Vingt ans mais l'expérience d'une quarantenaire

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Vingt ans mais l'expérience d'une quarantenaire

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La preuve avec ce chiffre éloquent : en 20 ans, les accouchements de quarantenaires ont triplé… Généralement, on voit plutôt l’aspect négatif de ces grossesses. Pourtant, il existe aussi des points positifs dont on omet de parler et qui nous ont semblé important à souligner !
Ah, la fougue de la jeunesse. La vie à cent à l’heure, les premières expériences en couple…On s’amuse bien mais cela reste assez bancal. Une quarantenaire possède d’avantage de recul sur les relations sentimentales et sait par conséquent avec qui se poser pour construire cette nouvelle vie avec bébé… Une stabilité importante pour le reste de l’aventure avec bébé.
C’est la même chose qu’en amour. Après les déconvenues, la maman de 40 ans a, en principe, une place bien ancrée dans son job . Elle sait ce qu’elle veut, ce qu’elle peut apporter. Elle est ainsi bien dans ses baskets et prête à accueillir P’tit Loup ou P’tite Cerise à la fois émotionnellement mais aussi financièrement . On a beau dire, même si l’amour est un ciment solide pour élever P’tit Loup ou P’tite Cerise, une sûreté financière est appréciable pour subvenir au mieux aux besoins de bébé.
Parce qu’une quarantenaire connaît les risques liés à sa grossesse, elle s’avère sage et gère son état avec précaution pour mettre toutes les chances de son côté ; attention, cela ne veut pas dire que toutes les jeunes femmes enceintes sont inconscientes, loin de là ! Mais la maturité apporte un nouveau regard sur la grossesse et permet de vraiment bien encadrer les risques.
Une femme quarantenaire bénéficie de l’expérience (et des témoignages) des autres personnes de son entourage ayant déjà eu des enfants. Elle sait mieux à quoi s’attendre et peut anticiper certaines choses. La richesse des accouchements racontée par celles qui ont déjà vécu cette rencontre permet à la future maman quarantenaire de déterminer ce à quoi elle aspire pour accueillir son bébé.
Cela lui permet d’être plus zen, car mieux renseignée. Elle peut choisir en accord avec son moi profond, ce qui engendre un sentiment de plénitude, propice au bon déroulement de la grossesse.
Il paraît que… : après 37 ans, les futures mamans auraient moins de vergetures ! C’est un sacré atout, ça ! Mais est-ce vraiment vérifié ? A-t-on lancé des études sérieuses à ce sujet ? Apparemment, c’est un constat solide car plusieurs sites en parlent, sans pour autant mentionner la source de l’information…
Alexandra Le Dauphin est rédactrice web chez Drôle de Plume et auteure de 5 ouvrages "Célibataire, faut pas t'en faire", "Au boulot Chômette "et "Matéli fait son tri", "Les lunettes de Mattéo" et "Toi, mon bébé prématuré".
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« Dans vingt ans vous serez davantage déçus par les choses que vous n'avez pas faites que par les choses que vous avez faites. Alors sortez des sentiers battus. Mettez les voiles, explorez, rêvez, découvrez ». (Mark Twain)

« On ne comprend pas plus la vie à quarante ans qu'à vingt, mais on le sait, et on l'avoue. C'est ça la jeunesse. » (Jules Renard)

« La vie, c'est comme une boite de chocolat, si tu en offres trop aux autres, il ne te reste que les plus mauvais. »
« Personne n'est jeune après quarante ans mais on peut être irrésistible à tout âge »
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Rédacteur en chef


Validation médicale :
27 June 2014





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médecin, ancien directeur médical


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Quarante ans, la fin du bel âge ?


Vous pouvez me rappeler votre nom ?


Connexion entre deux neurones


Synapse en fonctionnement normal


La matière grise s'use si on ne s'en sert pas




Révision médicale :
27/06/2014





Jesus Cardenas




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Alors que chez certains la quarantaine annonce le début d'une nouvelle vie, des scientifiques affirment qu'elle marque également le début du déclin de notre cerveau. Selon une étude anglaise, notre mémoire et notre capacité mentale baissent régulièrement après 40-45 ans.

