Une brune qui remercie sa pote

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Une brune qui remercie sa pote


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samedi août 13, 2022


Posted on 31 août, 2016 at 17:05 by admin

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1 avril, 2019
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CommuniquĂ© du porte-parole du MPP sur la sortie mĂ©diatique de l’ancien premier ministre de la transition Yacouba Isaac Zida. La


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Les dĂ©linquants ont fait de certaines zones de la ville de Ouagadougou, leur terrain d’opĂ©ration de prĂ©dilection. Le but est


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Un jeune homme soupçonnĂ© d’avoir violĂ© et assassinĂ© une veille femme de 112 ans a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© par la brigade


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Selon un communiquĂ© du secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral aux Affaires religieuses de ce jeudi 23 juillet, les priĂšres de la fĂȘte de


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Il a fallu attendre la troisiÚme journée des phases retour du championnat national de D1 pour que le Majestic enregistre



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Mahi et moi Ă©tions des amies dĂ©puis le lycĂ©e Ă  bingerville. Nous Ă©tions dans la mĂȘme classe dĂ©puis la 2nd jusqu’à ce qu’on soit admises toutes deux Ă  l’INPHB de Yamoussoukro dans la mĂȘme filliĂšre. Pour dire combien de fois nous avons partagĂ©s des moments forts depuis notre adolescence.
AprĂšs nos diplĂŽmes obtĂ©nus, moi j’ai Ă©tĂ© employĂ©e dans une sociĂ©tĂ© d’électricitĂ© d’ailleurs la seule en CĂŽte d’Ivoire et ma copine elle a eu un trĂšs bon poste dans une compagnie aĂ©rienne internationale. Du coup nous nous frĂ©quentions trĂšs rarement mais les seuls moments de retrouvailles Ă©taient de vĂ©ritables « messes » pour nous car nous parlions de tout.
Mahi Ă©tait mariĂ©e Ă  un trĂšs bel homme Ă  faire frĂ©mir toute femme. Mais je n’avais jamais osĂ© poser le regard sur lui vu que c’était l’homme de ma meilleure amie. Lors d’une de nos rencontre, je lui avait demandĂ© si le boulot n’agissait pas sur sa vie de couple car moi j’en souffre. Le travail me prenait tellement le temps que j’ai divorcĂ© du pĂšre de ma fille de 6 ans. Mon ex mari Ă©tait marin donc imaginez un peu la souffrance que j’endurait, certes mariĂ©e mais seule en rĂ©alitĂ© puisque celui avec qui je partageait ma vie je le voyait qu’une seule fois chaque deux mois.
Elle m’a alors racontĂ© toutes leurs folies, et que mĂȘme s’il devait aller en mission pour un mois, seul trois lui suffisait pour remplir sa premiĂšre mission et elle le disait avec tant de passion. J’avoues que c’est Ă  ce moment que j’ai vĂ©ritablement voulu ĂȘtre Ă  sa place juste pour ses prouesses.
Je suis mariĂ©e avec mon homme mais je n’ai jamais cessĂ© d’aimer un autre que lui et cela dure 20 ans. Mon mari est adorable, attentionnĂ© et trĂšs gentil. Nous sommes tous deux camerounais et avons 3 enfants, deux filles et un garçon. Je ne sais pas s’il y a

Vous pensiez vivre le parfait amour avec votre mari et que jamais il ne vous tromperait
 Mais un jour tout s’écroule, vous dĂ©couvrez que votre mari entretient une relation bien plus qu’amicale avec votre meilleure amie . Comment rĂ©agir Ă  cet adultĂšre ? Voici quelques clĂ©s pour essayer de comprendre

En voilĂ  une histoire qui va pousser les femmes Ă  demeurer trĂšs attentives pendant leur cĂ©rĂ©monie de mariage. Car tout peut arriver avant, pendant ou aprĂšs des noces. Le malin peut toujours profiter de ces moments de ‘‘bonheur’’ pour sĂ©vir. C’est ce que Jessica a appris Ă  ses dĂ©pens. Une

