Un plan à trois des plus classiques

Un plan à trois des plus classiques




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Un plan à trois des plus classiques

Salut les futurs tripeurs !



 



L’aventure un plan à trois a débuté pour nous il y a maintenant 1 an  



 



C’est le moment ou nous avons succombé à la fièvre du voyage et décidé de faire un tour du monde.



   



Pendant cette année de préparation, on a vraiment pris conscience que l’attrait du voyage était quelque chose d’universel.



 



On s’est également rendus compte que de très nombreuses personnes souhaitaient voyager mais ne pouvaient pas, pour plein de raisons. Le taff, le budget, la vie familiale, ne pas devoir abandonner ton labrador Toby à la SPA… 



 



De ça on est partis sur un principe simple, créer un voyage participatif afin d’en faire profiter le plus grand nombre.    



 



 






 



 



 



Vous pourrez évidemment partager ce périple avec nous en tant que spectateurs grâce à notre site internet, les réseaux sociaux,  notre épisode hebdomadaire...



 



Mais on a poussé le délire encore plus loin, en vous permettant de vous approprier ce voyage, et on va mettre en place plein d’outils pour que ayez l’impression d’être avec nous. D’où le nom, un Plan à Trois, puisqu’on part à deux, Baptiste et Jean Baptiste, et bien sur, Vous !    



 



Ah, je crois que c’est le moment où on se présente. Baptiste et Jean Baptiste, 25 piges et copains comme cochon depuis une sacrée paye… Si nos prénoms sont aussi proches ce n’est pas pour rien !  



  



On compte s’éclater avec vous mais aussi taper de bonnes barres de rire, car au delà d’être de joyeux trublions on a aussi une paire de traits de caractère qui vont influencer le cours des évènements. Que ce soit par exemple le fait que Bapt ait une phobie profonde des volatiles et une poisse qui lui vaut un surnom (Bapt la chance !) ou encore que JB ne sache pas nager, et soit champion du monde quand il s’agit d’être maladroit.



 



 






 



 



 



Pour l’aspect participatif, on a pas lésiné sur les moyens :  



 



- Un système de vote relayé sur Facebook afin de vous donner les manettes sur les choix auxquels on devra faire face : activités, moyen de transport, choix du lieu ou poser bivouac… Vous décidez ! 



 



-On sait aussi que vous avez plein de suggestions trop chouettes, du coup on va mettre en place une boite à idées. Vous allez pouvoir proposer tout ce qui vous passe par la tête. Des activités auxquelles on avait pas pensé, des défis, comme par exemple aller faire une surprise à votre pote backpacker qui se trouverait sur notre route ! 



 



- Des livestream quand la connexion le permettra afin qu’on puisse papoter et faire plus ample connaissance.



 



- Filmer les séquences avec un point de vue à la première personne afin que l’immersion soit maximale.



 



- Une vision du voyage axée sur la découverte et les coulisses du voyage : on compte aller au maximum à la rencontre des gens, locaux ou voyageurs de tous bords, et saisir toutes les opportunités, même les plus folles. Dans cet esprit, on montrera certes des paysages, mais on insistera sur la logistique, les rencontres, les galères…



 



-  Mais aussi plein de petites surprises au fil du voyage !



 



En plus de ça, on aura quelques rubriques récurrentes, comme par exemple le trash test qui consiste à goûter toutes les nourritures chelous qu’on trouvera sur notre route, ou encore la minute pratique ou on partagera ce que l’expérience du terrain nous aura appris sur la gestion d’un voyage, mais aussi sur des petites leçons de vie. Et surement d’autres rubriques que vous nous aurez inspiré ! 



 



On part le 3 février prochain et on lance la Saison 1 en Asie du du est.



 



On arrive a Manille aux Philippines, après on verra ensemble mais on a en tête Vietnam, Cambodge, Laos, Thailande… Plutôt sympa non? En tous cas on espère que ca te fait envie !



 



 






 



 



En bref, un plan à trois c’est deux mecs un peu cinglés, une vidéo hebdomadaire, des votes et des défis, des bons souvenirs, des surprises…



 



C’est aussi, à travers votre connexion internet, la possibilité de faire un tour du monde depuis votre canapé, vos toilettes, ou votre bureau…



 



Pour finir sur la présentation du projet, on tenait à dire que l’on a hâte de voyager avec la communauté, car c’est un réel bonheur de partager !   



Plus on est de tripeurs et plus on trippe ! 



 



Ici, on va répondre à la question : « Pourquoi faire appel au financement communautaire? »



Après s’être bien bougés le cul pendant un an à bosser en tant que veilleur de nuit, barman jongleur, freelance et j’en passe pour mettre de côté, on se rend compte qu’il nous manque un petit coup de pouce pour rendre ce projet au top du top.



