Gays En Foret

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Gays En Foret
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Je me rendais rĂ©guliĂšrement dans une forĂȘt proche de chez moi pour y faire une ballade tout en promenant mon chien Kiddy, un boxer trĂšs sociable. J'apprĂ©ciais d'autant plus cet endroit que j'avais pu y faire des rencontres trĂšs agrĂ©ables, ma bisexualitĂ© me permettant de nombreux plaisirs variĂ©s, mĂȘme si le plus souvent j'y rencontrais d'autres mecs en mal de sexe. Mais il m'Ă©tait aussi arrivĂ© d'y connaĂźtre des couples ou des femmes seules en manque de bite.

À l'Ă©cart des grands chemins de promenade, il existait de nombreux bosquets abritant des regard indiscrets, oĂč chacun pouvait s'adonner Ă  divers plaisirs. On y accĂ©dait par des sentiers plus discrets, connus surtout des "habituĂ©s".

J'avais lùché Kiddy qui batifolait à son gré parfois un peu affolé des odeurs de quelques lapins ou d'autres chiens. Il allait et venait comme bon lui semblait. Si parfois je le perdais de vue, je ne m'inquiétais pas, il revenait à chacun de mes appels. Il avait emprunté un des sentiers, avant de s'enfoncer dans un bosquet touffu. Ne le voyant plus galvauder dans le chemin, je m'approchais du bosquet, en l'appelant discrÚtement. Il n'avait toujours pas réapparu, j'approchais du bosquet quand je le vis apparaßtre, la bite totalement sortie claquant sous son ventre, sa boule était sortie elle aussi, veinée de bleu comme lorsque je le branlais, le suçais ou qu'il venait de me sodomiser. Amusé je dis :

— Ben mon salop, tu viens de baiser une chienne ou t'es branlĂ© seul ?

Quand je vis sortir un jeune gars d'environ vingt ans qui souriant me dit :

— C'est moi qui l'a un peu aidĂ©... il Ă  l'air d'ĂȘtre habituĂ© et d'aimer beaucoup ça...

Comme je me contentais de sourire sans rien dire, il continuait :

— Vous le faite souvent avec lui ? Vous faites plus avec lui ?

Ce début de dialogue me mit en émoi et je bandais, ma bite déformait mon pantalon, le gars regardait vers ma braguette avec un sourire d'autant plus entendu que sa pine aussi était tendue. Avec l'audace de son ùge, il me lançait :

— Moi c'est JoĂ«l... Vous voulez bien que je vous suce? Venez...

Il retournait dans le bosquet oĂč un lit d'herbe sĂšches Ă©tait amĂ©nagĂ©. Je l'avais suivi. En un tournemain, il avait retirĂ© son pantalon qu'il accrochait Ă  une branche puis venait vers moi, ouvrait mon pantalon. Je l'aidais pour me retrouver cul nu comme lui, la bite dressĂ©e. Il se penchait devant moi Ă  genoux. D'emblĂ©e, il prit ma pine en bouche pour me pomper avec dextĂ©ritĂ©. Il devait pratiquer depuis longtemps (ce qu'il me confirmera plus tard. Il avait Ă©tĂ© initiĂ© par son oncle, puis avait beaucoup pratiquĂ© avec son frĂšre et aussi son pĂšre). Kiddy qui m'avait vu me mettre cul nu Ă©tait venu s'agripper Ă  ma jambe et limait en mimant une saillie. Il pensait sans doute qu'il allait me baiser. JoĂ«l amusĂ© me lançait :

— On dirait qu'il a envie de baiser ! J'aimerais l'essayer si ça ne te dĂ©range pas ?

Sans autre forme de procÚs, il se mettait à quatre pattes. J'amenais Kiddy vers lui, il s'agrippait aussitÎt à ses hanches. Je guidais la bite contre l'anus offert, le chien s'emmanchait d'emblée à fond et à force d'habitude, limait à une cadence effrénée. Joël clamait son plaisir... Je m'étais glissé sous le jeune gars pour le sucer pendant sa saillie, il tremblait de plaisir. La boule (le knot) du chien avait dû prendre sa taille maximale et lui remplir les entrailles, ce qui le comblait pleinement. Il le faisait savoir :

— Ohh le salaud que c'est gĂ©nial... Tu as vu comme il me bourre ! Il me remplit l'cul comme j'aime... Je suis une vraie chienne...

