Bite recouverte de salive

Bite recouverte de salive




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Bite recouverte de salive
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Série : Découvertes

Premier texte : Découvertes (1)
Texte suivant : Découvertes (2)

© Tous droits réservés. Gédéon Lefion.

Je m'appelle Antoine, j'étais en quatrième, 15 ans quand ça c'est passé et j'avais déjà une forte libido mais je savais pas trop ce que ça voulait dire.

J'avais fait la connaissance de Guillaume, un an de plus que moi, soit 16 ans, blondinet aux yeux bleus et une forte personnalité, plutôt sympa et intelligent. Guillaume et moi, on était nouveaux et assez solitaires, il n'avait pas vraiment de copains dans cette école de province minable. On se retrouvait souvent tout les deux à deviser sur le monde, à dénigrer les autres. J'avais déja l'impression d'être différent des autres. Mais de là à comprendre en quoi j'étais différent... Si on m'avait dit à l'époque que j'étais pédé, j'aurais rigolé, voire me serais véxé.

Guillaume était de bonne famille, comme moi, mes parents et les siens se connaisaient de nom et de réputation, ce qui nous a permis de nous voir souvent et sans problèmes.

Du jour où il est venu dormir à la maison, nous sommes devenus beaucoup plus proches. Guillaume n'était pas du genre pudique, le soir étant venu, nous étions dans ma chambre en train de se préparer pour se coucher, moi en caleçon et lui encore en slip avec un paquet bien moulé. Moi je regardais ça comme hypnotisé par la forme. J'adore les slips, surtout blanc en coton. Il a remarqué que je le regardais et il a commencé à parler de cul:

— Mon grand frère avait une collection intéressante de magazines de cul avec des filles qui se font défoncer la chatte, je me branle souvent en regardant...

Il me montrerait quand j'irais dormir chez lui. Ça m'excitait gravement. Il avait une érection, moi aussi, et d'un regard on s'est décidé: "Branlons-nous!" Nous nous sommes paluchés pendant 5 minutes, avons juté, nous sommes essuyés. Rien d'exceptionnel mais moi j'étais pas satisfait. De le voir se branler, ça m'avait donné envie d'aller plus loin sans trop savoir comment mais j'avais grave envie de toucher sa queue. Je la voyais pour la première fois, 15 cm environ, la mienne était un peu plus longue, dans les 16 cm. Je ne lui ai rien dit.

Le lendemain, il n'y avait que nous à la maison et j'avais une envie furieuse de me branler encore et finalement, il a bien compris le message. Je crois que nous nous sommes branlés 3 ou 4 fois dans la journée. Puis son père vint le chercher. Sur ce départ, j'étais assez frustré.

Le lundi à l'école, j'étais encore excité de mon weekend. Nous restions pour la cantine le midi et avions trouvé un coin peinard pour tirer sur les quelques cigarettes que je fauchais à ma mère. Et là j'ai sorti ma queue et je me suis branlé, comme ça, devant lui.

— Personne ne vient jamais ici et puis j'ai la queue qui me fait mal à force de bander comme un âne! Faut que je me soulage.

— Ok, je fais le guet et tu me remplaceras, c'est communicatif la bite, c'est pas croyable!

Il avait très peur qu'on se fasse repérer, moi aussi, et ça m'excitait encore plus. Je jouis et le remplaçai dans sa fonction de guetteur et lui se palucha le plus rapidement possible. On recommença tous les jours, enfin à chaque fois qu'on était seul.

De mon côté, je commençais à me doigter sévèrement quand je me pignolais seul dans ma chambre. Je trouvais une quantité d'object à m'enfoncer, j'avais une envie terrible de me faire enculer mais il n'y avait personne pour assouvir ce trip. Je voulais en parler à Guillaume mais j'avais peur de le choquer. Se branler entre pote c'est une chose, mais se faire faire le cul... c'est une autre histoire.

Arrivé dans l'appartement du père de Guillaume un samedi après-midi, on se met devant la tv, son frère et son père n'étaient pas là donc, on sort nos bites et on se branle encore... et encore... j'en avais assez et je lui dis que j'avais envie d'autres choses...

— Pas un tennis en tout cas. Tu sais, quand t'es pas là, je me mets un ou deux doigts dans le trou du cul quand je me branle et quand je jouis, c'est encore meilleur!

— Ah! T'es dégueu, t'as les doigts qui doivent puer la merde après!

— Non, pas vraiment... Mais essaye un jour, tu verras, c'est plus fort!

Et voilà Guillaume qui, sur mes conseils, se salive l'index et se le fourre dans le cul et se paluche. Il jouit.

— Effectivement, j'avais jamais joui comme ça! C'est cool!

