Une bonne bouche et du bon foutre

Une bonne bouche et du bon foutre




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Une bonne bouche et du bon foutre


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Bonjour, mon prĂ©nom est Damien et je suis accro au sperme depuis que je suis nĂ©. J'ai directement adorĂ© ce goĂ»t. À onze ans, j'aimais me branler trĂšs souvent, puis ensuite j'avalais tout mon bon jus de couilles, bien gluant et super odorant.
Aussi, j'ai commencĂ© Ă  masturber rĂ©guliĂšrement la grosse bite de mon grand frĂšre ĂągĂ© de 15 ans, alors que moi je n’avais que seulement 11-12 ans et demi. Au dĂ©but, c’est lui qui m’a demandĂ© de le toucher quand il bandait. Il rentrait en slip dans ma chambre, en me demandant de venir le rejoindre dans mon lit, puis il prenait ma main et la posait sur sa queue qui gonflait de plus en plus. J'aimais grave lui prodiguer ces gestes, car je kifais de voir sa bite grossir entre mes doigts. Parfois, mon frĂšre malaxait mes couilles et le sexe pendant que je le masturbais lentement et qu'il m'Ă©jaculait dans les mains des grandes quantitĂ©s de foutre bien chaud. Ensuite, il partait directement de ma chambre, me laissant seul avec mes mains toutes couvertes par sa semence blanche, Ă©paisse et trĂšs odorante.
Au début, je ne savais pas trop quoi faire de ce liquide tiÚde, visqueux et trÚs parfumé. Mais au fur et à mesure de mes séances de branlage avec mon frÚre, j'ai continué mes masturbations avec son sperme, pour aussi jouir à mon tour. J'avais alors du foutre partout sur moi, et aussi les mains dégoulinantes de ce mélange de bons jus de couilles.
Ensuite, j'ai commencĂ© par lĂ©cher tout ce sperme que mon frĂšre me vidait. Puis, j’ai demandĂ© Ă  mon grand frĂšre, de venir dans ma chambre pour que je lui masturbe sa bonne et grosse queue, afin que je rĂ©colte un maximum de foutre. Je prenais un grand plaisir Ă  le regarder jouir, et de voir ces longs jets de semence me recouvrir les mains, car je faisais maintenant bien attention Ă  garder le plus de foutre possible, pour en avoir beaucoup Ă  lĂ©cher et Ă  avaler. Mon frĂšre ne savait mĂȘme pas que j'Ă©tais devenu accro au goĂ»t de son foutre, car quand il terminait de se vider les couilles, il repartait directement de ma chambre. Peut-ĂȘtre qu'il regardait ensuite par le trou de la serrure, pour voir ce que je faisais une fois tout seul.
Car j'aimais aussi mĂ©langer son foutre abondant, Ă  mes Ă©jaculations et pouvoir ensuite longuement sentir cette bonne odeur de nos spermes et avaler trĂšs lentement tout ce bon breuvage, dont j'Ă©tais devenu trĂšs vite addict. Parfois, j'utilisais une paille pour pouvoir boire ce bon cocktail de bonne semence, pouvant ainsi l'avaler bien lentement, et faire des effets de succion pour l'avaler par de petits jets continus au fond de ma bouche, car j’étais devenu avide de ce breuvage que je prenais quasi quotidiennement.
Cela a durĂ© environ pendant quatre annĂ©es. C'est moi, qui Ă  prĂ©sent demandais de plus en plus Ă  mon grand frĂšre de venir me rejoindre dans mon lit, ou je l'attendais seulement vĂȘtu de mon slip, afin de pouvoir lui caresser sa grosse bite, et la sentir gonfler entre mes doigts, et de le faire jouir, pendant que lui aussi masturbait parfois lĂ©gĂšrement ma jeune bite de puceau sans poils, tout en malaxant mes couilles elles aussi, lisses comme un Ɠuf. Il me chuchotait des mots cochons pour nous exciter, en demandant de le masturber comme lui le faisait avec ma queue. Mais il aimait bien aussi venir de lui-mĂȘme, la nuit pour se joindre Ă  moi sous mes draps afin de pouvoir me branler, mais surtout pour que je lui vide ses couilles pleines de bon foutre. Parfois dans une mĂȘme journĂ©e, je masturbais mon frĂšre Ă  plusieurs reprises, et Ă  chaque fois ce dernier m'Ă©jaculait entre les mains des grosses giclĂ©es de semence, que je lĂ©chais comme un malade aprĂšs son dĂ©part.
