Une brune chaude féministe

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Une brune chaude féministe
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"Une apparition" de Sophie Fontanel : le blanc est une couleur chaude

Publié le Mercredi 13 Septembre 2017

Sophie Fontanel : interview autour de son livre "Une apparition"

Elle a longtemps était abonnée aux artifices capillaires. Et puis Sophie Fontanel a eu une révélation : les cheveux blancs sont beaux, sexy, et surtout, ils symbolisent une forme de libération. Sa transition de brune à "blande", elle la raconte cette rentrée dans un essai passionnant intitulé "Une apparition". On a rencontré la célèbre gourou de la mode chez elle pour évoquer ensemble sa douce métamorphose. Interview.
Qui a déjà lu ses chroniques dans ELLE sait qu'elle est furieusement drôle et impertinente. Qui a déjà lu ses essais L'envie et La vocation sait aussi qu'elle peut être plus grave et rebelle. Surtout, qui la suit sur Instagram a bien compris qu'il tenait là une créature rare. Sophie Fontanel est brillante, ce n'est pas nouveau. Du coup, on ne s'étonne pas qu'elle ait un coup d'avance sur le reste du monde. En 2015, après sa rencontre fortuite avec une bombasse italienne aux cheveux blancs, la voilà "prise par un sentiment d'urgence". Elle, la papesse de la mode française, comprend qu'elle se cache depuis des années sous des kilos de teinture. Dans son nouveau livre témoignage, Une apparition , elle raconte : "Un rendez-vous mystérieux était là, avec ce moi-même englouti, goudronné depuis tant d'années". Sophie Fontanel a donc entamé une transition capillaire en même temps qu'une transformation psychologique. Elle a laissé pousser ses cheveux blancs et en a profité pour se libérer des carcans.
Sa métamorphose de brunette à "blande" - un joli mot de son invention – elle l'a longuement documentée sur Instagram, partageant avec ses 128 000 abonnés ses doutes, ses joies, cueillant au vol messages d'encouragement et commentaires outragés. Avec Une apparition, Sophie Fontanel boucle la boucle. Elle répond à ceux qui lui ont dit que "les cheveux blancs, c'est morbide" ou "un aveu de vieillissement". Avec humour et tendresse, la journaliste met K.O. cette insupportable quête du jeunisme et débarrasse les femmes de leurs angoisses. Quand on la rencontre pour cette interview, on est frappé par sa fraîcheur d'adolescente et son charisme. On n'est pas sérieux quand on a 17 ans, mais qu'est-ce qu'on est canon quand on en a 55.
Sophie Fontanel : On a besoin de modèles. Dans le monde, et notamment dans la mode, il y a des femmes superbes qui ont les cheveux blancs. Elles ne vivent pas cela comme un renoncement à la séduction, elles renvoient une image très libre. Mais moi personnellement, j'en connais très peu des femmes aux cheveux blancs. Donc quand j'ai commencé ma transition, j'avais besoin d'avoir un modèle. C'est en me posant devant un miroir que je me suis créée ce modèle. C'est une idée très narcissique mais totalement reliée aux autres parce que via Instagram, j'ai fait participer les gens à ça. Du coup, je suis devenue un modèle pour ces gens. Parce qu'il est là le problème, dès qu'on sort d'une certaine norme, on n'a pas de modèle. Cela s'applique pour les cheveux blancs mais pour d'autres choses aussi. Je pense aux personnes qui sont rondes, qui ont un grand nez, et même aux noirs. Ils avaient beau savoir que leurs cheveux crépus étaient magnifiques, pendant longtemps la société a refusé de les mettre en couverture des magazines ou tout simplement de les voir. Tout ce que je veux dire par là, c'est qu'il faut créer des modèles pour tout le monde.
S.F. : Évidemment que je suis féministe mais je n'aime pas le dire. C'est pas parce que j'en ai honte ou que ça ne fait pas sexy. Tous les actes de ma vie ont été féministes mais je ne sais pas si accoler ce mot à une personne publique comme moi fait avancer la cause des femmes. Je vais vous donner un exemple : quand je travaillais chez Canal+, je côtoyais un prêtre franciscain qui s'occupait de recueillir des jeunes drogués. Un jour, alors qu'on déjeunait ensemble, quelqu'un lui a demandé comment réagissaient les jeunes lorsqu'il leur parlait de Dieu. Et lui a répondu : "Mais moi je ne leur parle jamais de Dieu, je ne leur dis même pas que je crois en Dieu. Moi tout ce que je veux, c'est que ces gens soient bien". C'est un peu ma position par rapport au féminisme. Mais c'est compliqué... Aujourd'hui, tout est tellement radicale qu'il est compliqué d'avoir une position subtile.
