Une scène de l'âge dorée

Une scène de l'âge dorée




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une scène de l'âge dorée


Afficher / masquer la barre latérale











Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Aller en haut .
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.





La dernière modification de cette page a été faite le 12 juin 2021 à 23:12.
Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques . En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence .
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc. , organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



Politique de confidentialité
À propos de Wikipédia
Avertissements
Contact
Version mobile
Développeurs
Statistiques
Déclaration sur les témoins (cookies)
Modifier les paramètres d’aperçu











Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus


Sommaire

déplacer vers la barre latérale


masquer


Les Scènes de la vie de la Vierge sont une série de quatorze tapisseries suspendues dans la nef de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg , chacune présentant un épisode de la vie de la Vierge Marie .

Cette série de tapisserie a été réalisée dans le contexte du vœu de Louis XIII de consacrer le royaume de France à la Vierge Marie s'il lui naissait un héritier. Le roi avait en effet assorti à ce souhait la promesse de doter la cathédrale Notre-Dame de Paris d’un nouveau maître autel accompagné d’un retable, dont l’exécution sera confiée à Philippe de Champaigne [ 1 ] . Ne voulant pas être en reste, le cardinal de Richelieu se propose d’offrir de son côté à la cathédrale quatre tapisseries complémentaires sur le thème de la Vie de la Vierge. La réalisation du carton des deux premières tentures est également confiée à Philippe de Champaigne, le tissage étant confié à un lissier parisien non identifié, qui les livre en novembre 1640 , mais la mort de Richelieu en 1642 semble avoir interrompu le projet [ 2 ] .

Une dizaine d’années plus tard, en 1649, l’abbé Le Masle, chargé de l’intendance du chœur de la cathédrale s’adresse au peintre Jacques Stella pour poursuivre le projet, mais celui ne livre qu’un seul carton, dont l’exécution est réalisée par les ateliers de Bruxelles-Brabant. Le Masle se rapproche alors de Charles Poerson , mais, au lieu de lui demander uniquement la dernière pièce manquant au programme initialement prévu, il lui commande onze cartons, que Poerson exécute entre 1652 et 1657. L’ensemble de ces pièces est tissé dans l’atelier du lissier parisien Pierre Damour, au rythme d’environ une tous les six mois [ 3 ] .

Les tapisseries tombent cependant assez rapidement en désuétude : le chœur ayant été réaménagé et doté d’un nouveau décor peint, les tentures sont désormais inutiles et le chapitre cherche à s’en débarrasser à partir de 1720 [ 4 ] . Dans un premier temps, les tapisseries sont prêtées à différentes églises parisiennes, puis mises en vente en 1730. Le chapitre ne trouve toutefois pas d’acquéreur disposé à mettre la somme demandée et la situation s’éternise. Finalement, en 1739, l’ évêque de Strasbourg , Armand de Rohan-Soubise parvient à remporter la vente, probablement en usant de ses relations, son offre dix mille livres étant bien inférieure à ce qui était demandé [ 5 ] .

Les tapisseries sont classées au titre objets aux monuments historiques en 1978 [ 6 ] .

Les tapisseries ont été restaurées entre 1998 et 1999 par la Manufacture royale belge de tapisserie Gaspard de Wit [ 5 ] .

Les Évangiles canoniques constituent la source de la partie centrale du cycle (tapisseries n o 4 à 11). Celles qui précèdent ou qui suivent sont tirés d' Apocryphes bibliques .

Il est à noter que les tapisseries représentent plus les scènes heureuses (même si parfois mineures) de la vie de Marie. Des scènes majeures mais douloureuses, comme la descente de croix, ne figurent pas. Comme si ces scènes douloureuses, tellement prisées au Moyen Âge avaient rebuté le XVII e siècle.


Tapisserie n o 1 : Naissance de la Vierge
La scène est tirée du chapitre V du proto-Évangile de Jacques . Elle a été conçue par Philippe de Champaigne et représente un intérieur bourgeois du XVII e siècle, avec un lit à baldaquin où repose la mère.

Tapisserie n o 2 : Présentation de Marie au Temple
Tirée des chapitres VII et VIII du proto-Évangile de Jacques, du chapitre V de l’ Évangile du pseudo-Matthieu et de la Légende dorée.

Tapisserie n o 3 : Mariage de Marie et de Joseph
Dans l'Évangile, Marie était simplement promise en mariage à Joseph. Mais dans la Légende dorée, plusieurs prétendants viennent munis d'une baguette. Seule celle de Joseph fleurit, ce qui le désigne pour épouser Marie.

C'est cet épisode qui est repris dans la tapisserie de Jacques Stella , où l'on voit un prétendant malheureux briser sa propre baguette de rage, tandis que Joseph et Marie échangent les anneaux devant le grand prêtre à la porte du Temple.