 



Votre participation nous permettra de : 



 



- Avoir un meilleur matos pour la vidéo



 



- Finir de développer le site internet 



 






 



- Et en bonus nous donner plus de marge de manoeuvre pour faire plus d’activités de fou-dingues sur place, et pourquoi pas si les contributions pètent le plafond prolonger cette saison 1 !



 



Si tu dégaines ta carte bleue, non seulement on a prévu des contreparties golri, mais en plus ca te changera de ta pizza du dimanche soir. A bientôt les tripeurs ! 



 



Bapt et JB.


MERCI !
Cyber check sur ta paume puis sur ton poing ferme, c’est cool de ta part.
MERCI MERCI :
Avec ça t’aurais pu te payer un double cheese. Au lieu de ça tu finances ton tour du monde. IM-BAT-TA-BLE

HALL OF FAME :

T’es un bon, t’as bien mérité ton nom au générique. Tu peux aussi mettre ton pseudonyme de star si tu le souhaites.

C'ETAIT LE BON TEMPS :
Nos souvenirs de voyage à télécharger, parce que c’était quand même maxi géant ce trip à trois. (épisodes + bonus en HD)

BONNE BLAGUE :
On envoie une carte postale signée de nos trois noms, message de ton choix, à la personne de ton choix. Fais croire à un proche que t’es parti faire le tour du monde sur un coup de tête.
MERCI, EDITION COLLECTOR : Un merci personnalisé face caméra pendant un épisode dans un cadre qui envoie du bois, parce que quand on dit merci on fait ça bien.
RENDEZ VOUS GALANT : On organise un petit livestream rien que pour toi pour papoter, et on te racontera tous les trucs barrés qu’on pas le droit de montrer

CAP OU PAS CAP ? Tu peux nous donner le défi de ton choix, sans passer par la case vote (avec une toute petite considération pour l’intégrité de nos personnes stp nos mamans regardent l’émission)


LA CLASSE A DALLAS : T shirt qui dépote pour te la raconter, et serrer les doigts dans le nez. En plus, des stickers classe et délire pour coller sur ton ordi, ton tel, ou encore la lunette des tes chiottes.
GUEST STAR :
T’es dans la place ! On s’adresse à toi et on t’appelle par ton prénom tout l’épisode, tu choisis une activité, et si tu veux on peut aussi parler des trucs dont t’as envie. Raconter une de tes anecdotes, quitter ton mec/ta meuf pour toi, t’aider faire ton coming out..

GRAVE DANS LA ROCHE : Tatoue le prénom de ton choix sur les fesses de Baptiste. Même si tu t’appelles Jocelyn-Alexandre ca passe.

ACE IN THE HOLE : Piercing de ton choix à l'emplacement de ton choix pour JB ( évitez juste de le faire pisser par deux trous)
BUSINESS ANGEL : Tu nous emmènes ou veux dans le monde pour faire ce que tu veux, sauf si on peut mourir

KissKissBankBank est une plateforme de financement participatif régulée par les autorités françaises. Immatriculation : 14007218
KissKissBankBank & Co est agent de l’institution financière MANGOPAY SA . Paiements sécurisés avec MANGOPAY Payment Services.
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Expérimentez l'aventure grâce à un tour du monde participatif !
Devenez les acteurs de la saison 1 de cette websérie en Asie du du est.

Nous aidons les créateurs et les entrepreneurs à financer et faire vivre leurs projets.


