Une mère et son fils pendant que personne ne regarde

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Une mère et son fils pendant que personne ne regarde
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le 09/08/2022 à 15h55

par Marie Auffret-Pericone


- Lecture en 3 min


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21/11/2008 16:12



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c bizarre moi mon enfant ne me lache pas depuis trois ans en plus il n'a confiance en personne et surtout son pere.Ce dernier quoi qu'il fasse il ne le regarde pas et refuse de lui parler.s'ilvous plait aidez moi que faut il que je fasse?


08/12/2008 11:17



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Bonjour,ma petite fille va avoir 2 ans et j'ai du mal a la sevrer de l'allaitement,j'aimerai qu'elle arrete a présent sauf qu'elle ne boit prend aucun laitage car elle n'aime pas du tout ,je ne sais plus quoi faire pourtant j'ai essayé de lui donné du lait alors qu'elle n'avait que 3 mois pour cause de travail et ca ne passait pas du tout .


17/01/2009 23:37



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Il faut que tu essayes des tétines "nuk" pour ses biberons, moi avec mon fils ca a marché. Surtout il fait que ce soit clair dans ta tête que tu veux arrêter l'alaitement, car en cas d'hésitation ton enfant le ressent, si tu es sure, il te fera confiance que c'est la bonne chose! Surtout, moi c'est ce qui a marché: sois encore plus CALINE que d'habitude pour qu'il comprenne que tu l'aimes toujours autant et qu'il aura toujours les calins (car pour lui la tétée c'est aussi un calin!) Moi avec mon bébé c'est passé comme une lettre à la poste!


23/03/2009 20:07



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je ne sais trop où poser mon inquiétude, et surtout celle de mon compagnon séparé de la mère de l'enfant.
Son fils âgé de 17 mois, pleure, hurle, ne veut pas quitter son père qu'il voit tous les 15 jours (du samedi 10h au dimanche soir 18h... décision injuste de la justice). En bref, il ne souhaite pas rester avec sa mère...
A chaque séparation, c'est une déchirure pour tous.
Nous aimerions comprendre ce qui pourrait mettre son fils dans un tel état, pourquoi il ne veut pas aller avec sa mère. (pendant la période où il n'a pas son fils, il n'a pas de nouvelles de lui, messages sans réponse de la mère)
Merci de vos réponses...


29/05/2009 14:03



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Bonjour,
Ma fille est dans cette période depuis près d'un mois. Elle a 26 mois. C'est vraiment "déstabilisant". Nous on a opté d' y répondre (j'accepte de la "prendre en charge plus souvent" tout en faisant participer occasionnellement son père.

Des petits trucs que j'ai appliqué :

- Faire participer papa mais en notre présence (ex : brosser les cheveux de la petite qui ne voulait pas papa : je tenais la main de mon conjoint et disait a ma fille : regarde on le fait ensemble. Aussi lors du bain je reste les premières minute avec mon conjoint. Une fois qu'elle est calme et qu'elle accepte le bain même si papa est la, je pars.)

- Des petites surprises quand elle accepte que papa prenne soin d'elle (j'ai du m'absenter un soir et au moment du départ elle devait me dire : "bye bye, a tantot maman, bisous calins" et papa lui montrait la surprise en même temps.On lui a donné une surprise aussi quand papa a réussi a lui donner le bain sans crise.


22/02/2012 00:53



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3ans depuis que sa soeur est nait il veut rester avec sa maman je suis le papou il ne veut plus rester avec nous


28/06/2013 11:39



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j ai une fille de 13 mois(la 3eme) des qu on va ex. chez ma copine elle ne veut plus s eloigner de moi elle n arrete plus de pleurer meme avec ses frere et soeur ne veut plus jouer pourtant a la maison elle reste seule avec eux avec papa je ne suis pas une maman a porter trop dans les bras des la naissance elle dort dans son lit des l age de 9 mois elle dort avec sa soeur et frere elle s endort seule elle est independante. meme quand je vais cz le coiffeur elle pleure des que le coiffeur me touche ou ma kine .... merci


25/11/2013 14:12



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Bonjour à tous,
Mon fils de 2 ans et demi se reveil la nuit et hurle maman! Il ne veut plus s endormir seul,et ne veut que moi sa maman. je pensais à des angoisses ou des cauchemar! Du coup nous le prenons dans le lit avec nous mais j'ai peur de l habituer. Berceuse, histoire, calins, rien n'y fait d qu'il se rendort il se reveil automatiquement pour voir si je suis encore la.bébé 2 sera la dans 6mois, est ce que ca le perturbe?! je ne sais pas comment réagir! je voulais tester un lit de grand mais du coup je ne sais pas si c'est la bonne chose à faire!! que faire quoi faire !!!! HELP je suis épuisé. ..


