Sucée à sec

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Sucée à sec
Доступ к информационному ресурсу ограничен на основании Федерального закона от 27 июля 2006 г. № 149-ФЗ «Об информации, информационных технологиях и о защите информации».

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(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
Petite question : de toutes les histoires que j'ai publiées, quelles sont celles où vous souhaiteriez voir/lire une suite ? Ou un spin off ? Ou si vous voulez que je développe un évènement que vous avez vécu ou sur lequel vous fantasmez. Faites-moi signe. Cordialement, Jérôme. jblchretien@yahoo.fr

© Tous droits réservés. Jerome3140.

Une fois libéré, j’ai dû me dépêcher et courir pour être à temps à la cafète ; heureusement, je n’étais pas le dernier ! Car le dernier, outre d’être privé de match, il doit à tout instant faire des centaines de pompes et sert de bonne à tout faire pour les autres joueurs.

Nous étions arrivés la veille, le jeudi, en fin de journée et ma soirée avait été assez longue. Quand mes copains m’ont demandé si je me trouvais dans une chouette famille, je leur ai répondu que je ne pouvais pas me plaindre… et certains qui savaient quelle vie je menais avec mon père avaient un sourire éclatant aux lèvres.

Ce vendredi, deux matchs nous attendaient et peut-être encore deux samedi, si nous nous qualifions pour la finale qui se jouerait alors le dimanche matin. Je savais donc que je serais aux pieds de mon alpha encore deux soirs et, je dois me l’avouer, cela me plaisait et me faisait bander. Oserais-je en parler aux copains ?

Malgré que nous ayons gagné nos deux matchs, je dois avouer que je n’étais pas toujours entièrement concentré et qu’en outre durant la deuxième partie, je me suis fait tutoyer par un de mes amis très proche, Roby ; il paraît que je puais la pisse !

Quand nous en avions fini et après avoir dû donner quelques infos à Roby sur ce que je vivais, je me suis sauvé sous un prétexte fallacieux et vers dix-sept heures j’étais dans la chambre de mon maitre.

Il était couché à poil sur son lit et quand il m’a vu, la première chose qu’il m’a demandée, c’était de prendre son slip qui était dans la poche de mon short et de le remettre en bouche. Puis j’ai dû me mettre à poil et à genoux et quand il s’est levé et s’est approché de moi, il m’a giflé en me disant :

— Ce mélange de mes odeurs et des tiennes et ta sueur de grand sportif me dérangent. Vas prendre une douche en vitesse et surtout ne te sèches pas ! Et tu te déplaces à quatre pattes !

Et je suis allé dans la salle d’eau, mais à peine sous la douche, le gars, dont je ne connais toujours pas le prénom, m’a rejoint. Quand j’étais tout mouillé sans être pour autant savonné ou lavé, il a fermé lui-même les robinets, m’a ordonné de me mettre à genoux dans le tub et sans attendre, il m’a pissé dessus de la tête aux pieds et il m’a même obligé de boire sa pisse. Quand la dernière giclée était sortie, j’ai encore dû boire à la source les dernières gouttes et il m’a dit :

— Ainsi tu seras encore mieux imprégné de mon odeur. Va te coucher sur le dos sur le lit et attends-moi !

Quand il est venu vers moi, je voyais qu’il bandait déjà pas mal, il s’est couché sur moi et je devinais qu’il frottait sa bite contre mes fesses et je sentais nettement que sa bite gonflait puis il m’a retourné comme une crêpe, s’est assis sur mon torse, et il m’a giflé avec ses mains, mais aussi avec son braquemart… et j’aimais cela.

— Maintenant, retourne-toi salope et penche-toi.

Qu’allait-il faire avec moi ? Je me sentais déjà humilié, mais j’ai consciencieusement suivi ses ordres et je me suis penché exposant mon cul à son regard. Sans égard pour ma dignité, il m’a écarté les fesses en disant :

— Ce qui m’étonne, salope, c’est que ta petite chatte est encore bien serrée et ma queue va se sentir vraiment bien dans ton petit trou.