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Entrepreneurs, voici les règles à suivre pour construire votre busines...
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Bien qu’essentiel pour une création d'entreprise, le business n’est pas un passage obligé. Il est possible de s’en passer pour un projet simple avec une idée précise des performances à atteindre et des dépenses à prévoir. Il est, à l'inverse, vivement recommandé pour un projet complexe exigeant un financement. «Ce dossier de présentation permet de mesurer la maturité, le réalisme et la rentabilité de votre projet [afin de] convaincre vos interlocuteurs – vos proches, vos partenaires, vos fournisseurs et, naturellement, vos financeurs – de vous suivre», résume avec justesse le site de Bpifrance.
Conseiller en pilotage d’entreprise chez Rivalis, réseau d’accompagnement de dirigeants, Jean-Luc Pécout abonde en ce sens : «Le premier commercial de l’entreprise, c’est l’entrepreneur. Et son business plan est sa carte de visite.» Président-fondateur de My business plan, cabinet-conseil en modélisation financière, Gaëtan Baudry souligne que «le business plan est aussi un document que l’on rédige pour soi ; il doit refléter le projet autant que la personnalité du porteur de projet».
«Dans la forme et le fond, il doit montrer le sérieux et la détermination de l’entrepreneur, valoriser ses compétences et sa polyvalence, des qualités indispensables pour se lancer, ajoute Alexandre Billard, consultant et cofondateur de PadawOne, agence de conseil nantaise spécialisée dans l’accompagnement d’entrepreneurs. C’est le fruit d’un gros travail de recherche, d’analyse, de réflexion, d’introspection… Si cela vous effraie, vous ennuie, voire vous rebute, mieux vaut peut-être éviter de vous lancer ! »
Dans le détail, un bon dossier «aborde les étapes de la création ou de la reprise d’une entreprise dans une dizaine de chapitres répartis sur dix à trente pages en tout. Distincts, mais complémentaires, ces chapitres sont de taille variable en fonction de l’importance du message que l’on veut transmettre, explique Gaëtan Baudry. Un business plan réussi est donc structuré, synthétique et argumenté, puisqu'il vise à démontrer les moyens que l'on compte mettre en œuvre pour atteindre ses objectifs.»
«Votre BP doit valider la cohérence du projet en développant quatre axes : les compétences métier de l’entrepreneur, de ses associés, voire de ses futurs collaborateurs, en lien avec l’activité ; la dimension commerciale et marketing ; le modèle économique et les prévisions financières ; et enfin l’état d’esprit du porteur de projet, sa détermination, sa résilience, sa constance, qui font généralement la différence face aux financeurs», détaille Carine Soriano, fondatrice et dirigeante de l'agence Créalyz, dans le Gard, et professeure d'entrepreneuriat à l’École nationale supérieure des mines d'Alès. Enfin, complète Alexandre Billard : «Il met en avant des marqueurs forts, comme les leviers de différenciation de la future entreprise sur le marché qu'elle vise. Il faut avoir une approche marketing.»
Côté présentation, «de plus en plus d’entrepreneurs s’inspirent du “pitch deck” utilisé par les startupeurs, soit un argumentaire de quinze à vingt slides très graphiques et jalonnées de textes courts qui, mis bout à bout, racontent une belle histoire, laquelle précède la partie chiffrée, plus formelle», note Anne-Sophie Poupin, cheffe de projet incubation chez Paris&Co, et autrice de L’Art du business plan. Construire votre projet, évaluer sa rentabilité et rassurer vos partenaires (Eyrolles, 2022).
Fini l'indigeste business plan sous Word : «Il s’élabore désormais sous PowerPoint, avec des photos, des vidéos, des hyperliens qui servent le propos, organisé sous forme de récit. Le storytelling – qui consiste à exposer vos motivations, dévoiler votre humanité… – permet d’attirer l’attention, de faire jaillir l’émotion et de donner envie d’en savoir plus lors d’un rendez-vous», analyse Carine Soriano.
Gaëtan Baudry suggère d’appliquer un autre grand principe propre aux start-up : «Montrez que votre projet – l’entreprise, le produit ou le service – crée déjà de la “traction”, autrement dit qu’il intéresse et fait parler au-delà du cercle de vos proches. Le nombre d’abonnés à une newsletter ou à une page Facebook, le taux de conversion d’une campagne adwords, voire quelques précommandes enregistrées pour une activité commerciale, sont autant de premiers résultats encourageants auxquels sont sensibles les investisseurs, bien plus qu’à une idée, même joliment mise en scène.» On soigne donc la forme sans oublier le fond, et vice versa.
• Prévoir de deux à trois mois d’élaboration.
• De 10 à 30 pages selon le projet, hors annexes (études de marché, articles, etc).
• Organiser votre business plan en 4 grandes parties : présentation du projet (pitch, marché visé, besoin couvert…) et du porteur de projet (motivation, valeurs…) ; prévisions financières (plan de financement, compte de résultat, plan de trésorerie...) ; données économiques (business model, stratégie commerciale et marketing) ; informations juridiques (statut de l'entreprise).
• Un consultant peut vous aider. Il vous en coûtera en moyenne 500 euros d’accompagnement, selon la complexité du projet. La plupart des consultants privilégient un coaching étalé sur plusieurs semaines ou mois.
