Un trio bisexuel sur le canapé et par terre

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Depuis 1972, Union parle de toutes les facettes de la sexualité sans tabou ni vulgarité.
Union, pionnier dans son secteur, est un moyen d’expression libre sur le sexe, l’érotisme et les relations amoureuses. S'il a en premier lieu un rôle de conseil et d’information autour de la sexualité, il s'attache aussi à interagir avec ses lecteurs en leur permettant de partager leurs fantasmes, leurs désirs d'exhibition et leurs interrogations.
D’années en années, Union se fait un devoir d'accompagner au quotidien ses "unionistes" vers une sexualité plus épanouie !


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Tony a décidé de jouer un petit tour à sa copine qui voulait essayer un plan à trois depuis longtemps… Canapé et double-péné au programme !
On avait décidé de la surprendre, la coquine… On n’a pas été déçus. Je savais qu’elle m’attendait un peu sur ce terrain-là, bien entendu. Et comme je la connais bien, ma Malika d’amour, je savais aussi qu’elle avait déjà expérimenté le plan à trois. Pas le temps de niaiser la cochonne, elle est jeune, mais elle a déjà déroulé assez de câble pour installer la fibre dans la moitié de l’Europe. Et de fait, elle avait parcouru un peu toutes les capitales de notre belle union, elle m’en avait raconté des vertes et des pas mûres sur les sauteries à l’étranger.
Des plans louches dans des chiottes de resto cheap en Allemagne, des agapes princières en Slovénie, l’amour en plein air au Portugal. Elle aime les bonnes choses, la jolie. Alors, évidemment, quand on veut la serrer, ça fout la pression, t’as vu. Il s’agissait de lui jouer le grand jeu, pas de service à la volée avec ma joueuse d’amour.
Donc, je lui avais concocté un petit scénario bien chaud. On a déboulé avec son nouveau canapé, mon pote Cédric et moi.
On a bien sué pour lui poser le meuble dans le coin qu’elle voulait, en se donnant des airs de mecs qui font ça facile, à l’aise… alors qu’en fait, on en chiait grave.
Cédric a carrément pris un accent du Sud à couper à la truelle, bien ridicule, du genre : « Wopopop, madeumoiselleuh, on le pose où le canapé, putaing con ? »
Elle a fait l’ingénue, elle est douée pour ça, la sauterelle. On s’était sapé façon livreurs d’une série télé bas gamme. On avait mis le paquet.
Puis, dès que le truc a été entreposé, avec chaque coussin bien à sa place… Il a fallu le tester ! Elle s’est assise et le reste a suivi comme un morceau de musique que l’on connaît par cœur, mais qu’on ne se lasse jamais d’écouter. On avait envie de la bouffer et, avec son aplomb habituel, elle était prête pour une bonne séance. Pendant qu’on lui embrassait le cou, elle nous massait la queue à travers la dure toile de nos jeans. Mon poto n’a pas perdu de temps et a fourré sa main profondément dans la culotte de Malika. Je sentais son bassin qui commençait à ondoyer avec une adresse de gymnaste. C’était de l’échauffement pour elle. Nous, par contre, on était déjà en train d’exploser dans nos petits calbars respectifs !
Cédric a trouvé son petit bouton explosif, je l’ai entendue couiner comme rarement, l’annonce d’un orage violent, sans aucun doute possible. Je sentais de bonnes odeurs de printemps monter de sa culotte, elle devait mouiller comme les giboulées de mars, il était grand temps de passer à la vitesse supérieure.
Les langues se sont faites plus aventureuses, plus puissantes, la bave coulait de nos mentons dégueulasses et nous nous pâmions à l’unisson. Un vrai bouge, là-dedans.
Puis, elle a voulu goûter aux garçons. Cédric s’est allongé sur le canapé et elle a sorti entièrement son gros diable. Elle l’a branlé. Il avait une queue incroyable, presque grotesque. J’ai plongé mon visage sur le petit short de ma grosse cochonne pour la bouffer à travers. Je ne m’étais vraiment pas trompé sur son état.
Elle était en pleine cyprinade, il ne manquait plus qu’un petit glaçon et une paille pour la transformer en breuvage désaltérant. Je me délectais de sentir son pubis et ses grandes lèvres gonflées de sève à travers son shorty d’adorable cagole. Elle avait un goût fabuleux, comme toujours. Sa chatte me ramenait loin en arrière, dans les fêtes foraines, dans les soirées plage avec option barbecue, herbes de provence, guitare sèche et bière fraîche, les heures heureuses dont on ne reconnaît la valeur que lorsqu’elles ne sont plus qu’un point virgule dans le rétroviseur. J’avais de la nostalgie pour ce corps qui était pourtant à mon immédiate disposition, c’était dingue. Elle me réconciliait avec l’existence, comme si chaque baise était l’ultime ou l’antépénultième… du moins, presque la dernière, celle qu’il fallait absolument faire ! L’urgence dans mon bassin était à son comble, j’étais en feu.
