Une belle blonde chevauche une bite bien dure
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Une belle blonde chevauche une bite bien dure
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Vu la tĂȘte qu'elle a fait, elle a pas du apprĂ©cier .... Bien fait pour elle, elle y rĂ©flĂ©chira la prochaine fois ... B*tch !!!
Why bitch ?, je trouve au contraire que le geste du livreur est plein d'affection sans arriÚre pensée, bande de vieux cochons !
lol "52" c'était "bitch" purée j'essayais de traduire "b*tch" avec une étoile je ne comprenais pas !! tsss
Ben ça sent surtout la gonzesse qu'a voulu jouer Ă l'allumeuse sauf que le livreur Ă©tait plus entreprenant qu'elle l'aurait pensĂ©, et donc comme j'ai dit, vu la tĂȘte qu'elle a fait au moment oĂč il lui touche la foufe, elle a pas du apprĂ©cier ....
Donc, rien que pour le fait d'ouvrir à un livreur en tenue sexy comme ça, c'est une bi*tch ....
Franchement,c'est un fake,mĂȘme si elle le cherche,le type lui touche la chatte voir lui colle un doigt et la fille fait mine de serrer les jambes,en temps normal,le type se serai retrouver avec les burnes partagĂ©es en deux surtout que c'est qui qui filme? Son mec? A moins qu'il soit voyeur,un type vient toucher la chatte de ma femme,je lĂąche tout et lui colle une praline dans sa face.
Ha jeune fille, tu as voulu jouer la pĂ©tasse mais regarde ce qui tâarrive. Faut pas qu'aprĂšs qu'elle vienne se plaindre.
Oui , c'est une crevette : tout est bon sauf la tĂȘte ...
Petite conne va
Vous allez me traiter de pute mais sa doit ĂȘtre marrant quand sa t arrive
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Ouah putain quel mental le gars. Bravo.
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j aurais pas fait 2metres dans la maison que j aurais deja la bite a la main !!!!!
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Demain a pĂŽle emploi je leur demande une formation de plombier....
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est ce que la blonde est la femme du plombier?
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C'est juste qu'il ne s'est pas lavé la bite ouais
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Perso je pense que j'aurai dis Noui ...
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Ouah putain quel mental le gars. Bravo.
Les meilleurs contributeurs du mois
joed :
Je pense qu'il va pouvoir mettre un petit pansement sur ses mains ;)
pascon :
superbe plongeon !
tomdsign :
Il est con ce Cetelem ^^
mexicain :
bien... pour ta gueule :)
Bamboularge :
AĂŻeee ! je pense qu'elle a dĂ» avoir un p'tit peu mal au coup le lend'main !
PHILOU77340 :
Oh un brumisateur pour rafraĂźchir durant les fortes chaleurs .
PHILOU77340 :
Technique 7/10 . Chorégraphie . 8/10 voltige 10/10
bloub :
les mĂȘmes teubĂ©s qu'on a chez nous.
pascon :
deux qui la lùchent, zéro qui la niquent
Yamato :
C'est ce que l'ont va prendre dans la gueule si macron est réélu.
Alors ? J'avais raison ouâŠ
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AprĂšs une soirĂ©e plus quâarrosĂ©e, AlĂ©a, avec encore quelques grammes dâalcool dans chaque bras, se leva avant le soleil lui-mĂȘme. Grand exploit pour la marmotte quâelle Ă©tait. Elle quitta la couche conjugale oĂč Thalie dormait encore puis sâhabilla, prenant soin de ne pas rĂ©veiller sa compagne. Et une fois prĂȘte Ă partir, la tĂȘte encore dans le brouillard, elle baisa tendrement le front de celle dont elle Ă©tait amoureuse et quitta la chambre.
Et quâallait faire notre blondinette prĂ©fĂ©rĂ©e alors quâil ne faisait encore pas tout Ă fait jour au dehors ? HĂ© bien⊠flash back.
La veille, Blondie, fidĂšle Ă elle-mĂȘme, Ă©tait partie rejoindre son nouvel endroit favori : la taverne « le Renard et ses Belettes » oĂč on lui avait donnĂ© le poste de taverniĂšre. Et donc, affairĂ©e Ă servir et Ă satisfaire ses clients - Et pas dans le sens oĂč vous le pensez hein ! - elle rencontra une brunette Gasconne de passage dans le Poitou. Elle Ă©couta avec grand intĂ©rĂȘt sa conversation avec un autre brun pas drĂŽle qui se prenait beaucoup trop au sĂ©rieux et qui agaçait AlĂ©a au plus haut point.