Une chatte ? Moi ? Et comme s’il lisait mes pensées, comme s’il connaissait mon vécu il a dit :

— Les hommes vrais ont des trous de cul qui sont léchés et adorés par des esclaves pédés comme toi. Mais toi, le pédé, tu n’es pas un vrai mec ; tu es plutôt une chatte, une chatte que nous, les vrais hommes, utilisons pour notre plaisir, pour mouiller nos bites. Toi, tu n’as pas de bite, d’ailleurs chez toi elle est emprisonnée, et ton cul de pédé, nous les hommes, appelons cela ta chatte !

— Oui maitre, j’ai saisi. Ai-je marmonné puisque ce foutu slip était encore dans ma gueule d’esclave pédé.

Mais sa description des gars comme moi était peut-être assez dure à avaler et était extrêmement humiliante, mais j’aimais cela !

En disant cela, il m’a pris en travers de ses genoux et m’a donné une fessée plus que symbolique si bien que j’en avais les larmes aux yeux. Puis, enfin, il m’a ôté le slip de ma bouche et j’ai pensé à le remercier.

Alors, il a trifouillé dans son sac et en a sorti un plug qu’il a immédiatement poussé entre mes lèvres puis jusqu’au fond de ma gorge et quand il estimait qu’il était bien humecté, il l’a introduit dans mon trou du cul. Comme celui-ci n’avait plus été exploré depuis quelques jours, cela faisait mal, mais bien sûr je m’y suis habitué rapidement et très vite une chaleur persistante m’envahissait.

Je me sentais pourtant obligé d’intervenir auprès de mon maitre anglais :

— Maitre, un lavement serait peut-être…

Mais déjà une paire de gifles atteignaient mon visage et d’une voix méprisante mon maitre lançait :

— Tu as un maitre dans ton pays ; tu sais donc ce qu’on attend de toi et de ton cul. Tu en porteras donc les conséquences !

Tout était dit et il s’est mis à me tringler avec le plug.

— Malgré tout ce que ton cul a déjà subi, tu devras travailler ton trou trop serré si tu veux sentir ma bite au tréfonds de tes entrailles.

Il a laissé le plug enfoncé dans mon cul puis il a ajouté :

— Maintenant, pendant que ton trou du cul s'étire, pourquoi ne t’occuperais-tu pas de mon trou du cul avec ta langue ; tu sais que j’aime cela.

Il s’est couché sur le lit, son cul sur l’oreiller et ses jambes bien écartées et exposant son beau trou. Presque avec impatience, je me suis penché et j’ai d’abord reniflé et inhalé son odeur puis j’ai donné quelques coups de langue, mais bien vite celle-ci s’occupait de sa rosette, mais se perdait aussi jusqu’à ses couilles.

Je léchais et je mouillais avec enthousiasme tout le chemin entre sa raie et son scrotum. Puis, il a saisi l'arrière de ma tête et a poussé mon visage dans son trou du cul, et tout naturellement j’ai sorti ma langue, et j’ai léché aussi profondément que possible dans son trou, pliant ma langue pour atteindre en profondeur son trou sacré.

Dans son cul, il faisait à la fois chaud et humide, mais c’est vrai que j’ai toujours bien aimé m’occuper de cette zone très privée de papa, de ses amis et aussi de mon alpha anglais : je vivais peut-être un des meilleurs plans de ma courte vie. Je lui étais complètement soumis et cela me convenait. Il gémissait de plaisir lorsque j’enfonçais ma langue entre ses fesses et tentais d’explorer son cul. C’était le nirvana pour moi et je me sentais en accord parfait et en connexion avec mon vrai destin.

— Tu sais petite salope, tu n’es pas encore entièrement à moi ! Je ne t’ai pas encore dressé, formé entièrement. Bien sûr, je t’ai fait porter mon sperme sur ton visage et ton corps pendant des heures, mais pour être vraiment ma chatte, ma salope, mon petit pédé, il faut que je tapisse de mon nectar d’alpha tes entrailles et ta chatte !

Sa chatte ! Bien sûr, car elle lui appartenait comme moi je lui appartiens !

Alors sans attendre, il a poussé ma tête vers l’arrière et a tiré ma gueule de salope hors de son cul, j’ai levé les yeux et je ne voyais que sa bite dure comme de la pierre et son visage au sourire sarcastique.

— Avale ma bite et lubrifie-la, ma petite pute, car je vais bientôt te baiser !