Des chercheurs de la British Psychological Society de Londres attestent que notre capacité de réaction, notre faculté de concentration et notre mémoire commencent à décliner de manière significative dès l'âge de 40-45 ans. Au-delà de ce cap, point de retour… inexorablement chaque année confirme cette baisse régulière qui se poursuit jusqu'à l'âge de 80 ans.
Une équipe de psychologues a réalisé une série de tests sur pas moins de 2 282 volontaires âgés de 18 à 87 ans et en bonne santé. Les tests de capacité cognitive permettaient d'évaluer la mémoire (remémoration des noms et de visages), le temps de réaction à des situations données ainsi que les capacités de concentration et de prise de décisions.
Jusqu'à la quarantaine, les facultés mentales apparaissent inchangées. Mais au-delà de cet âge, le temps de réaction est 10 à 15 % plus important qu'à vingt ans. Les capacités de concentration sont moindres et la faculté à ignorer des distractions parasites ou à mettre un nom sur un visage décroît dans le même temps. En deux mots, faire remonter à la surface les souvenirs utiles devient de plus en plus difficile.
A une soirée entre amis, lors d'un cocktail, vous croisez le regard de quelqu'un qui vraisemblablement vous connaît. Mais malgré tous vos efforts, vous n'arrivez pas à mettre un nom sur son visage… Qui n'a pas fait face à ce genre de situation embarrassante ?
Bien que le mécanisme cérébral responsable de ce déclin ne soit pas encore identifié, la théorie la plus plausible est la perte de faculté des cellules nerveuses de communiquer entre elles via des neurotransmetteurs.