Elle a pris Cédric à pleine bouche. Elle en avait ras la gueule, avec son gros mât de misaine, tu m’étonnes… Moi, je me suis concentré sur ses petits orifices bien serrés, son boule me rend fou à chaque fois ! J’ai tiré sur son short et j’ai enfin pu me régaler de sa fleur ouverte. La salade n’était pas tout à fait végétarienne, mais je sais me montrer carnivore quand l’occasion se présente. Je me suis fait un banquet de lèvres intimes, je lui ai lappé l’anus et bouffé le clito, elle vagissait en s’étouffant sur la turgescence de Cédric.
Elle s’est donnée de plus en plus à fond sur ma tige et m’a totalement englouti, je lui ai pincé le nez pour rire alors qu’elle m’avait au fond de l’oesophage… Si j’avais eu une caméra au bout du gland, j’aurais pu dire ce qu’elle avait mangé à midi, je crois. Elle s’est marrée en me recrachant pour reprendre son souffle et elle a aussitôt recommencé à glapir en prenant notre ami dans les tréfonds de son bassin élastique, quelle sacrée poulette quand même !
Elle a pris Cédric à pleine bouche. Elle en avait ras la gueule, avec son gros mât de misaine, tu m’étonnes…
Moi, je me suis concentré sur ses petits orifices bien serrés, son boule me rend fou à chaque fois ! J’ai tiré sur son short et j’ai enfin pu me régaler de sa fleur ouverte. La salade n’était pas tout à fait végétarienne, mais je sais me montrer carnivore quand l’occasion se présente. Je me suis fait un banquet de lèvres intimes, je lui ai lappé l’anus et bouffé le clito, elle vagissait en s’étouffant sur la turgescence de Cédric.
Puis ça a été mon tour de visiter ses molaires… Elle s’est retournée pour me lécher la queue. Elle me caressait bien les couilles, je me sentais très en forme. Elle m’a sucé tendrement, sans se presser, en me léchant le gland, les bourses, toute la hampe, puis en m’avalant loin, profond dans sa gorge. Mon pote a commencé à la pilonner en levrette. Elle prenait dur et cher, les couilles claquaient fort, exactement comme elle aime.
Elle s’est donnée de plus en plus à fond sur ma tige et m’a totalement englouti, je lui ai pincé le nez pour rire alors qu’elle m’avait au fond de l’oesophage… Si j’avais eu une caméra au bout du gland, j’aurais pu dire ce qu’elle avait mangé à midi, je crois. Elle s’est marrée en me recrachant pour reprendre son souffle et elle a aussitôt recommencé à glapir en prenant notre ami dans les tréfonds de son bassin élastique, quelle sacrée poulette quand même !
J’ai agrippé les cheveux de ma belle jouisseuse et j’ai plaqué son visage sur ma queue, elle a ouvert la bouche sans même ouvrir les yeux et le tour de manège a repris, presque sans interruption.
C’est tout naturellement que nous avons ensuite échangé avec mon ami. À moi la bonne chatte poisseuse et tchoutchouuu !
Je ne suis pas sûr qu’elle ait remarqué le changement de terrain.
J’étais en levrette et Cédric se faisait sucer, mais les yeux solidement fermés, qu’en pensait-elle ? Où était-elle dans son esprit ?
S’était-elle aperçue que je l’avais totalement désapée au passage ? Elle n’était plus qu’un amalgame de chair et d’orgasmes dans son propre esprit, j’en étais persuadé.
Puis, l’apothéose a pris un nouveau tour. Le petit trou de la demoiselle ayant été dûment aspergé de lubrifiants en tous genres, Cédric l’a proprement enculée. Sa grosse queue s’est enfoncée sans aucune pitié dans ce petit couloir éhonté qu’elle aime appeler « la maison fantôme », même si je n’ai jamais compris pourquoi… Quelle drôle de meuf ! Elle a plongé sa main dans sa minette extensible et s’est auto-fistée avec une démesure orgiaque. Ses tétés érigés criaient vengeance sans faire de bruit et les queues coulissaient avec une harmonie qui n’était pas sans rappeler les images mécaniques d’usines automobiles vantant le progrès technologique et la grandeur de la qualité française… Et pour ce qui est de la qualité, vous ne trouverez pas de jouisseurs plus chevronnés que nous en 2017, je vous le garantis !