Joël me lùchait son foutre que j'avalais avec régal. Son plaisir était tel qu'il n'en débandait pas. Ce cochon appréciait pleinement la situation, moi aussi de pomper cette belle bite. Kiddy cherchait à se dégager. Comme le cul de mon ami avait déjà été bien ouvert, ça ne posait pas de problÚme. Un flot de foutre giclait du cul puis dégoulinait sur les cuisses. Le chien venait lécher le tout avant de lécher sa propre bite pour la rentrer dans son fourreau.

Joël s'était assis sur l'herbe sÚche, commentait :

— Quel pied ! ! Il faut que je fasse connaitre ça chez moi... SĂ»r, on va prendre un chien... Mon pĂšre, mon oncle et mon frĂšre, ces cochons, vont adorer... Tu serais d'accord de venir chez nous pour leur faire une dĂ©monstration ?

Ce faisant, il me donnait ses coordonnées et ses téléphones :

— Appelle-moi vite que nous organisions une rencontre chez nous. Je leur ferai voir ! DĂ©pĂȘche-toi, je suis impatient de recommencer !



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J'aimais bien faire des rencontres nocturnes en forĂȘt, les meilleurs endroits Ă©taient alors situĂ©s dans la forĂȘt de Fontainebleau (du moins en rĂ©gion parisienne) et Ă©taient plus particuliĂšrement frĂ©quentĂ©s les WE (entre vendredi soir et dimanche soir). J'aimais plutĂŽt le samedi soir mais ça dĂ©pendait Ă©videmment de la saison, on y rencontrait toutes sortes de mecs, des homos purs et durs bien sĂ»r mais Ă©galement de nombreux hĂ©tĂ©ros Ă  la recherche de plaisirs nouveaux. Tailler des pipes ou se faire limer dans les fourrĂ©s ne posait guĂšre de problĂšme et comme la nuit tous les chats sont gris les physiques des candidats Ă  la fellation n'Ă©taient pas pour moi un critĂšre essentiel. Ce soir d'Ă©tĂ© je choisis un endroit un peu Ă  l'Ă©cart de celui le plus abondamment frĂ©quentĂ©, la nuit est relativement claire, pour ceux ou celles qui connaissent c'est sur les bords de la RN 7 dans les environs du carrefour de la Croix du Grand Veneur , les bas cĂŽtĂ©s sont larges et bitumĂ©s et servent de stationnement pour les voitures des randonneurs et promeneurs qui frĂ©quentent la forĂȘt. Il est environ onze heures du soir et Ă  cette heure les voitures garĂ©es ne sont pas celles de familles ou de sportifs...

Quand je m'arrĂȘte donc la premiĂšre fois sur le bord de la route Ă  l'entrĂ©e de la forĂȘt je trouve qu'il y a
trop de monde, une bonne dizaine de voitures et autant de silhouettes qui vont et viennent dans les bois
et entre les bois et les voitures, aussi je décide de reprendre la route, je fais demi-tour au carrefour et
reprend la direction de Paris, je me gare maintenant de l'autre cÎté à quelques centaines de mÚtres un peu
plus loin.
J'avais dĂ©cidĂ© de jouer le grand jeu et comme il fait trĂšs chaud je ne suis vĂȘtu que d'une chemisette et
d'un short de tennis parfaitement moulant, j'ai l'impression d'ĂȘtre une pute racoleuse dans le bois de
Boulogne ! L'entrĂ©e de la forĂȘt se fait par un petit chemin de terre, une barriĂšre de bois empĂȘche les voitures et les
motos de s'engager sur ce chemin, je m'assois sur la barre de bois, ainsi parfaitement visible de la route
et de ses abords.
Les phares des voitures m'Ă©clairent de temps en temps, une, deux, trois et la quatriĂšme s'arrĂȘte, ça ne
fait pas deux minutes que je suis en position ! Ma posture, style pute de bar , et ma tenue plutĂŽt lĂ©gĂšre ne peuvent prĂȘter Ă  confusion quant Ă  mon
rĂŽle passif dans le cadre d'une relation sexuelle.

Un type apparaßt en "contre-jour" à l'entrée du chemin,
il est du type grand et massif, il s'approche, je ne peux distinguer les traits de son visage,

Pour toute réponse je m'agenouille à ses pieds,

— Attends, on va plus loin, on est trop prùs de la route.

