Une consultation plus qu'érotique

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Une consultation plus qu'érotique







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Un idéal Un divin créateur Des obstacles Des ressources


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Dans l’idéal, l’érotisme est un moment prélude à l’émerveillement jubilatoire des corps. Il veut éveiller le désir chez l’autre et en soi. Il suit de très près le temps sensuel qui a ouvert préalablement des chemins dans tous les cinq sens, embrasé les nerfs, les pores de la peau du bout de l’orteil à la trace de la fontanelle, saturé le cerveau d’informations dans l’ici et maintenant. Réveillé des fantasmes et un imaginaire dédié à ses délices.
La rencontre avec l’autre, avec soi se doit d’être joyeuse autant que passionnante, loin des affres du monde, loin du quotidien courrouçant, loin des rituels du couple, de la famille ou des activités incontournables.
C’est une danse que l’on joue et rejoue, que l’on mime, que l’on chante. L’installation des agapes que l’on sent savourer sous peu. C’est un jeu, une pièce de théâtre subtile ou grossière. Tout en séduction, une ballade, une ode au plaisir à venir. Elle peut être vulgaire aussi, quelquefois libertine, ou solitaire, rarement océanique. Un cinéma fait à l’autre en écho au sien ou pour aller le chercher, le déclencher, le désirer, se faire désirer, se faire convoiter.
Il fait appel en nous à la fonction plaisir de la sexualité lors du voyage sur un vaste territoire où la pulsion de vie s’exprime chez chacun à sa façon, à son rythme, à ses fantasmes avec un consentement éclairé.
Dans l’idéal, l’érotisme peut se suffire en soi, produisant une importante sécrétion d’endorphines ainsi que d’autres neurohormones de satisfaction et de récompense, ou bien lever le pont-levis de la forteresse, la herse de la porte ouvrant au sexuel et s’enfoncer ainsi sur d’autres pistes plus ou moins connues, plus ou moins inquiétantes, plus ou moins surprenantes mais tellement attirantes.
Toutes nos conceptions concernant l’érotisme sont issues de 27 siècles de réflexions sur la symbolique grecque autour du divin EROS.
Eros est l’un des premiers dieux à l’origine soit de toutes les vertus, soit de toutes choses, engendré par l’œuf primordial ou bien fruit d’une béance dans le chaos ayant généré les cinq premières divinités mères de toute la création, dont lui.
Dans ce sens Eros est ressenti, vu, perçu comme pulsion de vie, un mouvement, un élan vers…, un organisateur du monde, le promoteur de la vie. Il est identifié comme le DESIR, de vivre, de créer, de générer, comme passion, amour et plaisir.
Il n’y a pas ici de sexuel dans la pensée des anciens.
Et c’est bien de cela qu’il s’agît. L’érotisme n’est pas sexuel quand bien même il peut y mener.
Il est perçu comme androgyne, à la fois mâle et femelle ou rien, premier no genre. Ouvrant sur la bisexualité souvent posée comme sexualité basique. De là, on peut penser au dieu Pan désirant toute la création chère aux pansexuels, à la moitié de pomme pour stimuler les romantiques qui veulent trouver un autre unique éternel.
Au fil des générations divines, lui naissent la séduisante éveilleuse de désir Aphrodite puis aux générations suivantes le puissant stimulant festif Dyonisos. Tous associés au fil du temps aux plaisirs et aux moyens de les faire naître et de les entretenir. Tous instrumentalisés dans le vocabulaire et les arts au service de la joie des êtres soit dans les excès ou bien dans la frugalité épidermique des corps, soit dans leurs abandons océaniques (sans utiliser le corps).
Parce que le quotidien sait très bien comment faire taire notre ami Eros et son souffle plaisant. L’individu ou le couple s’en apercevant devra rapidement y remédier au risque de laisser s’installer des travers et des habitudes compliquées d’évitement.
Qu’est-ce que c’est que de ne pas sentir la présence de l‘érotisme en soi ? Comment peut-on ne pas recevoir l’information de ses sens ou de l’autre en terme de désir ?