J'ai longuement admiré sa bite énorme, parfaite, épaisse, prête à éclater, furieuse, renflée, énergique, mais aussi si incroyablement séduisante. Grâce à sa queue, il me dominait. Je me sentais si humble, j’étais reconnaissant de pouvoir l’adorer et je me suis senti obligé de m'incliner devant elle et de l’idolâtrer avec toute mon âme.

J'ai plongé dessus avec un enthousiasme fou, la lapant, la suçant en mettant le meilleur de moi-même, bavant sur sa bite comme un chien peut le faire en recevant un os.

Je me soumettais au culte du pénis suprême, puis il a mis ses mains sur l'arrière de ma tête et a enfoncé et maintenu sa bite au fond de ma gorge pendant de longues minutes forçant mon nez à rester contre son pubis et mon menton entre ses couilles.

Il m'a finalement relâché avec un profond gémissement de plaisir. Je me sentais tellement heureux de lui faire plaisir, son soupir était de la musique à mes oreilles. J'avais fait plaisir à sa bite et j'avais tellement hâte d'améliorer son plaisir avec mon trou toujours volontaire.

— Allonge-toi sur le lit et sur le dos !

Lui s’est levé et je savais ce qui m’attendait. Une fois en position, il a levé mes jambes et les a écartées un max et sa bite se trouvait déjà à mon trou. Il m’a mis quelques petites fessées, s’est encore rapproché jusqu’à ce que sa queue frotte contre mon cul.

Quelle queue ! Puissante, énorme ! Il a ôté mon plug et a pointé sa bite vers ma raie et a craché à deux reprises dans mon trou en disant :

— Toi, ma petite salope, cela doit te suffire comme lubrifiant.

Puis lentement, mais avec force, il a poussé sa bite à l'intérieur de mon corps. Malgré que j’aie une certaine habitude d’être enculé, une marée de douleur s’abattait sur moi lorsque son énorme engin disparaissait en moi.

Heureusement, mon alpha a encore craché sur sa bite et dans mon trou pour nous lubrifier et il s’est enfoncé en moi très profondément. Sa bite était tellement énorme que la douleur me paraissait tellement grande que j’en perdais mon souffle et malgré que je n’en étais pas à ma première expérience du genre, il lui a fallu un temps certain pour arriver à mon tréfonds et quand il s’est mis à me pomper les entrailles lentement, mais sûrement, la douleur a été remplacée par cette sensation de plénitude.

Il a poussé encore plus profondément et appuyé sur ma prostate. Je ressentais tellement de plaisir que je crois que ma bouche restait grande ouverte ; j'étais complètement submergé par le plaisir que m’offrait sa bite. Je laissais échapper des gémissements et mon alpha a pensé que je lui donnais un indice… Comme si un pédé comme moi se permettrait de donner un signal à son alpha !

En tout cas, il a soudainement commencé à me baiser vigoureusement, plongeant sa bite profondément dans mon cul, puis en sortir presque pour s’enfoncer à nouveau au plus profond et à chaque pistonnage il accélérait sa vitesse de pénétration.

La sensation était indescriptible, je frissonnais de plaisir extrême ; j’étais totalement sa pute, sa chienne, sa salope et j’aimais cela. C’était incroyable et je le regardais avec une admiration totale, presque amoureux, la bouche grande ouverte, je sentais même du pré-cum coller de ma bite encagée.

J’étais son pédé qu’il utilisait comme vide-couilles, me possédant totalement, me dominant complètement ; je n’étais qu’un objet pour lui, j’étais sa chose, mon cul ne servait qu’à lui donner un plaisir extrême.

Il a placé son pouce dans ma bouche, et je l'ai sucé comme un bébé suce le sein de sa mère et je le regardais avec amour et mes yeux le suppliaient. Il avait compris mon message, car il a commencé à me pilonner encore plus vite et à m’envoyer des gifles sur mon visage, mais aussi des claques sur le torse et j’ai senti qu'il se rapprochait de son point de non-retour et les sensations que je ressentais étaient très intenses, au point que ses gifles et ses claques m’enchantaient presque pendant que ses yeux transperçaient mon âme. Alors il s’est mis à gémir et m’a lancé :

— Je sens que je vais jouir, salope ! Je vais te faire renaître et je vais marquer ta chatte comme étant mienne !

