Un frère et une soeur dans un jeu de rôle interdit

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Ils se disputent, se vannent, se coupent la parole, se soutiennent, voire sont amoureux. Frère et sœur, ils ont dû trouver leur place, dans la fratrie parfois, se construire en fonction de ce lien puissant, aussi important que celui qui les lie à leurs parents. Comment leur identité s'est-elle construite ? Nous avons posé la question à quatre personnalités.
Pourquoi est-il si intime d'observer ensemble un frère et une sœur ? De les voir se parler, se regarder, se souvenir, se couper la parole, prendre la pose devant le photographe, l'air ému puis au bord du fou rire, ou se tenant par le bras tendrement, comme Clarisse Agbégnénou qui semble inverser les rôles, elle, l'aînée, en offrant à son petit frère cette belle position de protecteur. L'enfance est là, derrière nos costumes d'adultes, sous le présent de façade. Avoir un frère quand on est née fille, une sœur quand on est un garçon : pour les parents comme pour les enfants, c'est une chance à 105/100, car il naît toujours un peu plus de filles, et une richesse incalculable. Pourtant, cette relation est longtemps restée un impensé des sciences humaines, alors qu'elle constitue le troisième grand lien familial, avec le lien conjugal et la parenté. Mais depuis les années 90, l'histoire s'est attachée à ce champ, en offrant une nouvelle gloire au vieux mot savant d'"adelphique", qui désigne les relations frère-sœur, par opposition à "fraternel", qui s'applique à tous les enfants d'une même famille, quel que soit leur genre. En 1987, Michelle Perrot écrit dans "Histoire de la vie privée" 1 : "Entre frères et sœurs, la différence de sexe crée un rapport complexe, quelque peu initiatique : la première forme des rapports à l'autre sexe. Profondément refoulés par les interdits religieux ou sociaux, ces rapports sont rarement sexuels, mais possiblement amoureux." Dans le champ de la psychologie également, nombre de spécialistes s'accordent désormais à considérer les liens fraternels comme aussi importants, voire davantage, que les relations avec le père et la mère. Et certains de rappeler avec malice que si Œdipe couche avec sa mère , cela fait aussi de lui le frère de ses propres enfants. 

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"Il sait toujours me faire aller mieux"

Soko, 34 ans, musicienne et actrice, et Maxime Sokolinski, 32 ans, musicien Elle parle beaucoup, sourit, ne tient pas en place ; lui reste tranquille et n'intervient que de temps en temps, mais entre eux passe comme un courant. Ils se connaissent si bien. Maxime : On a grandi ensemble, mais dans une famille recomposée de six enfants. On a toujours été proche, mais comme des frères et sœurs, c'est-à-dire qui se disputent et se réconcilient sans cesse. On a été plus proche après mes études d'économie, quand je l'ai rejointe à Los Angeles pour faire de la musique. J'avais besoin de quitter le nid et elle m'a poussé. Aujourd'hui, on est intime et dans la famille on est les seuls créatifs, on est un peu les deux aliens. On s'envoie nos maquettes, on a beaucoup joué ensemble et on sort nos prochains albums presque en même temps, en avril. Soko : C'était une famille plutôt froide dans les rapports. Mais Max et moi avons une vision très différente. Pour lui, nous avons eu une enfance idéale, alors que j'ai manqué d'affection. Mais il est possible que fille et garçon aient des besoins différents. Max était le dernier, il a reçu plus d'attention. J'ai mal vécu la mort de notre père, j'avais 5 ans, Max, 3, même si ma mère s'est très bien occupée du quotidien. Du coup, je suis partie à 16 ans. Je l'ai encouragé à faire de la musique et à venir à Los Angeles. Max est hyper cultivé, intelligent émotionnellement, et il sait toujours me faire aller mieux. La mort de notre père nous lie, et on a remarqué qu'on n'arrive pas à avoir une relation amoureuse avec des gens qui n'ont connu aucune épreuve dans la vie, à qui tout a toujours été donné.
Le conflit est inhérent à la fratrie car les enfants se disputent l'amour des parents
Lisbeth von Benedek, docteure en psychologie et psychanalyste, est auteure de Frères et sœurs pour toujours : l'empreinte de la fratrie sur nos relations adultes . "Je suis une des premières à avoir attiré l'attention sur ce sujet, dit-elle. Notre identité se construit à la fois selon l'axe vertical, sous l'autorité des parents, et selon l'axe horizontal des relations et des expériences qu'on partage avec nos frères et sœurs. Ce sont des liens fondamentaux, car ce sont eux qui nous font sortir de l'illusion d'une fusion avec la mère." Le frère ou la sœur sont "le premier autre" , un laboratoire de socialisation. Dans ce nœud primordial, le rang de naissance est évidemment fondamental et la rivalité est non seulement naturelle, mais elle est constructive – jusqu'à un certain point. "Plutôt que de guerre, je préférerais parler de conflit, de confrontation, poursuit Lisbeth von Benedek. Le conflit est inhérent à la fratrie car les enfants se disputent l'amour des parents, et chacun développe ses propres moyens." Possessivité, désir de séduction, peur de déranger, complexe d'infériorité, plaisir d'exercer son autorité, culpabilité du survivant : son livre illustre la diversité des marques que laisse la fratrie dans les relations adultes. 

