Une blanche entre deux black

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Juste avant les vacances, abandonner un caniche au milieu de la route comme çà .... la cause animale en prend un coup.

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Et pour mettre tout le monde d'accord je propose ce titre :

Une white se bagarre avec une black ...j'ai bon là ???

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C'est bon j'arrête mes blagues sur le zoo, aujourd'hui on est à la ferme.

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Elle s'était preparé la blanche, elle avait attaché ses cheveux lol

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Les meilleurs contributeurs du mois



mansail :
elle attends pour mettre les saucisses à cuire


mansail :
rigole pas le pépère


mansail :
pas mieux...


mansail :
cool ça a bien protéger la voiture ;j'espère qu'elle a rien


mansail :
une belle brochette de co.....d.;les passages cloutés se traversent à pied en poussant le velo


mansail :
passage à niveau avec composants chinois......


Mongolito :
Plouf la pouf


mansail :
et merde le portail ;il est fichu maintenant ,fallait sacrifier la tète


mansail :
Beau geste....des 2





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10 films d’amour entre Noirs et Blancs


L’actrice Anne Heche meurt à l'âge de 53 ans


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Publié le 18 février 2017 à 10h56 Mis à jour
le 18 février 2017 à 10h56

Nicol Williamson et Iman dans The Human Factor (1979) de Otto Preminger. Capture d'écran
“Loving” de Jeff Nichols vient rappeler l’enfer que les Blancs infligèrent aux Noirs aux Etats Unis. Un film qui fut précédé par bien d’autres œuvres progressistes. Quelques exemples.
Parmi les films foncièrement antiracistes, les plus évidents (visuellement) sont ceux qui mettent en scène un couple formé d’une personne dite “de couleur” et d’une autre dite “blanche”. C’est le sujet du film Loving de Jeff Nichols, situé dans les années 1950. Faisons le point sur les amours noires et blanches au cinéma avec une dizaine d’exemples…
Princesse Tam Tam de Edmond T. Gréville – 1935
Métisse américaine, Joséphine Baker fut adoptée par la France et, après avoir chanté les mérites de notre pays, elle en acquit la nationalité. Vedette de music-hall, elle devint assez naturellement actrice. Évidemment, les personnes de couleur, si elles n’étaient pas l’objet d’une ségrégation aussi violemment formalisée en France, car elles étaient plus rares, étaient avant tout traitées comme des curiosités exotiques. C’est le cas dans ce film situé en Tunisie, où la chanteuse tient cependant un rôle important. Elle joue la maîtresse du héros, dans une optique proche du Pygmalion de Shaw. Tout cela reste ambigu car d’une certaine manière elle n’est que le piment d’une comédie de remariage. Elle reste donc un élément exogène, une passade. Cela dit, les Etats-Unis étaient très loin d’avoir une telle tolérance à la même époque…
Les Lâches vivent d’espoir de Claude-Bernard Aubert – 1961
Réalisé par un cinéaste assez inclassable (plus connu pour sa carrière ultérieure dans le X) à l’époque de la Nouvelle Vague, et dans un style proche, ce film débute par une scène choc : la naissance d’un enfant noir dont la mère est blanche. Aux États-Unis, où le film fut distribué, on en fit un film d’exploitation, rebaptisé My baby is black ! , en l’assimilant au cinéma trash de l’époque. Grâce à quelques habiles ajouts, on le fit passer pour une œuvre délibérément choquante. Mais dans le fond et à l’origine, son propos était totalement antiraciste et très progressiste pour l’époque en mettant en scène les amours libres d’un couple mixte formé par deux étudiants à Paris, ainsi que la façon dont la société les rejetait. La bande annonce américaine (raciste).
Un coin de ciel bleu de Guy Green – 1965