Parfois mon frĂšre demandait de le branler quand il prenait sa douche. Il aimait grave que je lui masturbe sa grosse queue encore molle, avec du gel douche. Cela le faisait bander Ă  mort, et gĂ©mir de plaisir. Il demandait aussi pendant tout ce temps de bien lui caresser et de lui malaxer les couilles durant ces longs moments de masturbation, mais aussi de lui caresser l’entrĂ©e de son anus et de lui introduire mon pouce dedans, pour y faire de lents va-et-vient. Il finissait alors par jouir de plus grosses quantitĂ©s de foutre qui me remplissaient les deux mains. Un jour il m’a demandĂ© de porter mes mains pleines de sa bonne semence encore chaude Ă  ma bouche, et de lĂ©cher puis d'avaler le tout, en face de lui pour qu'il m'observe le faire. Puis il m’a demandĂ© que je me branle et de jouir Ă  mon tour face Ă  lui. Ensuite, il m’a ordonnĂ© d’avaler tout mon sperme, en demandant de garder ma bouche bien ouverte, afin de vĂ©rifier si j'avais tout bien gobĂ© le mĂ©lange de nos deux Ă©jaculations. Une autre fois, mon frĂšre m’a Ă©jaculĂ© directement sur le visage et il m’a inondĂ© la bouche par de longs et puissants jets de sperme, puis il m’a enfoncĂ© entiĂšrement sa bite au fond de ma gorge, tout en tenant ma tĂȘte, il faisait des va-et-vient dans ma bouche grande ouverte, lentement au dĂ©but, pour ensuite me violer la bouche, de plus en plus vite, et de plus en plus fort. Puis il m’a demandĂ© de bien lui lĂ©cher et de lui pomper trĂšs lentement son gros gland violacĂ© bien joufflu, et gonflĂ© Ă  bloc par le plaisir que ma langue procure Ă  la bonne queue de mon frĂšre. Il voulait que je lui nettoie entiĂšrement sa bite encore recouverte de foutre.
J'ai alors tout lĂ©chĂ© ce bon jus, mĂȘme le sperme qui Ă©tait tombĂ© sur le sol, mais Ă  force de sucer sa bonne bite bien parfumĂ©e, mon frĂšre a de nouveau Ă©jaculĂ©, mais cette fois il m’a directement envoyĂ© tout son bon jus de couilles directement au fond de la gorge, et une fois de plus ma bouche Ă©tait complĂštement remplie par son abondante Ă©jaculation, et j'ai tout avalĂ© Ă  nouveau, en prenant le plus de temps possible, pour bien apprĂ©cier cette dĂ©licieuse semence, au bon goĂ»t d'iode, et Ă  la fois sucrĂ©-salĂ©. J'ai donc recommencĂ© par lui nettoyer entiĂšrement la bite avec ma langue, tout en me branlant face Ă  mon frĂšre. J'ai Ă©jaculĂ© Ă  mon tour encore plus de foutre que d'habitude, j'ai regardĂ© mon frĂšre bien dans les yeux, et j'ai gobĂ© tout mon foutre, tout en m'amusant avec, je laissais ressortir un filet de sperme, d'entre mes lĂšvres, puis je rĂ©-aspirais ma bonne semence, en faisant des bruits d'aspiration. Avec ma langue aussi, je m'amusais avec mon sperme, en le faisant rouler dans ma bouche. Puis, j'avalais lentement Ă  mon tour toute ma liqueur venue de mes jeunes burnes sans aucun poil. Elle avait elle aussi, un super bon goĂ»t, comme le foutre du frangin, mais le mien je le trouvais plus doux Ă  avaler, car un peu moins amer, et avec un bon parfum Ă  la fois plus poivrĂ© et chlorĂ©, que le sien. Mais, mĂȘme moins ĂągĂ© que lui, par quatre annĂ©es de diffĂ©rence, mes Ă©jaculations Ă©taient aussi abondantes, et odorantes que celles de mon brother . Mon sperme me paraissait seulement un peu plus colorĂ© blanc, mais aussi plus visqueux.
