Un beau cul dévoré

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Un beau cul dévoré

De Maxime - Posté le 11 février 2014 à 11h28 dans Insolite


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Avec sa grande queue (36cm), il est considéré comme un dieu !

Dans l'actualité insolite, il y a de nombreuses choses qu'il est difficile d'expliquer. Cette fois, c'est l'histoire d'un indien considéré comme un dieu vivant car il a une particularité physique très impressionnante dans le dos. Des milliers de personnes sont prêtes à parcourir de nombreux kilomètres pour voir ça !
Il s'appelle Chandre Oraon et est considéré comme un dieu vivant. Chandre est un homme comme les autres, cueilleur de thé, qui habite le Bengale-Occidental, dans le nord-est du pays. Agé de 35 ans, l'homme a une touffe de poils dans le bas du dos d'une longueur de 36 cm ! Cette malformation appelée spina-bifida est particulièrement surprenante, d'autant que l'homme a toujours refusé de couper ses poils. Désormais, il est considéré par les indiens comme la réincarnation de Hanuman, un dieu-singe.
Comme nous pouvons nous en douter, ça n'a pas toujours été facile pour l'homme de vivre avec cette malformation très peu esthétique. Il a subit les nombreuses moqueries de ses camarades d'école. De plus, avec les femmes, ça n'a jamais été très facile non plus dans un premier temps.
Désormais considéré comme un véritable dieu vivant, des croyants sont capables de réaliser des centaines de kilomètres pour pouvoir toucher les poils impressionnants de Chandre. Ils considèrent même que sa capacité à grimper aux arbres est une preuve de ce cadeau de dieu et pensent même qu'il a des pouvoirs de guérison.
Encore plus incroyable, la mère de Chandre Oraon lui a coupé les poils alors qu'il était encore jeune. Quelques secondes plus tard, l'homme a été pris d'une très forte fièvre, sa mère a eu très peur et lui a confié qu'il a failli mourir ce jour là. Convaincu lui aussi d'être exceptionnel et papa d'une petite fille de cinq ans, il songe à ouvrir son propre temple pour que les fidèles puissent être accueillis dans les meilleurs conditions possibles.
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C'est quand même intéressant de voir que dans certaines cultures on prend tout et n'importe quoi pour un don de dieu !
Perso, pour moi, c'est une grosse blague !

Par Jean ferme , il y a 9 ans (en réponse à ):

Jésus, Moise, Abraham, judas... pareil

Par kitsu , il y a 9 ans (en réponse à Jean ferme ):


Par Mickyah , il y a 9 ans (en réponse à Jean ferme ):


Par fallgorde , il y a 9 ans (en réponse à ):

J'ai moi aussi une Queue de 36Cm, pas placer au même endroit et c'es un don de dieux :3

Par Helena , il y a 9 ans (en réponse à fallgorde ):

Ahahaha, moi aussi en voyant le titre de l'article, j'ai pensé pareil que toi :)))

Par benzouille , il y a 9 ans (en réponse à Helena ):

je pense que 100% des gens ont pensés pareille :)

Par Boblepalindrome , il y a 9 ans (en réponse à fallgorde ):


Par Shuruel , il y a 9 ans (en réponse à fallgorde ):


Par TheDragonfury , il y a 9 ans (en réponse à fallgorde ):


Par Ocha , il y a 8 ans (en réponse à ):

Ne dites pas de mal, la queue, c'est sacré! On m'appelle le Dieu éléphant et comme pas mal de croyants, je trompe mon monde ;)

bien sur il est pas con le type. si il peut arnaquer des pigeons, il va pas se gener. moi qui pensais voir un sayen...

Par gredin au bouc , il y a 9 ans (en réponse à Castiel ):

tu sait tout le monde n'est pas mal pensant et cherchant a nuire

Par Castiel , il y a 9 ans (en réponse à gredin au bouc ):

on se moquait de lui pendant l'enfance. les femmes étaient distant avec lui pendant longtemps. il se croit exceptionnel selon les dires de l'article qui reprend les paroles de cet homme. alors certes il se peut qu'il ne soit pas rancunier et pardonne mais il y a de plus fortes chances qu'il prenne sa revanche et profite de la situation
Suis-je le seul à avoir compris autre chose en lisant le titre... ?