Sans doute une des premières œuvres quasi-idylliques sur les amours entre blacks et whites. Evidemment, l’héroïne, qu’un jeune Noir aimable et prévenant sauve d’un horrible milieu familial, est aveugle. Donc on pourrait dire que le processus est un peu biaisé. Mais cela peut aussi signifier que l’amour étant aveugle, il ignore le racisme. Ce film sorti dans la foulée du mouvement des Droits civiques, qui allait révolutionner le sort des Afro-américains aux Etats Unis, en annonce un autre avec le même acteur, Sydney Poitier, le jeune premier black de l’époque : Devine qui vient dîner ce soir , œuvre également progressiste, mais un peu plus lourde et théâtrale. Soit tout le contraire de cette magnifique séquence de supermarché…
https://www.youtube.com/watch?v=reT3MnE0VI0
La Permission de Melvin Van Peebles – 1968
Conçue un peu sur le même principe que le film de Claude-Bernard Aubert, cette romance charmante sur la rencontre à Paris d’un militaire noir américain (Harry Baird) et d’une jeune Française (Nicole Berger) a, elle, un tour nettement plus festif, ambiance jazz-pop. Mais le fond reste le même, celui de la lutte contre les préjugés et la mentalité étriquée des Blancs imbus de leur culture et allergiques à toute singularité.
https://www.youtube.com/watch?v=ALJqmAWu1pI
Flipper City de Ralph Bakshi – 1973
On nage dans le trash psychédélique avec cette histoire de freaks , classée X à l’époque, réalisée par Ralph Bakshi, qui avait révolutionné le cartoon avec Fritz the Cat . Faisant alterner images réelles et dessin animé, le film se passe dans les bas-fonds de New York, où un Italo-Américain fils de mafieux file le parfait amour, malgré diverses interférences croustillantes, avec une barmaid black. Certainement le plus chaotique du lot, pour le meilleur et pour le pire.
The Human factor de Otto Preminger – 1979
Tourné en partie au Kenya d’après un roman de Graham Greene, l’ultime film du grand Preminger ( Laura, Tempête à Washington… ) n’est pas le plus connu ni forcément le meilleur. Cependant, cette histoire d’agents secrets du MI6 britannique et de taupes au service des Soviétiques est enluminée par la présence de la belle Iman, future madame Bowie, mariée dans le film à un grisâtre espion british. Dans ce cas, le film porte un regard critique, déconstructiviste, sur le désir de l’homme blanc (et puissant) pour la femme noire..
L’idée d’une attirance presque chimique des contraires est clairement inscrite sur l’affiche du film, avec une certaine puissance graphique, qui montre des mains d’une femme blanche entrelacées avec celle d’un homme noir. Le film décline le concept avec une certaine grâce mais n’a peut-être pas la force explosive de Do the right thing , fondé moins sur l’amour que sur les conflits intercommunautaires (et donc sur le racisme).
Jackie Brown de Quentin Tarantino – 1997
Un hymne à la femme black option Milf, pour lequel Tarantino fit sortir de l’oubli la “panthère noire de Harlem” elle-même, alias Pam Grier, reine de la blaxploitation des années 1970. Dans ce thriller emberlificoté, mais non dénué de mélancolie, celle-ci file le parfait amour avec un autre revenant, Robert Forster. Ou comment Tarantino gagne sur deux tableaux en faisant d’une part triompher la cause des femmes et celles des Afro-américains. Il ne cessera dès lors de réhabiliter les Blacks dans son cinéma. Séquence-écrin, mettant en scène la fascination de l’homme de loi au visage pâle pour la belle black sortant de prison.
Loin du paradis de Todd Haynes – 2002
Décalque évident et revendiqué de Tout ce que le ciel permet de Douglas Sirk, et du remake allemand de ce film par Fassbinder (Tous les autres s’appellent Ali), qui introduisait une notion de mixité ethnique dans cette histoire de femme mûre amoureuse d’un homme d’un autre âge et d’une autre classe. Ici, le nœud dramatique est encore compliqué par le fait que le mari officiel de l’héroïne, incarnée par Julianne Moore, est lui-même homosexuel. C’est d’ailleurs ce qui la pousse à entamer une relation amoureuse avec son jardinier (comme chez Sirk), un bel Afro-américain. Haynes colle parfaitement au style du mélo des fifties en lui adjoignant une critique cinglante de la société de l’époque.
Vers le Sud de Laurent Cantet – 2005
Le film de Cantet traite d’une autre sorte de jungle fever , celle des “sugar mamas” européennes, femmes d’un certain âge s’offrant des vacances érotico-exotiques avec de beaux et jeunes gigolos africains (ou haïtiens en l’occurrence). L’Autrichien Ulrich Seidl reprendra le sujet avec un regard plus clinique et cruel dans Paradis : amour . Cantet, lui, aborde le thème sans verser dans le jeu de massacre satirique, ce qui ne l’empêche pas de mettre le doigt où le sujet fait mal.
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Publié le 28/09/2021 à 07h00
- Modifié le 28/09/2021 à 08h52




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Par Biglotron le 02/10/2021 à 11:55




