Une prostituée prête pour la guerre

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Prostitution : les esclaves du Kosovo
Achetées pour quelques milliers de deutschemarks, des Russes, des Ukrainiennes et des Moldaves se retrouvent dans les maisons closes de Pristina en attendant d'arriver en Italie, en Grèce ou en France. Forcées ou volontaires, constamment surveillées par des gardes du corps, elles sont prises au piège. Notre envoyé spécial a pu rencontrer ces " filles de l'Est ".
C'est une maison au milieu de nulle part. Les fonctionnaires internationaux, les soldats de la KFOR et autres personnels d'organisations internationales la trouvent rarement du premier coup. À une quinzaine de kilomètres de Pristina, sur la route non éclairée qui mène à l'aéroport, à proximité du quartier général des forces russes, l'endroit est discret. Enveloppée par l'obscurité qui s'abat sur le Kosovo vers 17 heures, lorsque la nuit tombe, cette maison close n'est repérable qu'à la présence inhabituelle de voitures qui rôdent dans la localité de Slatina.
Verrouillée, la porte du Night Club International s'ouvre au bout de quelques secondes. Les étrangers sont conduits vers les meilleures tables : celles qui font face à une minuscule piste de danse où une dizaine de jeunes filles déshabillées se relayent pour danser lascivement autour d'une barre en métal. Les Kosovars sont renvoyés vers les tables du fond. Sur un claquement de doigts du serveur, une blonde se lève. Elle disparaît derrière le bar pour rejoindre dans une chambre l'homme qui a décidé de passer une demi-heure avec elle pour 100 DM.
Elles sont onze, toutes originaires d'Ukraine et de Moldavie, à faire le va-et-vient de 20 heures à 5 heures entre la scène et les chambres à coucher. Plus rarement, elles viennent à la table du client pour ingurgiter en dix minutes une boisson énergisante facturée 30 DM.
Assise à la table du journaliste, Camelia, on l'appellera Camelia, est prête à parler. Mais elle ne peut le faire qu'ici. La journée, elle est retenue prisonnière avec les dix autres filles dans une maison de Pristina surveillée par des hommes armés. Ceux-ci ne les sortent que pour les emmener travailler. Jeune Moldave de vingt ans, Camelia s'exprime donc dans sa langue natale pour ne pas éveiller les soupçons du serveur à la mine patibulaire.
Camelia travaille dans cet établissement depuis trois semaines. " En Moldavie, quelqu'un m'a proposé de travailler clandestinement dans un bar en Italie. Après avoir traversé la Roumanie et la Hongrie avec d'autres filles, il m'a vendue pour 4 000 DM à un Serbe. Je suis restée deux semaines à Belgrade. Comme je n'étais pas suffisamment svelte pour intéresser un night-club belgradois, on m'a conduite dans les sous-sols d'un bar de Novi Sad (nord de la Serbie). C'était une sorte de marché aux filles. J'ai été achetée par un autre Serbe. Nous sommes allés à Vranje (nord de la Serbie à proximité du Kosovo, de la Macédoine et de la Bulgarie). Je suis passée dans les mains d'un Albanais qui m'a ensuite revendue à Pristina au patron du Night Club International ", raconte-t-elle entre deux boissons énergisantes. Même si elle est déçue de ne pas être en Italie, Camelia ne veut pas rentrer chez elle. " J'ai un contrat de trois mois. Je touche 40 % de ce que les clients donnent au patron. J'ai une dette de 4 000 DM envers celui qui m'a mise dans cette combine. Je savais qu'il s'agissait de prostitution. Je l'ai déjà fait à Istanbul. Le problème c'est que la situation est trop catastrophique en Moldavie. Je ne peux pas gagner d'argent pour moi et ma famille là-bas ", dit-elle.
