Un Weiner pour sa bouche douce

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Un Weiner pour sa bouche douce

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Avoir une bouche douce se réfère à la force que le chiot utilise quand il ferme sa mâchoire sur vous. Vous devez apprendre au chiot à inhiber sa morsure et développer une bouche douce. Le but est qu’il ne vous blesse pas quand il vous mordille.
Ne laissez pas les jouets que vous utilisez pour les jeux traîner afin que le chien ne les ramasse pas ou qu’il solliciter le jeu. Les jouets de jeu doivent être conservés dans un endroit qui n’est pas accessible au chien. Rappelez-vous que vous contrôlez les jeux, vous contrôlez le chien.
Nous vous encourageons à laisser votre chiot mettre vos mains dans sa bouche pour vous mordiller. De cette façon, vous savez à quel point il mord et vous pouvez lui donner la réaction appropriée. Dès que le chien mordille trop vous lui faites comprendre par la voix qu’il est allé trop loin et vous retirer votre main. Vous pouvez recommencer plusieurs fois pour que le chiot comprenne bien. Beaucoup de gens aiment se chamailler avec leurs chiens. C’est une décision personnelle que vous devez prendre, en tenant compte de votre famille et des enfants qui rencontreront votre chien.
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Bonjour,

Mon astuce pour avoir une bouche douce, nourrie et parfaite est simple !

Prenez:

- de la poudre d'amande
- de l'huile d'amande douce

Humidifier très légèrement ses lèvres, puis prendre de la poudre d'amande et la passer en mouvements très doux sur ses lèvres (cela sera comme un petit gommage des lèvres), puis rincer à l'eau tiède.

Appliquer ensuite quelques gouttes d'huile d'amande douce sur vos lèvres et étaler.

Laissez pénétrer l'huile d'amande douce ne pas rince ni essuyer !
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Une convivialité toute chevaleresque

Publié ou mis à jour le : 2020-12-12 08:53:45

À qui doit-on la célèbre formule « Que ton aliment soit ta seule médecine » ?

