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Publié par Pierre Gelin-Monastier | 21 Sep, 2015
Si le sens ne nous est pas donné d’emblée, si nous sommes essentiellement seconds, comme je l’ai montré dans mes précédentes chroniques, c’est que nous sommes d’abord les récepteurs d’une réalité qui nous dépasse, à laquelle nous sommes invités à apporter une réponse personnelle. Mais tout n’a-t-il pas déjà été dit depuis l’Antiquité ?
L’accueil du réel commence avec nous-mêmes ; il n’est rien qui ne nous appartienne d’abord, pas même notre propre être. « Nous n’avons pas choisi de naître », diront les plus pessimistes, comme si la vie était une défectuosité héréditaire, telle la tare des Rougon-Macquart (Zola) : « Je subis ma vie et suis donc essentiellement une victime. » Triste fatalité qui nie radicalement la liberté humaine ! Une amie, qui travaille auprès des personnes marginales, me disait récemment : « L’un des drames de notre temps est de ne plus savoir se reconnaître sujet. » Parce que nous ne sommes pas dans une attitude de réceptivité fondamentale, nous nous dédouanons de toute responsabilité a posteriori.
Si nous nous comprenons comme récepteurs, si nous entrons en contemplation pour accueillir, comprendre et approfondir le réel, nous devenons acteurs, capables d’exprimer ce que nous sommes, aptes à transmettre l’expérience acquise, disposés à la créativité, impulsion primordiale de tout art. Peut-être, comme artistes, avons-nous à retrouver une intuition des sagesses antiques, reprise par les grandes religions : la contemplation ne s’atteint pas à la force du poignet, mais par une reconnaissance de l’harmonie originelle. Tel est le sens du shabbat juif ou du dimanche chrétien, ce temps hebdomadaire durant lequel les croyants renoncent à l’efficience économique pour entrer dans le repos intérieur et reconnaître, dans ceux qu’ils considèrent comme leur créateur, le propriétaire de toutes choses. Il n’est pas besoin d’être Juif ou chrétien pour entrer dans ce regard sabbatique ; faire sienne cette harmonie engendre la confiance, une foi irréductible que l’art vient ensuite exprimer, y compris sous la forme d’une dénonciation : lorsque nous disons « ce n’est pas normal », nous reconnaissons implicitement une « normalité », une « norme », c’est-à-dire une harmonie, un ordre naturel aux choses.
Il n’est pas question d’optimisme béat, car poser un acte de foi permet tout autant l’exultation joyeuse que la déchirante révolte. Qui se laisse pénétrer de réel fait naître en lui le désir d’exprimer, comme l’évidence d’une réponse. Où frappe le désir, l’art se révèle. L’enjeu pour l’artiste réside dans l’interrogation de Chateaubriand : « Comment décrire ? » Comment faire en sorte que notre réponse artistique soit véritablement personnelle ? Nous sommes si facilement dans la maîtrise du discours, prisonniers de notre technique, d’un langage prolixe, d’une mentalité revendicative, d’idées bien brassées et qui moussent… autant de conditionnements qui entravent l’expression de notre intériorité. Nous nous faisons alors source – et non creuset – du réel, à la manière des sophistes d’autrefois. Nous en restons à la représentation, à la facilité que peut également accentuer le succès commercial, jusqu’à ce que cette vaine extériorité nous rattrape et nous vide de toute joie. Pour que l’artiste soit un sillon de clarté, il doit sentir qu’une lumière lui est donnée à chaque fois qu’il prépare un spectacle, un concert ou une performance. Toute production est appelée à naître de la contemplation, à porter ce que l’artiste est, exprimant dans l’existence – de manière éminemment personnelle – la substance intérieure, sans cesse enrichie, débordante. Il restera toujours une brisure entre ce que nous sommes et ce que nous faisons. L’art, quand il est vrai, nécessite souvent un arrachement, comme une petite mort à soi-même, vers une offrande pour le public.