S.F. : Des hommes réfractaires, j'en vois surtout depuis que le livre est sorti. La dernière fois, j'ai vu passer le post Facebook d'une fille qui disait que j'étais moche, que j'avais des problèmes affectifs, etc. Comme si mon livre n'évoquait pas des fragilités ! Je ne suis pas un robot qui vit dans le monde tout beau d'Instagram. J'utilise aussi Instagram pour parler de mes fragilités. Bref, j'ai lu les commentaires des hommes sous ce post et j'ai trouvé tout cela extrêmement violent. Mais quand j'ai fait mon expérience, en général les hommes étaient plutôt interloqués de voir qu'eux-mêmes ne trouvaient ça pas moche. Je crois que ça les faisait cheminer. Les femmes, elles, avaient surtout l'impression d'être attaquées. Il y a celles qui avaient déjà les cheveux blancs et qui me disaient : "Je t'ai pas attendu", et puis, il y a celles qui se teignent parce qu'elles ont peur que les cheveux blancs les rendent moches.
Parmi elles, il y en a qui en me voyant faire se sont mis à réfléchir, et puis il y en a qui pensent : "En fait, elle est en train de dire que je suis une grosse menteuse". Certaines femmes se vexent parce que je mets le doigt sur quelque chose. Mais c'est marrant, parce qu'au final, les cheveux blancs ont eu un effet libérateur sur moi. Les hommes ne me sifflent pas dans la rue, mais on me dit que je suis belle ou élégante. Ma relation avec les hommes est devenue beaucoup plus tendre. C'est cette espèce de lien que je veux aujourd'hui avec les hommes. Lien qui peut aussi être érotique. Je n'en suis plus à me demander si les mecs me trouvent bonne et c'est libérateur.
S.F. : Mon déniaisement a été très, très brutal. Du coup, j'ai pendant longtemps vécu ma sexualité de façon étrange, avec des relations assez brutales ou des moments où je me dissociais de mon corps. Je pouvais faire un peu n'importe quoi mais dans ma tête je n'étais pas vraiment là. Donc j'ai toujours eu un peu peur d'être envahie. Mais avec les cheveux blancs j'ai reçu un cadeau. Après avoir longtemps dissimulé mes frayeurs, aujourd'hui je me sens un peu plus nue. Je me dis que je suis comme je suis et que je suis très bien comme ça. Ce "non" que je n'ai pas pu dire quand j'étais adolescente, maintenant je le dis beaucoup plus facilement. J'ai enfin compris que je pouvais dire non.
Là par exemple, je viens de bloquer un homme sur Instagram. C'est très rare que je le fasse. Il n'était peut-être pas méchant mais ça faisait plusieurs fois qu'il m'envoyait des messages graveleux. Je l'ai donc bloqué tout en me demandant si c'était une bonne idée. Mais là, en en parlant, je me rends compte qu'évidemment c'était la chose à faire. Je comprends maintenant qu'on peut dire non à un follower qui vous emmerde, à un mec dans un café, et qu'on peut aussi dire non dans un lit. Et en m'autorisant à dire non, je me suis rendue compte que je pouvais aussi dire oui. Ça m'a totalement libérée.
S.F. : Je me sens cent fois plus belle mais je pars de très loin. A l'adolescence, quand je me regardais dans les miroirs, je n'étais pas sûre de me voir dedans. Aujourd'hui, quand je poste des selfies sur Instagram, c'est aussi parce que je me questionne sur la beauté. Avant, quand on me prenait en photo, je me trouvais affreuse. Ça allait très loin. Les photos me donnaient envie de mourir. Je me disais que je ne méritais pas qu'on me photographie. Petit à petit, avec les cheveux blancs, j'ai ouvert mon être à quelque chose. Je n'ai plus tous ces problèmes, comme si j'avais laissé de côté tout ce qui me faisait si peur.
S.F. : Dans la vie, tout est plus facile quand on a du style. Qu'on jette un discrédit sur la mode en tant que machine, je comprends. Mais le vêtement est extrêmement important. J'ai rencontré plein de femmes qui avaient les cheveux blancs et qui venaient de tous les milieux sociaux. Donc je ne pense pas que la question soit là. En revanche, c'est une histoire de style. Par exemple, aller en jean au travail, il faut savoir le faire. C'est pour cela que dans certains corps de métier, on interdit certains vêtements parce que l'on sait que ça va donner des catas. Même si la société est peu regardante sur l'élégance en général, cela ne nous empêche pas de stigmatiser les gens. Alors que le style n'a rien à voir avec l'argent que vous gagnez. Ce qu'il y a derrière la peur du cheveu blanc, c'est la peur de faire souillon. Mais l'hygiène ce n'est pas une histoire sociale. Moi j'en connais des riches qui sont sales, donc bon.