je l’ai alors proposĂ© d’aller chez moi. prĂ©mĂ©ditation, eh!femme!
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C'Ă©tait un samedi et je devais passer mon weekend chez R mon meilleur pote. AprĂšs une soirĂ©e bien arrosĂ©, R et sa copine L, une superbe brune allĂšrent se coucher. J'Ă©tais en train de regarder la tĂ©lĂ© quand je suis tombĂ© sur un film de cul. Je me mis Ă  l'aise dans le canapĂ© et sorti ma queue pour me branler. J'arrivais quasiment Ă  l'extase quand j'entendis : - Tu veux un coup de main ? Je me retournais toujours ma bite Ă  la main et je vis L, la main sous sa jolie petite nuisette. - R dort, je m'ennuyais toute seule alors je suis descendue... Elle s'approcha de moi, pris ma bite dans sa main et commence Ă  me masturber. - Tu sais, tu m'as bien fait mouiller quand je te matais ! Et elle se pencha et me lĂ©cha le gland puis pris ma bite dans sa bouche. - Attends ! R pourrait se rĂ©veiller.. . - T'inquiĂšte pas, il dort bien... Depuis le temps que j'ai envie de toi ! J'Ă©tais aux anges, je me faisais sucer par la meuf de mon meilleur pote ! Elle savait y faire. Elle s'arrĂȘta et me dit : - LĂšche moi ! Je ne me fis pas attendre, je lui retirai sa nuisette, elle avait des seins magnifiques. Je lĂ©chais ses tĂ©tons puis je descendis vers sa chatte qui Ă©tait vraiment toute trempĂ©e. Je lui titillai le clitoris et je lui enfonçai deux doigts dans sa petite grotte. Elle ne gĂ©missait plus, elle criait : - Fais moins de bruit, tu vas rĂ©veiller R ! - J'm'en fous, c'est trop bon ! Elle se releva m'embrassa et me dit : - Prends moi maintenant. Elle Ă©tait tellement humide que ma queue s'enfonça comme dans du beurre. Je la pris en levrette tout en caressant son petit anus. Je lĂšve la tĂȘte et la, je vis R, Ă  poil en train de se branler en nous regardant ! - Continue, elle ne va pas tarder Ă  jouir ! J'Ă©tais sur le cul, mon meilleur pote me disait de continuer Ă  troncher sa belle brune ! Il s'approcha de nous et donna sa queue Ă  sucer Ă  L. Elle Ă©tait totalement dĂ©chaĂźnĂ©e. Elle nous demanda de la prendre en mĂȘme temps. Je laissai ma place Ă  R pour aller prĂ©parer le petit trou de cette petite salope. Je lui mis un, deux et puis trois doigts dans son cul. Je lui redonnai ma queue Ă  sucer pour qu'elle soit bien dure. Je m'enfonçai dans ce trou bien serrĂ©, elle n'eu aucun mal Ă  me prendre tellement elle Ă©tait excitĂ©e. Nous la limions Ă  deux, son mec dans sa chatte et moi dans son cul. Avec ce traitement, elle ne mit pas longtemps Ă  venir et elle eut un magnifique orgasme. Je me retirai de son cul et lui donnai ma queue Ă  sucer aprĂšs deux ou trois va-et-vient, je lui envoyai mon foutre dans sa bouche, sur son visage, dans ses cheveux. Quand Ă  R, il voulu que ce soit moi qui le fasse jouir. - T'es malade ! Luis dis-je - Allez, je t'ai laissĂ© baiser ma copine, tu peux bien me rendre ce service ! - Je vais t'aider , me dit L tout en me branlant Ă  nouveau. Je pris la bite de R dans ma main et je la branlai. - On va le sucer , me dit L ! J'Ă©tais tellement excitĂ© par le traitement que me faisait L, que je lui obĂ©is. Je pris sa petite bite dans ma bouche, L me remplaça pendant que je lui lĂ©chais les couilles. Elle pris ma main et la plaça devant le trou de R, je lui enfonçai un doigt, L aussi et il projeta des saccades de sperme, j'en avais partout. L m'allongea et me lĂ©cha pour rĂ©cupĂ©rer son sperme ensuite elle me pris en bouche et me fit jouir une nouvelle fois. Pour me remercier R me branla, je lui pris sa bite et la branlai Ă©galement. L nous regardais en se masturbant elle aussi. Nous avons joui tous les trois ensemble. Je pris une douche et allai me coucher aussitĂŽt. Le lendemain matin, je me rĂ©veillai et je vis que L Ă©tait entrain de me sucer et que R la prenait en levrette. La journĂ©e commençait bien...