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“Si quelqu'un s'attaque à l'un de nous, on se retourne tous contre lui” 

Augustin Trapenard, 40 ans, journaliste, et Constance Trapenard, 36 ans, éditrice Ils se chamaillent, se vannent, se coupent la parole. Entre eux, c'est un bras de fer, l'amour vache, un duel d'étincelles, un spectacle permanent Augustin : Constance, c'était la seule fille, l'exception après trois garçons. Elle a été idolâtrée par nos parents (Constance lève les yeux au ciel). C'est la grande prêtresse de la famille, celle qui organise les dîners,qui assure la cohésion, alors que j'étais un enfant assez différent, je suis le seul à ne pas être allé dans une école privée, je suis gay, moins sociable que les autres, j'étais peut-être un peu à l'écart de cette famille bourgeoise, très française. Les livres sont un lien très fort entre nous. Constance : Comme vous le voyez, Augustin adore parler de lui. (Il rit.) On n'a pas reçu la même éducation parce qu'étant la plus jeune, je me suis retrouvée seule à la maison, et que mon père gagnait beaucoup mieux sa vie à ce moment-là. Mais le propre de la famille, c'est de produire des souvenirs différents. On est tous très extravertis, très intenses, chacun à sa manière. Mais si on n'était pas frères et sœurs, on ne serait clairement pas amis. Augustin (Hilare.) : On n'est pas intime, mais l'humour est entre nous une trace d'intimité très forte, on rit énormément, mélange de cynisme, de méchanceté et d'autodérision. On parle beaucoup, sauf peut-être des choses importantes, les dîners sont très animés, pour ne pas dire violents. En revanche, si quelqu'un s'attaque à l'un de nous, on se retourne tous contre lui. Constance : Tout est drame, c'est épuisant ! Évoluer dans notre famille en tant que pièce rapportée, c'est un vrai défi. On a des dossiers d'alliance, des rancœurs, des amitiés qui échappent aux autres. Ma mère dit qu'elle écrit sur notre famille, et que ce sera en plusieurs tomes. Nos parents ont formé un clan, c'est nous contre le monde. Et je dois dire que j'aimerais bien transmettre ça à mes enfants. 

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“J'ai cru que jamais je ne m'entendrai aussi bien avec un amoureux qu'avec lui”