Puis la petite grue a voulu se faire démonter en double-péné… Elle a murmuré : « Je vous veux tous les deux bordel, pliez-moi vraiment en deux là allez ! » Aussitôt dit… Je me suis collé ses deux gambettes sur les épaules et j’ai poussé ma queue explosive dans sa minette distendue. On a poussé ensemble avec Cédric. C’était presque plus dur que de soulever son putain de sofa, ma foi ! On est allés à fond de cale, jusqu’à ce que nos couilles se touchent. Une fois bien emmanchés, on a repris la cadence, à hue et à dia ! Paf paf paf, ma cochonne !
Elle haletait, alors nous l’avons retournée pour échanger les trous en un tournemain. La bête suait, mais s’était-elle rendue ? Oh non, oh que non, elle en redemandait même, c’étaient nous les bêtes à bout, elle, elle s’éclatait, la gymnaste. Nos queues déformaient ses orifices qu’elle arrivait pourtant encore à resserrer en rythme autour de nos diamètres de plus en plus gigantesques. Elle gémissait avec force et sans aucune retenue.
Si seulement tout le monde savait apprécier la vie comme elle, il y aurait moins de gens malheureux sur terre. Sa philosophie était une science de l’action, un savoir debout, face au vent, le visage baigné d’écumes et d’embruns, d’éclaboussures de bonheur brut, sans falsification, sans chirurgie esthétique, sans circonvolutions superflues.
Elle savait juste baiser et elle baisait juste. Parfaitement juste.
Je ne saurais dire combien de temps a duré cet instant de contentement absolu, peut-être une heure, peut-être quelques secondes.
Ce moment était hors du temps, nous étions de purs esprits et nos chairs meurtries étaient loin derrière nous, en train de s’agiter comiquement sur un canapé de mauvais goût, dans une scène digne d’un porno du samedi soir.
Soudain, mon enveloppe charnelle est revenue m’emprisonner et je suis retombé sur terre. Ma queue était toujours plantée dans le cul de Malika qui jouissait à s’en rompre les cordes vocales. Cédric beuglait depuis un moment déjà, mais je ne l’avais pas encore vraiment entendu, comme s’il s’était trouvé dans une autre pièce de mon esprit.
J’ai soufflé, j’ai claqué le cul de ma coquine pour siffler la fin de la partie. Il fallait changer de position afin de signer le dernier acte de cette œuvre dramatique que nous jouions pour nous-mêmes. Elle s’est allongée, somptueuse, féline. Je l’ai enculée à nouveau, je voulais me finir dans son boyau.
Elle a pris Cédric en turlutte et lui a gratté les couilles pour le faire venir. Elle faisait cela tellement bien, elle était si souple, sa grâce était ineffable, vraiment une cagole de luxe, celle qui s’ignore, qui ne saurait voir combien elle est belle et parfaite. Et c’est ainsi, Malika pliée en deux, que nous avons chevauché tous ensemble vers l’apogée du mont de la baise, les sommets ardents de l’orgasme intersidéral. Notre cavalcade à trois, chevaliers véritables de la fin des temps, était impossible à arrêter.
Nous avons rendu l’âme l’un après l’autre. Cédric d’abord, qui était en bout de course. Son bourrin intérieur a henni haut dans les aigus et il a fait don de sa semence sacrée à la gorge de Malika qui s’en est délecté sans bouder son plaisir. Elle le pompait à fond, quand, presque surprise, elle a eu un bruit étouffé, un petit « glurg » quand elle a aspiré le produit de la joie.
Elle a été obligée d’en recracher un peu sur son propre menton et sur la tige de notre ami, il y en avait simplement trop pour tout avaler.
Quant à moi, j’étais sur une lancée mémorable, mes coups de lance prenaient une vitesse incroyable, je ne me croyais même pas capable d’une telle endurance, à vrai dire. Son cul était un paradis, je m’y ébaudissais sans honte, sans pudeur.
Abruti de mon propre plaisir, je me suis plongé dans une entreprise de destruction anale, fort heureusement, elle avait cette partie solide, bien plus que le pauvre bout de viande qui me tenait désormais lieu de bite. Je n’y sentais plus grand chose.
Soudain j’ai senti, néanmoins, ses muscles anaux, ses anneaux du cul, se serrer tel un anaconda autour de mon serpent de mer.
L’océan de son derrière m’a aspiré, tel un rouleau de vague cherchant à noyer un surfeur.
Et j’ai succombé, j’ai rendu mon dernier soupir.
Avec un immense souffle venu de je ne sais où, j’ai expiré tout ce que j’avais en moi. J’ai lâché les vannes et j’ai rempli son cul de sperme, dans des spasmes violents. C’était donc cela, mourir heureux.
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