Bref, la dame et le sieur parlaient « art ». Un sujet qui intĂ©ressait Blondie mĂȘme si ce nâĂ©tait pas une artiste dans lâĂąme. Puis ils en vinrent Ă parler de chevaux, dâĂ©curies, dâapprentissage, dâoccupation, etc. Et lorsque Shaomye fit au brun dont je ne me rappelle plus le nom, quâelle apprenait Ă sâoccuper des Ă©curies et des chevaux Ă qui voulait, ça ne tomba pas dans lâoreille dâune sourde ! Alors lĂ , notre AlĂ©a demanda si elle pouvait lui apprendre Ă monter, Ă chevaucher et quelques petits rudiments histoire de pouvoir prendre soin de son Alezan elle-mĂȘme et dâarrĂȘter de sâhumilier Ă chaque fois quâelle partait au galop. Parce que ouais, fallait dire la vĂ©ritĂ© : AlĂ©a, au pas, ça allait⊠au galop, câĂ©tait le drame ! Elle sâagrippait Ă sa selle, se raidissait, se crispait et avait le visage dĂ©formĂ© par une grimace mĂȘlĂ©e Ă de la peur et de la douleur. Ben ouais, se taper le fessier sur la selle pendant quelques minutes, ben mine de rien, ça faisait mal.
Bon⊠Revenons Ă ce jour (le lendemain de ce qui sâĂ©tait passĂ© la veille donc) oĂč AlĂ©a, pour la premiĂšre fois de sa vie avait Ă©tĂ© plus que matinale.
AprĂšs un petit tour aux Ă©curies oĂč son Alezan Ă©tait dĂ©jĂ prĂȘt -tant quâĂ le confier et Ă payer un inconnu pour quâil sâoccupe de lui, autant quâelle soit exigeante, notre AlĂ©a- elle le prit par les rennes fermement et se dirigea vers la sortie de la ville, se demandant si elle devait aller Ă lâouest ou Ă lâest. Tellement fatiguĂ©e, plus trĂšs fraĂźche et encore sous lâeffet de lâalcool, Blondie avait malheureusement oubliĂ© le petit dĂ©tail qui faisait tout : la direction Ă suivre !
Aux portes de la ville, AlĂ©a regarda vers lâest, puis vers lâouest, se rongeant les ongles. Câest que cet oubli allait la foutre sacrĂ©ment en retard si elle se trompait. Quelques minutes plus tard, Blondie partit vers lâest tout ça parce que « le soleil se levait Ă lâest et elle Ă©tait originaire de russie, alors forcĂ©ment, câĂ©tait la bonne route. » Vous nâavez pas compris cette logique ? Ben moi non plus figurez-vous. Mais nous lui pardonnerons parce quâelle est blonde et que ses Ă©lans brunesques se faisaient rares.
La blondinette fut la premiĂšre au lieu de rendez-vous. Sauf quâelle Ă©tait toujours en retard. La ponctualitĂ© nâĂ©tait pas lâune de ses qualitĂ©s. Dâailleurs, elle ne connaissait mĂȘme pas ce mot. Et câest pour cela quâelle pensa que sa logique Ă la con, ben elle lui avait fait faire nawak et que si ça se trouve, elle allait devoir faire demi-tour. _________________
Petit matin, dans une chambre d'auberge, en fait, avant meme le petit matin
Mue par une habitude ancrée en elle depuis son adolescence, pas si loin me direz vous, mais qui ne datait tout de meme pas d'hier, Shaomye se reveilla trÚs tot, bien avant que le coq ne chanta. Elle se redressa legerement, avec précaution pour ne pas reveiller son blond compagnon qui dormait paisiblement, un bras passé autour de sa taille.
Elle se libéra doucement de ce bras, se leva, posa un baiser sur la joue du Vicom, et s'éloigna un peu pour s'habiller, sans bruit aucun. Pourtant, ses mouvements attirerent vite l'attention d'un occupant de la chambre, qui dormait auparavant sous le lit. Kazan, son chien, bien sur!
La Lutine prit le temps de s'habiller et de natter sa lourde criniere, sortit de la chambre sur la pointe des pieds, Kazan sur les talons et ses bottes en main.
Fait rare, elle ne portait pas d'arme visible. Ayant été blessée à l'épaule quelques jours auparavant dans une attaque, il lui était impossible de soulever son épée, ou tout objet lourd, de meme qu'il lui était interdit de lever le bras droit trop haut, sous peine de reveiller la douleur de son muscle déchiré. Donc elle ne portait pas son épée à la ceinture, puisqu'elle ne pouvait pas la tirer du fourreau! Mais cela ne l'inquietait pas trop, visiblement. A chacun d'en tirer les conclusions qu'il souhaitait.
