Une fin plutôt heureuse

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Une fin plutôt heureuse

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Après avoir joué 100 heures à Cyberpunk 2077, obtenu plusieurs trophées et développé vos compétences, vous pensez probablement que le jeu touche à sa fin. Sachez qu’il vous reste encore pas mal d’heures de jeu, à cause de toutes les fins.
Évidemment, l’article qui suit est truffé de spoilers. Vous voilà prévenus.
À ma connaissance, il y a au moins sept fins à Cyberpunk 2077. Parmi celles-ci, il y en a deux que je considère comme des « bonnes fins ». Mais tout ça est très subjectif.
Pour obtenir la dernière fin mentionnée ici, la plus légendaire à mon avis, il vous faudra probablement refaire un tiers du jeu.
C’est pour cette raison que je dis qu’il y a sept fins « à ma connaissance ». Le jeu est tellement rempli de petites surprises que ça ne m’étonnerait pas du tout qu’il y en ait d’autres.
Il faudra d’ailleurs que j’essaie de passer la frontière après une mission dans les Badlands, juste pour voir…
Quand Hanako se décide enfin à vous rencontrer en personne, c’est le début de la fin. Elle vous invite au bar pour vous expliquer comment vous séparer de Johnny, et c’est tout ce que vous avez besoin de savoir. Si vous avez vu cette scène, vous ne pouvez plus reculer. Vous devrez choisir comme l’histoire se termine.
À ce moment, votre santé se met à se détériorer à vitesse grand V (ohoh!) et vous devez vite mettre un terme à ce mal qui vous ronge.
Une fois sur le toit, Johnny nous dit de ne pas aller avec Arasaka parce qu’on y perdrait notre âme. Pendant qu’il le dit, c’est écrit derrière « Secure your soul ». C’est clair que c’est une mauvaise idée. Ça ne pourrait pas être plus clair. Arasaka, c’est le diable. Pourquoi on ferait ça?
Parce qu’on n’écoute jamais les conseils de personne, voilà pourquoi. Et puis Hanako était plutôt sympathique et convaincante. On se dit pourquoi pas?
La mission commence avec Hanako qui doit être libérée de la maison de son frère et elle se termine au coeur de la tour Arasaka, avec son frère déchu à qui il ne faut pas faire de mal. En chemin, vous verrez le construct de Jackie et vous comprendrez rapidement que ça n’a rien à voir avec le construct de Johnny.
Une fois la connexion établie au point d’accès, V se retrouve coincée dans l’espace avec le pire personnel hospitalier du monde, suite à une opération visant à enlever la relic qui a complètement anéanti Johnny.
Johnny est mort. C’est déjà affreux. Et puis deux choix s’offrent à nous.
1- V peut retourner sur terre et mourir dans quelques mois après avoir déçu tout le monde. ( Voyez la fin complète ici )
2- V peut signer un contrat bien louche pour se retrouver dans la prison des âmes sous le contrôle total d’Arasaka.
Les deux fins Arasaka sont mauvaises et Misty ne manque pas de nous en faire part en tirant nos cartes pendant le générique.
Si Johnny réussit à convaincre V de lui laisser les commandes, l’aventure dans la tour Arasaka prend immédiatement un tournant qui a plus de gueule.
Rogue, après s’être brièvement laissée désirer, prépare un arsenal digne de la plus belle rébellion du futur. Elle a raté son coup une fois, mais visiblement, elle n’a pas l’intention de recommencer.
C’est donc armés jusqu’aux dents et chaussés de bottes anti-gravité qu’on arrive par le toit de la tour. Il ne reste plus qu’à descendre jusqu’à la salle de commandes.
C’est assez facile jusqu’à la rencontre avec Adam Smasher (qui tue Rogue). Après, on apprend par Alt que le corps de V rejette désormais son esprit et qu’il appartient désormais à Johnny Silverhand.
1- Garder le corps et vivre une vie de vieux rockstar en aidant un jeune à confronter son père et à prendre confiance en lui. C’est une fin plutôt heureuse, si vous êtes fans de Johnny.
2- Laisser V reprendre son corps malgré ses protestations. V sera alors propriétaire du bar de Rogue et partira pour une mission vers le casino Arasaka (qu’on ne voit pas). Si vous êtes avec Judy, elle vous quittera. So vous êtes avec River, il ne sera pas ravi, mais il vous attendra.