20/03/2018 22:16



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03/06/2019 12:03



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Bonjour à tous
Mon fils de 8 mois pleure pendant son sommeil.il ne me lâche pas une seconde.toute la journée il veut que je puisse le soulever .avec sa nounou il ne fait pas les mêmes caprices et cela a débuté depuis le jour ou son pédiatre avait couper son frein de langue .il n'est calme que quand je suis a ses cotés.

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Lorsque votre enfant est perturbé, inquiet ou simplement un peu fiévreux, "Je veux maman" est le cri du cœur par excellence. Il vous paraît tout naturel de répondre à sa demande de réconfort. Mais ses raisons sont parfois obscures. Pourquoi exige-t-il, par exemple, que vous soyez la seule à lui mettre son manteau ou à lui verser de l'eau dans son gobelet?
Ces périodes de régression sont indispensables au bon développement de votre enfant. Langage, marche, propreté… ces derniers mois, il a accumulé un nombre impressionnant d’acquisitions nouvelles sur les plans physique et intellectuel. Or, depuis qu’il est bébé, chaque nouvel apprentissage entraîne un moment d’angoisse qui pousse votre enfant dans les bras de la personne qui le rassure le plus au monde, sa maman !
Grâce à ses nombreux progrès, il devient de plus en plus autonome. Il peut se sentir un peu coupable de s’éloigner progressivement de vous . Ce qui explique aussi cette tendance à ne pas vous lâcher d’une semelle.
Un changement dans sa vie l’a peut-être perturbé. Beaucoup d’événements sont inquiétants lorsqu’on a à peine 3 ans ! Il a fait sa première rentrée à l’école, vous reprenez votre travail ou il va bientôt avoir un petit frère ou une petite sœur ? Toutes ces raisons, et bien d’autres encore, peuvent expliquer qu’en ce moment, il a besoin de se rassurer auprès de vous.
A 2-3 ans, votre enfant est confronté à des angoisses liées à la perte de sa toute-puissance . Il veut prouver qu’il peut maîtriser certaines choses ou certaines personnes. Du coup, il est tenté de tester vos limites, en général plus élastiques que celles de son papa qu’il voit parfois comme le Grand Interdicteur.
Il va falloir distinguer ce qui est le plus important dans sa demande. Est-ce la volonté de tout régenter ou le besoin de se rassurer ? Selon le cas, la réponse est modulée. C’est avec votre complicité qu’il réussira à s’éloigner de vous et à grandir.
Gardez à l’esprit que ce n’est pas à votre enfant de décider qui fait quoi à la maison : qui vient le chercher à la crèche , lace ses chaussures ou conduit la voiture.
Laissez-lui la possibilité de régresser un peu tout en posant des limites : « D’accord pour aujourd’hui, mais demain… ». Il vous demande de lui donner son bain ce soir ? Pourquoi ne pas vous accorder ce moment privilégié avec lui si vous êtes disponible ? Mais si vous avez d’autres projets, surtout ne cédez pas.
N’hésitez pas à répondre à ses attentes s’il est dans une période agitée par diverses peurs (du noir, du bain , etc.). Votre présence est vraiment nécessaire pour l’aider à chasser les vilaines sorcières.
Ces périodes crampons durent rarement plus de quelques semaines. Si l’attitude de votre enfant persiste, interrogez-vous sur vos propres sentiments. Peut-être vous sentez-vous flattée et valorisée de le voir vous manifester un amour si exclusif et de vous sentir indispensable. A l’inverse, peut-être trouvez-vous son comportement tellement pesant que vous avez tendance à déléguer plus que d’habitude et à le pousser vers les autres renforçant ainsi son angoisse ou sa volonté de toute-puissance.
Marie Auffret-Pericone avec Emmanuelle Rigon, psychologue.