Un aprĂšs-midi d’étĂ©, mon frĂšre m'ayant refusĂ© de le branler, j'avais dĂ©cidĂ© que je viendrais directement me servir Ă  la source, le soir mĂȘme pendant que ce dernier serait endormi. Ni une ni deux, vers 23 heures environ, je suis entrĂ© sans faire de bruit dans sa chambre. J'ai alors retirĂ© le drap qui le recouvrait, et j'ai dĂ©couvert qu'il dormait complĂštement Ă  poil. J'ai aussi regardĂ© sous son lit pour examiner s’il y avait ses magasines de cul qu'il planquait Ă  ses dĂ©buts Ă  cet emplacement, et voir si comme moi, il laissait des mouchoirs contenants du bon sperme, aprĂšs nos masturbations chacun en solitaire, dans nos chambres individuelles. Et en effet, j'ai dĂ©couvert un grand tas de revues de cul, des photos, des histoires. Certaines pages Ă©taient complĂštement collĂ©es par ces abondantes Ă©jaculations Ă  rĂ©pĂ©titions dessus, mais aussi des traces de foutre encore fraĂźches, et dont ce jus de couilles coulait d’entre les pages, jusque sur mes doigts. J'ai aussi trouvĂ© bons nombres de mouchoirs sous son lit, qui avaient tous des traces d’éjaculation Ă  l'intĂ©rieur et dont l’odeur qui en sortait ne faisait que dĂ©montrer que mon frangin se branlait tout comme moi, comme un grand malade. Le Kleenex le plus en Ă©vidence devait avoir servi il y peu de temps, car il y avait encore Ă  l'intĂ©rieur une bonne dose de foutre bien crĂ©meuse et lĂ©gĂšrement tiĂšde encore.
J'ai directement lĂ©chĂ© ce sperme qui recouvrait les doigts, et avec ma langue, j'ai lĂ©chĂ© les pages recouvertes par la bonne semence de mon frĂšre. Ensuite j’ai saisi le Kleenex rempli de sperme, je l'ai reniflĂ© un grand moment, car je surkiffe cette odeur forte de foutre. J'ai passĂ© de petits coups de langue dessus, pour en manger un peu. Puis, j'ai refermĂ© ce mouchoir et j'ai pressĂ© dessus, lui donnant un aspect de boule, dont tout le foutre se retrouvait concentrĂ© et sous pression Ă  l'intĂ©rieur. J'ai alors portĂ© ce Kleenex au-dessus de ma bouche grande ouverte, et de ma langue tirĂ©e, tout en matant mon frĂšre dormir et en observant sa jolie bite, j'ai appuyĂ© plus fort sur la bulle que formait le mouchoir, et il m’a explosĂ© tout le bon sperme qu'il contenait directement Ă  la gueule, et dans ma bouche. TrĂšs souvent, je fais comme ça pour gober mon foutre, car lors de l’explosion du mouchoir en papier, le sperme en ressort presque comme lors d'une Ă©jaculation.
Me rĂ©galant de ce prĂ©cieux nectar, j'ai alors commencĂ© Ă  prendre la verge encore molle de mon frĂšre dans ma bouche contenant encore sa bonne semence abandonnĂ©e. Durant son sommeil, j'ai lentement sucĂ© son chibre et je le masturbais doucement, tout en lui massant ces belles grosses burnes, Ă  demi velues. À cet instant, j'ai grave pris mon pied, car aprĂšs plusieurs minutes de succion, de grosses gouttes de cyprine s’échappaient de sa longue queue de 24 cm qui avait gonflĂ© dans ma bouche. J'ai longuement pompĂ© sa bite tout en masturbant moi aussi ma queue, afin de pouvoir me rĂ©galer de ma cyprine. Car j’adore aussi ce prĂ©cieux liquide translucide, et un peu salĂ©, mon frĂšre me produisait lui aussi une bonne quantitĂ© de cette bonne cyprine dont je raffole tant. C'est pour cela que je le lĂ©chais super lentement, afin de lui en extraire un maximum. Comme les fourmis qui traient les pucerons, afin de rĂ©colter encore davantage de miellat en abondance, je lui butinais le gland comme une abeille sur une fleur.