Rien de plus simple… être ailleurs ! Retirer son attention de lui. Ne plus être homme, ne plus être femme. Porte massive verrouillée, herse baissée, pont-levis redressé.
On peut facilement faire une liste de ce qui tend à nous demander de fermer l’attention à la pulsion de vie :
Bien sûr, nous sommes libres de rester éloignés de la quête du plaisir sous sa forme érotique en déplaçant la pulsion de vie sur d’autres objets (enfants, environnement, art, sport, travail, parentalité, syndicat, politique, philanthropie associative…) sources de récompenses mentales et corporelles.
Mais pour celles et ceux qui voudraient quitter une spirale infernale, il y a quelques repères et moyens de la renverser dans une version vertueuse et donc plaisante.
D’abord l’amour. Érotisme rime avec amour, de soi, d’autrui, d’universel si on veut mais amour. André Comte-Sponville (philosophe) parle de l’érotisme comme d’un humanisme où l’ombre de l’animalité génère tabous et hontes, angoisses et incompréhensions.
Ensuite, c’est accepter de suivre un fil ténu où à chaque pas, nous pouvons freiner. Où nous devons nous arrêter si l’autre dit stop. C’est communiquer, échanger et vivre la tendresse. De celle-ci laisser s’épandre la sensualité qui pourra conduire à l’érotique. Cette sensualité spécifique dédiée à éveiller l’envie chez l’autre. Seuls les désirs harmonisés et partagés, alimentés par l’imaginaire érotique voire par des fantasmes donneront la direction d’une rencontre intime, sexuelle et plus animale.
Il existe de multiples solutions pour agrémenter de la vie sensuelle afin de l’érotiser qui sont à discuter avec sa-son partenaire, si besoin avec un(e) sexoanalyste, sexologue ou sexothérapeute :
Face aux freins identifiés, oser chercher-demander de l’aide, en ligne, en cabinet, en ouvrages mais ne pas rester seul(e-s). Toujours faire cela pour soi, pas pour sauver le couple comme on l’entend quelquefois.
L’érotisme doit devenir un langage usuel. C’est une langue universelle qui s’apprend, qu’il convient d’accepter de balbutier, de mal maîtriser et d’affiner sans chercher la performance ou l’excellence, en l’exerçant régulièrement. Langue inconnue pour certain(e-s), langue maternelle pour d’autres, langue morte chez quelques-uns quand magiquement elle fait peau neuve chez les plus audacieux.
C’est une langue que l’on n’oublie jamais.
Thierry est sexoanalyste transgénérationnel, il’intègre à sa fonction de sexologue des dimensions humaines autres que celles rencontrées habituellement.
Découvrir plus d’informations sur l’expertise de Thierry Bunas .
Le magazine Santé Sans Tabou ambitionne de vous informer sur votre santé au quotidien, de vous aider à choisir efficacement les traitements dont vous avez besoin, de vous proposer un ou plusieurs regards différents et pertinents sur la médecine . Santé Sans Tabou ne proposent aucun médicament à la vente.

Explorations politiques et féministes autour de la naissance
Après les blogs, les réseaux sociaux, la presse écrite et les émissions radio, un nouvel outil de dénonciation des maltraitances gynécologiques et obstétricales émerge : le documentaire vidéo.
Il y a quelques jours, le court documentaire Paye (pas) ton gynéco a été mis en ligne, et a déjà été vu plus de 50 000 fois. Voici l’interview de sa réalisatrice Nina Faure . 
Comment vous est venue l’idée de ce documentaire ?
Comme beaucoup de femmes, j’ai vécu des actes et des remarques désagréables dans le cadre de consultations gynécologiques, sans forcément me rendre compte que ce n’était pas normal. Par exemple, les médecins me demandaient systématiquement quand j’allais avoir un enfant. Ou encore, comme seule réponse à un problème de mycoses à répétition, un gynécologue m’a conseillé de changer de partenaire parce que la taille de son pénis était trop grosse et de sortir avec un asiatique (sic).