1 - Influx nerveux
2 - Neurotransmetteur
3 - Récepteur spécifique
4 - Système de recapture
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Lors de la communication de ses résultats, le docteur Semple précise que les personnes de plus de quarante ans compensent la baisse de leur capacité cognitive par une plus grande expérience. Si chez les personnes plus âgées, le chemin à effectuer pour ramener à la vie des souvenirs oubliés est plus long, elles connaissent quelques raccourcis.
La baisse des performances intellectuelles révèle simplement que le cerveau n'est pas assez sollicité ! Le cerveau s'entretient. Des activités monotones, des occupations routinières mobilisent toujours les mêmes régions cérébrales, résultat : les autres s'endorment. La lecture, les mots-croisés et une vie sociale active contribuent à maintenir notre cerveau en forme. Alors pourquoi ne pas faire un peu d'exercice en lisant nos articles sur le même sujet ?
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« Sus aux faiseurs de soupe / Et à tous leurs fans » (Ramon Pipin, 1973)
Il y a quatre décennies, à une époque où la presse écrite était encore influente et les kiosques nombreux, un nouveau périodique faisait son apparition dans le paysage de la bande dessinée : il s’appelait (À Suivre) et en quelques années seulement allait transformer en profondeur la manière dont auteurs, éditeurs et libraires concevaient, publiaient et distribuaient petites et grandes histoires du 9 e art. L’onde de choc (À Suivre) devait marquer durablement les esprits bien au-delà du seul territoire francophone, et peu à peu façonner une nouvelle perception du récit en images, adossée à ce qu’on allait prendre l’habitude d’appeler le roman graphique. C’était en janvier 1978, voilà presque exactement quarante ans.
Douze années durant, j’ai eu la chance de vivre au contact de cette aventure enthousiasmante, au plus près de ceux qui l’ont inventée puis développée, et dont certain(e)s sont devenu(e)s des ami(e)s : Jean-Paul Mougin, Bernard Ciccolini, Anne Porot, Didier Platteau, Louis Gérard, Étienne Robial, Joëlle Faure, Jean-Luc Ruault, Nadia Gibert (et pardon à toutes celles et ceux, acteurs plus ou moins engagés de cette histoire de près de vingt ans, dont j’omet de citer les noms, trop nombreux pour être tous rappelés ici), sans oublier bien sûr la longue liste des auteurs magnifiques qui ont collectivement construit la légende de ce mensuel admirable et admiré.
En 2004, j’avais entrepris de raconter cette histoire, qui indirectement est aussi un peu la mienne, dans un grand album illustré que j’avais intitulé (À Suivre) 1978 – 1997 – Une aventure en bandes dessinées . Nadia Gibert, complice de longue date de nos années (À Suivre) , en avait été l’éditrice talentueuse. Le temps a passé et voici venir le millésime – janvier 2018 – qui marquera le quarantième anniversaire du lancement de ce titre, jalon majeur dans l’histoire récente de la bande dessinée dans cette partie du monde.
À cette occasion, les éditions PLG et leur principal animateur Philippe Morin, qu’il en soit ici publiquement remercié, m’ont très spontanément offert la possibilité de proposer en librairie une nouvelle édition de ce livre, que pour la circonstance j’ai doté d’un titre différent : L’Aventure (À Suivre) . Nouvelle maquette signée Luc Duthil, contenu revu et largement augmenté, nouveaux entretiens, nouvelle couverture (merci Tardi, qui m’offre cette année comme en 2004 un dessin qui ne s’oublie pas)… Si l’ouvrage n’est pas à proprement parler une nouveauté intégrale, il ne ressemble pas non plus à la précédente édition. Je vous en laisse juges en librairie. Et entretemps je vous en propose ci-après, en avant-première, quelques extraits choisis : la postface que j’ai rédigée pour la circonstance, qui revient sur ce qu’ (À Suivre) a laissé en héritage aux nouvelles générations de la bande dessinée, et pour la bonne bouche deux exemples, avec Régis Franc et F’Murrr, des nouvelles interviews que j’ai réalisées au cours des derniers mois pour préparer la nouvelle édition de ce livre.
À quarante ans de distance, que reste-t-il de l’esprit (À Suivre) ? Cette revue à l’identité singulière, qui fit si forte impression lors de son lancement puis de ses premiers pas, au terme d’une décennie 70 pourtant très riche en recherches et innovations décisives pour la bande dessinée, a-t-elle aujourd’hui des continuateurs, des héritiers, une descendance ?
Quoique cela soit tentant, il serait excessif, certainement, d’attribuer à ce titre et à ceux qui, collectivement, en inventèrent la cadence, la couleur, la pulsation, la paternité de ce qu’on appelle communément aujourd’hui le « roman graphique ». Pratt après tout est arrivé largement avant, ô combien (1967), avec les 163 planches de La Ballade de la mer salée . Pourtant, des années durant, il demeure à peu près le seul de son espèce dans cette « catégorie » qui n’en est pas encore une. La parution des bandes dessinées reste alors étroitement déterminée par les périodiques de toutes natures (quotidiens, hebdomadaires, mensuels, généralistes ou spécialisés) qui en assurent la prépublication avant qu’elles ne voient leur vie se prolonger, éventuellement, sous forme d’albums de librairie. Et, sans qu’on ait beaucoup cherché à se demander si à tout hasard il pouvait y avoir une autre façon de faire, les formats commodes en 64 ( Tintin ) ou 48 pages couleur (presque tout le reste) sont verrouillés par les éditeurs, trop heureux de n’avoir à affronter d’autres défis que la reproduction d’une formule qui marche.
C’est dans ce contexte, avec la naissance d’ (À Suivre) , que surgit l’intuition de Jean-Paul Mougin autour du romanesque en bande dessinée – décisive. « Il n’existe pas de peuple sans récit, écrit-il dans l’éditorial resté fameux du numéro 1 du magazine, et les récits du monde s’appellent : le mythe, la légende, l’histoire, le roman, la bande dessinée… » Du récit, du récit, du récit !, répétera-t-il dès lors comme un mantra aux dessinateurs qu’il a recrutés – et d’autant plus volontiers qu’il arrive de plus en plus à Métal , pourtant installé sur le marché avant (À Suivre) , de s’accommoder de scénarios étiques, au nom de l’innovation et de l’audace graphique. Soyez des auteurs, dit Mougin à ses troupes, mettez votre talent graphique au service d’un récit, d’une histoire, de personnages. Et laissez l’éditeur se débrouiller, commercialement parlant, avec ces paginations qui à l’époque peuvent paraître impossibles ou déraisonnables.
Autrement dit, s’il n’a pas à proprement parler inventé le roman graphique, Jean-Paul Mougin, avec le concours actif de Louis Gérard et Didier Platteau, a formalisé à coup sûr le cadre conceptuel de ces « romans en bande dessinée », qui fournissent également, lorsque Casterman prolonge l’initiative de sa revue par des albums de librairie, l’intitulé de la première collection maison : « Les Romans (À Suivre) ».

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