Tapisserie n o 4 : L’ Annonciation
C'est l'épisode des évangiles canoniques tels que celui de saint Luc avec l'annonce faite par l' ange Gabriel à la jeune fille qu'elle deviendrait la mère du Sauveur. L'ange désigne du doigt celui qui l’a envoyé, le Père penché vers la Terre, avec la colombe qui symbolise l'Esprit-Saint.

Tapisserie n o 5 : La Visitation
C'est la scène de l'Évangile de saint Luc, où Marie, enceinte de Jésus rend visite à sa cousine Élisabeth elle-même enceinte de celui qui sera le prophète Jean-Baptiste .

Tapisserie n o 6 : La Nativité
C'est la naissance de Jésus, mais représentée ici dans un décor grandiose de colonnes antiques et draperies luxueuses, bien éloigné de l'étable rustique décrite dans l'Évangile selon saint Luc.

Joseph, père adoptif, est en retrait par rapport aux anges penchés sur le berceau, représentant Dieu le Père. Sont présents l'âne et le bœuf, évoqués seulement par les évangiles apocryphes. Ainsi que les bergers des environs en adoration après l'annonce de la Bonne Nouvelle qui leur a été faite par un Ange, d'après l'Évangile selon saint Luc.

Tapisserie n o 7 : L’ Adoration des mages
La scène est tirée de l' Évangile selon Matthieu rapportant l'arrivée de mystérieux mages venus d'Orient guidés par une étoile. C'est dans des écrits ultérieurs que leur nombre sera fixé à trois, en référence à leurs trois offrandes (l’or, l’encens et la myrrhe) et leurs noms déterminés comme Gaspard, Melchior et Balthazar. Saint Joseph, présent sur la tapisserie, n'est pas évoqué dans l'Évangile.

Tapisserie n o 8 : La Purification de la Vierge
Cet épisode rapporté par saint Luc s'intègre dans la tradition juive de purification des parents et surtout de la mère après une naissance. C'est un des préceptes du livre du Lévitique . Il se confond avec celui de la présentation de l'Enfant au Temple également exigé par la tradition juive.

Joseph porte une cage avec deux tourterelles dont le sacrifice permettra le rachat symbolique de l'Enfant auprès de Syméon qui Le porte dans ses bras, tout en rendant grâce au Seigneur. À ses côtés se tient la prophétesse Anne.

Tapisserie n o 9 : La Fuite en Égypte
D'après l'Évangile selon saint Matthieu, Joseph fut averti en songe, aussitôt après le départ des mages, de l’intention d’Hérode de massacrer tous les enfants nouveau-nés pour se débarrasser de celui qui menaçait son trône (massacre des Innocents). Il emmena donc sa femme et son fils en Égypte.

C'est aussi une manière de faire partager à Jésus le sort du peuple juif, son exil en Égypte et son retour en Terre Promise.

La tapisserie ne représente pas la fuite elle-même, mais un épisode de repos, souvent repris par les artistes. La végétation est plutôt celle de nos contrées. Des anges présentent à l'Enfant des fruits rafraichissants.

Tapisserie n o 10 : Jésus au milieu des docteurs de la Loi
C'est un épisode tiré de l'Évangile selon saint Luc où Jésus âgé de douze ans (considéré à l'époque comme la majorité religieuse) avait préféré rester à discuter avec les docteurs de la Loi, plutôt que de rentrer chez ses parents à Nazareth. Au-delà de la compréhension du texte, Jésus montre sa conscience de ne pas être un étranger dans ce Temple qui est la maison de son Père.

Le décor est anachronique avec des colonnes de temple grec et le texte de la Loi dans des livres et non pas sous forme des rouleaux traditionnels.

Tapisserie n o 11 : Les Noces de Cana
C'est la première manifestation des pouvoirs de Jésus. Dans un décor antique et luxueux (les pièces d'orfèvrerie), bien loin de l'environnement modeste et des jarres du texte, Jésus apparait comme un maitre déterminé alors que Marie adopte une posture d'humilité. Elle a dit aux serviteurs de faire ce que Jésus leur dirait.

Tapisserie n o 12 : La Dormition
C'est un épisode absent des évangiles canoniques. La théologie mariale ultérieure présente deux thèses : la mort de la Vierge suivie de son assomption ou bien un passage direct de ce monde à la gloire du ciel sans connaitre la corruption du tombeau. La tapisserie présente la première thèse avec le titre « Mors Beatae Mariae Virginis » : la mort de la Vierge Marie.

Les apôtres entourent Marie étendue sur son lit mortuaire. Avec les objets qui représenteront plus tard la Bonne Mort du chrétien : un livre de prière pour réciter les prières des agonisants et un bénitier pour asperger d’eau bénite. On reconnaît l’apôtre Jean à sa jeunesse et son absence de barbe.