Je me relĂšve donc et nous faisons quelques mĂštres dans le chemin, il y fait de plus en plus sombre,
il s'arrĂȘte et je reprends ma position, je l'aide Ă  ouvrir sa braguette et sort son sexe du pantalon, une
grosse queue Ă©paisse et de grosses couilles extrĂȘmement velues, il ne bande pas encore, je dĂ©calotte
le gland et le prends entre mes lÚvres, il est tiÚde et sent une agréable odeur légÚrement musquée.
Je le lĂšche et le suce un moment tout en caressant les couilles, l'homme commence alors Ă  bander,
la queue grossit et durcit entre mes lĂšvres et je commence ma fellation.
Il est adossé à un arbre et me caresse doucement les cheveux.

— Putain que tu suces bien! Oh oui... C'est bon !

Content que ça lui plaise, j'aime faire plaisir aux hommes et je suis heureux quand ils le disent, il se
penche pour me caresser, j'ouvre alors ma chemisette et il commence Ă  me titiller les pointes des seins,
j'Îte alors ma chemise ce qui semble décupler son excitation car il se penche un peu plus pour me
caresser le sexe, j'ouvre mon short, comme il a un bon ventre j'ai maintenant la tĂȘte Ă©crasĂ©e dans
son Ă©paisse toison.

Il semble vraiment étonné et il veut me voir, je cesse donc ma pipe et me remets debout face à lui,
il me fait baisser le short Ă  mi-cuisses et comme il veut mieux examiner mon corps glabre il me fait
marcher vers la route, pour marcher plus aisément j'enlÚve alors complÚtement mon short et c'est
complÚtement nu que je l'accompagne, il me caresse maintenant avec une certaines fébrilité, ses
mains s'attardent particuliÚrement sur mon pubis et mes couilles fraßchement épilés et parfaitement
lisses.

Sa curiosité assouvie nous revenons vers l'arbre et ma chemisette et je reste alors nu pour le sucer.
Il gémit de plaisir tandis mes lÚvres glissent sur la peau de sa queue et de ses couilles, je glisse
une main entre ses fesses et tente de lui titiller la rondelle.

Je n'insiste donc pas et je sens qu'il est sur le point de jouir, sa queue se raidit un peu plus, il
veut la sortir de ma bouche mais comme j'insiste pour la garder il me laisse faire, c'est avec
délice que je reçois sur ma langue son liquide tiÚde au fort goût de sperme, j'avale
jusqu'à la derniÚre goutte et relùche le morceau débandant.

Il referme sa braguette et c'est toujours nu que je l'accompagne vers la route, il me quitte et je
décide de rester "à poil", je range mon short et ma chemise contre un pied de la barriÚre et
reprends ma position sur la barre de bois.

Cinq minutes Ă  peine plus tard une nouvelle voiture s'arrĂȘte, c'est la premiĂšre fois que je drague
complĂštement nu et j'ai quand mĂȘme quelques apprĂ©hensions et je rĂ©siste Ă  l'envie de remettre
mes vĂȘtements.

— T'es gonflĂ© de draguer Ă  poil ! Tu te fais enculer ?

Je suis d'accord et nous nous enfonçons dans la forĂȘt.

Il baisse alors son pantalon, sans doute excité par ma nudité il bande et malgré la nuit je peux
distinguer un beau gland brillant, je me mets Ă  quatre pattes et il s'agenouille aprĂšs avoir mis un
préservatif.

Il glisse un doigt dans mon anus pour agrandir son ouverture et je sens maintenant son gland
qui force l'entrée, je suis large et la queue glisse doucement dans mon rectum, l'homme me
maintient alors par les fesses et il commence Ă  me limer.
C'est un bon baiseur, il est calme et viril, c'est avec une parfaite régularité que son dard va et
vient dans mon corps, il s'y enfonce de toute sa longueur et je sens parfaitement ses couilles qui
s'Ă©crasent sur les miennes.
Je ressens un plaisir immense et une réelle jouissance anale, je ne reste pas inactif et j'accompagne
ses "va et vient" d'expert baiseur en poussant des gémissements et des petits cris comme une
femme comblée.

Soudain nous sommes dérangés par un nouveau venu mais le trouble est vite dissipé et le nouvel
arrivant sans dire un mot s'agenouille devant mon visage et me présente sa queue dressée, il avait du
s'exciter en nous matant.
Me voici donc rempli devant et derriĂšre, ce n'est certes pas la premiĂšre que je me retrouve ainsi
pris en sandwich mais je ressens toujours le mĂȘme plaisir Ă  me faire prendre par plusieurs
hommes, j'ai toujours enviĂ© les femmes qui peuvent se faire prendre par trois hommes en mĂȘme
temps.
Nous sommes assez prĂšs de la route et c'est avec vraie excitation que je vois les phares des voitures
qui défilent entre les feuilles des arbustes.
L'homme que je suce dit alors :

L'autre ne répond pas et continue de me baiser en silence et ses mains me caressent les fesses, je
me sens alors parfaitement bien dans la chaleur de cette nuit, nu et baisé.
Mon enculeur jouit alors, il enfonce une derniĂšre fois son phallus au plus profond de mon corps
et je sens parfaitement ses vibrations tandis qu'il Ă©jacule.
La chose terminée il se retire, une derniÚre tape sur mon postérieur et il s'en va sans ajouter un mot
et je poursuis ma fellation, je ressens encore la jouissance de mon cul.
Il va jouir.