— Ouai, moi j'adore. Mais j'aimerai un truc plus lisse que les doigts, et pis c'est pas assez gros un doigt!

— Trois, mais c'est pas pratique...

— Non, faut y aller progressivement!

— Mais je préfererais ta queue dedans!

— T'es fou? Je suis pas pédé moi...

— Ben ouai... Mais c'est pas grave non?

Sur ce, on s'est branlé à nouveau, en épluchant les pages des magazines pornos de son frère. Une fille se faisait sauvagement enculer par un type très bien monté... L'idée fera son chemin.

À l'école, Guillaume me prit entre quatres yeux et me dit qu'il avait repensé à mon idée de sodomie, qu'il l'envisageait sérieusement. Rien que de l'entendre en parler, j'ai eu une terrible érection. Le weekend arriva, on se retrouva le vendredi soir chez moi prétextant des révisions. J'étais très excité à l'idée de ce qui arriverait le soir.

On se coucha, attendant que la maison soit endormie. Nous nous sommes échappés par la fenêtre de ma chambre, au rez-de-chaussée, pour aller dans une remise dans le fond du jardin. Guillaume avait apporté de capotes piquées à son frère.

— Comme quand on se met un doigt je pense mais vu que ta bite est plus grosse qu'un doigt, faut sûrement mettre plus de salive non?

Il crache un gros mollard bien gras dans sa main et enduit sa bite recouverte d'une capote dessus. Il pointa son gland sur mon cul et essaya de l'enfoncer dedans mais ce n'était pas assez lubrifié, il ne rentra que le gland que déjà, ça ne me faisait pas du bien comme avec un doigt. Il ressortit et j'avais assez mal, pas par contraction anale mais la salive avait séchée sûrement, la capote était sèche...

— Ok ça m'a fait plus mal qu'autre chose.

— Mais Guillaume! Regarde les magazines de ton frère, y'a des meufs qui ont l'aire de prendre leur pied!

— Ouais mais bon... je sais pas quoi te dire! C'est des spécialistes sûrement...

— Ou alors elles sont lubrifiées avec autre chose d'efficace!

Après une longue et bonne branlette, on se recoucha.

Le lendemain, Guillaume regarda dans le dico au mot lubrifiant et au mot vaseline que son frère employait souvent en disant qu'à propos d'une fille "Ça rentre sans vaseline". Un tour à la pharmaçie devint essentiel. L'air con quand mème, aller acheter du lubrifiant à 15 ans dans une ville de province... c'est pas très rigolo. Entre les "c'est pour quel usage?" "en tube ou en pot?" etc... Enfin on a eu notre tube de vaseline médicale. Le soir venu, nous sommes retournés dans la remise. Beaucoup plus éclairés que la veille au soir, nous avions pris des couvertures.

— Ouais c'est ce que je fais mais c'est super gras. Mets-toi à quatre pattes come sur la photo.

Guillaume me pénétra sans problème. Il s'enfonça jusqu'à la garde, moi j'étais aux anges! Je le sentais gros en moi.

— Vas-y, fais des va-et-vient comme dans un porno!

Il commença à me limer doucement puis de plus en plus vite. Je me branlais du mieux que je pouvais. La capote qu'avait mis guillaume commençait à le gêner, il l'enleva et m'encula de nouveau. Là, il prit un pied terrible, il jouit en un instant. Au bord de mon cul, je sentais son sperme chaud couler en moi. Ça m'a tellement excité que j'ai joui à mon tour.

— Ouais, j'adore ca! T'enculer c'est vraiment cool, je pensais pas que ça pouvais être aussi bien.

— Moi j'ai pas franchement envie, et puis toi tu te doigtes depuis plus longtemps que moi. Alors attends encore un peu que j'arrive à mettre 3 doigts aussi.

— Ok... Bon ben on fait quoi maintenant?

Pendant la nuit, j'ai fait un rêve très bandant où je soulevais les draps de Guillaume puis comme dans les photos qu'on avait vu dans les magazines, je prenais sa bite en bouche. C'est marrant que j'aie pensé à la sodomie avant la pipe...

Je me réveillai le matin, Guillaume dormait encore. Je soulevai doucement ses draps et baissai son slip délicatement. Sa queue était en érection, sûrement due à une envie de pisser ou quelque chose comme ça. Moi j'étais bandé des le matin à cause de la pisse. Je n'avais jamais vue une queue d'aussi près. Il n'avait pas beaucoup de poils sur le pubis, il n'en avait que là d'ailleurs. Elle sentait bon cette queue. Je pris son sexe et commençai à le sucer, doucement comme si je goûtais à quelque chose de nouveau, et puis je savais pas encore comment m'y prendre. Je faisais des va-et-vient sur ce sexe tendu avec ma bouche. Il juta dans les 2 minutes en se réveillant.