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Création : 24/08/2013 à 20:20
Mise Ă  jour : 24/08/2013 Ă  21:15

# Posté le samedi 24 août 2013 21:15

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Accueil » La premiÚre fois de Vanessa
RĂ©sumĂ© : Vanessa est une jeune fille qui n’ose pas sauter le pas afin de faire plaisir Ă  son amoureux.
Vanessa est une jeune fille d’environ dix huit ans qui a un petit ami, dont elle est follement amoureuse, mais avec qui, elle n’ose pas faire le premier pas. MalgrĂ© les multiples avances de celui-ci, elle lui a toujours rĂ©pondu par la nĂ©gative, invoquant qu’elle n’est pas encore prĂȘte.
Mais cela, la travaille beaucoup quand mĂȘme. Et, pas plus tard qu’hier soir, elle se retrouve chez Virginia, une jeune femme de vingt cinq ans et, fille de la meilleure amie de sa maman.
Au cours de leur discussion, Vanessa raconte Ă  Virginia sa petite histoire. Celle ci l’écoute avec attention et, lui dit.
Mais ma chĂ©rie, tu sais, je connais quelqu’un qui pourrait t’aider Ă  sauter le pas.
TrÚs intéressée Vanessa lui répond.
Tu crois ? Mais, tu sais que je suis amoureuse de mon chĂ©ri. Je voudrai pas que ça cause un problĂšme entre nous
 ! Et puis, tu sais. Je suis encore vierge, alors
 !
Mais, est ce que ton chéri sais que tu es encore vierge ?
Non. Je ne lui en ai jamais parlĂ©. Et puis, il ne m’a pas encore touché  !
Oui, tu as, peu ĂȘtre, raison ? Vu comme ça
 C’est vrai qu’il n’y en a pas.
Alors ma chĂ©rie, ce gars que je connais s’appelle Vincent. C’est un ami de ma mĂšre. Il est libertin, comme ma mĂšre et, ils se sont connus dans une discothĂšque Ă©changiste il y a dĂ©jĂ  au moins dix ans. Tu sais, il a une soixantaine d’annĂ©es et en plus, il est trĂšs sympa ma chĂ©rie. Je peux te dire qu’il baise comme un Dieu. D’ailleurs, c’est lui qui m’a dĂ©viergĂ©e. J’en garde un souvenir que tu ne peux pas imaginer.
Mais Virginia, tu y penses pas
 J’ai dix huit ans !
Mais, il est oĂč le problĂšme. Baiser avec un jeune ou un vieux, il y pas de diffĂ©rence
 ! Et je vais mĂȘme te dire, un mec de soixante ans a beaucoup plus d’expĂ©rience qu’un jeune de vingt ans. Tu verras, ma belle, aprĂšs tu ne diras plus ça
 !
Oui d’accord. Je vais y rĂ©flĂ©chir et, je te rappelle, d’accord ?
AprĂšs une bonne heure de papotage, les deux amies se sĂ©parent. Vanessa rentre chez elle, encore plus troublĂ©e qu’avant leur discussion.
Elle pense Ă  cette proposition que lui a fait, son amie Virginia, et chaque soir dans son lit de jeune pucelle, ça la travaille tellement, qu’elle ne peut s’empĂȘcher de masturber sa petite fente rose, en pensant Ă  cette aventure qu’elle a envie de vivre, mais qui lui fait, aussi, tellement peur.
Une semaine passe, puis deux et, aprÚs avoir passé un beau dimanche aprÚs midi avec son chéri en rentrant chez elle, elle prend son téléphone et finit par appeler son amie Virginia.
Oui, Vanessa, qu’est ce qu’il y a ?
Tu sais, j’ai bien rĂ©flĂ©chi Ă  ta proposition