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Un théâtre documenté pour repenser le réel
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Critical Stages/Scènes critiques e-ISSN:2409-7411
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The IATC journal/Revue de l'AICT – September 2015: Issue No 11
Propos recueillis par Karolina Svobodova [1]
Depuis une trentaine d’année, la scène théâtrale belge est principalement connue à l’étranger pour ses artistes regroupés sous l’appellation de la vague flamande. Cependant, à côté de ces stars désormais internationales, on constate que le théâtre francophone belge regagne depuis quelques années en dynamisme. Sans pouvoir être regroupées sous une bannière qui faciliterait leur identification, les formes artistiques développées aujourd’hui en Belgique francophone témoignent d’un grand souci pour les problématiques contemporaines et d’une réflexion de la part des artistes sur les manières de relier le théâtre et le réel.
Le travail de Françoise Bloch, dont le spectacle Money ! a été récompensé par le prix du meilleur spectacle belge de la saison 2013-2014, fait de cette question du lien au réel son point névralgique. Si, jusqu’en 2006, la metteure en scène s’intéresse principalement aux formes satiriques et au grotesque, elle donne une nouvelle orientation à sa démarche lorsqu’elle fonde sa propre compagnie, le Zoo théâtre. Abandonnant les textes dramatiques, elle va directement puiser ses matériaux dans le monde qui l’entoure et plus particulièrement dans les zones de ce monde qui lui sont étrangères et dont le mode de fonctionnement lui échappe. C’est ainsi qu’en 2009 elle présente Grow or Go, le premier spectacle de ce qui sera finalement une trilogie autour des nouvelles organisations du travail. Adaptant le film éponyme de Marc Bauder, Françoise Bloch y interroge le monde de la consultance en entreprise. En 2011, elle poursuit son investigation avec Une société de service en explorant cette fois l’univers d’un centre d’appel et le mal-être lié au travail. Enfin, en 2013, elle monte Money ! qui résulte d’une recherche sur les mécanismes financiers. Partant pour chacun de ces spectacles de documents, témoignages et enquêtes, Françoise Bloch défend un théâtre ancré dans le réel et qui vise à une meilleure compréhension de certains de ses mécanismes. Cet enjeu didactique se traduit par une exigence de rigueur et de précision tant au niveau de la recherche que de la représentation de la réalité décrite. Si tous les faits énoncés sur scène doivent être exacts, il en va de même pour le jeu des comédiens qui tend à imiter le plus fidèlement possible les postures, gestes et intonations des personnes dont ils reprennent le discours sur scène. Car si on veut comprendre, il faut commencer par observer et écouter. « Si on veut agir, il faut commencer par augmenter le savoir », nous dit Françoise Bloch.
Cet entretien a été réalisé à Bruxelles le 26 février 2015.
Qu’est-ce qui a motivé le changement de votre démarche artistique, le passage d’une théâtralité animée par le grotesque à un théâtre plus documentaire ?
La satire, la tragi-comédie correspondent à une vision du monde plus tranchée, critique, pas complètement manichéenne mais plus tranchée et à un moment donné, cette chose-là m’a vraiment questionnée par rapport à la complexité de l’état du monde, de la société. Vis-à-vis de cette complexité, je ne voulais plus de ce théâtre.
Plus tard, grâce au fait que ma compagnie a été stabilisée, c’est-à-dire qu’elle a reçu une convention récurrente, j’ai pu me lancer dans un travail qui se fait à partir de matériaux documentaires et à partir d’une façon de nouer, de renouer un rapport au réel, un désir d’en détricoter les fils, de le comprendre, de se mettre en-dessous des choses et pas au-dessus des choses comme la satire le fait. A partir de là j’ai fait trois spectacles, c’était un travail entamé dans le cadre de l’école [Françoise Bloch enseigne à l’École Supérieure d’Acteurs du Conservatoire de Liège] à partir de matériaux documentaires posant des questions d’ordre pédagogique : qu’est-ce que le théâtre pouvait faire de ça ? qu’est-ce que le jeu et le travail d’acteur ?, etc. Le projet de l’imitation de films documentaires développé dans le cadre de l’école a débouché sur une facture du jeu d’acteur puis sur une démarche qui est maintenant la mienne et qui est de faire des spectacles à partir de matériaux documentaires auxquels s’additionnent de plus en plus aujourd’hui des propositions d’acteurs. Nous partons toujours de l’étude de matériaux documentaires ou d’expériences de vie des acteurs eux-mêmes.
Comment choisissez-vous les thèmes de vos spectacles ? Qu’est-ce qui motive votre intérêt pour les organisations du travail ?