Vous avez besoin de conseil, de modèles de business plan ou d’outils de simulation financière (accessibles en ligne ou à télécharger gratuitement) ? Quelques pistes à suivre.
Alary et Dorothée Legoubin, 35 et 38 ans
Leur projet. L’ouverture du restaurant Thérèse a du goût, à La Haye (Manche).
Leurs parcours. Installés à La Réunion, Alary Legoubin était responsable comptes clés chez Colgate et Dorothée travaillait comme enquêtrice sociale au sein du Groupe SOS. En 2021, ils ont tout plaqué pour ouvrir à la rentrée 2022 «un burger café qui leur ressemble» dans leur village d’origine, dans la Manche.
Pourquoi un business plan ? Pour «convaincre de la solidité du projet et de notre détermination, explique Alary. Nous n’avions pas d’expérience dans la restauration, nous avons donc valorisé nos compétences transversales et celles en cours d’acquisition, Dorothée passant un CAP cuisine. Puis nous avons soigné l’étude de marché pour montrer la pertinence et le potentiel d’un burger café à base de produits frais et locaux dans une commune aussi petite. Un expert-comptable nous a aidés pour les données financières. Et nous avons également conçu un dossier très visuel pour donner un bel avant-goût de notre produit. Résultat, trois banques étaient prêtes à nous suivre !»
Si c’était à refaire. « Nous rédigerions le business plan avec une idée plus claire de notre projet pour éviter d'avoir à recommencer plusieurs fois. Et nous irions dès le départ à la Chambre de commerce pour du conseil, voire une formation à l’entrepreneuriat.»
L'œil de l’expert Jean-Luc Pécout (qui ne les a pas accompagnés). «Dans le business plan d’un restaurant, il faut détailler son menu – en lien avec la gestion des stocks –, indiquer son taux de marge, expliquer son positionnement, justifier son emplacement… Il faut souligner la cohérence du projet et de ses coûts.»
Son projet. La création de Roller Dance Squad, agence événementielle, à Pont-Château (Loire-Atlantique).
Son parcours. Après avoir travaillé dans l’administratif et le commercial, elle a immatriculé fin juin 2022 sa première «entreprise sérieusement festive» pour organiser des «événements roulants itinérants», fédérateurs et sécurisés, à destination des salariés d’entreprises et de collectivités.
Pourquoi un business plan ? Pour «décrire et définir ma cible, et comment l’atteindre, mais aussi pour clarifier ma stratégie, en détaillant la mission, la vision et les valeurs de l’entreprise, et formaliser mon mix marketing afin de me positionner correctement sur mon marché, celui de l’événementiel B 2 B et plus précisément des MICE (“meetings, incentives, conferencing, exhibitions”). J’ai eu du mal à l’écrire, alors que je pouvais parler de mon projet pendant des heures avec passion ! Mais au final, cela m’a permis de convaincre France Active et ma banque de me soutenir, et Initiative Loire Océan de m’accorder un prêt d’honneur.»
Si c’était à refaire. «Je réseauterais encore plus tôt dans un espace de coworking et lors de rencontres d’entrepreneurs, afin de tester mon idée et de la faire évoluer.»
L'œil du consultant Alexandre Billard. «Pour ce projet original, nous avons tout particulièrement étudié ensemble le besoin d’investissement pour se lancer, affiné la stratégie commerciale de démarrage et travaillé la confiance en soi de Fanny, afin qu’elle inspire confiance en retour.»
Son projet. Le développement de Flim, start-up dans le secteur de la production audiovisuelle, à Paris.
Son parcours. Avec Dan Perez, rencontré à l’École des arts décoratifs, Victor de Casteja propose depuis juillet 2020 aux créatifs du monde entier «la plus grande base de données freemium d’images de films, séries, clips et publicités, animée par une intelligence artificielle».
Pourquoi un business plan ? «Pour lever des fonds un an après le lancement de l’entreprise. Ce n’était pas le premier, mais ç’a été le plus prenant. Avec l’aide de la consultante Anne-Sophie Poupin, nous avons étayé nos hypothèses à partir des chiffres existants : nos revenus récurrents, le prix de l’abonnement… C’est un exercice intellectuel intéressant, mais pour une start-up, cela a rarement du sens. On ne vend pas des chaussures, il est donc difficile de se projeter, d’affirmer qu’on fera 1 million d’euros de chiffre d’affaires dans deux ans. Ce dossier rassure plus son lecteur qu’il ne reflète la réalité.»
Si c’était à refaire. «J’y consacrerais moins de temps, mais je l’actualiserais fréquemment pour être à l’aise avec l’effort à fournir et savoir où j’en suis. Et je me ferais accompagner plus tôt.»
L'œil de la consultante Anne-Sophie Poupin. «Après un an d'existence, il fallait passer à la vitesse supérieure. Nous avons donc établi et testé des hypothèses pour identifier les moyens nécessaires au développement de la start-up. Beaucoup d’entrepreneurs n’aiment pas les chiffres, or, pour avancer, il faut prendre le temps de formaliser et de construire différents scénarios financiers.»
Stéphane et Sara Ozil, 45 et 41 ans
Leur projet. La consolidation et la diversification d’Ozil Conseil, agence de communication, à Alès (Gard)
Leur parcour
Visite conjugale avec de l'exhibition en bonus
Deux mecs et une italienne
Pétasse hentai à lunettes se fait baiser





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