Une livraison qui vire au plan saphique

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Faits divers Justice


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Qu'il pleuve ou qu'il vente, c'est Ă  chaque fois l'angoisse.
Entre omissions et malfaçons, le rĂȘve d'extension du couple a virĂ© et cauchemar.



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Le Tour Poitou-Charentes en chiffres




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Publié le

18/05/2014 Ă  08:46
| Mis Ă  jour le

02/06/2017 Ă  13:36


Mer. Au premier coup d’Ɠil, elle est bien jolie cette entrĂ©e avec vue sur le jardin. A y regarder de plus prĂšs, cette piĂšce rajoutĂ©e est une vraie catastrophe.
Cette extension, ils en ont rĂȘvĂ©. En 2011, la quarantaine approchant, Armelle et Laurent dĂ©cident de franchir le pas. Relier leur maison au petit bĂątiment annexe, distant de quelques mĂštres. Soit 12 m 2 d'extension pour un gain de surface total d'environ 25 m 2 . Un vrai plus pour eux et leurs trois enfants.

Pour rĂ©aliser ces travaux, ils font appel Ă  une entreprise de la vallĂ©e du Cher apparemment sĂ©rieuse. « J'ai mĂȘme appelĂ© la CCI pour m'assurer de la soliditĂ© de cette sociĂ©tĂ© » , explique Armelle. « Nous avons signĂ© un contrat, pour 40.000 €. Le chantier ne devait durer que deux mois. » Il en prendra plus du triple.
« Avec le recul, j'ai conscience que tout est mal parti dĂšs le dĂ©part. DĂ©jĂ , les fondations n'ont jamais Ă©tĂ© faites. » A la premiĂšre grosse pluie, c'est l'inondation, puisqu' «aucun Ă©coulement n'a Ă©tĂ© prĂ©vu » . Et puis, il y a eu les gouttiĂšres. « Elles passent dans la maison de chaque cĂŽtĂ©, entre le toit et les plaques de plĂątre ! » Que ce soit pour la maçonnerie, les enduits, les plaques, la charpente, les huisseries, ou la plomberie, le gaz et l'Ă©lectricitĂ© (qui ont Ă©tĂ© sous-traitĂ©s), rien ne semble avoir Ă©tĂ© fait dans les rĂšgles de l'art.

Le 7 octobre 2011, pour la rĂ©ception des travaux, le couple prend ses prĂ©cautions. « On a fait venir un huissier et un expert en construction, pour faire part de nos " rĂ©serves ". L'entrepreneur a refusĂ© de signer. Depuis, on n'arrĂȘte pas de se battre. » MĂȘme s'ils ont pris un avocat, leurs malheurs ne s'arrĂȘtent pas lĂ . « Fin 2012, ma fille aĂźnĂ©e a Ă©tĂ© Ă©lectrocutĂ©e en frĂŽlant une prise. » L'Ă©lectricien reconnaĂźtra finalement avoir " oublié " de relier l'installation Ă  la terre. « DĂ©but 2013, il y a eu une fuite de gaz sous l'entrĂ©e. " Urgence gaz " a immĂ©diatement coupĂ© l'alimentation pour des raisons de sĂ©curitĂ©. Mais ils ont refusĂ© de la remettre avant dĂ©cembre 2013
 parce qu'on n'avait pas notre rĂ©ception de travaux. » Une annĂ©e sans eau chaude ni chauffage, l'installateur du poĂȘle ayant refusĂ© de raccorder : « MĂȘme ça, ce n'Ă©tait pas conforme ! » , lĂąche-t-elle dans un rire de nervositĂ©.

« Entre les experts, les huissiers, l'avocat, les frais divers
 on a dĂ©jĂ  dĂ» payer 14.500 €. En plus des 32.000 € versĂ©s Ă  l'entrepreneur. » Toutes leurs Ă©conomies – et mĂȘme bien plus – y sont passĂ©es. « Comme nous travaillons tous les deux, nous n'avons droit Ă  rien. On paye nos impĂŽts, on pense avoir des droits
 mais en fait, on est seuls. »
MalgrĂ© la solidaritĂ© familiale, les coups de main des amis, le couple plonge chaque jour un peu plus. De dĂ©couvert en dĂ©couvert, jusqu'au surendettement. « Ma banquiĂšre me dit que c'est un accident de la vie ! » A plus de 1.000 € de frais bancaires rien que sur une annĂ©e
 on frĂŽle le suraccident. Leur dossier vient d'ĂȘtre acceptĂ© par la Banque de France. Un rĂ©pit qui, espĂšrent-ils, leur permettra de voir une issue favorable en justice
 d'ici un an et demi peut-ĂȘtre.

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« Avec le recul, j'ai conscience que tout est mal parti dĂšs le dĂ©part. DĂ©jĂ , les fondations n'ont jamais Ă©tĂ© faites. » A la premiĂšre grosse pluie, c'est l'inondation, puisqu' «aucun Ă©coulement n'a Ă©tĂ© prĂ©vu » . Et puis, il y a eu les gouttiĂšres. « Elles passent dans la maison de chaque cĂŽtĂ©, entre le toit et les plaques de plĂątre ! » Que ce soit pour la maçonnerie, les enduits, les plaques, la charpente, les huisseries, ou la plomberie, le gaz et l'Ă©lectricitĂ© (qui ont Ă©tĂ© sous-traitĂ©s), rien ne semble avoir Ă©tĂ© fait dans les rĂšgles de l'art.

Le 7 octobre 2011, pour la rĂ©ception des travaux, le couple prend ses prĂ©cautions. « On a fait venir un huissier et un expert en construction, pour faire part de nos " rĂ©serves ". L'entrepreneur a refusĂ© de signer. Depuis, on n'arrĂȘte pas de se battre. » MĂȘme s'ils ont pris un avocat, leurs malheurs ne s'arrĂȘtent pas lĂ . « Fin 2012, ma fille aĂźnĂ©e a Ă©tĂ© Ă©lectrocutĂ©e en frĂŽlant une prise. » L'Ă©lectricien reconnaĂźtra finalement avoir " oublié " de relier l'installation Ă  la terre. « DĂ©but 2013, il y a eu une fuite de gaz sous l'entrĂ©e. " Urgence gaz " a immĂ©diatement coupĂ© l'alimentation pour des raisons de sĂ©curitĂ©. Mais ils ont refusĂ© de la remettre avant dĂ©cembre 2013
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