Ensuite, j'ai Ă©jaculĂ© sur sa grosse bite, puis j'ai perdu la tĂȘte, car je me suis mis Ă  le pomper trĂšs fortement, avec toute ma semence en bouche. Je voulais obtenir de ces couilles tout le jus qu'elles renfermaient. Et puis j’avais surtout grave envie de prendre ma ration quotidienne de foutre de mon frĂšre au fond de ma gorge, car aujourd'hui, il n'avait pas voulu que je le branle. Du fait de ma forte cadence avec ma bouche sur son chibre, et de lui malaxer ses gros et lourds testicules trĂšs retombants, mon frĂšre s’est rĂ©veillĂ©, mais il faisait semblant de dormir encore, je l'ai vite remarquĂ©, mais j'ai continuĂ© ma fellation, tellement je voulais recevoir ces bonnes rasades de foutre dans ma bouche. Tellement je prenais du plaisir avec ce chibre dans ma bouche, tout en avalant mon propre sperme, j'ai oubliĂ© que mon frĂšre ne dormait plus. À un moment, par surprise, il m’a saisi la tĂȘte Ă  l'aide de ses deux mains, afin que son gros et long chibre termine directement et en entier tout au fond de ma gorge, il me l’a plantĂ©e jusqu’à la glotte. J'ai alors ouvert grand les yeux, et lĂ  j'ai vu mon frĂšre me fixer lui aussi tout en grimaçant, j'ai donc compris qu'il avait fait exprĂšs de retarder le plus possible le moment de jouir, mais qu’à cet instant, il ne pouvait plus se retenir, et qu'il allait enfin m'envoyer tout son bon jus en bouche, que j'avais tant attendu et convoitĂ©.
Effectivement, je ne m'Ă©tais pas trompĂ©, sa bonne queue encore entiĂšrement au fond de ma bouche, mon frĂšre m’a explosĂ© directement Ă  l'intĂ©rieur. Tout en me maintenant fortement la tĂȘte. Il m’a Ă©jaculĂ© avec beaucoup de puissance, et dans de grands gĂ©missements, de trĂšs grosses quantitĂ©s de foutre directement au fond du gosier, j'ai presque failli m'Ă©touffer tellement il me dĂ©versait avec force ses flots de semence, au bon goĂ»t de chĂątaignes fraĂźches, dont j’adore tant me dĂ©lecter. Puis d’autres jets de sperme suivirent, aussi puissants que les autres, et ils m'ont totalement inondĂ© la bouche, j'avais presque du mal Ă  tout l’avaler tellement il y en avait. Mais une telle abondance de son excellent jus de couilles ne m’a pas rebutĂ©, bien au contraire, j'ai pris grand soin de bien pouvoir absorber toute cette quantitĂ© de foutre. Puis, je me suis appliquĂ© Ă  tout lĂ©cher son bon sperme sur mon corps et sur celui de mon frangin, ainsi que son chibre et son bon gland que j'ai nettoyĂ© jusqu’à la derniĂšre trace et goutte. Mais pendant ce temps, mon frĂšre a remarquĂ© que j'avais consultĂ© ces bouquins de cul, car ils Ă©taient encore sur son lit Ă  mes cĂŽtĂ©s. J'avais oubliĂ© de les remettre Ă  leur place, il m'en a fait la remarque et m’a aussi dit que j'avais lĂ©chĂ© tout son foutre qui Ă©tait dans le Kleenex dans lequel il avait Ă©jaculĂ© avant de s'endormir, car il voulait me le donner Ă  lĂ©cher, mais qu’avant cela, il voulait le renifler, car il adore comme moi lui aussi, sentir l'odeur du sperme plusieurs heures aprĂšs l'Ă©jaculation. En effet, nous trouvons tous les deux que le sperme est plus parfumĂ© parfois, quand il vieillit un peu, et que les arĂŽmes sont plus forts. Comme moi, il prend aussi du plaisir Ă  sentir cette bonne odeur de foutre, qu'il soit frais ou bien de prĂ©fĂ©rence maturĂ©, voire faisandĂ©. Cette vision du sperme et ce parfum nous excitent donc tous les deux.