Par Trumpolf , il y a 9 ans (en réponse à Cookie ):


Par besakcity , il y a 9 ans (en réponse à Cookie ):


Par Manon.mu , il y a 9 ans (en réponse à Cookie ):

Non pas le seul, le pire c'est que j'ai cliquée, tout le monde a cliqué ! ^^

Par V For Vendetta , il y a 9 ans :


Par sinnister , il y a 9 ans (en réponse à V For Vendetta ):


Par V For Vendetta , il y a 9 ans (en réponse à sinnister ):


Par Newent , il y a 9 ans (en réponse à Trumpolf ):

peu s'il te plaît,j'ai mal aux yeux

Par Trumpolf , il y a 9 ans (en réponse à Newent ):


Par Trumpolf , il y a 9 ans (en réponse à Trumpolf ):

Faut que j arrête d avoir l esprit aussi pervers... Toutes mes illusions se sont arrêtés à"car il a une particularité physique très impressionnante dans le dos" ....
En lisant le titre je me suis demandé pourquoi on ne me considérait pas aussi comme un dieu, et après j'ai compris.
Son Goku est alors bien réel ! C'est quand la pleine lune qu'on vérifie si c'est pas un Saiyan ? ^^

Par rissinho , il y a 9 ans via l'application Hitek :

genre avoir beaucoup de poils au cul c'est être un demi-dieu

Par Lamar , il y a 9 ans (en réponse à rissinho ):


Par Elderly , il y a 9 ans (en réponse à rissinho ):