Tapisserie n o 13 : L’ Assomption
On voit la Vierge s’élever dans le ciel accompagnée par les anges, entourée par les apôtres. Les uns la contemplent tandis que d’autres observent le tombeau devenu où est apparue une rose. Les anges accompagnent Marie dans son parcours vers le Père.

Tapisserie n o 14 : Le Couronnement de la Vierge
C'est cet épisode de la Légende dorée qui termine la série. Le Moyen Âge a souvent donné à Marie le titre de « reine » : « Reine du Ciel » (Regina caeli) ou « Reine des cieux » ( latin : Ave Regina caelorum ).

La Vierge, à genoux, au centre, reçoit la couronne de la Trinité, avec le Père en adulte, le Fils en jeune homme et le Saint-Esprit sous forme de colombe rayonnante.

On retrouve sur la tapisserie des objets de la dévotion mariale : le miroir de justice, l’étoile du matin, la porte du ciel et la rose mystique.




Accueil

/
Charlotte Mason / La narration : de l’oral à l’écrit

Newsletter Entrez votre adresse email pour être informé de l'actualité du blog.

Vos commentaires nourrissent mon blog Annuler la réponse.










Photos et textes par Maeva D. K. / Blossom Beauty | Développé par Blossom Themes .Propulsé par WordPress . Politique de confidentialité



E-mail (requis)



Nom (requis)



Site web



L'éducation avec la pédagogie Charlotte Mason
S’il y a bien un outil dont la plupart des gens s’intéressant aux différentes pédagogies retiennent de celle de Miss Mason, c’est bien la lecture de livres vivants et la narration !
Grande adepte du unschooling à nos débuts, j’étais assez réticente à l’idée de demander à Keyo de narrer un passage lu. D’autant plus, que lorsque je le faisais, cela apparaissait trop comme du travail et le plaisir de se faire lire une histoire fuyait. La lecture n’était plus un cadeau . Mais j’ai finis par distinguer les lectures offertes et celles qui demandaient un effort d’écoute et de restitution dans le cadre de notre temps de travail.
Les lectures offertes étaient lues le soir ou en dehors de ce temps de travail, tandis que les lectures suivies de narration se faisaient bien dans le cadre des leçons. Charlotte Mason préconisait de commencer les narrations formelles à partir de 6 ans, pas avant .
L’ oralité est très encouragée les premières années , puis on commence à demander à l’enfant de fournir un travail de narration écrite . Il y a encore quelques mois, j’étais loin d’imaginer que nous allions passer ce cap. Le travail d’écriture paraissant si compliqué pour Keyo. Et pourtant, nous y sommes ! Comme quoi, il ne faut jamais désespérer.
A travers son cahier consacré aux narrations d’histoires lues , je me rends compte du chemin parcouru. Au début ni le dessin, ni l’écriture n’y était développé. Cela demandait beaucoup d’efforts. Au début, les dates sont éloignées. La régularité d’utilisation n’y était pas. Nous utilisions seulement la discussion (ce qui était normal !) . Puis Keyo s’est mis à aimer le dessin, illustrant une scène dans sa tête qui l’avait marqué. Il me dictait un résumé que j’écrivais à sa place. Avec le recul, je me demande si cette dictée à l’adulte est vraiment nécessaire… Mais c’est un autre sujet
Les premières pages datent de 2016 … Soit presque 4 ans ! Il avait tout juste 6 ans.
Entre 2018 et 2019, il s’est mis à écrire quelques mots à la fin d’un livre : juste le titre puis un résumé très court.
Début 2020, il narre à l’écrit après chaque passage . Je lui ai proposé cela lors de notre rentrée début janvier. Le défi : illustrer une scène et écrire sa narration après chaque passage lu. Je crois qu’il était prêt car il a accepté sans soucis.
Cet exercice prend évidemment plus de temps que la simple narration à l’oral. Cela allonge nos temps de travail mais il faut un temps d’adaptation. La première fois cela a duré longtemps, puis de moins en moins. J’estime, par ailleurs, que Keyo grandit, et son temps de concentration s’allonge . Il est capable de travailler plus longtemps .
Par ailleurs, je me suis rendue compte que la narration écrite est bien plus efficace pour la mémorisation . Avant chaque lecture, Keyo résume le passage précédent. Une fois, pressé par le temps, nous avions sauté la narration écrite, se contentant seulement de l’oral, le lendemain, Keyo me résumait la passage de l’avant veille. Il avait complètement oublié le passage qui n’avait pas été narré à l’écrit. En lui rappelant quelques scènes, ça lui est revenu rapidement, mais sa mémoire n’avait pas inscrit les faits aussi profondément.
C’est à ce moment-là, que je me suis rendue compte de la force de la narration écrite . Elle prend du temps, mais le travail est multiple : travail de mémoire, dessin, construction de phrase, travail sur la ponctuation, la conjugaison, puis l’écriture. Tout cela de façon vivante (ce sont ses mots à lui sur une histoire qu’on lit ensemble et qu’il aime) et en 20 minutes environ (en plus de la lecture).
Ce qui peut prendre du temps c’est le dessin. Rien n’oblige les enfants à le faire. Keyo aime bien mais on peut très bien imaginer un simple cahier ligné avec les narrations écrites successives . J’avais bien aimé une idée de Crapaud Chameau : Le cahier des histoires à raconter . Cela pourrait convenir aux enfants qui n’aiment pas dessiner. Et personnellement, je trouve cela tellement plus vivant qu’un rallye lecture… Non désolé je n’accroche vraiment pas aux rallyes. Mais peut-être que j’y reviendrai dans un prochain article ^^
Quel beau cahier et de voir son évolution c’est tellement chouette ! Moi je ne fais pas de narration ecrite, les cours par correspondance ça laisse du temps mais pas tant que ça. Et puis dans les cours il y en a (dans le carnet de lecture) donc ça va! En tout cas c’est génial d’avoir un cahier qui retrace les narrations comme ça, c’est comme s’il creait son propre livre. D’ailleurs CM avait beaucoup de petits carnets de ce genre (à ce sujet le livre The Living Page est une source d’infos inestimable !). Comme toi je n’accroche pas sur les rallyes lecture, c’est trop scolaire à mon goût et comme tu dis la lecture doit rester un plaisir !
Merci Nadège, j’ai découvert le concept de Notebooks assez récemment (Karine si tu me lis, c’est grâce à toi ^^) et j’aime vraiment beaucoup cela. Ce n’est pas quelque chose que Keyo avait envie de faire au début (dessiner et écrire beurk quelle horreur !) mais maintenant il apprécie et c’est un vrai plaisir de feuilleter ses cahiers, comme tu le dis, c’est un peu comme s’il écrivait son propre livre. Il est fier de ses dessins et se rend compte qu’il écrit mieux par lui-même. J’aime aussi le fait que ce ne soit pas limité sur une année mais que ça soit une continuité, ça fait plus écho à ma façon de voir l’école à la maison
J’aime beaucoup ta façon d’expliquer l’introduction de la narration écrite. Cela semble si facile et puis on se rend compte que ça demande surtout de la patience et confiance en l’enfant… et un bon lâcher-prise de notre part !