Puis il y a eu #PayeTonUtérus sur les réseaux sociaux. Beaucoup de témoignages rejoignaient ce que j’avais vécu, et j’ai pris conscience que le problème était bien plus vaste et plus systémique qu’une simple malchance de tomber sur un praticien mal intentionné ou incompétent.
Dans le film, vous vous filmez en caméra cachée lors d’un examen gynécologique. Pourquoi avoir fait cette démarche ? 
J’ai commencé à filmer mes examens chez le gynécologue pour me protéger et pour avoir des preuves en cas de remarques. Lorsqu’il s’agit de dénoncer des maltraitances gynécologiques, c’est toujours la parole de la femme contre celle de l’agresseur. Disposer d’images peut avoir une force probante plus grande qu’une simple parole. Au fil du temps, je me suis rendue compte que j’avais de plus en plus de matière. En ce moment, je réalise un documentaire sur le plaisir féminin. Dans ce cadre, beaucoup de femmes me parlent de leurs relations souvent difficiles avec leur gynécologue. J’ai estimé qu’il s’agissait d’un problème à traiter aujourd’hui.
Dans votre film, on a l’impression que vous n’avez retenu que les pires séquences du côté des représentants des gynécologues. N’y a-t-il pas une distorsion de leur parole ?
La séquence en caméra cachée était mon deuxième rendez-vous filmé. Ce n’était pas difficile à trouver. A l’image, quand le praticien dit « je ne vous excite pas des masses », c’est violent, alors qu’à l’oral, si j’avais dû raconter cette scène, ça pourrait n’être qu’une petite blague.
Je suis allée voir avec inquiétude les représentants des gynécologues. J’ai été frappée par leur méconnaissance de ce que les femmes dénoncent, alors que les femmes en parlent depuis au moins 4 ans. Ils sont dans cette phase du déni : « ça n’existe pas », « ce sont des actes isolés de la part d’un tout petit pourcentage de médecins maltraitants ».
Ce que j’ai voulu montrer, c’est le sexisme des gynécologues. Aujourd’hui, ils tiennent un double discours. Ils disent « oui, il y a des violences, mais ce sont des cas isolés ». Ils refusent de voir le côté systémique de ces maltraitances. Mon but est de révéler que, derrière leurs discours, il y a aussi une question de pouvoir. La plupart des journalistes ont tendance, quand ils traitent un sujet, de laisser la parole à chaque camp en pensant être objectifs. On voit des reportages où des femmes témoignent et où des gynécos analysent. Le problème est qu’ils ne sont pas sur un pied d’égalité. Dans mon documentaire, je voulais révéler la position de pouvoir des gynécologues. Je suis allée chercher dans leurs interviews des choses qui sous-tendent leur pensée. Quand ils disent qu’un examen vaginal est non invasif, c’est révélateur de leur mode de pensée.
Comment qualifiez-vous la technique cinématographique que vous avez utilisée ?
C’est un documentaire de cinéma direct. Il n’y a pas beaucoup de mise en scène. J’essaie de capter des réactions et des actes sur le moment. Le but de ce film n’est pas de traiter de l’ensemble de la question, mais plutôt de donner un état des lieux de la bataille en cours. La bataille est celle des définitions. Les femmes sont train de redessiner le monde pour montrer que ce qui était considéré comme normal, ne l’est plus. Ce qui était considéré comme normal est en réalité de la violence. L’objectif est, à terme, de sécuriser ces lieux d’examen gynécologique pour qu’elles ne risquent plus d’être exposées à de la violence.
Vous avez mis votre documentaire en ligne deux jours avant la sortie du rapport du HCE sur les violences gynécologiques et obstétricales . Ce n’était pas un hasard.
Je voulais un film qui soit en phase avec ce moment social. Les prises de paroles dans les médias des représentants des gynécologues depuis le rapport du HCE ne sont plus dans la même ligne de leur discours d’il y a 6 mois. Ils ne parlent plus de « docbashing ». Le rapport montre l’importance de ces actes et de cette réalité. J’espère une prise de conscience de la profession. On n’a pas encore de recul sur un changement de pratique, mais on est dans un basculement. Il y a eu une belle coordination des femmes et des féministes en quelques années pour faire changer les choses.