Une apparition, éditions Robert Laffont, 252 pages, 17 euros
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Je crois que j’ai une indigestion de féminisme
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Coup de gueule contre le politiquement correct qui instaure de nouveaux tabous et réduit la liberté d’expression à la célébration de l’idéologie féministe. Cette fois, c’est la poupée Barbie qui en est la victime…
Mais cela peut aider à réduire vos impôts de 66%
Si je vous dis que Leonardo Dicaprio a été choisi pour jouer J. Edgar, que Morgan Freeman a incarné Nelson Mandela, Jamie Fox Ray Charles ou encore Marion Cotillard Édith Piaf, que me répondez-vous ?
Que sans être des sosies parfaits, ils répondent à un certain nombre de critères et sont crédibles dans leurs rôles respectifs.
Si par contre je vous avais annoncé que Leonardo allait être Mandela, Morgan Freeman Édith Piaf, Jamie Fox J. Edgar et Marion Cotillard Ray Charles, vous m’auriez sans doute répondu que la légitimité de ces choix était hautement contestable et mettait sérieusement en péril la crédibilité de ces films.
Est-ce raciste de dire que Jamie Fox ne peut pas jouer J. Edgar ? Ou que Leonardo ne peut pas jouer Mandela ? Est-ce raciste d’ailleurs que j’appelle familièrement Leo par son prénom quand je reste formelle pour Jamie Fox ?
Est-ce sexiste de dire à Marion Cotillard qu’elle ne peut pas incarner Ray Charles ?
Je l’espère, car sinon on peut dire que le politiquement correct de notre ère vient définitivement de prendre le pas sur le bon sens. Il est malheureusement impossible de juger des propos d’autrui sans avoir le contexte de ce qu’il est.
« J’ai croisé un noir » ne veut pas dire la même chose dans ma bouche ou celle de ma grand-mère.
Alors, pour vous aider un peu à me juger voici la version courte (très courte) de ce que je suis. Je suis une femme (ou une fille peut-être, je suis à ce moment de la vie où je ne sais pas lequel de ces deux mots employer pour parler de moi), blanche de 24 ans, Parisienne ayant voyagé à droite et à gauche, surtout à gauche où je vote régulièrement mais pas fidèlement. J’ai mon bac et quelques bouts de diplômes qui ne me servent pas à grand-chose à part faire plaisir à mon conseiller pôle emploi quand je les aligne sur mon C.V.
Faites-vous avec cela l’opinion que vous voudrez de moi.
Qu’importe ce que vous avez conclu, j’assume mes mots crus et lassés du politiquement correct et je reprends le fil de ma pensée.
Freeman jouera donc Mandela et Cotillard Piaf.
Un film sur la reine Elizabeth se prépare ? Les directeurs de casting partent à l’assaut des réseaux et postent des annonces pour des petites vieilles ridées. Un film sur Michael Jordan ? Au tour des grands blacks chauves. Un film sur Barbie ? Une jolie blonde aux formes bien dessinées. Et pour un film sur… Stop. Non. On s’arrête. Finalement pour Barbie on va prendre une grosse.
Oh malheur, enfer et damnation, j’ai osé décrire une femme en utilisant le mot « grosse ». Pleine de formes aurais-je dû dire ? Au physique généreux ? Grande taille ? Il y a derrière cette peur des mots une incohérence qui me dépasse.
Les plus ardents féministes le crient sur les réseaux sociaux à qui veut bien l’entendre (et à ceux qui ne veulent pas au passage) : « Arrêtez de réduire une femme à son poids, toutes les femmes sont belles, qu’importe sa taille ! » (Il existe bien des variantes de ce slogan mais je crois que celle-ci résume assez bien l’affaire).
Mais depuis quand gros est-il l’antonyme de beau ? Si tu défendais sincèrement la beauté sous toutes ses formes tu ne verrais pas dans le qualificatif gros une insulte ou un affront. Alors pourquoi m’empêches-tu d’utiliser ce mot ?
Si je vois une femme blonde (telle que l’est Barbie), je dis qu’elle est blonde et qu’importe ce que je mets derrière ce qualificatif, peut-être que je trouve les blondes très belles, peut-être très moches, peut-être, mais une blonde reste une blonde.
Si je vois une femme grosse (telle que ne l’est pas Barbie), je dis qu’elle est grosse et peu importe ce que tu mets derrière ce mot, une grosse reste une grosse.
Et quand bien même tu jugerais différemment que moi ce qui est blond, ce que je trouve blond est peut-être pour toi châtain clair. T’en offusques-tu ? Non, car on ne s’offusque que ce dont on se sent coupable.
Alors ne blâmez pas autrui pour l’utilisation d’un adjectif neutre auquel vous prêtez de mauvaises intentions. Eh oui, Amy Schumer est grosse. Car c’est bien d’elle dont je parle.