Publié
le 14/05/2022 à 12:10 , Mis à jour le 14/05/2022 à 16:41
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Pendant des mois, June Hopkins et son fils ont espionné le père de ce dernier avant de tenter de l'assassiner à deux reprises.
Une mère et son fils américains ont été condamnés vendredi 13 mai, à Paris, à 16 et 12 ans de réclusion criminelle pour avoir tenté d'assassiner le père français de ce dernier, sur fond de «complot» et d'héritage familial.
La cour d'assises a également prononcé une interdiction définitive du territoire français pour June Hopkins, 60 ans, et de région parisienne pendant 15 ans pour son fils, Brendan Walsh, 30 ans. Elle a reconnu l'altération du discernement du fils, décrit par l'accusation comme « sous la coupe » de sa mère.
À VOIR AUSSI - Triple homicide à Chalon-sur-Saône: deux femmes et une fillette tuées
En 2010, June Hopkins et son fils viennent de reprendre contact avec le père de ce dernier, Grégoire L., qu'ils n'avaient pas vu depuis quinze ans. June Hopkins aimerait que son fils prenne le nom de son père. Les démarches sont faites. À l'été, une dispute éclate quand Grégoire L. s’aperçoit que sa famille américaine avait fouillé ses papiers, notamment ceux concernant la succession de son père. Son fils l'aurait alors aspergé d'allume-barbecue, avant de tenter d'actionner un briquet.
La cour a choisi de requalifier cette première tentative de meurtre en violences volontaires, « principalement par manque d'éléments matériels », a justifié le président Christophe Petiteau. Elle a par contre reconnu June Hopkins et Brendan Walsh coupables de tentatives d'assassinat sur Grégoire L. et sa sœur en 2015, devant leur domicile. Ils avaient été agressés par « les Américains », qui avaient tenté de les étrangler, casques de moto sur la tête. « Ce que ne savent pas encore les enquêteurs » à l'époque, avait dit l'avocat général Olivier Bray dans ses réquisitions, c'est que June Hopkins et son « bras armé » de fils vivaient depuis trois ans « en vase clos » à Paris, consacrant l'intégralité de leur temps à espionner et harceler Grégoire L., animés d'une « haine farouche, un désir absolu de vengeance ».
Dans leur cave, les enquêteurs avaient retrouvé des lunettes caméra, des gilets de camouflage, des masques, une scie, une machette et une hache. Grégoire L., « tombé dans une profonde dépression » et dont la vie était devenue « un enfer », et sa famille, n'avait « rien demandé », martèle-t-il.
Les deux accusés ont toujours contesté les accusations, se présentant en victimes d'un « complot » du père et de ses proches pour les éliminer. « Pour quelle raison ? », n'a cessé de demander la cour depuis le début du procès lundi, sans obtenir de réponse cohérente.
« Le complot, c'est un écran de fumée », balaie l'avocat général. « On a créé une histoire pour légitimer les actions ». C'est une « histoire de fou », ils ont l'air « d'amateurs » mais ce n'est pas « drôle ». « Évidemment qu'elle croit à ce complot », s'emporte en défense l'avocate de June Hopkins, Sophie Rey-Gascon. « Sinon, elle n'aurait pas passé trois ans enfermée » dans ce projet « irrationnel », a-t-elle continué, rappelant les micros planqués devant chez Grégoire L., les théories autour de « tueurs à gages », « trafiquants de drogue » et « mafia russe ».
« C'est n'importe quoi », mais « on n'a pas les clefs pour comprendre », estime l'avocate, regrettant que sa cliente n'ait connu qu'une expertise psychiatrique - qui avait conclu à l'absence de trouble. De son côté, Brendan Walsh « fait un travail sur lui », il comprend aujourd'hui qu'il « a été emporté dans le délire paranoïaque » de sa mère, plaide son avocate, Julie Février.
June Hopkins, toujours « fantasque » et « rayonnante » est aussi la femme violée par son père pendant son enfance, rappelle sa défense. « Elle sourit tout le temps » mais « presque comme une poupée cassée ». Pour la première fois dans le box, l'Américaine à la longue tresse de cheveux blonds dans le dos pleure. « Je n'ai jamais eu l'intention de faire du mal à personne », dira-t-elle dans ses derniers mots à la cour. Les yeux rougis par les larmes, Brendan Walsh avait lui regardé sa famille française. « J'ai eu du temps pour réfléchir en prison, je me suis rendu compte du mal que j'avais fait. Je suis désolé ». La sœur de Grégoire L. hoche la tête, son frère lui ne bouge pas. À La cour, Grégoire L., visiblement abîmé, avait dit espérer que son fils se soigne.
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