Nous sommes aujourd’hui face à des déclarations d’intentions en lien avec le rapport du HCE, notamment sur les formations. On va voir si des changements rapides vont s’opérer.
Quelle sont les réactions à votre documentaire que vous avez recues ?
Beaucoup de commentaires de femmes vont dans le sens du film. Je n’ai eu aucun témoignage qui me dit « c’est n’importe quoi, ça n’existe pas ». Beaucoup de femmes me disent merci. C’est bien sûr agréable d’entendre un merci. Mais je prends surtout ces remerciements comme si nous faisions cause commune, comme la volonté de faire quelque chose ensemble par rapport à ce sujet. Il y a aussi de la colère de femmes face aux propos d’Israël Nisand et de Bernard Hédon. J’ai, en revanche, reçu très peu de commentaires de soignants.
Moi j’apprécierais que mes consultations soient filmées pour montrer que des gynécos qui font bien leur travail ça existe… J’ose quand même penser que je fais partie de la majorité. Sur mes collègues travaillant avec moi en centre de planification on est 9 sur 10 globalement irréprochables sur ce point. OK on a une collègue, c’est pas ça, c’est 1/10 “seulement”… C’est toujours trop.
Encore une remarque pour minimiser les violAnces de la bourgeoisie dominante.
“2 000, 4 000, 10 000 femmes témoignent de moments violents durant une consultation chez un gynécologue” réponse d’un gynécologue : “moi je suis pas comme ça !”
=> alors déjà, c’est pas le sujet.
=> on l’espère bien, que certains “ne sont pas comme ça !”. Il faut une médaille ?
=> “bon on a une collègue, ok, c’est pas ça” mais vous ne dissuadez pas pur autant les femmes d’aller la consulter. Mais vous ne faites rien pour l’empêcher de nuire. Donc vous êtes coupable par négligence et inaction.
10% de femmes traumatisées après une visite chez le gynéco. Si le ration est pareil dans toute la France ça fait environ 3 millions de femmes.
Vous dites que 10%, moi je dis quand même 3 millions de femmes, ça sonne différemment, non. Réfléchissez avant de minimiser un chiffre car cela jette aussi une vue sur votre façon de penser; votre approche n’est peut être pas si irréprochable que ça. C’est bien pour cela que je n’y vais jamais seules chez un gynéco.
La prise de conscience avance, c’est une très bonne chose.
Moi ce que je trouve traumatisant c’est de devoir aller chez le/la gynécologue tout court… on est bien contentes de les trouver quand on a une vraie pathologie, vraiment mal, vraiment besoin d’eux/d’elles, c’est vrai. Mais s’y rendre 50 fois pendant son existence, juste parce qu’on est une femme, la plupart du temps sans problème de santé ?
Tout le monde a l’air de trouver ça normal mais cette vision de la féminité me choque. Devenir mère, donner la vie, c’est plus que ça, non ? Prendre une contraception aussi, ça a un sens plus profond à mes yeux que de juste aller écarter les jambes régulièrement devant un-e total-e inconnu-e…
Pour être juste je dois quand même reconnaître que les rares soignantes que j’ai consultées ont souvent fait preuve de patience, de psychologie et d’écoute pendant leur consultation. ça ne change rien à la dimension traumatisante de la chose. On peut difficilement leur échapper en tant que femmes… Mais j’ai trouvé de l’empathie, oui. Certaines ont même sauté leur pause de midi pour prendre le temps d’écouter mes lamentations.
Bon, je dois être assez bizarre quand même puisque je n’ai jamais trouvé traumatisant d’aller voir un gynéco … vue le nombre de femmes qui témoignent leur répulsion ça doit être moi qui suis à côté de la plaque…
Il est flippant cet Israël Nisand. Et puis il a une conception étrange de la sémantique. Une pénétration, c’est l’introduction de quelque chose dans le vagin. Point.
Et ce chantage au “nous sommes indispensables aux femmes, vous pleurerez quand on ne sera plus là” est juste insupportable. Sa conception de son métier c’est ça ? Se sentir indispensable, de gré ou de force, aux dépens des femmes ? Parce qu’on aura FORCEMENT besoin d’un gynéco un jour ou l’autre ?
