Un petit peu d'anal tous les jours

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Publié le
15/03/2015 Ă  07:00 , mis Ă  jour le

16/03/2015 Ă  12:39








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37% des femmes auraient déjà pratiqué la sodomie, pourtant encore trop souvent taboue.
PrĂ©sentĂ©e au choix comme dĂ©viante ou "naturelle", la pĂ©nĂ©tration anale est encore souvent perçue comme suspecte. Alors mĂȘme que, lorsqu'elle est consentie et que les bonnes conditions sont rĂ©unies, elle peut mener Ă  la jouissance des deux partenaires. 

Notre mĂšre nous l'a appris petit, on ne touche pas Ă  ses excrĂ©ments, c'est sale. Cette information reste profondĂ©ment ancrĂ©e en nous, et c'est ce qui explique que la sodomie puisse ĂȘtre si difficile Ă  apprĂ©hender. Mais, pour le Dr Mireille Dubois Chevalier, sexologue, lorsqu'on parle de sexualitĂ©, il faut ĂȘtre prĂȘt Ă  affronter le "sale" du corps. 

Malgré tout, pour s'éviter des désagréments, certaines femmes anticipent les rapports anaux en utilisant une poire de lavement, voire en surveillant leur alimentation dans les heures qui précÚdent. C'est le cas de Viviane, 34 ans: "Lorsque je veux pratiquer la sodomie avec mon partenaire, je veille à ce que mes intestins soient vides. L'idée est de prendre son pied, pas de s'embarrasser de détails techniques scabreux..." Lola, 29 ans, est plutÎt une adepte de la spontanéité: "C'est au petit bonheur la chance. Parfois c'est propre, parfois c'est sale. C'est le jeu!" 

D'un point de vue physiologique, l'anus n'est pas conçu pour ĂȘtre pĂ©nĂ©trĂ©. Il est naturellement plus Ă©troit, et plus innervĂ© que le vagin. La pĂ©nĂ©tration par ce biais peut donc ĂȘtre douloureuse. Mais comme le corps et le cerveau sont bien faits, lorsque l'excitation est forte, la douleur peut vite se transformer en plaisir. En revanche, l'anus n'Ă©tant pas naturellement lubrifiĂ© par l'excitation, il est fortement recommandĂ© d'utiliser un lubrifiant -de prĂ©fĂ©rence Ă  base d'eau ou de silicone- afin d'Ă©viter les lĂ©sions anales. "Il faut un vrai Ă©tat d'Ă©moi sexuel pour que les sphincters soient dĂ©tendus et que le rapport ne soit pas douloureux", explique la sexologue. Pour Lola, la douleur fait partie du jeu: "La sodomie fait appel Ă  un imaginaire 'trash', bestial. La premiĂšre pĂ©nĂ©tration peut parfois ĂȘtre difficile voire un peu douloureuse. Mais c'est aussi ce qui m'excite." 

Si Lola pratique aussi souvent la sodomie -un rapport sur deux de son propre aveu-, c'est bien parce que pour elle, la pénétration anale est source d'un plaisir intense. "J'atteins des orgasmes plus puissants qu'avec un rapport 'classique'", assure-t-elle. "L'anus est pour moi une partie bien plus érogÚne et sensible que le vagin". Viviane, quand à elle, a connu son premier orgasme avec un homme à 26 ans... Grùce à la sodomie. 

Pour Mireille Dubois Chevalier, l'explication est simple: "On est dans une pratique totalement Ă©rotique, contrairement Ă  la pĂ©nĂ©tration vaginale, qui, malgrĂ© tout, reste associĂ©e Ă  la procrĂ©ation. La pĂ©nĂ©tration anale demande qu'on se soumette Ă  la puissance virile de son partenaire." La sodomie, Ă  la limite du sado-masochisme ? C'est aussi l'avis de la sexothĂ©rapeute Violaine Gelly. Mais qu'on ne s'y trompe pas: "Entre le sado et le maso, c'est toujours le maso qui gagne. C'est lui qui tient les rĂȘnes de la relation, puisqu'il a le pouvoir d'arrĂȘter le jeu quand il veut." 