Constance Verluca, 40 ans, chanteuse, et Guillaume Verluca, 49 ans, directeur artistique d'Akris Ils s'asseyent l'un à côté de l'autre sagement, sur le canapé du salon de chez leurs parents, dans la douceur bourgeoise qui protège les secrets. Constance : Entre nous, c'est enfantin et hyper joyeux, mais ça peut aussi être plus profond. On parle le même langage, ce qui ne veut pas dire qu'on réagisse de la même manière, mais la compréhension est totale. Il n'y a aucune gêne. Je pense qu'on a peu de relations comme ça dans nos vies. C'est une force monumentale, mais ce n'est pas seulement Guillaume, c'est l'amour inconditionnel de la famille, un sentiment d'invincibilité. Guillaume m'a aussi appris à être snob. C'est lui qui m'a initiée au cinéma, à la musique, à 12 ans, je regardais Portier de nuit, je préférais Cure à Michael Jackson. Et en tant que frimeuse, j'étais assez contente d'arriver au lycée, où il venait de jouer Roméo dans la pièce de l'école. On s'est donné le change question narcissisme. Guillaume : J'ai aussi une relation particulière avec notre sœur Delphine et notre petit frère Pierre, mais avec Constance il y a une complicité naturelle et une affinité dans le jeu. On ne se dit pas « je t'aime » à tout bout de champ, mais le jour de son mariage, j'avais l'impression de faire le discours du père qui laisse partir sa fille. Il y a aussi une part de romantisme là-dedans, on aime penser que ce qu'on vit ensemble est exceptionnel. C'est un idéal qui peut rendre les autres relations périlleuses. Constance : Je me souviens d'écouter, ado, une chanson de Gérard Berliner sur un frère amoureux de sa sœur. Longtemps j'ai cru que jamais je ne m'entendrai aussi bien avec un amoureux qu'avec lui. Mon père m'a dit un jour : "Bien sûr, ce serait facile de vivre avec ton frère, mais essaie avec un autre homme." Quant à dire si la différence de sexe accentue ou estompe la rivalité, il ne faut pas s'y risquer, note Dana Castro, psychologue clinicienne et auteure d'un manuel destiné aux parents, Frères et sœurs, les aider à s'épanouir 3 . "Un enfant d'un sexe différent peut être perçu comme moins menaçant, mais l'inverse est également vrai. Malgré les velléités d'égalitarisme, les différences d'éducation persistent, on le voit dans les activités, les films, les jouets. À l'adolescence, on n'a pas les mêmes besoins psychologiques , les corps se transforment et les problématiques ne sont pas les mêmes." Le cliché du frère aîné possessif ou de la sœur aînée maternelle est-il valable ? "Jusqu'à un certain point. L'aîné peut aimer se donner de l'importance en prenant le rôle d'un adulte. La question est celle de la dette : qu'attend-il en retour ?" Admiration, amour ou soumission totale ? "Ces rôles tendent à s'estomper quand chacun fonde sa propre famille, mais d'une certaine façon quelque chose persiste, note la psychologue. On demande conseil au grand frère, on confie ses enfants à sa sœur. Cela peut aussi se répercuter à la génération suivante, si on a l'impression que les parents s'intéressent plus ou moins aux petits-enfants, et que va se reproduire une injustice." 

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“Entre nous, la relation était parfaite”