Puis, vers l’ñge de mes 12-13 ans, je lĂ©chais les mouchoirs et les pages des revues pornos hĂ©tĂ©ros & gay, souillĂ©s par le foutre de mon grand frĂšre Ă  prĂ©sent ĂągĂ© environ de seize ans et qui se branlait dedans. Parfois, je trouvais aussi dans sa poubelle sous son bureau, des capotes usagĂ©es pleines de sa bonne liqueur de jeune mĂąle, datant des fois de plusieurs jours que je rĂ©cupĂ©rais afin d'aller me masturber avec, dans ma chambre ou bien aux toilettes, avec cette grande dose de foutre prĂȘte Ă  l'emploi. Je prenais un grave plaisir Ă  sentir les bonnes et fortes odeurs poivrĂ©es de son sperme. Parfois, je vidais un peu de ce foutre dans une de mes mains, afin de me branler avec une partie de ce Jus, ou bien je portais Ă  ma bouche ces prĂ©servatifs copieusement remplis, pour les vider lentement dans ma bouche avide de ce bon nectar bien concentrĂ© d'arĂŽmes trĂšs forts et puissants en odeurs. J'aimais aussi bien le goĂ»t du vieux foutre, que celui frais du jour, qui parfois, Ă©tais encore tiĂšde si j'avais eu la chance de pouvoir trouver mon bonheur Ă  temps. Ensuite, je finissais par jouir, et j'avalais mon foutre super lentement, le mĂ©langeant aussi parfois avec celui de mon frangin. AprĂšs avoir aussi lĂ©chĂ© la bonne semence recouvrant les pages des magazines de cul de mon brother . Il m'arrivait parfois d'Ă©jaculer sur ces mĂȘmes pages pour ensuite les lĂ©cher Ă  nouveau, pour bien ĂȘtre enivrĂ© par ce bon mĂ©lange de parfums, tout en laissant quelques giclĂ©es, pour que mon frĂšre ne le remarque pas trop, mais aussi pour que je puisse lĂ©cher mon propre foutre lors des prochaines fois, et aussi comme cadeau Ă  mon brother.
Le temps ayant passĂ©, j'ai grandi, et baisĂ© avec des filles, mais trĂšs souvent j'avais une envie de pomper une bonne queue, pour me prendre dans la bouche du bon foutre, pour changer du mien. J'avais surtout envie de sucer des mecs plus jeunes que moi et de prĂ©fĂ©rence, des jeunes ados beaux gosses, des puceaux, des jeunes gays, parfois je matais certains de mes collĂšgues moins ĂągĂ©s que moi, comme An... (Son pseudo : Tottojaja28, il fait Ă  prĂ©sent du porno gay sur Youporn, Xhamster, Ludotub...) J'avais grave envie de sucer son chibre, car quand il Ă©tait en short, je devinais Ă  travers le tissu, la bonne taille de son sexe, et mĂȘme parfois par les Ă©chancrures je pouvais apercevoir ces couilles sans poils pendre, et sa longue queue. Souvent il parlait de cul, et d’histoires que je trouvais limite gay ou bisexuel. Si j’avais su qu'il aimait les mecs, je l'aurais direct sucĂ©. J'aurais bien sucĂ© aussi quelques jeunes stagiaires et intĂ©rimaires, ayant entre 15 et 22 ans. Mais un jour, j'ai passĂ© une soirĂ©e chez mon collĂšgue Thomas super beau gosse, et dont j'avais grave envie de lui sucer la queue depuis de longues annĂ©es. Moi j’avais 35 ans, et lui 24 ans. Quand vint la fin de cette soirĂ©e lĂ©gĂšrement alcoolisĂ©e, Tom m’a proposĂ© de coucher chez lui, au lieu que je rentre avec ma voiture. J'ai direct acceptĂ© cette occasion de pouvoir rester en sa compagnie. Il m’a montrĂ© son lit, malgrĂ© les deux autres chambres de son grand appartement et de son salon. Puis il s'est dĂ©poilĂ©, ne gardant que son caleçon qui faisait deviner la forme et la taille de sa queue, et il m’a invitĂ© Ă  le rejoindre vite. Mais le temps de terminer une cigarette, et Thomas s’était endormi.