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Bel exploit ! La France serait le pays où l'on s'embrasse le plus. Mais d'où vient cette étrange habitude ? Mis en sommeil par l'arrivée de la Covid 19, cet art du rapprochement, plus ou moins fébrile selon les circonstances et les siècles, mérite bien un petit retour en arrière... en toute discrétion.
On a tous en tête les images de nos compagnons à poils ou à plumes en train de s'embrasser tendrement. Alors pourquoi pas nous ? Nos ancêtres préhistoriques, à la manière de nos cousins singes aujourd'hui, devaient certainement s'adonner à ce petit exercice.
S'il est vrai que près de 90 % des cultures humaines le pratiquent, il faut savoir que de nombreux peuples nous observent avec dégoût échanger nos millions de bactéries. Pourtant, faire entrer en contact nos museaux comporte de nombreux avantages en commençant par sa fonction calmante pour les tout-petits.
Vous préférez le « french kiss » ? Rien de tel pour brûler des calories, faire travailler votre coeur et vos poumons. Alors, pourquoi s'en passer ?
Dans l'Égypte ancienne, le baiser avait été adopté comme symbole du don de la vie. On est loin du geste peu pudique consistant à « lécher et boire l’humidité des lèvres » que l'on trouve dans les textes sanskrits du XVe siècle av. J.-C.
À Babylone aussi, on y voyait avant tout un signe de respect, tradition toujours vivace chez les Perses si l'on en croit Hérodote : « Lorsque deux Perses se croisent en chemin […] au lieu de prononcer des formules de politesse, ils s’embrassent sur la bouche » ( L'Enquête , Ve siècle av. J.-C.).
En Grèce, si dans la mythologie le roi des dieux ne se gêne pas pour l'utiliser pour faire honneur à ses belles, en société le baiser est signe d'hommage. Embrasser la bouche reste l'exception, du moins jusqu'au IVe siècle av. J.-C. qui voit Alexandre le Grand en rapporter la pratique depuis la Perse.
À Rome, c'est bien sûr lors des banquets qu’il est à l'honneur, occasions pour les poètes de montrer leur savoir-faire en s'adressant à leur maîtresse : « Donne-moi mille baisers, et puis cent, et puis mille autres, puis une seconde fois cent, puis encore mille autres, puis cent » (Catulle, Elégies , Ier siècle av. J.-C.).
Cette passion pour les embrassades ne pouvait pas être sans conséquences : au fil des siècles et des conquêtes, les Romains firent voyager le baiser au point de l'acclimater à la plupart de leurs territoires.
Pour les Hébreux, c’est bien un baiser, symbole de l'amour de Dieu pour sa créature, qui est à l'origine de l'homme : « Dieu forma l'homme […], il insuffla dans ses narines un souffle de vie, et l'homme devint une âme vivante » ( Genèse ). De l'amour, il en est aussi largement question dans le Cantique des cantiques qui s'ouvre sur une apologie inattendue des douceurs venues des lèvres : « Qu'il me baise des baisers de sa bouche ! […] » .
Les artistes lui ont préféré une vision beaucoup plus douce du baiser, celui donné par Marie à son enfant. Ces Vierges de tendresse ne peuvent faire oublier que le dernier baiser reçu par Jésus fut celui du traître Judas : « Jésus lui dit : “Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? ” » ( Évangile selon saint Luc , Ier siècle).
Quoi de plus banal que le baiser au Moyen Âge ? Dans cette période peu pudibonde, hommes et femmes aiment à goûter dans l'intimité à cette marque de tendresse.
En public, le baiser est avant tout un geste ritualisé qui rappelle le geste de bienvenue en vogue dans l'Antiquité. Mais peu à peu, avec l'évolution de la société et l'avènement de la bourgeoisie, les rites anciens n'ont plus la faveur et le baiser retourne dans ses foyers.
Au XVIe siècle, le mot n’a pas encore acquis sa connotation purement érotique et Louise Labé peut s’exclamer : « Baise m’encor, rebaise-moi et baise » ( Sonnets , 1555). Il commence cependant à perdre ses autres symboliques. Fini, le baiser de paix ; disparu, le baiser d'amitié remplacé par une simple accolade.
On se méfie de ces « baisers en pigeonne » qui semblent bien imprudents alors que de nouvelles maladies frappent l'Europe. Cela n'empêche nullement les artistes de s'approprier le motif, multipliant avec plaisir les scènes mythologiques notamment grâce à Jupiter qui est là pour varier les motifs et se déguiser en femme, cygne et même nuage !
On connaît tous l'histoire : c'est sur un dernier baiser que Roméo et Juliette se séparent pour l'éternité : « Je meurs ainsi… sur un baiser ! (Il expire en embrassant Juliette) » . (William Shakespeare, Roméo et Juliette , 1597).
Le geste, symbole de la passion chez les uns, peut aussi devenir fatal pour d'autres, comme pour le naïf Petit Chaperon rouge de Charles Perrault ( Histoires , 1697).
Mais c'est en tant que marques d'amour et de simple civilité que les embrassades se multiplièrent au XVIIe siècle. Les dames devaient alors se prêter de bonne grâce à cette politesse toute innocente qui consistait en un simple effleurement de la joue ou de la coiffe.
Le siècle du libertinage fut d'abord celui des baisers honnêtes, sur le front. Les Lumières seraient-elles devenues pudiques ? En fait, le baiser est non plus la récompense mais désormais la première étape vers la concrétisation de l'amour.
Il revient d’ailleurs en force dans l'Art sous le pinceau de Fragonard ou Boucher qui en font le symbole des « dernières faveurs » que ne vont pas manquer d'accorder leurs personnages.
Au XIXe, avec le triomphe de la bourgeoisie, le baiser connaît quelque disgrâce. L'acte est en effet désormais totalement sexualisé, et les Romantiques ne l'évoquent que pour mieux représenter l'extrême passion.
Déchiré entre la morale et la révolte, le XIXe siècle produit alors des œuvres aussi différentes que le chaste Baiser de Rodin (1889) et celui, tout droit tiré d'une scène de maison close, de Toulouse-Lautrec, du même titre (1893). À chacun son public.
Pour le début du XXe siècle, pas de baiser sans moustache ! Les poilus l’adorent mais la haute société lui préfère le baisemain, vieux reste de l'amour courtois remis à la mode seulement après la Grande Guerre.
Le public, lui, plébiscite les « amoureux qui se bécotent sur les bancs publics » , chers à Brassens et aux photographes des années 50 qui font du baiser le symbole de l'insouciance à la française. Au cinéma, censurés par le code Hays , les réalisateurs rivalisent d’imagination pour que leurs couples mythiques parviennent au rapprochement tant attendu.
Mais aujourd'hui, le baiser semble devenu impraticable, victime de la Covid-19. Serait-ce le début de la fin ? Rien n'est moins sûr si l'on reste persuadé, comme Pierre Perret, qu' « un baiser, c'est du fuego, c'est pas de la bave d'escargot » !...
Isabelle Grégor a obtenu un doctorat de Lettres modernes avec une thèse consacrée au récit de voyage de Bougainville. Cette thèse a donné lieu à des publications, par exemple dans la Revue d'Histoire maritime , et à des conférences dans des colloques scientifiques.
Notre collaboratrice a également passé avec succès le concours de CAPES en 2008 et enseigne les lettres dans un lycée de Poitou-Charentes.
Lui écrire isabelle.gregor[a]wanadoo.fr
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Hippocrate, bien sûr ! Issu d’une famille attachée au culte d’Asclépios, grand compilateur des traditions antérieures, il a donné son nom au fameux serment. L’histoire lui attribue plus de 60 traités, Corpus hippocraticum , en réalité rédigés par des disciples et d’autres médecins.
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