" Il est très dur pour elles de sortir de ce système basé sur la peur. Leurs passeports sont confisqués, elles ne sont pas toujours payées et vivent dans des conditions misérables. La première semaine, elles sont brutalement mises au pas. Mais même au bout du rouleau, elles savent qu'elles ne veulent pas retrouver ce qu'elles ont quitté pour venir ici ", explique un spécialiste de la prostitution qui travaille sous le couvert de l'anonymat au Kosovo. Lors d'une descente de police, début janvier au Night Club International, Katarina, une Ukrainienne de vingt-deux ans, a raconté avoir été kidnappée en Bulgarie, contrainte de travailler dans une maison close en Macédoine où elle a vécu dans des " conditions terribles " avant d'arriver au Kosovo. Mais elle n'a pas voulu partir. " Toutes les filles sont arrivées au même moment, vers la mi-septembre. Elles proviennent des pays de l'Est, notamment de Russie, d'Ukraine, de Moldavie, de Bulgarie et de Roumanie. Les souteneurs sont généralement des mafieux kosovars qui possèdent des bordels en Europe. On a affaire à des réseaux transnationaux très bien organisés ", poursuit le spécialiste qui affirme qu'une dizaine de jeunes filles ont été enlevées dans la région de Prizren.
Luba est une Russe de vingt-six ans. Danseuse professionnelle, elle fait du strip-tease au Miami Beach, un club privé dans les faubourgs de Pristina. Elle aussi est passée par Istanbul. Elle dit vivre dans une maison très froide à Kosovo Polje avec quatre autres filles et quatre gardes du corps. Ici tout est fait pour attirer la clientèle étrangère. Une fois la carte de membre en poche (20 DM), les étrangers ne paient plus de droit d'entrée à l'inverse des Kosovars même s'ils possèdent le sésame. Les filles sont triées sur le volet et les tarifs sont inabordables pour la population locale. La boisson énergisante est remplacée par le champagne. Cela va de 50 DM pour une simple coupe à 2 400 DM pour un magnum. Les 15 filles toucheraient 50 % sur les consommations. Selon le patron, elles sont là pour inciter le client à boire et non pas pour se prostituer. Pourtant, Jana, une magnifique Géorgienne de vingt-deux ans, qui s'apprête à travailler dans un bar en Suisse, explique que pour 300 DM plus une bouteille de champagne d'un minimum de 180 DM elle peut s'asseoir sur la banquette d'une des alcôves et tirer les rideaux.
Selon l'UNIFEM, l'organisme des Nations unies qui s'occupe des questions relatives aux femmes, la situation au Kosovo est extrêmement inquiétante. Dans un rapport du 12 octobre, l'UNIFEM indique que toutes les conditions existent pour que le trafic de femmes explose : population déplacée, économie pauvre, absence de respect de la loi, présence internationale massive, existence de filières mafieuses bien organisées, fort désir d'émigration... En dehors de Pristina, des bordels sont réapparus après la guerre à Lipljan et Zubin Potok. Au nord de Mitrovica, la gendarmerie française a arrêté un proxénète et quatre prostituées : deux Serbes (dont une de quinze ans) et deux Ukrainiennes de Kiev kidnappées.
Les malfaiteurs profitent d'un vide juridique. La loi yougoslave autorise la prostitution mais interdit le proxénétisme. Jugée discriminante à l'égard des Albanais du Kosovo, la loi yougoslave est remplacée par le code kosovar pénal d'avant 1989. Mais personne ne sait ce que celui-ci dit à propos de la prostitution. " Il faut qu'on le traduise en anglais. Ensuite nous enverrons des photocopies aux juges pour combler ce vide ", déclare Sylvie Pantz, directrice des affaires judiciaires de la Minuk. La police se contente donc le plus souvent de faire des descentes pour collecter des informations et libérer les filles qui souhaitent rentrer chez elles. Le rapatriement est rendu possible grâce à l'aide de certaines ONG. Submergée par d'autres priorités, la Minuk n'a prévu aucun programme d'assistance.
Pas étonnant dès lors que ces " filles de l'Est " se retrouvent si rapidement en France. Fin janvier, la police a mis sous les verrous un proxénète albanais qui faisait travailler des femmes du Kazakhstan, de Roumanie, de Moldavie et d'Albanie. À Lyon, 63 prostituées ont écrit au procureur et au préfet pour dénoncer la concurrence de " très jeunes et très jolies filles de l'Est qui travaillent sous l'emprise de proxénètes albanais ".

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par Jeanne-Chantal Delangle |

Classé dans : Predication |

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Etudier et méditer la Parole de Dieu.
Moi et ma maison, nous servirons l’Éternel
Rahab une prostituée est captive à l’intérieur des murailles de Jéricho, de la même manière, nous sommes prisonniers du péché. Le secours vient de l’extérieur. Deux espions donneront la vie sauve à cette femme et à toute sa famille. De même, Jésus-Christ vient nous libérer de l’esclavage du péché.
