Une prof de sciences sautée par deux étudiants

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Jean Cittone •

Publié le 01/07/2021 à 06:00
• Mis à jour le 01/07/2021 à 12:29

Une étude de Linkee menée auprès de 3 281 étudiants révèle que la précarité étudiante n’a jamais été aussi élevée. Et 40 % des participants envisagent même d’arrêter complètement leurs études.
«Pas de vacances pour la précarité» , explique Julien Meimon, président de l’association Linkee qui vient en aide aux plus démunis tout en luttant contre le gaspillage alimentaire à Paris. Cette organisation vient de publier une étude inquiétante sur la précarité étudiante: 97 % des participants vivent sous le seuil de pauvreté. Julien Meimon souligne les difficultés rencontrées par les étudiants, au-delà de la crise sanitaire: «Ces jeunes vont mettre beaucoup de temps à s’en relever. C’est un problème de fond qui n’est pas tranché parce que les terrasses ont ouvert et que les gens se préparent à partir en vacances».
La première dimension de la précarité étudiante est la difficulté à s’acheter à manger. L’étude révèle que 7 étudiants sur 10 ne peuvent pas manger de viande ou de poisson, et que près d’un sur deux n’achète pas de fruits, faute de moyen. Face à ce constat, l’association Linkee distribue gratuitement environ 200 000 repas par mois. «Je suis venue parce qu’il m’arrive parfois de ne pas manger» , témoigne Marion, étudiante en histoire de 23 ans.
L’étude souligne également les liens entre précarité financière et réussite scolaire. Depuis la généralisation des cours à distance, les étudiants avec une mauvaise connexion internet ou sans ordinateur portable sont fortement pénalisés. Parmi les jeunes interrogés, ils sont 61 % à déclarer une dégradation de leurs résultats scolaires cette année.Les auteurs de l’étude soulignent que la récente médiatisation de la précarité étudiante a permis de faire connaître cette réalité, mais qu’elle existait déjà bien avant la crise sanitaire. Des organismes comme le CROUS proposent des aides financières, mais ils sont encore trop peu sollicités.
«J’y ai pensé mais je n’ai pas fait la démarche. J’ai l’impression que c’est réservé à des personnes encore en plus grande précarité que moi» , explique Younes, 24 ans. Des efforts de sensibilisation et de communication seraient encore à faire, pour que les étudiants en difficulté osent demander de l’aide.
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Lhumanism7cmaintenant le 01/07/2021 à 21:25
Le jeune intermittent pour le régime c'est efficace. Comment ça les restos du coeur ne font pas les shakers protéinés? Mais c'est un scandale!
Jesse James 68 le 01/07/2021 à 20:37
Le VRAI problème a deux composantes : On donne le bac à tout le monde et l'entrée en fac à tout le monde. Donc se retrouvent en fac beaucoup de gens qui n'ont rien à y faire et auraient dû être orientés vers d'autres filières avant de les laisser gâcher leur avenir en assistant à des cours de "communication , information" dans des facs minables ! Les "étudiants" ont parfaitement suffisamment de temps pour faire des "petits boulots" entre les cours, le Week End et une partie de leurs très nombreuses vacances. Mais bien sûr tout cela (pour eux) est "indigne" de leur statut de si "brillants" étudiants !
Antoine125543 le 01/07/2021 à 20:21
Le restaurant universitaire est si peu couteux qu'il est presque gratuit, et si on a vraiment des difficultés financières les services sociaux des fac (et pas qu'eux) peuvent donner une aide. Il faut seulement frapper à la bonne porte. 40 % des étudiants envisageraient d'arrêter leurs études. En général ce sont ceux qui n'ont pas le niveau qui le disent parce qu'ils s'en rendent compte, mais incriminer la précarité est tellement plus facile que reconnaitre sa faiblesse !