Les Aldecaldos, c’est votre famille. Ils sont prêts à mourir pour vous. Johnny a beau ne pas être d’accord, ça reste la fin la plus naturelle pour V.
Vous commencerez par faire la fête dans les Badlands et conduire cet horrible véhicule volant jusqu’à la tour Arasaka. Une fois sur place, vous devrez battre les gardes, puis monter jusqu’à la salle de commandes.
Si Alt vous aide, l’intérieur de la tour ira très vite, mais Saul ne sera pas impressionné.
Puis, encore une fois, deux fins s’offrent à vous : donner le corps de V à Johnny ou le garder pour vous.
Le donner à Johnny est bien gentil, mais il n’en veut pas vraiment et Rogue le déteste de vous avoir laissé faire. Mais la fin est presque identique à celle de vieux rockstar dans la mission avec Rogue. C’est somme toute une assez bonne fin.
Si toutefois vous gardez le corps, c’est vous qui partirez avec les Aldecaldos (et Judy si c’est elle que vous avez appelé). C’est probablement la fin la plus heureuse du jeu.
Tout ce que Alt peut vous proposer, c’est de vous transformer en construct et de faire disparaitre Johnny. De vous tuer tous les deux en somme.
Si vous avez envie d’abréger les choses et d’éviter des morts inutiles, vous pouvez vous suicider sur le toit.
Ce n’est pas une fin très heureuse, ni très longue, mais voyez ce que ça donne ici.
Dans le même esprit, vous pouvez vous lancer dans une mission suicide avec votre nouveau meilleur ami, mais seulement si votre relation avec Johnny est impeccable.
Si vous lui avez dit ce qu’il faut à sa tombe, et que vous avez dit à Johnny et aux autres que Smasher devait mourir, il y a une fin spéciale.
Commencez par dire à Johnny que lui et Rogue devraient y aller ensemble, mais choisissez de réfléchir. Après 10 minutes environ, Johnny vous proposera de partir ensemble en mission suicide.
Aucun ami ne meurt, on devient une légende, et c’est comme ça qu’on devrait être à Night City, si vous voulez mon avis.
Et c’est tout. Si je trouve autre chose, je viendrai l’ajouter. Et si vous trouvez autre chose, n’hésitez pas non plus à me le dire.
La fin de Far Cry 5 m'a laissée… comment dire… découragée?
Si vous avez acheté Cyberpunk 2077 malgré toutes les plaintes à son sujet, j'imagine que vous êtes bien informé. Inutile, donc, de vous prévenir que c'est un jeu complexe, autant émotionnellement qu'au niveau des combats. Je vais donc passer outre la conversation à propos de Johnny Silverhand, le Keanu Reeves…
Oxenfree est un jeu indie d'horreur qui n'est pas trop épeurant pour des adolescents. Si vous avez écouté et aimé Stranger Things en famille, vous risquez de l'aimer… si vous comprenez l'anglais. C’est l’histoire d’un groupe de jeunes qui se dirige sur une île pour y passer du bon temps. Une…
« Si vous lui avez dit ce qu’il faut à sa tombe, et que vous avez dit à Johnny et aux autres que Smasher devait mourir, il y a une fin spéciale.
Commencez par dire à Johnny que lui et Rogue devraient y aller ensemble, mais choisissez de réfléchir. Après 10 minutes environ, Johnny vous proposera de partir ensemble en mission suicide. »
Sur sa tombe je suppose qu’il fallait juste dire des trucs sympas et graver ses initiales ?
Pour Smasher je ne vois plus quand est-ce que c’est… Ça va être chaud…
Pour les 10 minutes, je ne vois plus trop à ce moment là, est-ce qu’on peut jouer librement entre temps ? Ou fait juste attendre 10 minutes sans rien faire ?
C’est franchement con qu’on ne puisse pas sauvegarder juste avant chaque choix quand même, obligé de se retaper des tonnes de dialogues juste pour voir les fins différentes (qui au final reviennent toutes au même : on meurt… génial l’optimisme du jeu…).
Une fois le jeu terminé si on décide de retourner dans le monde avant le choix final, c’est quoi l’histoire des récompenses ? Perso j’ai rien de spécial dans mon inventaire… Ou alors j’ai zappé le truc.
Si on y va en solo et qu’on meurt, c’est considéré comme une fin.