Reference #18.a589ef50.1660786260.445a9e27




Nos partenaires et nous-mêmes stockons et/ou accédons à des informations stockées sur un terminal, telles que les cookies, et traitons les données personnelles, telles que les identifiants uniques et les informations standards envoyées par chaque terminal pour diffuser des publicités et du contenu personnalisés, mesurer les performances des publicités et du contenu, obtenir des données d'audience, et développer et améliorer les produits. Avec votre permission, nos partenaires et nous-mêmes pouvons utiliser des données de géolocalisation précises et d’identification par analyse du terminal. En cliquant, vous pouvez consentir aux traitements décrits précédemment. Vous pouvez également accéder à des informations plus détaillées et modifier vos préférences avant de consentir ou pour refuser de donner votre consentement. Veuillez noter que certains traitements de vos données personnelles peuvent ne pas nécessiter votre consentement, mais vous avez le droit de vous y opposer. Vos préférences ne s'appliqueront qu’à ce site web. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en revenant sur ce site web ou en consultant notre Politique de confidentialité.
SOUTENIR ET PAYER ACCEPTER ET FERMER

Poisson Lune, la terrasse éphémère du Palais de la Porte Dorée de retour pour l'été 2022


Par
Manon C. · Photos par
My B., Caroline J. · Publié le 1 juin 2022 à 15h09


Poisson Lune, la terrasse canon du Palais de la Porte Dorée est de retour pour la quatrième année à partir du 13 mai 2022. De quoi égayer la saison estivale et ravir petit et grands.

Recevez chaque semaine les meilleures sorties à Paris et en Île de France
Poisson Lune, la fameuse terrasse éphémère qui nous avait tant plu les années passées, squatte de nouveau le Parvis du Palais de la Porte Dorée , dans le 12e arrondissement de la capitale, dès le 13 mai 2022 !
Derrière cette terrasse estivale , on retrouve l'entreprise socio-responsable Petite Lune , déjà à l’origine de plusieurs lieux à Paris comme l’incontournable Bal de la Marine ou encore la fameuse guinguette effervescente de l’ouest Parisien, La Javelle . Cette année, Petite Lune est donc de retour avec Poisson Lune , installé tout au long de cet été autour du Palais de la Porte Dorée .
Cette terrasse éphémère est ouverte aux p
Une prostituée derrière le bar
Un jeu hentaï sexy en vidéo
Deux couples d'échangistes

Report Page