J'Ă©tais un peu blasĂ©, car j’avais imaginĂ© qu'il avait envie que l'on baise ensemble. Je me suis mis complĂštement Ă  poil, et me suis allongĂ© Ă  ses cĂŽtĂ©s. J'aurais bien aimĂ© pouvoir me faire sucer par lui, et moi lui faire aussi une bonne bouffarde. J'ai donc essayĂ© de le rĂ©veiller, mais il ne bronchait pas. N'arrivant pas Ă  m'endormir, j’ai commencĂ© par me masturber doucement, tout en le matant et observant sa queue Ă  travers son caleçon. Tellement excitĂ© d’ĂȘtre couchĂ© Ă  cĂŽtĂ© de ce beau garçon, j'ai craquĂ©, j'ai alors dĂ©grafĂ© les trois boutons de sa braguette, puis j'ai regardĂ© par cette ouverture pour voir sa bite, mais je voulais la voir entiĂšrement. Lentement j’astiquais ma bite d’oĂč sortaient de grands filets de cyprine que je portais Ă  mes lĂšvres gourmandes. De mon autre main, je caressais trĂšs lĂ©gĂšrement le sexe de Thomas Ă  travers le tissu de son sous-vĂȘtement, et il a commencĂ© par bander. Lentement avec l'aide de trois doigts, j'ai dĂ©gagĂ© sa belle bite par l'ouverture du caleçon. J'ai alors commencĂ© par le masturber, et aussi par lui malaxer les burnes Ă  travers le tissu. Ensuite, j'ai dĂ©calottĂ© son gland, qui Ă©tait magnifique et super doux et lisse, comme le reste de sa belle et grande queue Ă©lancĂ©e, mesurant bien 25 cm. J'Ă©tais aux anges moi, de pouvoir tripoter la queue de ce joli mec, qui ne rĂ©agissait pas Ă  toutes mes caresses.
Je me suis amusĂ© Ă  lui caresser, et lui lubrifier super lentement le gland avec un de mes doigts que j'avais recouvert par ma cyprine, puis que je portais Ă  ma bouche, pour l'enduire de ma salive, mais aussi surtout pour avoir dans ma bouche le goĂ»t de la queue de mon ami Thomas. Et en effet le parfum de sa bite Ă©tait vraiment excellent, j'avais de plus en plus envie d'avoir encore davantage d’arĂŽmes provenant de sa bonne queue, dans le fond de mon gosier. J'ai donc continuĂ© longuement de lui masser le gland, et le long de toute sa trique avec mes doigts enduits de salive, et de cyprine. Enfin, par le gland de Tom, il commençait Ă  y avoir de belles gouttes de cyprine qui en sortaient, je les ai vite rĂ©cupĂ©rĂ©es sur le bout de l'un de mes pouces, puis je l'ai sucĂ©e comme s’il s'agissait de la queue de mon collĂšgue, le goĂ»t Ă©tait parfait, et il en produisait une belle quantitĂ©, que je me suis rĂ©galĂ© de ce dĂ©lice sucrĂ© salĂ© Ă  la bonne odeur mĂ©langĂ©e de sa bite. Quand je me suis penchĂ© pour pouvoir sentir sa queue, j'ai craquĂ© en voyant son chibre aussi proche de ma bouche.
J'ai fini par lui passer carrément ma langue sur le bout de son gland pour pouvoir lécher toute sa bonne cyprine directement à la source, puis mes coups de langue se sont attardées de plus en plus sur la totalité de son gros gland devenu violet par tant de plaisirs nocturnes, puis j'ai continué de le lécher sur toute la longueur de sa jolie bite, lui tétant aussi parfois les petits mamelons de sa poitrine, aussi imberbe que sa queue et ses belles couilles pendantes et bien généreuses en volume. Remontant à nouveau vers son beau et bon gland pour continuer ma dégustation de sa bonne cyprine à grands coups de langue, j'ai fini par prendre en bouche so
DĂ©monter jusqu'Ă  ce qu'elle s'essoufle
Une belle MILF chaude française
Masturber une petite soumise

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