Le bonheur est-il la fin de l'homme ?



On a pu penser que la vie d'un individu n'avait de sens que par
rapport à la collectivité à laquelle il
appartient. Dans cette perspective, le projet politique de
fondation d'une société juste et libre
apparaît comme le point d'achèvement vers lequel est
orientée chaque existence individuelle. Mais ne doit-on
pas plutôt reconnaître avec réalisme que c'est
le bonheur qui est la fin de l'homme ?


1. Toute existence humaine est orientée vers le bonheur


Chaque acte est dirigé vers un but défini qui lui
donne son sens. Mais si l'on devait préciser le but
dernier vers lequel tend finalement chacun de nos actes, nous
serions sans doute en droit de dire qu'il s'agit du bonheur.
Ainsi que l'écrit Aristote : « Tout ce que
nous choisissons est choisi en vue d'une autre chose, à
l'exception du bonheur, qui est une fin en soi »
( Ethique à Nicomaque , livre X, chap. VI).


D'autre part, le bonheur est une réalité objective.
En effet, il est déterminé par un genre de vie
spécifique qui permet le développement des
qualités proprement humaines par quoi l'homme se
réalise. La sagesse, dans les philosophies de
l'Antiquité, se présente comme un art de vivre qui
permet de nous procurer le bonheur.


c. Le bonheur est le souverain bien


Enfin, le bonheur désigne un bien supérieur
à tous les autres, puisqu'il vaut en lui-même. Le
bonheur est « toujours désirable en
soi-même et ne l'est jamais en vue d'une autre
chose » (Aristote, Ethique à Nicomaque ,
livre I, chap. V). Il constitue donc le souverain bien,
celui en vue duquel notre vie est orientée.


2. Nous désirons le bonheur et nous faisons
l'expérience du malheur


a. La vie humaine est sans finalité


Selon Freud, la question d'une finalité de l'existence
humaine est solidaire d'une approche religieuse de l'existence.
Aussi, il récuse cette question et constate que
l'existence humaine n'a pas de finalité, pas plus que
celle de n'importe quelle espèce animale. « On
ne se trompera guère en décidant que l'idée
d'une finalité de la vie se maintient et s'effondre en
même temps que le système religieux »
(Freud, Malaise dans la culture , chap. II).


La seule et véritable aspiration de tout homme est, aux
yeux de Freud, de devenir heureux et de le rester. Cette ambition
présente deux aspects : « d'une part que
soient absents la douleur et le déplaisir, d'autre part
que soient vécus de forts sentiments de
plaisir » ( Malaise dans la culture ,
chap. II). Que leur existence ait un sens ou pas importe
moins que le fait d'être heureux ou pas.


c. La prééminence du malheur dans l'existence
humaine


Cependant, plusieurs sources de souffrances viennent contrarier
et finalement empêcher le bonheur de l'homme. La souffrance
vient en premier lieu, de son corps éprouvant et
même requérant la douleur et l'angoisse pour
fonctionner normalement, en second lieu, du monde
extérieur doté de forces surpuissantes qui
peuvent le réduire à néant et enfin, de ses
relations avec les autres hommes marquées par la
violence.