Si t'as ton cul dans le dos je te dis bon courage.
il a des poils au cul et Bam ça devient un dieu.
i don't want to live on this planet anymore
Mouais, un queue, c'est le prolongement de la colonne vertébrale non ?... Alors que lui, il a juste des poils dans le dos...
Et si on lui tire dessus, il s'affaiblit ?
Si avoir autant de poil c'est être un dieu alors moi et mon orgueil je suis Jormungand
C'est pas une queue, c'est une dread!
J'ai mis 3 semaines (ça fait 4 jours que l'article est sorti, j'arrondi) avant de cliquer sur l'article pour le lire pour des raisons qui me regardent...
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Vos narines qui vont en l'air, Non loin de vos beaux yeux quelconques, Sont mignonnes comme ces conques Du bord de mer de bains de mer ;
Un sourire moins franc qu'aimable Découvre de petites dents, Diminutifs outrecuidants De celles d'un loup de la fable ;
Bien en chair, lente avec du chien, On remarque votre personne, Et votre voix fine résonne Non sans des agréments très bien ;
De la grâce externe et légère Et qui me laissait plutôt coi Font de vous un morceau de roi, Ô de roi non absolu, chère !
Toujours est-il, regret ou non, Que je ne sais pourquoi mon âme Par ces froids pense à vous, Madame De qui je ne sais plus le nom.
Un rêve de cuisses de femmes Ayant pour ciel et pour plafond Les culs et les cons de ces dames Très beaux, qui viennent et qui vont.
Dans un ballon de jupes gaies Sur des airs gentils et cochons ; Et les culs vous ont de ces raies, Et les cons vous ont des manchons !
Des bas blancs sur quels mollets fermes Si rieurs et si bandatifs Avec, en haut, sans fins, ni termes Ce train d'appâts en pendentifs,
Et des bottines bien cambrées Moulant des pieds grands juste assez Mènent des danses mesurées En pas vifs, comme un peu lassés
Une sueur particulière Sentant à la fois bon et pas, Foutre et mouille, et trouduculière, Et haut de cuisse, et bas de bas,
Flotte et vire, joyeuse et molle, Mêlée à des parfums de peau A nous rendre la tête folle Que les youtres ont sans chapeau.
Notez combien bonne ma place Se trouve dans ce bal charmant : Je suis par terre, et ma surface Semble propice apparemment
Aux appétissantes danseuses Qui veulent bien, on dirait pour Telles intentions farceuses, Tournoyer sur moi quand mon tour,
Ce, par un extraordinaire Privilège en elles ou moi, Sans me faire mal, au contraire, Car l'aimable, le doux émoi
Que ces cinq cent mille chatouilles De petons vous caracolant A même les jambes, les couilles, Le ventre, la queue et le gland !
Les chants se taisent et les danses Cessent. Aussitôt les fessiers De mettre au pas leurs charmes denses, Ô ciel ! l'un d'entre eux, tu t'assieds
Juste sur ma face, de sorte Que ma langue entre les deux trous Divins vague de porte en porte Au pourchas de riches ragoûts.
Tous les derrières à la file S'en viennent généreusement M'apporter, chacun en son style, Ce vrai banquet d'un vrai gourmand.
Je me réveille, je me touche ; C'est bien moi, le pouls au galop... Le nom de Dieu de fausse couche ! Le nom de Dieu de vrai salop !
Obscur et froncé comme un œillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encor d’amour qui suit la fuite douce Des Fesses blanches jusqu’au cœur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse, À travers de petits caillots de marne rousse Pour s’aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ; Mon âme, du coït matériel jalouse, En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée, et la flûte câline, C’est le tube où descend la céleste praline : Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !
Ô ne blasphème pas, poète, et souviens-toi. Certes la femme est bien, elle vaut qu’on la baise, Son cul lui fait honneur, encor qu’un brin obèse Et je l’ai savouré maintes fois, quant à moi.
Ce cul (et les tétons) quel nid à nos caresses ! Je l’embrasse à genoux et lèche son pertuis Tandis que mes doigts vont fouillant dans l’autre puits Et les beaux seins, combien cochonnes leurs paresses !
Et puis, il sert, ce cul, encor, surtout au lit Comme adjuvant aux fins de coussins, de sous-ventre, De ressort à boudin du vrai ventre pour qu’entre Plus avant l’homme dans la femme qu’il élit,
J’y délasse mes mains, mes bras aussi, mes jambes, Mes pieds. Tant de fraîcheur, d’élastique rondeur M’en font un reposoir désirable où, rôdeur, Par instant le désir sautille en vœux ingambes.
Mais comparer le cul de l’homme à ce bon cu À ce gros cul moins voluptueux que pratique Le cul de l’homme fleur de joie et d’esthétique Surtout l’en proclamer le serf et le vaincu,
« C’est mal, » a dit l’amour. Et la voix de l’Histoire. Cul de l’homme, honneur pur de l’Hellade et décor Divin de Rome vraie et plus divin encor, De Sodome morte, martyre pour sa gloire.
Shakspeare, abandonnant du coup Ophélia, Cordélia, Desdémona, tout son beau sexe Chantait en vers magnificents qu’un sot s’en vexe La forme masculine et son alleluia.
Les Valois étaient fous du mâle et dans notre ère L’Europe embourgeoisée et féminine tant Néanmoins admira ce Louis de Bavière, Le roi vierge au grand cœur pour l’homme seul battant.
La Chair, même, la chair de la femme proclame Le cul, le vit, le torse et l’œil du fier Puceau, Et c’est pourquoi d’après le conseil à Rousseau, Il faut parfois, poète, un peu « quitter la dame ».
Mes amants n’appartiennent pas aux classes riches : Ce sont des ouvriers faubouriens ou ruraux, Leur quinze et leurs vingt ans sans apprêts sont mal chiches De force assez brutale et de procédés gros.
Je les goûte en habits de travail, cotte et veste ; Ils ne sentent pas l’ambre et fleurent de santé Pure et simple ; leur marche un peu lourde, va preste Pourtant, car jeune, et grave en élasticité ;
Leurs yeux francs et matois crépitent de malice Cordiale et des mots naïvement rusés Partent non sans un gai juron qui les épice De leur bouche bien fraîche aux solides baisers ;