Est-ce que ce ne serait pas à nous de nous prendre en charge ? Nous attendons des gynécos qu’ils nous permettent de maîtriser notre fécondité, qu’ils nous autorisent à avoir une vie sexuelle sans angoisse, puis qu’ils nous permettent d’accoucher dans des environnements médicalisés, en nous faisant croire à un risque zéro…
Est-ce que c’est bien entre les mains de ces personnes que nous devrions confier des choses aussi importantes ? Est-ce qu’il n’y aurait pas moyen d’être plus créatives, moins dépendantes, plus autonomes, plus courageuses face à la profession ?
La légende dit que la danse du ventre viendrait des cercles de femmes qui, autrefois, entouraient la femme en couches. Elles ondulaient du bassin pour l’aider à accoucher. C’est quand même plus sympa que d’écarter les jambes devant Israël Nisand, qui pénètre avec des objets ou ses doigts, mais sans pénétrer !
Dans ses diapositives, il réclame une justice moins expéditive, semble-t-il, moins dure, pour les médecins accusés de viol. D’un côté, on parle de ressentis très intimes, d’agressions, de l’autre on l’entend entre les lignes réclamer une reconnaissance professionnelle. Mais si le clash est si violent, c’est peut-être parce que les femmes n’ont plus accès qu’à leurs ressentis dans toute cette dépossession d’elles-mêmes. Un métier ne peut pas être plus important que toutes ces histoires intimes. Nous réapproprier nos corps, notre pouvoir de procréation, nous aiderait peut-être à moins souffrir
Bravo le premier commentaire, voilà qui nous remet toutes bien en place, il faut bien avouer que nous sommes toutes de pauvres hystériques paranoïaques ingrates et mythomanes… . En toute bienveillance, c’est exaspérant ces médecins qui s’empressent de venir dire à quel point ils font du bon boulot, que ” la graaande majorité des gynécos est formidaaable et qu’il n’y a qu’une toute petite frange de la profession qui déconne…”, cela revient à tenter de faire taire les femmes, à minimiser la gravité de leurs experiences traumatisantes, à essayer de marginaliser des témoignages pour nier la réalité d’un mode de fonctionnement systémique qui ne respecte pas les femmes dans leur prise en charge gynécologique et obstétricale.
D’ailleurs, le gynobs qui :
1) m’a décollé les membranes sans me demander mon avis en me faisant pleurer de souffrance ;
2) m’a fait une épisiotomie sans rien dire et sans jamais avoir justifié son acte par la suite ;
3) m’impose à moi comme aux autres patientes la nudité intégrale lors d’une simple consultation de routine ;
est certainement, TOUT COMME LES AUTRES GYNÉCOS, persuadé qu’il fait partie de l’immense majorité de ceux qui font bien leur boulot, car même pas conscients de bousiller les femmes à chaque “prise en charge”..
Florence Lelièvre, je vous dirais que tous les hommes ne sont pas des violeurs et pourtant de nombreuses femmes sont violées tous les jours dans notre pays. Ce qui manque à la prise de conscience généralisée de la profession gynéco-obstétricale, médicale en général, de ce grave problème de maltraitante systémique, c’est que vous ne mesurez pas l’ampleur du préjudice chez les femmes victimes. Ces violences tuent vous savez? Beaucoup de femmes se suicident l’année après la naissance de leur enfant. C’est difficile à entendre je sais… En effet, l’étude Appleby L. et al. 1998 montre que le taux de suicide est 70 fois plus élevé dans l’année qui suit l’accouchement que dans tout autre période de la vie des femmes. Ce sont autant de femmes que vous n’entendrez jamais se plaindre… et pourtant… Quand ces violences ne tuent pas, elles détruisent durablement des vies, des liens avec des enfants, des couples, des familles.
Pénible à entendre? Mais réel. La prise de conscience va devoir s’opérer car les femmes disent stop. Le chantage à l’urgence vit
Elle a de jolies traces de bronzage
Baiser par le gynécologue
Un mélangé de chocolat épicé

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