Qu'on se le dise une bonne fois pour toutes: il est impossible de tomber enceinte en pratiquant la sodomie. En revanche, les parois de l'anus Ă©tant trĂšs delicates, il peut arriver de crĂ©er des lĂ©sions si le rapport est trop brutal, ou pas assez lubrifiĂ©. Et les selles n'Ă©tant pas stĂ©riles, les risques d'infection ne sont pas nĂ©gligeables. Pour Ă©viter les cystites et autres infections urinaires, il est aussi dĂ©conseillĂ© de passer de l'anus au vagin sans changer de prĂ©servatif, ou sans ĂȘtre passĂ© par la case 'douche'. "Si l'on commence Ă  se poser trop de questions, c'est qu'il ne faut pas le faire", conseille toutefois le Dr Mireille Dubois Chevalier. "AprĂšs tout, le sexe est une activitĂ© qui met en danger Ă  plus d'un niveau!" 

AprĂšs un rapport anal, il arrive d'avoir des gaz, des ballonnements, voire une forte envie d'aller aux toilettes, comme le confie Victoria, 21 ans. Et c'est pourquoi il est prĂ©fĂ©rable d'ĂȘtre (trĂšs) Ă  l'aise avec son partenaire afin de pouvoir se dĂ©tendre aprĂšs l'acte et de ne pas se cacher, mortifiĂ©e sous la couette, si un petit pet vous Ă©chappe. 

Si le taux de femmes ayant déjà pratiqué la sodomie est passé de 24% au début des années 1990 à 37% 15 ans plus tard selon l' Inserm , le rapport anal reste considéré par la majorité des femmes comme une expérience assez marginale dans leur vie sexuelle. Astrid, 31 ans, n'a eu que deux fois l'occasion de tenter l'expérience. Elle y voit un "lùcher prise total". Pour Victoria, "c'est encore plus intime que la voie classique". 

Selon Violaine Gelly, on assiste Ă  une forme de banalisation de la reprĂ©sentation de la sodomie (50 Nuances of Grey), mais "cette banalisation est Ă  double tranchant car elle peut autoriser les hommes Ă  l'exiger de leurs compagnes. D'oĂč l'importance d'en parler avec son partenaire si on n'est pas sure, et d'avoir la libertĂ© de dire non." 