Leur pine vigoureuse et leurs fesses joyeuses Réjouissent la nuit et ma queue et mon cu ; Sous la lampe et le petit jour, leurs chairs joyeuses Ressuscitent mon désir las, jamais vaincu.
Cuisses, âmes, mains, tout mon être pêle-mêle, Mémoire, pieds, cœurs, dos et l’oreille et le nez Et la fressure, tout gueule une ritournelle, Et trépigne un chahut dans leurs bras forcenés.
Un chahut, une ritournelle fol et folle Et plutôt divins qu’infernals, plus infernals Que divins, à m’y perdre, et j’y nage et j’y vole, Dans leur sueur et leur haleine, dans ces bals.
Mes deux Charles l’un jeune tigre aux yeux de chattes Sorte d’enfant de chœur grandissant en soudard, L’autre, fier gaillard, bel effronté que n’épate Que ma pente vertigineuse vers son dard.
Odilon, un gamin, mais monté comme un homme Ses pieds aiment les miens épris de ses orteils Mieux encore mais pas plus que son reste en somme Adorable drûment, mais ses pieds sans pareils !
Caresseurs, satin frais, délicates phalanges Sous les plantes, autour des chevilles, et sur La cambrure veineuse et ces baisers étranges Si doux, de quatre pieds, ayant une âme, sûr !
Antoine, encor, proverbial quant à la queue, Lui, mon roi triomphal et mon suprême Dieu, Taraudant tout mon cœur de sa prunelle bleue Et tout mon cul de son épouvantable épieu.
Paul, un athlète blond aux pectoraux superbes Poitrine blanche, aux durs boutons sucés ainsi Que le bon bout ; François, souple comme des gerbes Ses jambes de danseur, et beau, son chibre aussi !
Auguste qui se fait de jour en jour plus mâle (Il était bien joli quand ça nous arriva) Jules, un peu putain avec sa beauté pâle. Henri, me va en leurs conscrits qui, las ! s’en va ;
Et vous tous ! à la file ou confondus en bande Ou seuls, vision si nette des jours passés, Passions du présent, futur qui croît et bande Chéris sans nombre qui n’êtes jamais assez !
De mon maître, De mon amant adoré Qu’accueille avec joie et crainte, Ton étreinte Mon heureux cul, perforé
Tant et tant par ce gros membre Qui se cambre, Se gonfle et, tout glorieux De ses hauts faits et prouesses, Dans les fesses Fonce en élans furieux. —
Nourricier de ma fressure, Source sûre Où ma bouche aussi suça, Gland, ma grande friandise, Quoi qu’on en dise Quelque fausse honte, or, çà,
Gland, mes délices, viens, dresse Ta caresse De chaud satin violet Qui dans ma main se harnache En panache Soudain d’opale et de lait.
Ce n’est que pour une douce Sur le pouce Que je t’invoque aujourd’hui Mais quoi ton ardeur se fâche… Ô moi lâche ! Va, tout à toi, tout à lui,
Ton caprice, règle unique. Je rapplique Pour la bouche et pour le cu Les voici tout prêts, en selle, D’humeur telle Qui te faut, maître invaincu.
Puis, gland, nectar et dictame De mon âme, Rentre en ton prépuce, lent Comme un dieu dans son nuage, Mon hommage T’y suit, fidèle — et galant.
Monte sur moi comme une femme Que je baiserais en gamin Là. C’est cela. T’es à ta main ? Tandis que mon vit t’entre, lame
Dans du beurre, du moins ainsi Je puis te baiser sur la bouche, Te faire une langue farouche Et cochonne, et si douce, aussi !
Je vois tes yeux auxquels je plonge Les miens jusqu’au fond de ton cœur D’où mon désir revient vainqueur Dans une luxure de songe.
Je caresse le dos nerveux, Les flancs ardents et frais, la nuque, La double mignonne perruque Des aisselles, et les cheveux !
Ton cul à cheval sur mes cuisses Les pénètre de son doux poids Pendant que s’ébat mon lourdois Aux fins que tu te réjouisses,
Et tu te réjouis, petit, Car voici que ta belle gourle Jalouse aussi d’avoir son rôle, Vite, vite, gonfle, grandit,
Raidit… Ciel ! la goutte, la perle Avant-courrière vient briller Au méat rose : l’avaler, Moi, je le dois, puisque déferle
Le mien de flux, or c’est mon lot De faire tôt d’avoir aux lèvres Ton gland chéri tout lourd de fièvres Qu’il décharge en un royal flot.
Lait suprême, divin phosphore Sentant bon la fleur d’amandier, Où vient l’âpre soif mendier, La soif de toi qui me dévore
Mais il va, riche et généreux, Le don de ton adolescence, Communiant de ton essence, Tout mon être ivre d’être heureux.
Un peu de merde et de fromage Ne sont pas pour effaroucher Mon nez, ma bouche et mon courage Dans l’amour de gamahucher.
L’odeur m’est assez gaie en somme, Du trou du cul de mes amants, Aigre et fraîche comme la pomme Dans la moiteur de saints ferments.
Et ma langue que rien ne dompte, Par la douceur des longs poils roux Raide et folle de bonne honte Assouvit là ses plus forts goûts,
Puis pourléchant le périnée Et les couilles d’un mode lent, Au long du chibre contournée S’arrête à la base du gland.
Elle y puise âprement en quête Du nanan qu’elle mourrait pour, Sive, la crème de quéquette Caillée aux éclisses d’amour
Ensuite, après la politesse Traditionnelle au méat Rentre dans la bouche où s’empresse De la suivre le vit béat,
Débordant de foutre qu’avale Ce moi confit en onction Parmi l’extase sans rivale De cette bénédiction !
Autant certes la femme gagne À faire l’amour en chemise, Autant alors cette compagne Est-elle seulement de mise
À la condition expresse D’un voile, court, délinéant Cuisse et mollet, téton et fesse Et leur truc un peu trop géant.
Ne s’écartant de sorte nette, Qu’en faveur du con, seul divin, Pour le coup et pour la minette, Et tout le reste, en elle est vain
À bien considérer les choses, Ce manque de proportions, Ces effets trop blancs et trop roses… Faudrait que nous en convinssions,
Autant le jeune homme profite Dans l’intérêt de sa beauté, Prêtre d’Éros ou néophyte D’aimer en toute nudité.
Admirons cette chair splendide Comme intelligente, vibrant, Intrépide et comme timide Et, par un privilège grand
Sur toute chair, la féminine Et la bestiale — vrai beau ! — Cette grâce qui fascine D’ê
Juli et Asa jouent à un jeu
Elle est trop chaude
Une leçon de masturbation avec une rousse sexy

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