Je voulais tellement avoir son sperme dans mon cul et il m'a baisé plus fort et plus vite, plus dur et plus profondément. J’étais comme tétanisé, ne pouvant penser, à peine respirer, et complètement rompu.

Il a finalement laissé échapper un rugissement viril et je sentais ces giclées tapisser mes entrailles.

Toutes ces sensations que je viens de vivre, et sans toucher ma bite encagée, j'ai commencé à juter comme si ma queue était libérée. Et je ne sais pourquoi, je me suis mis à pleurer quand tout mon jus s’est répandu sur mon torse. Était-ce de plaisir ou d’humiliation ; il faut dire que mon alpha ricanait et se moquait ouvertement de moi. Quant à sa queue, elle était encore toujours profondément en moi : il m’avait complètement vaincu physiquement ; mon corps lui appartenait. Il m’avait aussi totalement anéanti au plus profond de mon âme ; je n’étais plus rien si ce n’est sa chose.

C'était fini. J'étais à lui. Il était mon maitre, mon propriétaire, mon alpha et mon dieu.

J’ai récupéré lentement alors que sa bite commençait à dégonfler en moi. Il s’est retiré de mon trou et s’est levé et s’est étiré. À mon tour, je me suis levé en faisant gaffe que son nectar ne s’échappe pas de mon trou. Sans réfléchir, peut-être aussi par habitude, je me suis mis à genoux, je me suis prostré devant lui et j’ai embrassé ses pieds et j’ai dit :

Sans surprise, il m’a souri, mais apparemment content du niveau de soumission et d’adoration qu’il était parvenu à extirper de moi grâce à son incroyable queue. Les mains sur ses hanches il m’a fait lécher ses pieds et je l’ai encore et encore remercié et je lui ai déclaré mon amour et ma soumission éternels à sa queue d’alpha.

— Petit pédé, je sors ce soir ! Toi, tu te couches et tu essayes de te reposer, car il n’est pas impossible que je revienne pour t’utiliser… seul ou avec des amis.

Il s’est rhabillé, j’ai pris une douche et je me suis couché dans l’espoir que…

Au milieu de la nuit, quand il est rentré, il m’a réveillé en poussant ses doigts dans ma gorge, tout en ricanant et en regardant directement dans mes yeux. Je me sentais son esclave. Il m’a craché dans la bouche, me tenant toujours par ma mâchoire, et m’a traité de petite salope obéissante.

Tout nu, il s’est allongé sur mon lit sur le ventre exposant son cul et donnant accès à son trou. Il m’a attrapé par le cou et a enfoncé mon visage sur ses fesses m’ordonnant de lécher, d’adorer son trou, et j’ai obéi.

Ce n’est que lorsqu’il était bien dur qu’il a changé de position pour que je m’occupe de sa tige et quand elle était bien lubrifiée il m’a, cette fois, enculé à sec… et j’ai adoré.

C’en était fini pour ce vendredi soir… Dommage, mais c’est vrai que je devais être en forme ce samedi : il nous restait au moins encore deux matchs à jouer.

Cette fois, j’ai eu moins de chance ! J’étais le dernier arrivé et le premier match, je l’ai passé sur le banc à regarder mes copains jouer, par contre le coach ne m’a pas "puni" ce qui était un soulagement.

L’après-midi, nous avons joué une demi-finale que nous avons malheureusement perdue ! On ne jouera donc pas de match dimanche. Le coach était déçu et nous aussi, évidemment. Ceux qui le voulaient pouvaient faire une excursion, mais Roby avait tellement insisté à cause de tout ce que je lui avais raconté par bribes et morceaux pour qu’il puisse venir chez moi le dimanche matin jusqu’à notre départ : à 16 heures devant la gare !

Quand je suis rentré, le gars n’était pas à la maison et moi j’ai été prendre une douche bien chaude et bien longue. Je dois dire que j’étais déçu qu’il ne fût pas là. Une fois séché, je me suis étendu à poil sur mon lit et j’étais assez excité.