(01:32:37) repère chronologique de la vidéo soit : 1 heure 32 minutes et 37 secondes
Bonjour bien-aimés, nous sommes dans la joie de nous retrouver pour partager la Parole de Dieu. Nous saisissons pleinement cette grâce que le Seigneur nous fait pour recevoir son message.
Prions pour remettre ce temps entre ses mains et pour que sa Parole nous change, nous transforme.
Seigneur, nous bénissons ton nom et nous Te glorifions parce que Tu es le Dieu vivant, le Dieu fidèle. Nous voulons nous laisser transformer à l’écoute de ta Parole. Seigneur, viens nous parler, révèle-toi à nous. Que toute incrédulité, que tout orgueil qui nous empêche de recevoir ta Parole soit chassé de ce lieu, au nom de Jésus ! Amen !
Prenons nos Bibles dans l’Ancien Testament, au livre de Josué, chapitre deux. Ceux qui n’ont pas de Bible, vous pouvez vous manifester, il y a des Bibles à disposition pour nous permettre de lire.
Ce texte parle d’une femme qui s’appelle Rahab et c’est notre thème ce matin : « Rahab, une prostituée sauvée »
1 Josué, fils de Nun, fit partir secrètement de Sittim deux espions, en leur disant: Allez, examinez le pays, et en particulier Jéricho. Ils partirent, et ils arrivèrent dans la maison d’une prostituée, qui se nommait Rahab, et ils y couchèrent.
2 On dit au roi de Jéricho: Voici, des hommes d’entre les enfants d’Israël sont arrivés ici, cette nuit, pour explorer le pays.
3 Le roi de Jéricho envoya dire à Rahab: Fais sortir les hommes qui sont venus chez toi, qui sont entrés dans ta maison; car c’est pour explorer tout le pays qu’ils sont venus.
4 La femme prit les deux hommes, et les cacha; et elle dit: Il est vrai que ces hommes sont arrivés chez moi, mais je ne savais pas d’où ils étaient;
5 et, comme la porte a dû se fermer de nuit, ces hommes sont sortis; j’ignore où ils sont allés: hâtez-vous de les poursuivre et vous les atteindrez.
6 Elle les avait fait monter sur le toit, et les avait cachés sous des tiges de lin, qu’elle avait arrangées sur le toit.
7 Ces gens les poursuivirent par le chemin qui mène au gué du Jourdain, et l’on ferma la porte après qu’ils furent sortis.
8 Avant que les espions se couchassent, Rahab monta vers eux sur le toit
9 et leur dit: L’Éternel, je le sais, vous a donné ce pays, la terreur que vous inspirez nous a saisis, et tous les habitants du pays tremblent devant vous.
10 Car nous avons appris comment, à votre sortie d’Égypte, l’Éternel a mis à sec devant vous les eaux de la mer Rouge, et comment vous avez traité les deux rois des Amoréens au delà du Jourdain, Sihon et Og, que vous avez dévoués par interdit.
11 Nous l’avons appris, et nous avons perdu courage, et tous nos esprits sont abattus à votre aspect; car c’est l’Éternel, votre Dieu, qui est Dieu en haut dans les cieux et en bas sur la terre.
12 Et maintenant, je vous prie, jurez-moi par l’Éternel que vous aurez pour la maison de mon père la même bonté que j’ai eue pour vous.
13 Donnez-moi l’assurance que vous laisserez vivre mon père, ma mère, mes frères, mes sœurs, et tous ceux qui leur appartiennent, et que vous nous sauverez de la mort.
14 Ces hommes lui répondirent: Nous sommes prêts à mourir pour vous, si vous ne divulguez pas ce qui nous concerne; et quand l’Éternel nous donnera le pays, nous agirons envers toi avec bonté et fidélité.
15 Elle les fit descendre avec une corde par la fenêtre, car la maison qu’elle habitait était sur la muraille de la ville.
16 Elle leur dit: Allez du côté de la montagne, de peur que ceux qui vous poursuivent ne vous rencontrent; cachez-vous là pendant trois jours, jusqu’à ce qu’ils soient de retour; après cela, vous suivrez votre chemin.
17 Ces hommes lui dirent: Voici de quelle manière nous serons quittes du serment que tu nous as fait faire.
18 A notre entrée dans le pays, attache ce cordon de fil cramoisi à la fenêtre par laquelle tu nous fais descendre, et recueille auprès de toi dans la maison ton père, ta mère, tes frères, et toute la famille de ton père.