3. Nous espérons le bonheur mais il ne cesse de nous
échapper


a. L'homme n'est pas fait pour être heureux


Pour Freud, il n'est pas possible de dépasser cette
condition parce qu'elle définit la condition de l'homme.
Il ajoute même que nos possibilités de bonheur sont
limitées par notre constitution. En effet, nous ne pouvons
connaître le bonheur que de façon brève parce
« nous ne pouvons jouir intensément que de ce
qui est contraste » ( Malaise dans la culture ,
chap. II).


On peut ajouter que si le bonheur est un sentiment de
satisfaction éprouvé à l'égard de la
vie entière, il va de soi qu'il ne saurait être
permanent. En effet, toute existence est marquée par des
expériences éprouvantes. De plus, ce sentiment est
lié à nos désirs, or ceux-ci sont divers et
parfois contradictoires, de telle sorte que la satisfaction de
l'un entraîne l'abandon d'un autre.


Il semble que le bonheur, du fait de son caractère
éphémère et imprévisible,
dépende finalement de conditions que nous sommes
incapables de maîtriser. Se le proposer comme idéal
est certes légitime, mais en faire la fin de son existence
revient à viser une réalité insaisissable et
incontrôlable. On ne mérite pas d'être
heureux, on l'est ou non et pour un moment seulement. Le bonheur,
d'une certaine façon, c'est ce qui m'échoit par
l'effet d'une chance ou d'une grâce.


Note 3.4 / 5. Nombre de vote(s) : 25


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Le bonheur est-il la fin de l'homme ?



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Le bonheur est-il la fin de l'homme ?


Aristote, Ethique à Nicomaque, livre I et
Livre X, chap. VI : sur le bonheur comme
souverain bien.


Freud, Malaise dans la culture : bref essai
où l'auteur s'interroge sur la possibilité pour
l'homme d'être heureux au sein de la civilisation.

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Orthographe de la phrase
elle est tout heureuse


Comment s’écrit la phrase elle est tout heureuse ?


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Quand on écrit cette phrase, doit-on mettre toute au féminin ou laisser tout avec un t à la fin ? Ce qui est sûr, c’est qu’on prononce le son [ t ] en faisant la liaison.
La réponse à cette question d’orthographe est un peu particulière : d’après la norme en vigueur actuellement, on écrit elle est tout heureuse en gardant le mot tout tel quel, sans le mettre au féminin, mais l’usage largement majoritaire consiste à mettre toute au féminin quand on écrit toute heureuse .
Dans la phrase elle est tout heureuse , le mot tout est à peu près synonyme de entièrement , totalement , sans réserve . C’est un adverbe, et les adverbes ne sont pas censés s’accorder avec d’autres mots, ils sont invariables.
L’adverbe tout est un peu particulier, car quand il précède un adjectif féminin, on a coutume de lui donner la forme toute ou toutes : elle est toute petite , elles sont toutes seules . Ce type d’accord provient de l’ancien français.
Autrefois, on faisait aussi un accord au masculin pluriel ( ils sont tous beaux ), mais cet usage a cessé vers le XVII e siècle. Le mot tout est donc devenu invariable devant un nom adjectif pluriel.
En parallèle, un autre usage semblable est né : celui de laisser tout invariable au féminin lorsque le mot féminin qui suit commence par une voyelle ou un h muet. Cet usage était encore minoritaire à la fin du XVII e siècle, car on écrivait plutôt elle est toute heureuse , comme en témoigne le premier Dictionnaire de l’Académie française. Mais l’usage minoritaire est devenu la règle et cette règle nous est parvenue.
D’après cette règle, on écrit donc elle est tout heureuse car l’adjectif heureuse commence par un h muet. De la même façon, on écrit la réponse est tout autre , elle est tout excusée . L’orthographe tout se justifie ici par le fait que le mot qui suit commence par une voyelle.
Mais cette règle est relativement récente (trois siècles) et elle est contre-intuitive. Dans les faits, pour une phrase comme elle est tout heureuse , les deux graphies, avec tout et toute , ont toujours cohabité. Et aujourd’hui, si on observe la façon dont les gens écrivent spontanément, la forme elle est toute
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