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Masturbation excessive, mauvaise hygiÚne, positions inadaptées... Au quotidien, certains de vos gestes nuisent à votre pénis et votre capacité érectile. Alors, comment stopper ces mauvaises habitudes ? Patrick Constancis, chirurgien spécialisé en urologie et andrologie, livre ses meilleurs conseils.
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Publié par Aurélie Blaize , le 07/05/2014 à 14:36
Mis Ă  jour par Louise Ballongue , le 17/02/2020 Ă  14:36
C'est connu, le membre masculin est un signe de virilité pour les hommes. Mais, votre pénis est-il en bonne santé ? Voilà une question que tous les hommes devraient se poser. Plusieurs facteurs peuvent affecter son état. Aussi, adoptez dÚs maintenant les bons gestes pour en prendre soin.
Le pĂ©nis appartient aux systĂšmes reproducteur et urinaire masculins. Il est composĂ© du gland , Ă  l'extrĂ©mitĂ©, et de la verge . Son extrĂ©mitĂ© en forme de cĂŽne possĂšde une petite ouverture oĂč passent l'urine et le sperme qui transitent tout d'abord par l'urĂštre. Le gland est recouvert d'une peau protectrice, le prĂ©puce . La verge, qui commence Ă  la base du pĂ©nis, ressemble Ă  un cylindre.
Lorsqu'une excitation sexuelle se produit, le pĂ©nis durcit et se dresse grĂące Ă  une importante arrivĂ©e de sang dans les tissus Ă©rectiles : c'est l'Ă©rection . Pour que l'homme puisse assurer un acte sexuel et pĂ©nĂ©trer dans le vagin, le pĂ©nis doit ĂȘtre en Ă©rection.
Le pénis non excité est souple et pend entre les jambes. Il est composé de tissus érectiles richement innervés , composés de deux corps caverneux et d'un corps spongieux. DÚs la naissance, les garçons commencent à avoir des "érections réflexes". Chez l'adolescent ou l'adulte, on peut constater une érection réflexe le matin au réveil.
La taille du pénis n'a aucune importance dans la satisfaction sexuelle d'un couple. En effet, les parois du vagin ont la capacité de s'adapter à la forme et à la taille de n'importe quel organe masculin.
Par ailleurs, pour votre bien-ĂȘtre et celui de votre partenaire, il est important de prendre soin de votre pĂ©nis . Si vous ne le faites pas, vous pourrez courir le risque d'avoir diffĂ©rentes maladies sexuellement transmissibles.
En cas de rapports sexuels non portégés, de nombreuses maladies sexuelles peuvent apparaßtre chez l'homme. Les symptÎmes varient en fonction du germe de l'infection.
La mycose est trÚs courante comme inflammation. Le gland va s'enflammer et l'on va voir apparaßtre des plaques rouges qui démangent. Ces lésions cutanées seront alors bordées de pustules, qui ressemblera de prÚs à un enduit blanchùtre.
Ces symptĂŽmes peuvent Ă©galement annoncer une infection Ă  trichomonas, au streptocoque B ou au gonocoque , des IST plus ou moins rĂ©pandues. Ces derniĂšres sont transmises par un partenaire sexuel ou apparaissent suite Ă  un simple dysfonctionnement de l’organisme (obĂ©sitĂ©, intolĂ©rance aux antibiotiques ou le diabĂšte.
Quant Ă  l’infection au HSV ou herpĂšs gĂ©nital , elle commence par des vĂ©sicules qui dĂ©mangent, picotent ou brĂ»lent.
Ces derniers se situent sur le fourreau, sur ou entre le gland, et le long du pĂ©nis : c’est l’ulcĂ©ration (la perte d’une partie superficielle d’un tissu). Toutefois, cela ne provient pas essentiellement du HSV puisque d’autres germes peuvent provoquer une ulcĂ©ration.
En ce qui concerne le papillomavirus humain ou HPV, il est responsable des "crĂȘtes de coq" ou verrues gĂ©nitales .
Les gonocoques, les mycoplasmes et les chlamydias , quant Ă  eux, provoquent des symptĂŽmes spĂ©cifiques de l’urĂštre ( urĂ©trite ). Cela se caractĂ©rise par une difficultĂ© Ă  uriner, la chaude pisse ou encore une dĂ©mangeaison le long du canal urinaire en dessous du pĂ©nis. Il peut Ă©galement s’agir d’un Ă©coulement urĂ©tral purulent qui s’accompagne ou non de sang.