Je suis d’accord. À prĂ©sent, je crois que je me sent prĂȘte Ă  faire le saut
C’est bien ma chĂ©rie ! C’est une bonne dĂ©cision. Tu verras que tu ne seras pas déçu. Vincent est un mec formidable.
T’as pas à me dire merci. C’est à Vincent que tu diras merci. Ne t’inquiùtes pas
 Ça se passera bien. Comme je te l’ai dit, il est super doux. c(est un vrai papy gentil. Tu veux que je t’arrange un rendez vous pour quand ?
Quand tu veux, mais pas un week-end. Le week-end c’est rĂ©servĂ© Ă  mon copain.
Oui, je comprends. Si tu veux, dans la semaine, un mercredi vers vingt heures. Ça t’irait
 ?
Oui, pourquoi pas. Ça tombe plutît bien, je n’ai pas cours le jeudi matin. Comme ça, on pourra prendre tout le temps qu’il faudra. Car j’en encore un peu peur de ça ! J’ai peur d’avoir mal !
Bon Ă©coute. Je contacte Vincent et je te tiens au courant. Mais ne te fais pas une histoire de tout ça. Ça ira bien, tu verras ! C’est vrai que ça fait un peu mal Ă  la premiĂšre pĂ©nĂ©tration. Mais aprĂšs, tu verras que que tu aimeras. C’est vachement bon de sentir une grosse queue qui va et qui vient dans ta chatte
 !
Peut ĂȘtre bien. Mais en attendant, il faut que j’accepte, comme tu dis, cette grosse queue dans ma petite foufoune ? C’est pas gagnĂ©. Mais merci Vivi. Tu es une vrai sƓur
 A bientĂŽt, bisous.
Une semaine plus tard, le téléphone de Vanessa sonne.
Et alors c’est bon. J’ai eu Vincent et, il m’a dit que c’était bon.
Si tu es d’accord, la semaine prochaine.
Oui ma chĂ©rie, mercredi prochain. Je te prends en passant vers vingt heure quinze et, on ira chez Vincent passer une bonne soirĂ©e de baise. En tout cas, moi, ça va me faire du bien
 !
Les jours passent, et la demoiselle est de plus en plus excitĂ©e Ă  l’approche de ce jour fatidique. Et en fin d’aprĂšs midi de lundi ; le tĂ©lĂ©phone sonne.
Coucou Vanessa, j’ai une idĂ©e pour que cette soirĂ©e soit un peu particuliĂšre et reste gravĂ©e dans ta mĂ©moire.
Nous allons nous habiller, toutes les deux, de la mĂȘme façon et pour pimenter le tout, nous porterons toutes les deux un loup identique.
Pour que Vincent ne sache pas tout de suite qui est qui, et qu’il soit obligĂ© de deviner qui est Vanessa et qui est Virginia.
Ah, c’est super ton idĂ©e. Mais toi, il te connais dĂ©jĂ .
D’accord. Mais je sais pas si tu as vu que nous nous ressemblons beaucoup physiquement. Nous avons, toi et moi, les cheveux chñtains et longs. Tu es aussi grande que moi et, tu as une paires de seins un peu comme les miens. On peut presque passer pour des sƓurs jumelles
 !
Tu as raison Virginia. Alors on se déguise comment ?
Est ce que tu as dans ton armoire une jupette noire à volants et un débardeur rose ?
Alors c’est bon. On a plus qu’à trouver deux loups. Si tu veux, je les achùte demain ?
Oui d’accord. Alors, je t’attends mercredi vers vingt heure chez moi.
La journĂ©e de mardi se passe plus ou moins bien pour la jeune fille. Elle ne pense plus qu’à ce moment oĂč elle va donner sa virginitĂ© Ă  un inconnu. Puis, aprĂšs une nuit bien agitĂ©e, la journĂ©e de mercredi lui semble interminable. Et mĂȘme, au lycĂ©e, ses meilleures copines se demandent se qui lui arrive. Elle ne s’est jamais comportĂ©e comme ça en cours. Elle est absente, totalement emportĂ©e dans ses pensĂ©es.
A dix sept heure. A peine la sonnerie retenti, elle s’échappe de sa classe, et rentre chez elle pour se prĂ©parer.
Elle se jette sous la douche et, n’oublie pas un seul centimĂštre carrĂ© de son corps. Il faut qu’elle soit irrĂ©prochable. Puis, elle passe Ă  la sĂ©ance coiffure et maquillage. MĂȘme son miroir ne la reconnaĂźt pas, tellement elle s’est faite belle. Une vraie starlette de cinĂ©ma
