Une scène de sexe préhistorique

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Une scène de sexe préhistorique

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La préhistoire est une longue période durant laquelle nos ancêtres ont connu de grandes évolutions. Ils sont devenus bipèdes, ils ont fait le feu, ils ont perdu une grande partie de leurs poils, ils ont commencé l’élevage pour se nourrir sans chasser et ils ont aussi appris à s’aimer. A s’aimer comme nous, occidentaux du XXIème siècle on l’entend, enfin, à peu près.
Si l’australopithèque était encore un coureur de jupons, à partir de l’homo sapiens, les choses changent un petit peu. En effet, des études sur des fossiles de phalanges ont pu montrer que le taux de testostérone de nos ancêtres les plus lointain était bien plus important que les hommes d’aujourd’hui et que les comportements qui en ressortaient étaient une sexualité primitive et agressive.
Pourquoi des études sur des phalanges ? C’est bien simple, l’annulaire plus long que l’index est le signe d’un taux très important de testostérone. Cro-magnon avait l’annulaire bien plus long que l’index, alors qu’aujourd’hui… Je vous laisse regarder vos doigts messieurs. C’est ce qu’on appelle le test de manning.
Aujourd’hui, les hommes ont (d’une manière générale) encore un écart entre l’annulaire et l’index mais bien plus faible qu’avant parce que messieurs, vous êtes moins soumis à la testostérone que vos ancêtres, et c’est tant mieux !
En gros, dès qu’il en a envie, l’homme de Neandertal prend la première qui passe sans même lui demander son avis, notamment parce que l’homme n’a plus de période de « rut » et parce que l’ovulation de la femme est invisible. Il semble n’y avoir aucune règle biologique pour venir ordonner les rapports sexuels. On estime alors le nombre de coïts à quatre par jour et on ne parle alors pas de monogamie, ni même de couple mais bien de polygamie.
En revanche, l’homo sapiens change la donne (à partir de 40 000 ans avant notre ère). Eh oui, on peut parler de monogamie pour une raison évidente : la bouffe. Alors qu’il faut courir des contrées entières afin de ramener de la viande, on ne peut pas se permettre d’avoir plusieurs femmes et beaucoup d’enfants à nourrir. L’apparition de l’agriculture et de l’élevage à partir de l’an 10 000 avant notre ère aurait pu faire disparaître le couple, il y a de la nourriture pour tout le monde, mais la notion de propriété est plus forte sur les terres que l’on travaille et on ne veut pas partager avec son voisin (ni sa viande, ni son blé, ni sa femme). Mais il y a bien autre chose, on a compris que le sexe sert à se reproduire, mais il sert aussi à établir des liens entre les individus. Aussi, il est possible d’avoir une enfance prolongée, car père et mère s’occupent ensemble de la prise en charge de leur progéniture, et c’est grâce à cette insouciance infantile que l’évolution a été possible. Eh oui, c’est à cette période que le cerveau se développe. On peut clairement dire que c’est le sexe monogame qui a permis de faire de nous des êtres intelligents.
Hélas, c’est aussi à ce moment qu’on considère que la femme a commencé à être soumise au patriarcat, en effet, la population a été multipliée par cinq et pour mener à terme les grossesses nombreuses, les femmes ont du rester à la maison. Eh oui, avec l’agriculture et l’élevage les hommes n’ont plus besoin d’elles pour aller cueillir ou pratiquer la petite chasse… Alors on leur fait des gosses. Et comme nous l’indique Jean-Loup Ringot, préhistorien, dans les commentaires de l’article, alors que les femmes, nomades, avaient bien du mal à trouver de quoi nourrir les enfants en bas âge en période glaciaire, l’allaitement durait plusieurs années. Mais ensuite, au néolithique, avec l’agriculture, les enfants quittent le sein de leur mère plus rapidement pour manger des bouillies de céréales, donc, on compte une grossesse tous les deux ans au lieu de tous les cinq ans.