Par Grisonnant le 01/10/2021 à 22:22




Par OP44 le 29/09/2021 à 15:43


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J eudi dernier, deux étudiantes de l’université Arizona State University aux États-Unis ont posté sur leur compte Instagram une vidéo devenue virale. Filmée par l’une des deux jeunes femmes, la vidéo montre les étudiantes demandant à deux de leurs camarades blancs de quitter la bibliothèque universitaire où ils étudiaient, car ils seraient « offensants ». Alors qu’ils étaient en train d’étudier dans une des bibliothèques universitaires du campus, deux étudiants ont été vertement sermonnés par deux jeunes femmes se revendiquant militantes Black Lives Matter . En cause, un autocollant figurant sur l’ordinateur de l’un des deux garçons comporterait l’inscription « Police Lives Matter ».
Tout en les filmant, les deux jeunes filles apostrophent leurs camarades : « Vous êtes offensants. Police Lives Matter ? C’est notre espace. Vous rendez cet espace inconfortable », s’exclament-elles. Renommé par l’université « espace d’apprentissage multiculturel », l’intitulé de la bibliothèque devient rapidement une source de discorde entre les deux binômes. « Vous êtes blancs, comprenez-vous ce que signifie un espace multiculturel ? Ça veut dire que vous n’êtes pas le centre du monde ! » s’énerve l’une des deux étudiantes. Estomaqué, l’un des garçons lui demande à son tour si, pour elle, « les Blancs n’ont pas de culture », avant d’être copieusement réprimandé : « Blanc n’est pas une culture ! Vous pensez que la blancheur est une culture ? ! » En colère, les deux étudiantes s’écrient que l’ASU (Université d’État Arizona) fait subir des violences aux élèves en protégeant des personnes comme les deux garçons.
�� This insanity is happening on college campuses pic.twitter.com/BrVxICZYqP
S’ils n’osent pas trop se défendre, l’un des garçons finira par réagir après que l’une des deux filles lui crie que « les hommes blancs pensent qu’ils peuvent occuper notre espace. […] C’est le seul endroit du campus où vous n’êtes pas le centre du monde et vous essayez toujours d’être le centre du monde, ce qui est une connerie d’homme blanc cis ! ». Agacé, ce dernier finit par répondre : « Je ne suis pas raciste, je suis juste en train d’étudier. Je paie les mêmes putains de frais de scolarité que vous, je travaille 60 heures par semaine tout en allant à l’école parce que mes parents ne me donnent pas d’argent ! »
Après leur avoir reproché d’être blancs, les jeunes femmes se concentrent sur l’autocollant « Police Lives Matter ». Pour elles, il vient défendre les policiers qui « tuent des gens comme moi et comme nous » l’accusant de faire la « promotion de nos meurtriers ». Même si les garçons sont défendus par l’un de leurs camarades, ils finiront par quitter les lieux sous la pression des deux étudiantes.
Si cette vidéo choque beaucoup d’internautes, elle pose également débat. En effet, outre le fait que l’un des deux garçons porte un tee-shirt « Je n’ai pas voté pour Joe Biden », l’autocollant en lui-même fait réagir. Sous la vidéo du tiktokeur @timothegram, suivi par près d’un demi-million d’utilisateurs et qui a abordé le fait divers, les commentaires se déchaînent, le contraignant à publier des précisions : « Ce qui avait été d’abord reproché à cet étudiant blanc, c’était d’avoir cet autocollant “Police Lives Matter”. […] Même si le slogan est un peu différent, apparemment, les gens l’associent à “Blue Lives Matter” ». Ce mouvement, né en 2014 en contestation du mouvement Black Lives Matter à la suite de l’assassinat de deux policiers, fait écho aux propos de l’une des deux étudiantes qui affirme d’ailleurs que l’autocollant serait « affilié aux nationalistes blancs ».
« La question est : est-ce de la provoc de sa part car il se trouvait dans une bibliothèque multiculturelle avec un tel autocollant sachant ce que ça pouvait peut-être déclencher chez des gens ou bien est-ce que c’était vraiment innocent du genre sa maman est policière et il veut la soutenir ? » explique le vidéaste Timothée à ses abonnés. Ce dernier finit tout de même par s’interroger : « Est-ce que c’est en fait l’autocollant qui te dérange ou est-ce que c’est parce qu’il est blanc dans un espace multiculturel ? »
Pour le moment, l’université n’a toujours pas réagi à la vidéo.
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Le racisme brut de décoffrage, ou le wokisme mis à nu.

Merci pour les "phantasmes des abonnés extrémistes" du Point. Que voilà une rhétorique propice au dialogue et au débat.
Je me demande quelle place ces activistes 2. 0 réserveront aux familles comme la mienne unissant un "mâle blanc" à une créole, avec de beaux enfants métis. Je suppose que nous ne rentrerons pas dans les (petites) cases prévues pour classer les bons sujets et les autres...
En attendant, je suis enchanté d'expliquer à mes enfants toute la richesse et la diversité de leurs origines, le patos en moins.

Leurs idiot. E. S (!) utiles squattent tous les espaces de discussion, même sur des thèmes qui à priori n'ont pas-grand chose à voir avec la politique. Même la musique classique, par exemple, n'est pas épargnée. Sous prétexte que pendant des siècles les femmes et les "non-blancs" y étaient peu représentés, maintenant il faudrait imposer non seulement des quotas, mais la parité, aussi bien pour les interprètes, que pour le répertoire.
Quelques femmes courageuses tentent de s'interposer, comme la violoniste Zhang Zhang (on remarquera au passage que les Asiatiques, eux, ont su rattrapper leur retard grâce à leurs seuls talent et travail ! ), mais d'une façon générale il est impossible de discuter avec ces militant. E. S( re !) sous peine d'excommunication et de reductio ad hitlerum.
Ce n'est plus seulement de la bigoterie bien-pensante, comme on pouvait encore le croire il y a 10 ou 20 ans, on n'est pas loin en effet des "Gardiens de la Révolution Islamique d'Iran" et des "Gardes Rouges " de Mao. Et ça fait peur.
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