19 Si quelqu’un d’eux sort de la porte de ta maison pour aller dehors, son sang retombera sur sa tête, et nous en serons innocent; mais si on met la main sur l’un quelconque de ceux qui seront avec toi dans la maison, son sang retombera sur notre tête.
20 Et si tu divulgues ce qui nous concerne, nous serons quittes du serment que tu nous as fait faire.
21 Elle répondit: Qu’il en soit selon vos paroles. Elle prit ainsi congé d’eux, et ils s’en allèrent. Et elle attacha le cordon de cramoisi à la fenêtre.
22 Ils partirent, et arrivèrent à la montagne, où ils restèrent trois jours, jusqu’à ce que ceux qui les poursuivaient fussent de retour. Ceux qui les poursuivaient les cherchèrent par tout le chemin, mais ils ne les trouvèrent pas.
23 Les deux hommes s’en retournèrent, descendirent de la montagne, et passèrent le Jourdain. Ils vinrent auprès de Josué, fils de Nun, et lui racontèrent tout ce qui leur était arrivé.
24 Ils dirent à Josué: Certainement, l’Éternel a livré tout le pays entre nos mains, et même tous les habitants du pays tremblent devant nous.
(00:59:10) – Cette lecture est un peu longue mais il est important de lire toute l’histoire. On nous parle d’une femme qui s’appelle Rahab et on nous dit qu’elle était prostituée. Sa maison se trouvait sur la muraille et, en tant que prostituée, elle accueillait tout le monde. Et ici, elle fait entrer deux espions israélites. Israël était en guerre contre Jéricho. Et cette femme prostituée arrive à bénéficier de la grâce de Dieu. Il sauve une femme de mauvaise vie. Nous retrouvons notre thème : « Rahab, une prostituée sauvée ».
On ne dit pas ce qui a amené Rahab à se prostituer. En méditant ce passage, je me disais que ce n’est jamais le rêve d’une jeune fille de tomber dans la prostitution. Ce n’est pas le rêve d’une fille de se retrouver à vendre son corps pour vivre ! Non ! Il y a des raisons à cela, des explications à cela, un commencement. Peut-être a-t-elle rencontré quelqu’un qui a abusé d’elle ou quelqu’un qui lui a fait des promesses.
J’ai écouté le témoignage d’une Américaine qui raconte comment elle est tombée dans la prostitution. Étant petite fille, elle avait ses rêves, ses aspirations, ses projets. Mais elle était née dans une famille où régnait la violence. Les seuls moments où son père lui manifestait de l’attention, c’était pour la frapper. Autrement, son père ne la voyait pas ! Ils ne se voyaient pas. Les seuls moments où il avait un contact avec elle, c’était pour la maltraiter, la faire souffrir, l’humilier. Elle a fait une fugue, elle errait de gauche à droite, en cherchant à pallier à ce manque d’amour.
Dans cette recherche, on tombe dans la prison du diable ! Elle dit qu’elle est tombée dans « une prison dorée ». Dans cette prison, il y a l’alcool, les soirées, tout va ensemble. Les gens disent qu’une soirée sans alcool c’est triste. Elle dit qu’elle vivait son instant de liberté. Bien-aimé, un jour tu seras esclave de ta liberté ! Un jour, dans une soirée elle a commencé à fumer du cannabis (l’alcool ne va pas sans la drogue). Mais, finalement, ce n’est pas assez fort, on passe à la cocaïne.
Dans ces soirées tout le monde n’est pas bien intentionné. On lui a mis une substance dans son verre. Tu es gai, tu danses, tu te dis : Je suis libre ! Je suis bien, je m’amuse, je suis bien, on est jeune, allez , profitons de la vie, on ne vit qu’une seule fois ! Mais là, quelqu’un de malveillant avait mis quelque chose dans son verre. Elle s’est retrouvée le matin dans un endroit …
Cette femme dit que, depuis ce jour-là, elle s’est sentie sale, humiliée. Ces gens qui faisaient la fête avec elle, ont abusé d’elle, ont profité de sa vulnérabilité. On ne tombe pas dans cette situation par plaisir, non ! C’est un engrenage, c’est pourquoi elle parle de « prison dorée ». C’est une prison en or dans laquelle tu t’enfermes. Tu entres dans un système avec l’alcool, avec la drogue, le sexe,
Le concierge de la maison
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