Clarisse Agbégnénou, 27 ans, quadruple championne du monde de judo, et Joris Agbégnénou, 19 ans, jeune espoir du judo Ils s'asseyent face à face, souriants, très doux, et de profil on dirait les mêmes. Mais si Clarisse a bien un jumeau, ce n'est pas Joris. Huit ans séparent la championne et son petit frère, qui marche sur ses pas. Joris : Un jour, j'ai accompagné Clarisse à son entraînement de judo et ça a été le coup de foudre. Entre nous, la relation était parfaite, c'est les autres qui nous mettaient en compétition, il y avait un attroupement autour de mon tapis pour voir de quoi j'étais capable. J'ai très mal géré au début, mais j'ai réussi à travailler sur moi. Depuis que je suis à l'Insep (Institut national du sport, de l'expertise et de la performance, ndlr), on se voit tous les jours. Avec mon frère Aurélien, on est dans une relation d'amitié ; avec Clarisse, c'est une relation de performance et de progression. On est très proches, on se rend service, on se soutient. C'est un modèle. J'essaie de faire mon propre chemin, mais elle a un parcours presque parfait. 
Clarisse : Avec mon jumeau Aurélien, c'est le yin et le yang, on n'a pas les mêmes centres d'intérêt, ce qui nous différencie est aussi ce qui nous connecte. Avec Joris, on partage le judo, on aime la mode, la musique, on rigole des mêmes choses. Quand il est né, j'ai d'abord été jalouse et je m'alliais avec mon jumeau contre lui, mais en grandissant, je me suis mise à le protéger. On se protège mutuellement. On ne s'engueule jamais, mais je contourne, jusqu'à ce qu'il accepte de discuter. Le seul moment qui m'a choqué avec lui, c'est quand j'ai perdu aux J.O. Il n'arrivait pas à parler, il était livide. Comme si c'était lui qui avait perdu. J'avais une double peine. Au championnat de France, il m'a demandé de le coacher et j'ai trouvé ça dur, plus dur que de combattre. 
Les frères et sœurs ont beau rouler les yeux d'étonnement – ou de pudeur – quand on les interroge sur la différence de sexe, elle est comme le nez au milieu de la figure : si évidente qu'ils ne la voient plus. Alors que l'autre sexe peut rester jusqu'à l'adolescence un infini mystère, elle est expérimentée très simplement dans la relation adelphique en partageant chambre, lavabo, épreuves émotionnelles, blagues pipi caca et jeux plus ou moins interdits. "C'est une richesse incommensurable, c'est un autre monde, une palette de possibilités et d'inspirations, s'exclame Lisbeth von Benedek. Le mot qui me semble crucial ici, c'est la fascination. Le frère ou la sœur représente une part inconsciente de nous-même. Dans chaque personne il y a une dimension masculine et féminine, donc le frère pour sa sœur incarne la dimension masculine – comme le père, sauf qu'avec le frère elle peut se disputer, s'affirmer, sans avoir peur d'être abandonnée." Chaque témoignage illustre cette richesse de compétences à la fois émotionnelle et sociale. La cheffe cuisinière Julia Sedefdjian, plus jeune étoilée de France, a récemment ouvert sa table à Paris, Baieta, et reconnaît combien grandir entre deux frères a pu l'aider dans ce métier encore très viril : "Je sais comment il faut faire avec les mecs, c'est des coqs", blague-t-elle. L'humoriste Laurent Sciamma, frère cadet de la cinéaste Céline Sciamma, a raconté au journal Les Inrocks la naissance de sa sensibilité féministe en écoutant et en observant ses sœurs. Et le comédien Malik Zidi, qui publie en janvier "L'ombre du soir" 4 , premier roman sur son enfance à la dure dans une famille de mecs, déplore ouvertement ne pas avoir eu de sœur : "C'est le grand regret de ma vie !" Si l'inceste est largement illustré dans la littérature, le cinéma, la musique, la relation fraternelle peut verser dans un autre excès, moins scandaleux mais tout aussi violent : l'indifférence.
Il arrive tout simplement qu'on n'apprécie pas la personnalité de l'autre
Quelque chose n'a pas peu lieu. Dana Castro n'en fait pas forcément un roman : "Il arrive tout simplement qu'on n'apprécie pas la personnalité de l'autre." Et si c'est aussi douloureux, c'est que c'est interdit, en vertu du principe sacré de la famille et même de notre devise nationale : Liberté, égalité, fraternité. Est-il possible de réparer à l'âge adulte un lien cassé depuis l'enfance ? "Non, répond-elle sans détour. En revanche, on peut construire une relation nouvelle sur d'autres bases. Mais en cas d'indifférence ou de violences, il y aura toujours des litiges. Bien sûr, on peut toujours faire bonne figure." C'est la "fraternité mondaine", selon l'expression choisie de la sociologue Évelyne Favart dans "Frères et sœurs, pour la vie ?" 5 , celle qui se résume aux échanges polis des Noëls et des anniversaires. Mais peut-être un peu d'indifférence est-elle indispensable pour calmer cette relation hautement inflammable et forcément narcissique . Il existe d'ailleurs une version du mythe de Narcisse où le jeune homme ne contemple pas son visage dans l'eau, mais y cherche le reflet de celui de sa sœur, dont il est amoureux. Lisbeth von Benedek aime citer, pour parler des relations entre frères et sœurs, un magnifique mot-valise allemand, "Sichauseinandersetzen" : se confronter avec l'autre en soi. "La fratrie est très précieuse pour cela, dit-elle. Il ne faut pas avoir peur du conflit. Au contraire, les conflits nous permettent de faire connaissance avec cet autre en nous." 1 Tome 4 : De la Révolution à la Grande Guerre, éd. Points Histoire. 2 Éd. Eyrolles, 2019. 3 Éd. Albin Michel, 2017. 4 Éd. Anne Carrière. 5 Éd. Cortext. 























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