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Le 13 mars 2021 à 07h34 , modifié le 14 mars 2021 à 11h35
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Un visage de bronze, mi-démon mi-bouddha, surveille les allées et venues devant l'institut d'études politiques (IEP) de Grenoble. Hypnos, le dieu grec du sommeil, garde un secret sous ses paupières closes. Jeudi 4 mars, l'aube a fait surgir sur la façade de Sciences-po une flopée d'accusations en lettres capitales. « Balance ton IEP », « Sciences Porcs ». À gauche de la porte principale, trois lignes ont claqué sur le béton brut : « Des fascistes dans nos amphis. Klaus Kinzler et T. démission. L'islamophobie tue ».
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Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Laurent Sagalovitsch
— 30 avril 2018 à 10h53
Cela doit être une malédiction, la pire qu'il soit.
Pendant toute mon enfance et mon adolescence, j'ai dû me coltiner une mère professeure de lettres classiques qui, à force de fréquenter les préaux et les salles de classe, avait fini par me considérer comme l'un de ses élèves au point de m'infliger punitions, heures de colle et menaces de mots aux parents quand par mégarde j'avais eu le malheur d'allumer le téléviseur sans avoir reçu auparavant l'onction parentale ou si j'avais rechigné à débarrasser une table encore pleine d'assiettes débordantes de couscous.
Je pris mon mal en patience et sitôt que l'occasion se présenta, je m'enfuis du domicile familial et m'en allai vivre avec la première fille qui voulut bien de moi. Fort heureusement, elle ne passait pas ses journées à sermonner de malheureux étudiants et je vivais là de bien belles années, loin de l'odeur de la craie, des corvées de bulletins à remplir, des réunions avec les parents d’élèves et autres désagréments de la vie professorale.
Hélas, elle finit par comprendre que je n'étais qu'un artiste raté, un parasite sans talent, un écrivain fauché comme les blés et, une fois revenue de ses rêves de romance, elle me pria de déguerpir et d'aller guérir mes angoisses existentielles ailleurs que sous son toit, ce que je fis, non sans regretter le charme de cette idylle passée dans l'éblouissement de ma jeunesse triomphante.
Après quoi, je passai quelques années à vagabonder de-ci de-là jusqu'au jour où une autre demoiselle jeta son dévolu sur moi. J'eus beau la prévenir de ma rapacité à toute épreuve, de ma paresse congénitale, de mes sautes d'humeur intempestives, de mes angoisses récurrentes, de la perte irréversible de mes cheveux, de mes crises d’hémorroïdes à répétition, de mon inaptitude à paraître en société, de mon compte en banque atone, de mes obsessions toutes juives, de mon égoïsme atavique, de mes piètres dispositions au lit, elle ne céda en rien et finit par me convaincre de venir partager son modeste logis.
Évidemment la première question que je lui posai fut de savoir si elle était de près ou de loin associée au métier de professeur ou de moniteur d'auto-école ou de responsable de centre aéré ou bien encore si, dans la pratique de son magistère, elle était détentrice d'une forme d'autorité exercée à l'encontre d'êtres faibles et sans défense, mais comme ses réponses furent toutes négatives, j'acceptai de partager sa vie.
Quelques années plus tard, nous quittions la France pour nous installer là où bon nous sembla et comme j'étais resté exactement le même, c'est-à-dire un postillon d'écrivain désargenté toujours à la recherche d'une bourse d'écriture qui lui sauverait la mise, il fallut bien qu'elle se mette en quête d'un emploi. Et évidemment –comment en aurait-il pu être autrement?– au lieu de choisir comme je lui conseillais d'embrasser la carrière de soudeuse, de vendeuse de gaufres, de diététicienne spécialisée en algues marines, de navigatrice au long cours, juste pour me porter préjudice, elle préféra, en toute connaissance de cause, faisant fi de mes traumatismes adolescents, mue par un insatiable désir de revanche, opter pour l'infâme métier d'enseignante.
Depuis, ma vie est (re)devenue un enfer.
C'est que comme tous les professeurs, elle n'a toujours pas réalisé la très légère différence qui puisse exister entre l'ambiance surchauffée et tumultueuse d'une salle d'études et la douce chaleur du foyer où la vie est censée s'écouler tranquille et paisible si bien qu'une fois rentrée, encore pleine de cette énergie nécessaire pour dompter trente gamins rétifs à son enseignement, elle continue à s'égosiller comme si nous habitions dans un palais aux dimensions démesurées où je vivrais non pas sous son nez mais loin d'elle, retranché dans une quelconque aile de notre modeste château, ce qui expliquerait son besoin non point de parler d'une voix posée mais de l'élever si haute que lorsqu'elle apparaît, le chat, habitué de longue date à ces extravagances vocales, ne demande pas son reste et s'en va crapahuter sous le lit.
Tout comme elle éprouve toujours un mal fou à concevoir que bien que je sois d'une taille fort modeste et d'une jeunesse d'esprit inaltérable, je ne ressemble en rien à cet élève du troisième rang qui lui cause bien du souci tant il s'agite sur sa chaise et bavarde avec ses camarades. Pourtant, plus d'une fois, lors d'un repas, l'ai-je surpris à me sermonner, à me demander de me tenir correctement ou à articuler quand j'essayais de lui parler. Tout juste si elle ne me balance pas des morceaux de craie à la figure et ne menace pas de me renvoyer chez le proviseur, quand j'en viens à répandre sur la nappe quelques malencontreuses miettes échappées de mon assiette ou lorsque par inadvertance je laisse tomber un couteau sur le carrelage –sors-moi ton carnet de correspondance que j'avertisse tes parents de ta conduite inadmissible!
Il est vrai que la vie de professeur n'est pas de tout repos. On peut même avancer qu'enseigner est le pire des métiers qu'il soit. Le pire. D'ailleurs il est tellement pire que personne, absolument, personne, ne peut comprendre sa dureté. Personne. Comparée à la vie d'enseignant, tous les autres métiers sont une aimable plaisanterie, un passe-temps innocent, une promenade de santé, une sorte de divertissement tout juste bon à occuper quelques âmes désœuvrées. Vous pourriez passer toutes vos journées à creuser des tunnels au fond de mines insalubres sans même avoir le temps de casser la croûte que le professeur se plairait à vous démontrer que comparée à la rudesse de son quotidien, votre existence ressemble à un merveilleux conte de fées.
C'est peu de dire que le professeur travaille tout le temps et que quand il ne travaille pas, il pense au temps où il lui faudra travailler. Il a constamment des cours à préparer, des parents à appeler, des études à surveiller, des bulletins à annoter, des copies à corriger, des élèves à rosser, des collègues à consoler, des sorties à organiser, des tableaux à effacer, des conseils pédagogiques à donner, si bien que lorsqu'arrive le temps béni des vacances, il est si épuisé qu'il passe son temps couché au fond de son lit à soigner sa migraine persistante. D'ailleurs, un bon conseil, ne lui parlez jamais de vacances. Jamais. Ne commencez jamais une phrase par «oui c'est vrai, ton métier est pénible mais avec toutes les vacances que tu...» J'en ai connu qui pour avoir osé énoncer cette vérité pateline ont fini aux urgences avec un cocard gros comme un casier d'études. Non, le professeur ne prend pas de vacances: il se ressource. Il récupère. Il se régénère. Il se recompose. Il se refait une santé. Et il pense déjà à la rentrée prochaine.
J'aurais bien continué à disserter de la sorte mais le devoir m'appelle. J'ai encore une heure pour ranger l'appartement et j'ai intérêt à m'appliquer. Au trimestre précédent, j'ai déjà reçu un avertissement de travail et une menace de redoublement...!
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