Le pĂ©nis, et les tous organes gĂ©nitaux en gĂ©nĂ©ral, nĂ©cessite un entretien quotidien. Or, aussi Ă©tonnant que cela puisse paraĂźtre, le Dr Patrick Constancis nous explique que "pour beaucoup d’hommes, il y a un gros problĂšme d’hygiĂšne locale". ConcrĂštement "certains ne sont pas lavĂ©s depuis plusieurs jours, le prĂ©puce crĂ©e alors un cloaque sous le gland".
Les dangers : Le cloaque (orifice naturel des voies gĂ©nitales et urinaires, ndlr) qui se forme est pourvoyeur d’infections sexuellement transmissibles type HPV ou chlamydia. Des bactĂ©ries se multiplient dans l'appareil gĂ©nital et provoquent une inflammation des organes gĂ©nitaux.
Ces infections ne sont pas Ă  prendre Ă  la lĂ©gĂšre : le papillomavirus humain est la premiĂšre cause du cancer du col de l’utĂ©rus et la chlamydia peut entraĂźner une maladie inflammatoire pelvienne et une stĂ©rilitĂ©.
Il faut bien nettoyer le gland, tous les jours, le sillon balano-prĂ©putial (sĂ©parant le gland du corps de la verge) et bien dĂ©calotter. Si le dĂ©calottage est difficile, il faut consulter un mĂ©decin spĂ©cialiste. Pour le lavage, privilĂ©giez le savon de Marseille ou d’Alep aux autres produits, conseille le spĂ©cialiste.
Le plaisir solitaire aide à découvrir son corps, à comprendre comment se faire du bien
 mais à condition de ne pas en abuser. Il peut devenir "nocif" pour le pénis quand il est pratiqué trop fréquemment ou trop tÎt. Il peut alors créer des lésions.
Le danger : "Quand la masturbation est trop prĂ©coce, le garçon rentre psychologiquement dans un mĂ©canisme d’excitation qui est toujours le mĂȘme. Ce schĂ©ma se mĂ©morise dans son cerveau , il s'habitue Ă  un certain type de stimulation. Or, il ne le retrouvera pas de façon identique quand il sera avec une partenaire. Il n’arrivera pas Ă  avoir une Ă©rection" explique le Dr Patrick Constancis.
C’est la mĂȘme chose pour l’homme qui se masturbe trop souvent. "S’il ne retrouve pas la sensation de la main qui serre son pĂ©nis, le film ne se fait pas. Et si ce n’est pas le mĂȘme processus, ça ne marche pas, il n’a pas d’érection."
Par ailleurs, les hommes peuvent avoir des douleurs à cause des frottements répétés.
Le conseil : ne culpabilisez surtout pas, cela ne fera qu'augmenter vos difficultés. Vous pouvez aussi apprendre à votre partenaire à se masturber afin de créer de la complicité.
Parfois trop excitĂ© , l’homme peut se blesser pendant l’acte sexuel.
Les dangers : Des rapports sexuels trop brutaux peuvent entraĂźner des traumatismes aigus tels qu’une rupture du frein du prĂ©puce ou des corps caverneux (aussi appelĂ© "fracture du pĂ©nis" ). Ou des traumatismes chroniques comme quand l’homme dĂ©veloppe une maladie de Lapeyronie (courbure de la verge le plus souvent dorsale, parfois ventrale).
Le bon conseil : tempĂ©rer votre dĂ©sir pour Ă©viter tout accident lors de l’acte. Le but Ă©tant de vous faire du bien, non du mal. Par ailleurs, n'oubliez pas que la douleur est une alerte, il faut donc stopper l' acte et essayer de comprendre ce qui ne va pas.
À noter : La soliditĂ© du frein pĂ©nien dĂ©pend de la physiologie de chaque homme. En cas de doute, il ne faut pas hĂ©siter Ă  consulter un mĂ©decin andrologue, en particulier si les douleurs sont rĂ©currentes.
Chaque homme dispose d’une anatomie gĂ©nitale diffĂ©rente . Certains vont avoir beaucoup de plaisir en pratiquant une position telle que " la levrette " (derriĂšre leur partenaire) alors que pour d’autres elle sera quasi-impossible Ă  moins de se contorsionner. "Cela dĂ©pend de l’orientation de la verge. Selon les coudures, ça risque de tirer, de faire mal, il ne faut pas insister" indique notre andrologue.
Les dangers : La rupture du frein, des corps caverneux et/ou une maladie de Lapeyronie.