Elle entra dans la chambre voisine, oĂč dormaient ses deux garçons, s'assura qu'ils allaient bien, remis leurs couvertures en place, posa un baiser sur le front de chacun, et enfin descendit dans la salle principale de l'auberge. La seule personne qu'elle croisa, et qui sembla surprise de ne pas etre la seule reveillĂ©e, fut la cuisiniere. Elles Ă©changerent quelques mots, et quelques minutes aprĂšs la Lutine quittait l'auberge avec un bon morceau de pain, Kazan toujours sur ses talons et achevant un morceau de viande, non consommable pour la clientele avait dit la cuisiniere. Pour sur, il Ă©tait consommable pour le chien!
Cette fois à trois, la Lutine ayant décidé d'emmener son hongre, alezan doré à l'épaisse criniere claire, le petit groupe s'éloigna vers l'est de la ville. Ils trouverent bien vite le pré convenu, désert.
Songeant que la jeune femme rencontrée la veille n'avait pas l'air trÚs matinale, et qu'elle arriverait sans doute bientot, Shaomye laissa son hongre brouter un peu plus loin, hors de vue de l'entrée du pré , s'assit sous la protection d'un grand arbre, et attendit, jouant avec son chien.
Le chien en question leva brusquement la tete, se leva et s'élanca vers l'ouverture du pré. Shaomye n'eut pas le temps de le rattraper, essayez de rattraper un grand chien lancé en pleine course, vous comprendrez pourquoi, et le suivit donc.
Elle le rattrapa rapidement, pourtant. La raison? Kazan s'était arreté, bien sur! Il faisait face à la jeune femme blond et à son alezan, oreilles dressées. Bah oui, il avait beau etre énorme, son bon caractere était à la mesure de sa taille!
Shaomye sourit à Alea, et la salua amicalement, sa voix claire résonnant comme toujours d'un fort accent du sud
Bonjorn damiselĂ ! Bien dormi? _________________ Ne reveillez pas le chat qui dort!
Les chiens, la blonde nâen avait pas peur. A condition quâils fussent petits et inoffensifs. Cependant, la bĂȘte qui courut vers AlĂ©a ne ressemblait en rien Ă un animal petit, mignon et sans dĂ©fense. Non non, câĂ©tait bel et bien un monstre qui se ruait sur la blondinette dont les membres ne rĂ©pondaient plus. ParalysĂ©e par la peur de mourir dĂ©vorer par une bĂȘte ? Peut-ĂȘtre. Ca allait ĂȘtre beau lors de la chasse au Dahu tiens⊠Elle allait sâaccrocher au bras de son rouquin et bondir Ă chaque branche qui craque ou Ă chaque fois que le vent lui sifflerait dans les oreilles. Sans compter ce quâelle pourrait ou voir Ă cause de son imagination dĂ©bordante et de sa paranoĂŻa plus quâexcessive lorsquâelle se retrouvait dans le noir.
Bref.
Une fois le chien arrĂȘter devant elle et son Alezan, les oreilles bien dressĂ©s, un sourire figĂ© vint se dessiner sur le visage de la blondinette qui regardait aux alentours espĂ©rant voir le/la maĂźtre(sse) tout en parlant Ă la bestiole qui lui foutait vraiment la trouille Ă la regarder comme il le faisait.
Oh tâes mignon toi⊠Vraiment⊠Tâes une bonne bĂȘte, itou. On ne sait jamais⊠peut-ĂȘtre que les compliments lui Ă©viteraient de se faire attaquer. Tâvas pas mâmanger hein ? Non, faut pas⊠Jâsuis pas mĂ©chante hein, jâva pas tâfaire du mal, âlors tâmâen fais pas non plus hein ?
Et tout en continuant Ă causer au chien, AlĂ©a entendit une voix bien familiĂšre lui parler. Elle releva la tĂȘte et vit en Shaomye sa sauveuse plus que son maĂźtre dâĂ©quitation. Nâosant toujours bouger, tenant Serko par les rennes qui nâen avait que faire de cet intrus, la blondinette regarda la brune.
Dites voir, câtâĂ vous lâchien lĂ ? Y fait peur hein⊠Lâest gros itou itou. Y va pas mâmanger si jâbouge hein ? Nâest-ce pas⊠?
Sous ses airs de « jâai peur de rien », AlĂ©a Ă©tait une vraie trouillarde. Et plus dâun rirait en la voyant ainsi.
Et euh.. Pour rĂ©pondre Ă votre question, bien dormi mais peu. Mais ça va, jâsuis en forme et prĂȘte Ă apprendre Ă monter, chevaucher mon Ă©talon, toussa quoi.