J’ai, je l’avoue, attendu un peu trop longtemps pour en arriver au but, mais c’est le problème des conversations actuelles, le contexte faisant toute la différence, on ne peut plus s’en passer.
Barbie est un concept. Certains diront que c’est un mauvais concept, certains le défendront, je ne suis pas là pour en juger. C’est un concept entier et indiscutable qui perdure depuis plusieurs décennies. Et ce concept implique une femme blonde aux courbes fines, à la taille de guêpe et aux jambes fuselées.
Amy Schumer n’est en rien semblable à cela. Et la caster pour jouer Barbie c’est comme caster Marion Cotillard pour jouer Ray Charles. C’est complètement con.
Les progressistes de Los Angeles, New-York et ailleurs applaudissent l’initiative et vont fêter le contrat au bar du coin avec les féministes un peu trop zélés.
Ils se félicitent d’embrasser la cause des femmes et de participer aux changements des mentalités. Mais, messieurs, si vous vouliez vraiment aider les femmes vous leur écririez de jolis rôles à la John McClane avec un peu trop de bide et des catch line aussi badass que Yippee-ki-yay Motherfucker ! Si vous vouliez vraiment lutter contre l’influence néfaste de Barbie sur les jeunes filles, vous ne feriez pas une adaptation cinématographique qui a l’avantage de voir poindre au bout du chemin un joli paquet d’argent et en vous donnant bonne conscience en employant une comique vulgaire et trop grosse pour le rôle.
Car oui Amy Schumer est vulgaire, c’est peut-être avec la couleur de ses cheveux, la seule chose qu’elle a en commun avec la célèbre poupée.
Je ne veux pas que ma fille (hypothétique, bien sûr) prenne comme exemple Amy Schumer, je ne veux pas que ma fille pense que pour être une « femme bien » il faut glousser à la télé, provoquer gratuitement, taper sur les hommes, faire du sexe l’élément majeur de son émancipation. Je préfère autant que ma fille (hypothétique, toujours) idéalise une poupée en plastique.
L’égalité homme/femme est une idée précieuse que je défends (ardemment ? non je l’avoue car du haut de mes privilèges et de mes acquis, j’ai parfois du mal à penser qu’on en soit si loin), c’est un principe essentiel de l’évolution de nos sociétés.
Mais nous sombrons dans une époque où le politiquement correct détourne toutes les bonnes idées et les jolis principes pour nier les différences et enfermer chacun dans un ressentiment malsain. Vivre ensemble, ce n’est pas annuler nos différences mais les accepter.
Moi, jeune femme (finalement c’est cela, l’entre deux femme/fille) de 24 ans, pas toujours bien dans ma peau, je vous le dis, le féminisme est à l’égalité homme/femme ce que l’extrémisme est à la religion, un moyen assuré de gâcher une bonne idée en nous l’enfonçant dans la gorge par la force.
Je suis une femme et je veux pouvoir avoir les mêmes opportunités de travail et de salaire que quelqu’un doté d’une anatomie plus intrusive. Je suis une femme et je veux pouvoir être jugée, évaluée de la même façon qu’un homme. Oui. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds ou dominer par quelqu’un juste parce qu’il est homme et moi femme, je veux le faire parce que la personne est plus intelligente, expérimentée, sage ou qualifiée que moi.
Oui, l’égalité homme/femme est un principe de base, une bonne putain d’idée que je défends.
Seulement nous sommes tous pareils, après une indigestion au chocolat au lendemain des fêtes de Noël (fêtes de fin d’année devrais-je dire, n’est-ce pas ?), n’avons nous pas tous dit « plus jamais de chocolat ».
Nous sommes tous pareils, on blâme à tort le chocolat et non la main qui nous a nourris et je crois bien qu’aujourd’hui j’ai une indigestion de féminisme.
Bien parlé, jeune fille; ceci dit, le choix de cette actrice est l’assurance d’un prix à Cannes!!
schumer n’est pas grosse…si on considère que grosse marque une déviation à la normale de corpulence vert le plus gros….elle est plutôt normale. et grossière putôt vulgaire bien sûr , en gros de la »masse »…
elle ne ressemble pas à barbie, mais je trouve par contre que ça peut faire un film marrant.
Je suis très partagé sur beaucoup de points, il faut déjà accorder plus d’importance au cinéma qui doive en avoir, Si un film trouve un public ça me suffit, si son message viole la loi..ben il y a la justice.
Ainsi ,je trouve que faire un film où les esclaves et les maîtres sont de même couleur de peau permettrait justement de ne pas augmenter la confusion qui existe en esclavage, qui est un crime,.et racisme, qui est une connerie.L’horreur du crime est plus mise en évidence quand le criminel et la victime sont identiques… schumer en barbie, le cheval à la place du cavalier…si si…pourquoi pas.
SI le film me plait avec morgan freeman en piaf…ça me va…
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