Autre étude, on parle de dimorphisme sexuel. Il s’agit de la différence de taille entre les individus mâle et femelle d’une même espèce. Différentes études ont permis de montrer que les espèces qui forment des couples monogames (comme le gibbon, petit singe d’Afrique par exemple) il n’y a pas de grosses différences de taille entre les mâles et les femelles, pour la simple et bonne raison que le mâle n’a pas besoin d’utiliser ses muscles pour protéger sa femelle des assauts des autres mâles car tout le monde est bien rangé dans son couple. En revanche, le gorille est deux fois plus gros que la femelle, et il en possède en général trois ou quatre. Aussi, en ce qui concerne nos ancêtres, le dimorphisme sexuel était très important chez l’homo habilis (entre 2 millions et 1 million d’année avant notre ère) et moyennement important chez Neandertal (90 000 ans avant notre ère). Chez l’homo sapiens, l’homme est en moyenne seulement 8 % plus grand et 20 % plus lourd que la femme. Alors polygame, mouais, mais seulement une fois tous les dix ans.
Les chercheurs en préhistoire ont longtemps été très prudes et le mot d’ordre était « on ne parle pas de la bite de nos ancêtres ». Ce qui est quand même super dommage, parce qu’on se demande tous si la levrette était pratiquée dans la grotte de Lascaux par exemple.
Mais les premiers chercheurs, ceux du XIXe siècle, étaient des hommes d’Eglise (il fallait avoir le temps de chercher) et refusaient de réfléchir à ce qu’il pouvait se passer au dessous de la ceinture en se basant sur les fouilles ou les peintures dans les cavernes… Pourtant, il faut le dire, l’homme préhistorique n’a rien a nous envier (faut dire qu’on a rien inventé), il connaissait tout : homosexualité, masturbation mais aussi zoophilie. Pendant près de 150 ans, tout ceci est resté caché, on a préféré nous parler de l’agriculture, du croissant fertile ou encore de la cueillette plutôt que de la sexualité préhistorique.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, le chercheur Marvin Harris explique que le flirt existe chez Neandertal, il se caractérise par le partage de la nourriture, des plantes et des insectes recueillis par la femme, alors que l’homme lui offre des morceaux de viande. Gilles Delluc, préhistorien et médecin rappelle très sérieusement dans son livre (sexe au temps des cro magnon) que le travail de préhistorien est minutieux et qu’il donne peu de réponse. Il faut alors tenter de se projeter sans pour autant imaginer. Tout un travail. Heureusement, certaines peintures et gravures sont là pour nous faciliter le travail de recherche. Sur le site d’Atapuerca au nord de l’Espagne, des chercheurs ont trouvé une quinzaine de gravures sur pierre mais aussi des sculptures pour le moins explicites. Masturbation, voyeurisme, homosexualité …
Pas de quoi être jaloux, en France, la Grotte d’Enlène recèle notamment de nombreux trésors comme des représentations franchement hétérosexuelles mais aussi homosexuelles !
En Allemagne, une gravure montre deux femmes nues, entrelacées… Elles n’étaient pas en train d’aller cueillir des mûres quoiqu’en disent les plus puritains d’entre-nous. La représentation est lascive, sensuelle, c’est pas une levrette comme on a l’habitude de voir sur les peintures, notamment dans la grotte d’Enlène. La statuette de la Vénus d’Hagar Qim n’a pas les mains dans ses poches, en effet, la main entre les jambes, elle semble se masturber.
Les figurines féminines que l’on retrouve sont souvent identiques : des seins lourds, des gros culs, et un pubis rebondi, tous les symboles de féminité mais aussi probablement la représentation des femmes telles qu’elles étaient. La plus vieille vénus retrouvée date de 40 000 ou 35 000 avant notre ère, il s’agit de la Vénus de Hohle Fels . Cependant, la Vénus de Weinberg nous interroge, elle possède à la fois un fessier massif comme sur les autres sculptures féminines mais aussi un pénis . Aujourd’hui encore, le mystère reste entier. Comme tout ce qui touche aux nombreux phallus de pierre et de bois…
