-toi bien une chose dans la tête : elle est ta sœur, ni plus ni moins. Ne m'oblige pas à te dire des choses que je regretterais. Ton rapport avec ta frangine, il est pas clair et je crois bien...

Un direct au plexus solaire et Petit beau-frère s'écroula. Non, je ne voulais pas entendre les mots qu'il allait prononcer, car ses paroles m'auraient détruit. Je le relevai, le plaquai au mur de douche et alors je perdis la tête. Son dos nu était devant moi, taillé en V, ses fesses blondes ombrées de miel dans le sillon des demi-lunes, tout en son corps était beauté. À peine me rendis-je compte que j'avais libéré ma queue qu'elle jaillit dure comme l'acier, força l'entrée et pénétra. Comme un chien qui baise sa chienne je donnai à fond dans son cul sans lui laisser la moindre chance. J'étais beaucoup plus fort que lui, et après quelques contractions, son sphincter frémit et s'ouvrit. Une plainte sortit de sa gorge, un râle de souffrance peut-être, ou peut-être de volupté, car je touchai sa queue bandée. Sa tête pivota vers moi et je m'emparai de sa bouche. Ma pine enfoncée jus
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