Le conseil : il existe de nombreuses positions sexuelles, chacune pouvant ĂȘtre modifiĂ©e pour s’adapter Ă  l’anatomie. Il suffit peut-ĂȘtre de vous baisser un tout petit peu plus, ajouter un coussin, ou que votre partenaire se cambre moins pour dĂ©couvrir sans mal de nouvelles sensations.
N'oubliez pas non plus d'utiliser du lubrifiant . Contrairement Ă  ce que l’on croit, il n’est pas rĂ©servĂ© aux femmes qui souffrent de sĂ©cheresse vaginale ou aux couples qui pratiquent la sodomie. Tout le monde est invitĂ© Ă  utiliser du lubrifiant, car la lubrification fĂ©minine n’est ni automatique ni constante.
Charcuterie , abats, viande rouge
 Il est peut-ĂȘtre temps d’allĂ©ger un peu vos repas pour la bonne santĂ© de votre pĂ©nis !
Les dangers : "Les aliments trop gras encrassent les artĂšres ce qui nuit au bon fonctionnement de l’érection, prĂ©vient le Dr Patrick Constancis. De plus, la microcirculation du pĂ©nis se fait mal. Or, elle favorise de bonnes Ă©rections." Pensez-y !
En outre, la consommation de produits gras, telle que la chacuterie, augmente le risque d'obĂ©sitĂ©. Or, cet excĂšs de poids est associĂ© Ă  la dysfonction Ă©rectile (une incapacitĂ© rĂ©pĂ©tĂ©e d'avoir une Ă©rection ou de la maintenir suffisament durant le coĂŻt, ndlr) ce qui constitue une excellente raison pour les hommes d’éviter les aliments qui peuvent entraĂźner une prise de poids.
Pour le bon fonctionnement de votre pénis, essayez de vous détendre !
Les dangers : le stress engendrĂ© par la routine peut nuire au dĂ©sir et aux capacitĂ©s Ă©rectiles. Cela peut perturber l'Ă©rection ou encore l'Ă©jaculation qui devient trop prĂ©coce ou trop tardive. "Le stress a un effet vasoconstricteur, il entraĂźne une mauvaise circulation pĂ©riphĂ©rique et une hyperconsommation de la testostĂ©rone biodisponible. Or, quand le niveau de cette hormone chute trop, cela entraĂźne des troubles de la libido et de l’érection" prĂ©vient l'urologue.
Le conseil : Natation, marche rapide, tai-chi, yoga voire mĂȘme mĂ©ditation transcendentale sont efficaces pour contrer le stress et optimiser ses Ă©rections !
Enfin, une prise en charge spĂ©cialisĂ©e chez un psychothĂ©rapeute ou un sexologue peut aussi s’avĂ©rer utile en cas de persistance des problĂšmes.
Messieurs, un conseil : oubliez les pantalons "slim" ou trop serrĂ©s. Ils sont peut-ĂȘtre Ă  la mode ou vous mettent en valeur mais nuisent Ă  votre vie sexuelle !
Les dangers : "Avec ces vĂȘtements, les testicules se retrouvent en position haute alors qu’ils doivent ĂȘtre le plus bas possible. La spermatogĂ©nĂšse, essentielle Ă  la qualitĂ© du sperme, ne se fait pas bien car les testicules sont Ă  tempĂ©rature trop Ă©levĂ©e" explique le Dr Constancis.
Le risque est de perturber la qualitĂ© du sperme et d'entrainer une hypofertilitĂ©. D'oĂč l'utilisation prĂ©fĂ©rentielle de caleçons larges afin que les testicules puissent ĂȘtre bien ventilĂ©s... Evitez Ă©galement les expositions trop longues des testicules Ă  des tempĂ©ratures trop Ă©levĂ©es, recommande le spĂ©cialiste.
Le conseil : portez des caleçons longs qui ne serrent pas les organes génitaux, et les conservent au frais.
Notez Ă©galement que le port d’un pantalon serrĂ© peut aussi provoquer des douleurs testiculaires.
Les jouets Ă©rotiques peuvent mettre un peu de piment dans un couple dont les annĂ©es ont rendu routiniĂšres les retrouvailles sous la couette. Mais, comme toute chose, ils ne sont bons qu’à petite dose.
Les dangers : l’anorgasmie (absence d’orgasme) et les troubles de l’érection.
"Quand on utilise trop souvent des jeux Ă©rotiques et que l’on prend l’habitude d’avoir du plaisir grĂące Ă  eux, on se fixe dans un schĂ©ma Ă©rogĂšne toujours identique. AprĂšs on ne peut plus s’en passer, on n’arrive plus Ă  att
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