— Ok, moi aussi mais j'osais pas te le demander.

— Ben demande! En tout cas le sperme c'est pas dégueu! Tu me sucerais toi?

— Ouais pourquoi pas, mais après le petit-déjeuner.

— Cool, et après tu pourras m'enculer comme hier soir!

Guillaume me suça donc après le petit-déjeuner. Il failli gerber quand j'ai joui. Mais bon, ça avai eu l'air de lui plaire quand même. Lui n'avait pas joui donc il sortit la vaseline et m'encula. La journée se passa et je crois que jamais dans ma vie je n'ai été aussi heureux.


(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Cadre technique dans une entreprise industrielle, j’ai en charge la supervision de la maintenance du parc de machines ainsi que la réalisation des investissements productifs. Ce jour-là, j’accompagnais donc une équipe de commerciaux dans un des ateliers surchauffés par le ronronnement des machines et la chaleur extérieure. Nous devisions à propos de l’acquisition et de la mise en place d’une nouvelle chaîne de montage. À un poste de travail, j’aperçois alors Jeff, un voisin de quartier. Son travail étant assez physique, il transpirait beaucoup et s'épongeait souvent le visage avec le bas de son tee-shirt déjà auréolé de taches de sueur.

Quand je passai à sa proximité, il me dévisagea longuement comme pour se faire à l’idée que je ne lui suis pas inconnu. Jeff n’est pas particulièrement beau et ses cheveux raides qui lui tombent sur la nuque sont rédhibitoires à première vue. Néanmoins, je me sens soudain gagné par un déferlement d’ondes à dominance sexuelle. Pourtant, ce que je sais de Jeff, c’est qu’il a été marié mais est à présent séparé. Je l’ai souvent remarqué en compagnie de femmes différentes, ce me laissait supposer un appétit sexuel exacerbé.

Ma journée se poursuit. Le travail au bureau m’éloigne momentanément de Jeff. Mais à l’heure de quitter l’entreprise, je le croise à l’arrêt du bus alors que je me dirigeais vers le parking. Je prends le temps de le saluer, de me faire reconnaître (il me connaît de vue, convient-il) et je lui propose de le ramener. Il accepte.

Dans la voiture, j’apprends qu’il vient d’être embauché en tant qu’intérimaire après plusieurs mois de chômage. Il n’avait plus trop le choix, le besoin d’argent exigé par la pension alimentaire à verser à son ex-épouse se faisant de plus en plus pressant. Pendant qu’il se confesse ainsi, je suis troublé par l’odeur fétide de son haleine due à une consommation excessive de tabac ainsi que par la vague de sueur froide qui se répand dans l’habitacle de la voiture. J’avais l’impression que toutes les exhalaisons de son corps étaient concentrées en un mélange agressif. L’envie de me plonger dans ses effluves corporelles me tarauda pendant tout le trajet. Quand il m’offrit de prendre une bière fraîche chez lui, je consentis avec un désir sous-jacent.

Son intérieur était sobre, quelque peu désordonné mais aéré et propre... jusqu’à ce qu’il se débarrasse de sa grosse paire de chaussures de sécurité. Une bouffée malfaisante de pieds renfermés s’échappa et envahit les quelques mètres cubes de son petit appartement. Je me retins de ne pas tousser à l’inhalation de la piquante odeur qui me prenait à la gorge. Jeff ne fut apparemment pas dérangé par la tornade étouffante qu’il venait de libérer. Il m’enjoignit de prendre place sur le canapé pendant qu’il cherchait les bières à la cuisine.

Il revint avec deux boîtes de bière forte et un pétard aux lèvres. Il prit place à mon côté et j’eus alors tout loisir de m’attarder sur ses chaussettes en mauvais coton grisâtre effilochées à chacun des gros orteils et prêtes à lâcher après encore deux ou trois enfilades.

Il me proposa de partager son joint: je déclinais son offre, lui expliquant toutefois que cela ne me choquait nullement qu’il le fumât en ma présence. Il décapsula les bières. Le frais breuvage venait à point nommé rafraîchir nos esprits échauffés par la touffeur ambiante. Il me parla alors de ses difficultés à trouver du boulot, de sa vie sociale sans intérêt et de ses amours sans lendemain. Et, au fil des confidences, il avoua avoir eu des relations avec des mecs (juste pour le sexe, précisa-t-il). Des lieux de drague aux appels surtaxés des rézos spécialisés, il avait connu plusieurs aventures d’un soir et pris du plaisir à ces contacts rudes faits de fellations et de sodomies. «Une queue dans le cul, c’est super bon», lâcha-t-il sans se démonter. Il se rapprocha alors de moi, entoura mes épaules de son bras et amena sa bouche contre la mienne pour un baiser aux relents fétides et de salive bien épaisse. Prisonnier de ses lèvres et de sa langue, je ne cherchais même pas à m’en détacher.

