Souviens-toi de moi salope

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  Accueil » Comment mes amis on fait de moi Julie une salope ma deuxième journée
Ceci est une histoire vraie, je suis Julie j’ai presque 19 ans et lors d’une soirée beaucoup trop arrosée, mes amis vont faire de moi une salope, à travers divers jeux de plus en plus coquins et obscènes, voici la suite du premier jour.
Je me réveille, je suis toujours nue sur le lit de la chambre de Célia et Julien, j’ai mal à la tête et je me lève difficilement. Je me souviens de tout, j’appréhende un peu de me lever, je repense à tout ce que j’avais fait la veille. J’allais plus jamais être la même à leur yeux, j’allais être leur jouet, leur traînée, mais bizarrement j’adorais cette idée.
Après un rapide coup d’œil, et une recherche un peu plus approfondie dans la chambre, mes vêtements ont disparus. Je m’enroule dans le drap et sort de la chambre, la maison est vide, il est 13h30 sur l’horloge du micro-onde, j’entends mes amis parler et rire dehors, je m’approche de l’entrée, je les aperçois sur le salon de jardin à enfiler des bières en mangeant quelques merguez cuite au barbecue. Je les interpelles en demandant ou sont mes fringues, Célia réagi :
– Quoi ?
– Tu ne dis pas bonjour ?
Moi pas très fraîche :
– J’ai mal au crâne….
– Ou sont mes vêtements ?
Jean dit en me regardant avec un sourire en coin :
– Tu n’as pas a t’inquiéter pour ça pour l’instant, viens t’asseoir !
Je m’approche de la table enroulée dans mon drap, Jean me tend une chaise. Assise, je suis l’objet de tous les regards, un verre d’eau m’est tendu avec un Doliprane, puis une bière avec un petit bout de papier tendu par Célia qui me dit :
– Tiens Pamela, tu n’avais pas oubliée que tu nous doit à tous un gage a réaliser avant le week-end prochain, voici le mien !
– Je bois mon verre d’eau en avalant le cachet, prends ce petit bout de papier, je l’ouvre , je le lis sans rien dire, puis le referme. Le silence règne, tous me dévisagent, avec un léger sourire aux lèvres pour la plupart. Je saisi ma bière, la rapproche de ma bouche, mon regard croise un part un les paires d’yeux brillants braqués sur moi, d’un petit signe de tête par lequel je voulais sûrement exprimer par un « à la votre » car aucun mots n’est sorti, je bois une première gorgée difficilement , je vais pour la reposer avant de croisé le regard de Jean qui prends la parole :
– Tu as était parfaite hier ma Juju, continue, finis ta bière !
Encore une fois je suis bloquée, je m’exécute, et d’un trait, tant bien que mal je finis ma bière, je la repose d’un coup sec sur la table, je me lève, puis laisse tomber délicatement le draps en offrant une nouvelles fois la vue de mon corps nu. Mick et Arnaud crient en cœur :
– Bravo Julie !
Applaudissements de toute l’équipe, Célia ajoute :
– Tu as bien lu et compris ton gage Juju?
– A chaque fois que tu viendras à la maison, tu devras être nue, les seules fois ou tu le seras pas, sa dépendra des personnes présentes, je te le dirais avant que tu viennes, si je ne te dis rien, tu dois te déshabiller complètement avant de franchir la porte d’entrée !
Un petit sourire au lèvre, avec un petit signe de tête voulant dire oui, je m’apprête à répondre, quand je suis coupé par un gigantesque rot, que je n’ai pas senti venir et surtout pas su contrôler. Éclats de rire de tous, y compris moi, qui me lève pour attraper une nouvelle bière. Il faut dire, que comme beaucoup étant jeune, ont prenaient souvent des murges comme ont dit vers chez moi, et la je sentais que malgré l’excitation montante, et mon mal de tête disparu, j’avais tout de même besoin de courage.
Je bois une gorgée, je sens que ça commence déjà à me taquiner, quand Benjamin se rapproche de moi :
– C’est bien que tu ais fait ton rot ma salope, j’ai une revanche a prendre.
Un nouveau bout de papier m’est tendu par ce dernier, je l’ouvre, je jette un rapide coup d’œil, je me lève en le regardant droit dans les yeux, je monte sur la table, Julien lui comme hier, continue à me prendre en photo. Je déplie à nouveau le papier froissé dans ma main, puis je le lis a voix haute :
– Pour présenter ton gage a tous, tu devras le lire à voix haute, nue, debout sur la table…
Benjamin me regarde et dit en rigolant nerveusement :
– Tu devais pas le lire ça, cette partie là, c’est la suite que tu dois lire… Ahah !
Moi un peu surprise et embêté :
– Ah oui, ok, euuuuuuhhh, bon !
Prenant ma respiration de façon bruyante, dévoilant ainsi mon stress quand a ce que je m’apprête à lire, je me lance :
– Salope, hier, ton refus de manger ma semence m’a vexé, Salope, allongée le dos sur la table tu seras, la tête dans le vide et en arrière, les jambes fermement maintenues et au niveau des épaules, ainsi, Salope, dans cette position, une bonne pipe tu me feras jusqu’à ma jouissance…
Un rire nerveux sort de la bouche de Célia :
– Apparemment tous le monde aime t’appeler Salope, ahaha !