Si les représentations d’homme sont rares et exprimées par une érection, les sculptures phalliques sont nombreuses. On est d’accord, ça ressemble bien à un godemiché et pourtant, le doute subsiste encore. Certains chercheurs parlent de représentation symbolique de la fertilité, comme les statuettes de femme. Alors que d’autres, pensent qu’ils avaient véritablement une fonction sexuelle. Le premier objet de forme phallique a avoir été créé (trouvé) mesure 20 cm et il est en pierre de quartz silestone, il a été découvert en Allemagne en 2005. On estime qu’il date d’environ 30 000 avant notre ère et qu’il servait également de bâton. En France, on a retrouvé dans la Gorge d’Enfer en Dordogne, un double bâton phallique , dont le plus long mesure 18cm. Qu’en penser ? Objet sexuel pour duo de femmes ou simple objet rituel ? Nous n’en savons rien.
Eh bien, ça non plus, on n’en sait trop rien. En Syrie, sur le site de Doura qui a été habité jusqu’à 100 000 ans avant notre ère, on a retrouvé des restes de plantes médicinales. Notamment de bourrache. Une plante très utilisée pour apaiser les contractions mais aussi à forts effets aphrodisiaques. Alors peut-être que nos ancêtres utilisaient aussi des plantes contraceptives afin de s’envoyer en l’air en toute quiétude ! L’avenir et les fouilles nous le diront peut-être un jour !
Pour en savoir plus, un article sur la polygamie , un sur l’homme monogame , un autre sur la sexualité préhistorique et un autre (mais en espagnol). Ce livre sur les femmes à la préhistoire , et celui-ci sur leurs représentations .
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J’ai bien ri et à la fois j’ai appris ! le rêve! merci notamment pour la référence du bouquin sur les femmes à la préhistoire que je vais commander de ce pas ! Quand j’étais encore étudiante en préhistoire on ne voyait pas les choses sous cet angle (dommage!)
J’ai lu dernièrement que si, lors du rapport sexuel,l’homme faisait un mouvement de va et vient, c’est parce que cela remonte a la préhistoire, lorsque les femmes préhistoriques se faisaient prendre par plusieurs hommes. Le va et vient chasse la semence des précédents coit,et faisaient place à la sienne, pour avoir plus de chance d’assurer sa descendance.
Incroyable, non? En tout cas, tant mieux, c’est plus de plaisir pour nous aujourd’hui!
Qui peut croire à des idioties pareilles xD
Techniquement, le gibon est classé dans les grand singes…
Je conseille à toutes et à tous la lecture de la série « Les enfants de la terre » de Jean M. Auel.
Celle-ci a fait beaucoup de recherches avec des spécialistes en préhistoire pour écrire ces romans et donne une foule de renseignements intéressants sur nos ancêtres (étayés pour la plupart par des recherches scientifiques, même si c’est romancé)
Françoise Héritier expliquait, concernant le dimorphisme sexuel chez l’espèce humaine, qu’il était peu marqué au départ chez nos lointains ancêtres, mais qu’il s’est accentué avec l’appropriation par les hommes (chasseurs et défenseurs du groupe) des meilleures morceaux et plus grosses parts de nourriture. Si les hommes ont longtemps été (ou au moins perçus comme tels) plus costauds que les femmes, c’est par ce que ces dernières n’avaient pas accès aux ressources alimentaires nécessaires pour développer leur force physique. Encore aujourd’hui, il n’est pas forcément bien vu pour une femme d’avoir un bon coup de fourchette…
Je recherche des informations (lien trop long à expliquer…pour réaliser un travail sur l’antispécisme) concernant des peinture préhistoriques représentant des scènes zoophiles ; pays, nom de grotte ou abris, datation…
Merci pour votre aide
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Propos recueillis par Dominique Simonnet