Je marmonne un oui et je sens son sperme qui me remplit la bouche, il me tient par la tĂȘte
tandis qu'il vide ses couilles, constatant que j'avale son foutre il me dit :

Il ramasse alors le préservatif usagé, le sperme n'a pas coulé et la poche est toujours remplie,
il finit de jouir, sort sa queue de ma bouche et comme en signe d'approbation je garde la
bouche grande ouverte il vide le contenu du préservatif sur ma langue, le foutre est encore
tiĂšde et gras, afin que je puisse la vider complĂštement je lui prends la capote et la mets dans
ma bouche pour la mĂącher tel un chewing-gum et je me relĂšve.
Avec délice j'avale les derniÚres gouttes qui sortent du préservatif.

L'homme s'en va et je reprends mon attente sur la barriÚre, je me sens à présent parfaitement à
l'aise dans ma tenue d'Adam presque sur le bord de la route.
Il doit ĂȘtre plus de minuit et le trafic est plus calme que tout Ă  l'heure, une camionnette s'arrĂȘte
alors de l'autre cÎté de la route juste en face de moi, un homme en descend et le silence nocturne
me permet de percevoir parfaitement ce qu'il dit :

— Tu prends le volant jusqu'à Sens, j'ai un coup de barre.

— OK, OK je pisse un coup et on repart !

C'est en revenant de pisser qu'il me voit alors dans les phares d'une voiture, il dit Ă  son pote,

— Y a un mec Ă  poil de l'autre cĂŽté !

— C'est plein de pĂ©dĂ©s par ici, si t'as envie de te faire sucer c'est gratos !

Il descend du véhicule et me crie :

— Mais j'suis pas pĂ©dĂ©, j'ai une femme et des gosses !

— Moi aussi et alors ? T'es pas pĂ©dĂ© parce que tu te fais sucer par une pĂ©dale ! Tu fais comme tu
veux mais moi j'ai envie de me vider les couilles !

Je me lĂšve et me dirige vers la route, il n'y a personne et c'est toujours complĂštement nu que
je la traverse.
J'arrive Ă  hauteur des deux hommes.

— T'as l'air d'ĂȘtre une belle salope c'est la premiĂšre fois que je vois un type Ă  poil par ici !

Ils me font monter dans la camionnette et nous nous installons Ă  l'arriĂšre, ils allument le
plafonnier, ils transportent des meubles et ils s'assoient sur un canapé, ils rient.

— Regarde comme elle est mignonne sa petite bite rasĂ©e !

Sans rien dire je m'agenouille et ils sortent leurs bites,
Le type qui avait des remords dit à l'autre :

— Tu t'es dĂ©jĂ  fait sucer par un mec ?

— Ouais je fais souvent cette route et quand j'ai un peu de temps je m'arrĂȘte par ici et pourtant je
suis pas pédé !

Je commence alors mes pipes et quand je prends la bite du premier je sens une petite boule et
effectivement je reconnais une queue que j'ai déjà sucé deux ou trois fois.

— Elle suce bien cette chienne, alors ça te fait quoi de te faire sucer par un pĂ©dé ?

— Il suce bien, mieux que ma femme mĂȘme !

— Moi ma femme elle veut pas sucer, c'est pour ça que je m'arrĂȘte ici, c'est mieux que les putes
et surtout c'est gratos !

Ils allument alors chacun une cigarette, s'ouvrent une biĂšre et poursuivent leur dialogue.

— Alors on n'est pas bien là peinard à se faire pomper par un vide-couilles ?

— Ouais j'aurai jamais cru qu'un jour je me ferai sucer par une pĂ©dale.

— En plus pour une premiĂšre t'es tombĂ© sur un bon, regarde-moi comment il nous les prend !

C'est alors que je lui fais une belle gorge profonde.

— Regarde moi ça, il me la prend complùte ! C'est la premiùre fois que ça m'arrive ! Toi t'es pas
mal monté on va voir s'il y arrive !