Monter nâĂ©tait pas un problĂšme, en fait. En principe, le troisiĂšme essai Ă©tait toujours le bon. AprĂšs sâĂȘtre vautrĂ©e deux fois par terre et avoir bouffer de la terre, ben elle faisait un peu plus attention, la blonde et arrĂȘtait de faire nâimporte quoi. Pour ce qui Ă©tait de chevaucher, tant que son cheval Ă©tait au pas, ça allait. Une fois quâil changeait dâallure, rien nâallait plus. Ca va quâon lui avait appris à « tomber » Ă la jolie blonde. Sinon, elle se serait dĂ©jĂ tuĂ©e une quinzaine de fois.
Essayant de faire abstraction du chien, Blondie montra tout de mĂȘme ce quâon lui avait dĂ©jĂ appris et ce quâelle savait faire. Elle tenta de se rappeler les gestes exacts de son rouquin. Donc, se mettre contre lâĂ©paule gauche du cheval, ajuster les rennes sans les tendre de trop [âŠ] Pied gauche glissĂ© dans lâĂ©trier, main droite qui vint prendre le troussequin et hop, Blondie dĂ©colla du sol et, tournant le buste, passa sa jambe par-dessus le dos du cheval et se mit en selle. Alors lĂ , elle pouvait afficher un sourire fiĂšre. Pour une fois, elle nâĂ©tait pas passĂ© de lâautre cĂŽtĂ© de son AlezanâŠ
Bon, vâlĂ , jâsais faire ça.. Pis aller au pas aussi mais ça, câpas bien difficile hein. Et zyeutant le chien : Y va pas faire de mal Ă mon châval hein ? _________________
La blonde Ă©tait tendue, voire morte de peur, c'Ă©tait clair. Et la raison de cette frayeur Ă©tait tout aussi claire. Elle ne pouvait savoir que ce chien Ă©tait un modele de gentillesse, Ă©videmment. Loin de se moquer, Shaomye s'empressa de la rassurer
Oui il est Ă moi. Il est gros, mais il a un coeur d'or, z'en faites pas. Vous pouvez faire ce que vous voulez, il vous croquera pas.
Elle lui sourit et l'Ă©couta avec attention, tandis que Kazan allait se poster plus loin d'un signe de sa maitresse. Il s'allongea prĂšs d'une barriere, et posa la tete entre ses pattes, sans quitter des yeux la brune et la blonde. AprĂšs un coup d'oeil au chien pour s'assurer qu'il ne ferait pas l'idiot, Shaomye revint Ă la jeune femme
En selle, alors, si vous etes en forme!
Elle l'observa avec attention tandis qu'elle montait sur son cheval, prete à réagir si quelque chose allait de travers. Mais non tout se déroula bien.
Elle sourit Ă ses paroles
C'est déja ca. Savoir monter et descendre, et faire avancer son cheval, c'est un début necessaire.
Nouveau coup d'oeil au chien. Nouveau sourire
Non, rassurez vous. Il vit avec des chevaux depuis qu'il est bébé, il sait bien qu'il n'a pas droit de les toucher ni de s'approcher trop
Elle repensa un instant à cette scene qui datait de 3 ans auparavant. Kazan était encore un jeune chiot un peu fou, et il jouait dans les jambes des deux chevaux de la maison. Le cheval de son mari, un étalon qui approchait de l'age de la retraite, agacé, avait fini par détacher sa longe, il avait planté son regard dans celui du chiot, et celui ci aprÚs quelques secondes était parti tout penaud. Il n'avait jamais recommencé à jouer prÚs des chevaux, aprÚs ca.
Observant de nouveau la jeune femme, elle rectifia doucement la position de ses mains sur ses renes
Faites marcher votre cheval quelques minutes, pour l'Ă©chauffer un peu. AprĂšs ca quand vous serez prete on passera au trot, d'accord? _________________ Ne reveillez pas le chat qui dort!
Une nouvelle fois un regard vers le chien, peu rassurĂ©e malgrĂ© les paroles de la jeune femme. AlĂ©a faisait difficilement confiance Ă ce genre de bĂȘte. On pouvait dire quâils Ă©taient gentils, mignons, quâils ne feraient pas de mal Ă une mouche et HOP ! Ca vous croque en moins de deux. Et non, la blondinette nâavait eu aucune expĂ©rience traumatisante avec une quelconque bestiole dans son passĂ©. CâĂ©tait juste de la mĂ©fiance pour une raison inconnue dâelle-mĂȘme.
Une fois les rennes bien en main comme lui avait montré la brunette, Aléa mit un coup de talon dans les flancs de son Alezan qui se mit à avancer. Droit comme « I », la jolie blonde regardait droit devant elle, tirant su
Sa queue est presque du bonbon
Elle adore jouer avec la queue de son homme
Transsexuels à la caméra