Quand il relâcha son étreinte baveuse, il me sourit avec l’air sournois de celui qui vous a envoûté. J’étais effectivement entré dans le collimateur de Jeff. Il se leva du canapé, se plaça devant moi et quitta son bleu de travail et son jock-strap bleu marine. Si j’en jugeais par l’odeur, la couleur foncée du sous-vêtement dissimulait habilement du jaune pisseux. Il exhiba une queue raide à la senteur d’urine séchée. Des gouttelettes de sueur dégoulinaient de ses aisselles. Pris dans le tourbillon affriolant des émanations corporelles de Jeff, je me jetais sur son membre odorant, et sans dégoût aucun, je me mis à l’astiquer (en la circonstance, c’est le mot qui convient).

Au fur et à mesure que je rendais raide dure la queue de Jeff, je laissais mes mains aller tâter ses fesses et mes doigts partir à la découverte de son trou. Je rencontrais d’abord une touffe de poils granuleux, puis, poursuivant mon exploration intime, je sentis mon index rentrer en contact avec une traînée de matières fécales garnissant le pourtour de son anneau qui se détendait étonnamment facilement sous mes doigts inquisiteurs.

J’étais loin d’imaginer que la sueur, la pisse, la merde d’un mec pouvaient m’exciter à ce point. Ma queue, encore prisonnière de mon slip, confirmait mon état.

— Tu peux m’enculer, si tu veux! me lança Jeff.

Le voulais-je vraiment après avoir fait connaissance avec son trou négligé? Et si je lui demandais maintenant d’aller se doucher, aurait-il encore ce pouvoir d’attraction qui guidait mes désirs immédiats. Soit, pensais-je, j’étais prêt à passer outre tous mes principes en matière d’hygiène. Je lui demandais toutefois un préservatif.

Quand il me répondit qu’il n’en avait pas sous la main, je levais la tête vers son visage qui me dominait et lui laissait lire mes pensées dans mon regard: il n’était pas question de «tremper mon biscuit» dans une caverne barbouillée de chocolat. Devant son incrédulité et sa déception, je lui soumis l’idée d’utiliser une de mes fines chaussettes en nylon noir en guise de protection. Il fit une moue contrite pour exprimer sa perplexité face à cette étrange pratique. Je retirais pourtant mes mocassins et mon pantalon de lin, déroulais une chaussette de mon pied et, dégageant mon slip prêt à craquer, je glissais ma queue entre le nylon humide.

— La transpiration fera office de lubrifiant naturel, lui annonçais-je malignement.

— Mais c’est dégueulasse, fit-il en me voyant faire.

— Pas plus que l’état de ton cul, lui répondis-je sans brusquerie afin de ne pas le vexer.

Je moulais mon sexe au plus près du nylon étiré à en être transparent, de manière à lui garder tout son naturel: nervures gonflées et gland décalotté. Je ne m’attardais pas sur le côté dégradant de ma queue gainée du nylon odoriférant. Devant ma queue raide recouverte de sa protection improvisée, Jeff se retourna et s’abaissa à la rencontre de mon membre tendu. Le temps de se placer face à ma trique, il s’y empala avec force circonvolutions et commença sans tarder à jouer du bassin pour prendre petit à petit ma queue jusqu’à la garde. Je lui laissais l’initiative des va-et-vient, me préoccupant de maintenir avec une main la chaussette à la base de ma queue pour éviter qu’elle ne soit happée par les mouvements de plus en plus intensifs de Jeff.

"Hmm!" apprécia Jeff quand ma queue le fouillait en profondeur, la chaussette atténuant la rudesse de l’intromission. Jeff le reconnaissait implicitement en poussant des «Oh oui, c’est bon... c’est agréable... ramone-moi bien l’intérieur...» Et il continuait à geindre de contentement tout en progressant sur ma tige moulée de noir. Il s’embrocha ainsi pendant un bon quart d’heure avant de gicler sur la table basse. Puis il courut aux toilettes où je l’entendis se vider les intestins dans un cri de jouissance comme si une nouvelle fois une queue quittait ses entrailles.

Affalé dans le canapé, je mis un certain temps à oser regarder l’état de ma chaussette sur ma barre de chair mais je sentais l’odeur caractéristique de la matière pour deviner qu’elle en était enduite. Je la fis glisser sur le sol et me laissai aller à répandre un flot de foutre au creux de ma toison pubienne que j’épongeais à l’aide de ma deuxième chaussette. Incontestablement, ma paire de chaussettes avait fait son affaire...


Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».

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