Et il m'invite à changer de bite, effectivement l'autre homme est bien monté et quand j'arrive
Ă  lui faire la mĂȘme chose il est Ă©patĂ©.

— Tu diras à ta femme de prendre des cours auprùs de ce mec !

— HĂ© le pĂ©dĂ©, j'ai envie de te voir te branler !

Je cesse ma fellation et me mets debout.

— Non je prĂ©fĂšre te voir couchĂ© Ă  nos pieds !

— Je l'ai vu tout de suite, ce mec est une lopette, c'est souvent avec ces petites tapettes, tu peux
lui faire faire tout ce que tu veux, t'as des fantasmes ?

Je me branle doucement sous leurs regards amusés, l'autre répond :

— Euh... j'ai pas trop de fantasmes pĂ©dĂ©s, ah si, je voudrais le voir s'enfiler un truc dans le cul !

— C'est pas trop gros pour toi j'espùre !

Je jouis alors sur mon ventre, je récolte alors mon sperme sur mes doigts et l'avale devant leurs
yeux étonnés et sans discuter me mets à quatre pattes le cul dressé vers eux.
J'Ă©carte les cuisses et Ă©carte mes fesses avec mes mains pour leur offrir mon anus, ils
rigolent et je sens le manche du marteau contre ma rondelle, mon trou s'ouvre et l'objet glisse
pratiquement tout seul, entiĂšrement.

— Merde alors ! Moi qui peux à peine me mettre un suppo ! On a plus gros ?

C'est alors le tour d'un gros tournevis de me visiter et comme je l'absorbe Ă©galement sans aucune
difficulté, ils décident de me mettre les deux, ça commence à me faire mal et je gémis, ils ajoutent
alors un nouveau tournevis un peu plus petit.

— Tu parles ces trous à bites ça peut prendre une main dans le cul ! T'as jamais vu des images de ça ?

— Ça s'appelle un fist-fucking, mais j'ai pas envie de foutre ma main dans sa merde ! on lui enlùve
tout ça et on lui fout la canette de biÚre !

SitĂŽt dit sitĂŽt fait et je sens maintenant la petite bouteille de Kronenbourg qui glisse dans mon rectum,
c'est limite pour moi mais ça rentre sans trop de dégùts...
C'est la bouteille enfoncĂ©e dans le cul que je termine mes fellations, il jouissent presque en mĂȘme temps
dans ma bouche grande ouverte et offerte pour recevoir leurs giclées.
Ils me font descendre de la camionnette, j'ai encore la bouteille dans le cul, je traverse vite la route
tandis qu'ils démarrent.
La bouteille est bien enfoncée et j'ai du mal à l'enlever...

J'ai vu sur l'horloge du tableau de bord qu'il est deux heures du matin et je décide de continuer ma
nuit ici.
Il y a de plus en plus de monde sur l'autre site, un ballet de voitures qui arrivent et partent sans
arrĂȘt des deux cĂŽtĂ©s de la route maintenant, je sors alors du bois et lorsqu'il n'y pas de trafic
je marche autour de ma voiture et m'assoie sur le capot, la nuit est claire et je suis ainsi Ă  la vue de
tous, bien que je sois à deux cent mÚtres environ ils peuvent parfaitement distinguer ma nudité.
Une voiture quitte le groupe et se dirige vers moi sans quitter le bas cÎté de la route, les phares sont
allumés et je me retrouve dans la lumiÚre. L'homme éteint ses phares et me rejoint.

— T'es louf de te balader Ă  poil ici ! Les gendarmes sont passĂ©s il y cinq minutes !

Ils sont passés pendant que je me faisais défoncer par les deux camionneurs, je l'ai échappé belle !
Nous rentrons dans le bois et c'est reparti.
Deux autres types qui ont sans doute vu mon exhibition nous rejoignent quelques minutes plus tard et
c'est Ă  trois queues maintenant que je rends hommage.
C'est avec délice que je sens toutes ses mains fébriles et excitées, elle me caressent le sexe, les seins
et les fesses, glissent entre mes fesses, les doigts me pénÚtrent et on me fait prendre des multiples
positions pour mieux s'occuper de mes parties les plus intimes.
C'est alors que je suis debout et penché pour sucer qu'un des hommes décident de m'enfiler, il
a mis une capote.
Dans ce genre de situation j'ai toujours peur qu'un homme oublie ou n'aie pas de préservatif et
comme je suis pris j'aurai du mal Ă  l'empĂȘcher de m'enculer ainsi.
C'est alors que je m'aperçois qu'ils sont à présent cinq ou six autour de moi, je commence à
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