Si quelqu’un rentrait maintenant, il me prendrait pour un pervers, un animal désespéré, et je dois l’avouer que je l’étais. Et horreur, c’est exactement ce qui est arrivé. J’ai entendu la porte s'ouvrir lentement, et quelqu'un est entré tranquillement, et j'ai fait comme si j'étais endormi. Malgré tout, j’étais horrifié à l’idée que quelqu’un me voyait ainsi. La honte !

Je frissonnais involontairement alors qu'il s'approchait, se penchait et murmurait :

— T’inquiète, salope. Ton maitre m'a dit de venir ici et toi, tu as intérêt à me suivre, esclave !

Sans réfléchir ni questionner, tellement reconnaissant que mon alpha envoie un autre alpha pour me prendre en charge, mais quand même nerveux de ce qu’il allait me réserver. Il m’a attrapé par le cou et tout courbé et nu, il m’a emmené par des couloirs étroits, m’a fait traverser une ruelle très étroite - j’étais mortifié de peur que quelqu’un me voie - et on s’est retrouvé dans une autre pièce bien plus grande qu’une chambre ; ce devait être un salon ou une salle de jeu !

Nous n’étions que deux, heureusement ! Il m'a poussé à genoux, je l'ai regardé. Il était bien construit et avait l’air bien plus sévère que mon alpha.

— Je suis Éric, l’ami de ton maitre. Il m'a fait savoir qu'il avait une jeune petite salope dans son lit et il m’a invité à l’aider à la défoncer. Il m’a fait voir une petite vidéo avec ton visage de pédé enfoui dans son cul !

Je ne m’étais même pas rendu compte que mon alpha m’avait filmé !

J’ai obéi et j’ai baissé son jeans découvrant son slip avec un renflement important à l’avant. Il m’emballait vraiment !

— Maintenant, salope, adore ma bite au travers de mon calbar ! Montre-moi à quel point tu es salope, montre-moi ce que ton maitre t’a appris !

Son renflement était si attrayant que je me suis penché en avant et j’ai commencé à lécher, à mordiller, son renflement et gémissant, voyant la croissance que s’offrait son mandrin. J’ai enfoui mon visage dedans et j’ai reniflé profondément son parfum viril et unique qui flottait déjà sur moi comme une drogue.

Sa queue a atteint une taille ravissante, vraiment bombée, que je ne sentais qu’au travers de ce tissu, mais je pouvais déjà sentir sa chaleur et presque la goûter.

J'étais désespéré que le tissu de son calbar me sépare de sa bite géante de mec alpha ! Finalement, il m’a fait descendre lentement son slip, mais cela me semblait prendre une éternité pour que je découvre son paquet, mais surtout sa queue. Et puis elle est apparue, non, elle a jailli, me giflant le visage comme une sorte de vengeance !

Merde alors ! Que c’était grand, épais et long ! Peut-être un peu moindre que celle de papa et de mon alpha, mais j’écarquillais les yeux et ma bouche s’était déjà ouverte comme si elle avait reçu un choc érotique !

— Wow, tu es vraiment une chienne à bites ! Fais plutôt connaissance avec la mienne en utilisant tes mains. Prends une vraie bite de mec en main.

Il m’a regardé fièrement en foutant son mammouth d’engin sous le nez et il a ajouté :

— Tu joueras avec la mienne, puisque la tienne est dans sa prison et donc tôt ou tard tu m’offriras ton petit cul de salope !

Alors, sans attendre, j’ai enroulé ma main autour de sa queue, chaude, palpitante et pleine d’énergie. Elle a durci pendant que je la caressais et sa longueur est devenue tellement immense que j’en bavais et que mes yeux étaient fixés sur ce mandrin qui se dirigeait inexorablement vers moi.

J’ai à peine dû me pencher pour la prendre dans ma gueule de pute, mais le mec m’a giflé avec sa bite et quand je penchais à nouveau pour la reprendre comme un chien le ferait, il riait, s’amusait et faisait virevolter sa queue devant moi et j’essayais désespérément de l’attraper.

Il me laissait quelques secondes simplement pour pouvoir y déposer mes lèvres ; il en faisait un jeu :

— Aller, petite salope de pédé, essaye de la prendre ! Sans tes mains bien sûr !

Mais bien vite de lui-même il me l’a fourrée en bouche, plus exactement au fond de ma gorge, et je l’ai laissé descendre en moi, trop co
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