J’avais monté à l’époque La demande d’emploi de Michel Vinaver et j’ai été passionnée par la question du rapport vie privée/vie professionnelle, par l’interactivité entre les deux, comment l’un dévore l’autre… J’arrivais à imbriquer mon expérience personnelle dans mon travail, à faire rebondir chaque jour de répétition sur de l’actualité, à pouvoir lire le journal et que ça se retrouve dans la salle de répétition après. Ce qui me motivait, c’était le désir de comprendre ce qui est à l’œuvre, de comprendre, même à mon petit niveau, ce que je vivais dans une entreprise culturelle, de comprendre quels sont les mécanismes à l’œuvre pour que je vive des choses comme ça. C’est donc parti de là, puis, progressivement, je me suis intéressée au système économique, à l’état actuel du néo-libéralisme. Au départ, c’était pour apprendre, j’avais des connaissances au niveau économique nulles et il ne me semblait plus possible de vivre dans ce monde-ci avec cet état de connaissance, j’ai donc utilisé le théâtre, on peut même dire squatté le théâtre, pour apprendre. Alors pourquoi ces sujets-là ? Parce que c’est ce qui nous dirige et que j’ai besoin de savoir à quelle sauce on me mange et donc de transmettre ces quelques découvertes et questions que nous nous posons en touillant dans ce type de matière. C’est lié à la question du réel : quand on demande pourquoi on s’intéresse au théâtre il y a toujours une impression d’un déficit de relation, un déficit de ma relation au monde que je veux combler. J’utilise le théâtre pour me mettre en relation. Pour Une société de service , on a, par exemple, été voir des délégations syndicales. Il s’agit pour moi de rentrer en rapport avec d’autres espaces de la société que le petit espace culturel, le théâtre seul ne m’a jamais suffi. Finalement, on n’en sort pas les mêmes quand on a fait un long parcours comme ça, cette mise en contact avec divers acteurs de la société civile nous transforme.
Ce travail a-t-il changé votre conception du rôle de l’artiste ? Décririez-vous votre théâtre comme un théâtre engagé, un théâtre politique ? Quel sens donnez-vous à ces termes ?
Le rôle de l’artiste de théâtre a changé du fait que les médias se sont dégradés. Le déficit des médias, la commercialisation, le manque de traitement en profondeur nous laissent de la place. Nous sommes des amateurs, nous creusons des sujets différemment, nous avons l’avantage du vivant, ce qui nous oblige à absolument garder une dimension vivante quand nous sommes confrontés à des sujets ultrasecs, ultratechniques. Il faut absolument que les outils théâtraux aident à les rendre, je ne vais pas dire divertissant mais à échelle humaine. Dans Money ! on savait qu’on allait s’adresser à un public dont une partie saurait tout sur ce qu’on allait dire et à une partie qui ne saurait rien, on était, avec la question des mécanismes financiers, sur un thème qui est l’objet d’un clivage de connaissance monstrueuse et c’est bien ça le problème du rapport au public. Il y a une nécessité d’être extrêmement précis, documentés pour ne pas nous faire rejeter par les gens qui savent et ne pas les ennuyer et le souci didactique d’autre part. Ça me motive terriblement parce que, au départ, je ne vois pas la solution, je ne vois pas comment faire. Les outils théâtraux doivent aider à faire voir la réalité décrite à échelle humaine et à la rendre contradictoire. Je ne suis pas dans un théâtre militant qui a un objectif tout à fait clair au niveau d’une lutte ou de quelque chose à dénoncer mais dans un théâtre politique qui a une part didactique et qui essaye d’utiliser les moyens du théâtre pour faire partager quelque chose qu’on a appris. Donner à voir le monde comme transformable et faire entrevoir d’autres possibilités, faire entrevoir le fait qu’il est possible d’agir en direction de ces autres possibilités, pour moi, c’est politique et j’essaye d’inscrire mes spectacles dans ce cadre-là.
[1] Diplômée en philosophie et en arts du spectacle vivant, Karolina Svobodova travaille actuellement en tant qu’assistante en arts du spectacle vivant à l’Université libre de Bruxelles. Elle prépare une thèse de doctorat sur la critique dramatique en Belgique francophone, de 1946 à aujourd’hui.
Copyright © 2015 Françoise Bloch
Critical Stages/Scènes critiques e-ISSN: 2409-7411
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