Publié le
14/07/2016 à 08:00






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Par Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique

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"Les hommes et les femmes préhistoriques n'étaient peut-être pas raffinés dans leur sexualité, mais ils devaient quand même s'apprécier, s'aimer"
Y a-t-il vu l'amour? Il y a trouvé, en tout cas, la beauté. Jean Courtin fut le premier préhistorien à s'engager dans l'étroit tunnel sous-marin, long de 175 mètres, qui mène, dans les profondeurs des calanques de Cassis, jusqu'aux merveilles de la grotte Cosquer. Une chapelle Sixtine de la préhistoire, aux peintures et gravures stupéfiantes, qui lui a prouvé combien, il y a 27 000 ans, les hommes étaient déjà des êtres raffinés, sensibles. Et sans doute aimants... Directeur de recherche honoraire au CNRS, spécialiste des explorations sous-marines, Jean Courtin en a été tellement marqué qu'il en a tiré un roman. Dans "Le Chamane du bout du monde" (Seuil), il imagine une jolie Homo sapiens aux yeux verts qui vit des amours très libérées au bord de la Méditerranée. On en viendrait presque à regretter la préhistoire. 

Des origines de l'amour nous n'aurons jamais de preuves ni de certitudes. Même si les scientifiques, dont vous êtes, n'aiment pas les spéculations, peut-on quand même oser quelques hypothèses sur ce mystérieux événement? 

Jean Courtin : Nous nous heurtons d'emblée à la définition de l'amour. Déjà, dans le monde animal, il y a toujours eu la nécessité pour les individus d'un sexe de rechercher ceux de l'autre sexe, afin de perpétuer l'espèce. Certains animaux forment même des couples durables, tels les rapaces, les corbeaux, les loups qui s'unissent pour la vie. Il existe donc, chez eux, un véritable attachement entre sexes différents. Est-ce de l'amour? Je crois qu'il faut plutôt parler d'instinct. Pour trouver un véritable sentiment profond, qui incite à évaluer les qualités de l'autre, à choisir son partenaire, je crois qu'il faut attendre le développement du cerveau, et Homo sapiens , c'est-à-dire l'homme moderne. 

Nos ancêtres australopithèques, Homo habilis, Homo erectus, n'auraient pas eu cette grâce à vos yeux? La petite Lucy, la fameuse australopithèque de 3 millions d'années, n'aurait donc pas été amoureuse? 

Je la vois comme un petit singe. Les singes sont touchants quand on les regarde, vous savez. Cet être vertical avait peut-être du charme pour ses semblables. Il éprouvait de l'attirance. Mais de l'amour, au sens où nous l'entendons aujourd'hui, j'en suis moins sûr... Je ne m'imagine pas plus les Homo erectus dotés d'une aptitude aussi subtile. Ils ne connaissaient pas la sépulture, ils laissaient leurs morts à l'abandon: on retrouve les squelettes dépecés, au milieu d'os d'animaux... 

Homo sapiens , lui, est le premier à accorder un grand soin à ses défunts, ce qui dénote une forme indéniable d'attachement. J'ai tendance à penser que le sentiment amoureux va de pair avec la considération portée aux morts, avec le sens de l'esthétique, de l'ornementation. Donc, avec des caractéristiques proprement humaines, qui n'ont été développées que par l'homme de Cro-Magnon , à partir de 100 000 ans, en Afrique. 

L'émergence d'une sensibilité, en somme... 

Oui, mais nous disposons de très peu d'indices pour la déceler. Nous pouvons analyser les fouilles archéologiques, les tombes, par exemple, et tenter d'imaginer quelles étaient les structures sociales, les relations entre les individus. Mais ce ne sont jamais que des interprétations. Nous disposons aussi des gravures, des peintures préhistoriques, des statuettes de "déesses". Mais l'art a une fonction symbolique, il reflète une mythologie et non pas une réalité. 

Essayons quand même de jouer aux détectives de l'amour. Que nous disent ces fameuses tombes? 

Un exemple: dans les grottes de Grimaldi, on a retrouvé les squelettes de deux jeunes enfants, datant de 30 000 ans, exhumés côte à côte, le bassin et les cuisses recouverts de milliers de petites coquilles percées, sans doute cousues à l'origine sur leur pagne ou leur ceinture. Au Danemark, dans un site du VIIIe millénaire avant notre ère, on a découvert une jeune femme morte à l'âge de 18 ans, accompagnée de son nouveau-né, qui avait été placé sur une aile de cygne (dont les os subsistaient). Le soin accordé à ces enfants est le signe d'un attachement profond. (...) 

Pourtant, les hommes de Neandertal sont souvent décrit comme des êtres frustes et brutaux... 

Ils étaient plus évolués qu'on ne le pensait. Dans des sépultures néandertaliennes anciennes, entre ­ 60 000 et ­ 80 000 ans, on a découvert les restes d'individus gravement handicapés durant leur adolescence et qui avaient pourtant survécu pendant de nombreuses années grâce à l'entraide du groupe. On a également
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