 puis, elle vient Ă  sa chambre, prends sa mini jupette, son dĂ©bardeur, un mini string noir et s’habille. Pour faire un peu plus femme, elle emprunte, Ă  sa mĂšre, une paire de chaussure Ă  hauts talons.
il est bientĂŽt vingt heure et, voilĂ  notre jeune pucelle fin prĂȘte. Une petite demie heure plus tard, la sonnette retentit Ă  la porte. Vanessa se lĂšve du canapĂ©, oĂč elle regardait, avec sa mĂšre, la tĂ©lĂ©, et vient jusqu’à la porte.
Bonsoir Vanessa
 wahoo que tu es belle, ma chĂ©rie. Tu es prĂȘte ?
A ce moment lĂ  la mĂšre de Vanessa intervient.
Maman, nous allons voir un film avec Vivi.
D’accord. Mais essaye de pas rentrer trop tard. !
Oui maman. T’inquiùtes. A plus tard.
Quelques minutes plus tard, au pied de l’immeuble, elle se regardent et partent à rire.
Pourquoi tu as dit à ta mÚre que nous allons au cinéma ?
Je ne pouvais pas lui dire que nous allons chez un pote Ă  elle pour me faire dĂ©vierger
 !
Oui, je comprends. C’est mieux comme ça. Tu as raison. Mais, si nous rentrons un peu tard, elle ne risque pas de grogner ?
Non, je crois pas. Ça m’arrive de sortir avec mon copain et, de rentrer tard.
Bon, vu comme ça. On va pouvoir s’amuser un peu avec Vincent. Tu sais, moi, il me fait grimper aux rideaux Ă  chaque fois. Et puis, ça fait pas mal de temps que je n’ai pas de copain ? Alors, pas de pĂ©nis Ă  me mettre dans ma moule. LĂ , j’en ai trop envie !
Pourquoi. Qu’est ce qu’il a de si particulier ?
Rien de spĂ©cial
 Je te dis rien. Tu vas le dĂ©couvrir par toi mĂȘme
 !
Ok. Puisque tu veux pas me le dire
 !
Mais je suis pas fĂąchĂ©e
 ! J’aurai bien aimĂ© savoir !
Alors, Virginia prend la main de Vanessa et, elles viennent vers le parking, oĂč est garĂ©e sa voiture. Une vingtaine de minutes plus tard, elles arrivent au pied de l’immeuble de Vincent. Virginia gare son vĂ©hicule. Et aprĂšs avoir fermĂ© les portiĂšres Ă  clefs, elles entrent dans l’immeuble, prennent l’ascenseur qui ne va pas les emmener au septiĂšme ciel, mais au quatriĂšme Ă©tage.
ArrivĂ©es sur le palier, Virginia et Vanessa se parent chacune de leur loup, puis Virginia sonne Ă  la porte. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvre et, Monsieur Vincent apparaĂźt dans l’ouverture.
Bonsoir les jumelles. Entrez donc mesdemoiselles
 Mais qui est Virginia et qui est Vanessa ?
Bonsoir Vincent. Comme vas tu. J’espùre que tu es en forme ?
Je te présente Vanessa. Ma copine, qui a besoin de tes petits services.
Il n’y a pas de soucis. Tu me connais bien. Tu sais, en plus, que ce genre de service me rend encore plus performant
 !
Tout en parlant, il les entraĂźne au salon oĂč une musique de circonstance sort des enceintes. La lumiĂšre, elle aussi, est en rapport avec le thĂšme de la soirĂ©e. A vrai dire, une ambiance feutrĂ©e est de mise.
Il les invite Ă  s’asseoir sur le canapĂ© et leurs propose un petit verre.
Je vous ai prĂ©parĂ© un petit cocktail. Ça devrait faire pour ce soir.
Merci bien Monsieur. Mais je ne bois pas d’alcool.
Il n’est pas trĂšs fort. Tu peux le goĂ»ter. Mais si tu ne peux pas le boire, je te servirai un jus de fruit.
Non, c’est pas la peine Monsieur. Je vais goĂ»ter, et je vous le dirai.
Laisse tomber le Monsieur. Je m’appelle Vincent et, tu peux me tutoyer.
Tu sais, c’est une jeune fille avec une bonne Ă©ducation. Alors, elle a quelques retenues
 !
Bon, je t’en tiendrai pas rigueur Vanessa.
AprĂšs cet Ă©change, les trois futurs complices prennent leu
Pique-nique sexuel avec une religieuse
Jessica Jaimes se masturbe avec une banane
Une femme ronde se déshabille au rythme de la musique

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