Moi un peu énervée :
– Julien arrête un peu les photos s’il te plais, ça je n’aime pas trop !
Julien :
– Mais t’inquiète p….
Jean le laissant à peine finir :
– Crois tu, très chère Julie, que Benjamin qui vas te prendre la bouche est envie que ces photos tournent ?
– Non, comme aucun d’entre nous d ‘ailleurs, pas plus qu’Arnaud qui lui aussi à posé à poil hier, quand tu t’étais enfuis de la piscine !
– Tout ça , c’est entre nous, je pensais que tu l’avais compris et que tu t’arrêterais pas à ça !
Moi ne sachant plus trop quoi répondre à Jean qui s’impatiente avec un petit sourire :
– D’accord…..
Arnaud avec l’aide de Célia et Mick ont déjà fait de la place sur la table, Benjamin lui a déjà retiré le bas, et son sexe est légèrement gonflé, je m’assois, puis m’allonge tout en me reculant pour laisser tomber ma tête dans le vide et ainsi offrir ma bouche. On m’attrape les deux jambes au niveau des chevilles, et on me rapprochent de cette façon les genoux vers mes épaules, dans cette position mes fesses sont relevées du sol et toute mon intimité bien que très poilue est offerte à la vue de tous, je peux plus bouger tellement la pression sur mes jambes est forte, a croire qu’ils ont peur que je me sauve. Pourtant c’est bien le contraire, être ainsi exposée me fait bouillir, et mon sexe commence à s’humidifier, c’est ce qu’à du remarquer Jean, car avant même que je puisse commencer, ces doigts se baladaient délicatement, tendrement sur mon petit bouton, entre mes lèvres, en saisissant une lèvre de temps en temps, entre deux caresses, pour légèrement tirer dessus.
Benjamin rapproche son sexe de mon visage, cette fois il bande bien dur, il frotte son gland contre mon visage avant de l’approcher de mes lèvres, puis d’appuyer légèrement dessus pour me faire ouvrier la bouche, ce que je fais rapidement, je le suce délicatement, au rythme des caresses de Jean, mon regard se perd. Je surprend tout le petit groupe en retrait de deux trois mètres à peine, avec Julien toujours à photographier, il n’y a plus que Benjamin qui me maintien les jambes sur mes épaules, pendant que je m’exerce a lui faire une superbe pipe, en ressortant son sexe de temps à autres pour que je le lèche. Je m’aventure en penchant un peu plus la tête près de ses boules, ma langue sorti tourne sur ces bourses pour remonter délicatement au sommet de son sexe et le reprendre en bouche, jusqu’à ce que Jean le deuxième présent avec nous autour de cette table, commence à me pénétrer à l’aide de ces doigts, de plus en plus vite, de plus en plus fort, ma fellation prends instinctivement la même tournure, je ne lèche plus, je suce à pleine bouche. Benjamin pratique de grand vas et viens, je galère carrément, je n’avais jamais sucé si profond, je suis à la limite de jouir, Jean s’arrête pile poil à ce moment, et il se rapproche de moi, Benjamin lui viens d’arrêter ses aller retour, mais son sexe est toujours bien encré dans ma bouche, Jean me dit :
– Juju petite salope tu veux jouir ?
J’essaye de lui dire oui avec mes yeux, je le supplie du regard de continuer, pourquoi tout s’arrête si proche d’un splendide orgasme prodigué par des mains expertes, Jean à nouveau :
– Ma petite Julie, tu es une bonne salope, on est bien d’accord, mais si tu veux jouir, il faut me répondre !
Sa main c’est posée à nouveau sur mon corps bouillant, il effleure mon sexe trempée, Jean d’un ton pressant :
– Alors, tu veux jouir ?
Moi essayant de répondre avec le phallus de Benjamin en bouche, que je devine par son ricanement très satisfait :
– Grhhheuuuuuiiiiiiiii…
Jean très autoritaire :
– C’est oui, salope ?
Moi :
– Iiiiiii…
Jean toujours autoritaire :
– Dit oui je le veux !
Alors que j’entends tous le monde rigoler, je m’efforce de lui obéir pour qu’il reprenne sa place sur mon sexe brûlant, Jean à nouveau :
– Vas y Benji baise lui la bouche !
– Et toi, réponds pute, tu veut jouir ?
Je perds le contrôle quand il enfonce ces doigts en moi, j’hurle avec Benjamin qui continue de puissants vas et viens, quand Jean lui dit :
– Attend arrête !
– Ça va Juju ?
Ces doigts toujours en moi étaient immobiles, moi surprise que tout s’arrête, je répond essoufflé, mais avec envie :
– Oui je veux jouir !
Je laisse tomber ma tête en arrière, puis j’ouvre ma bouche pour reprendre goulûment ce sexe tendu devant. Jean sûrement motivé par cette réponse claire, me demande de le lui répéter, alors que Benjamin commence à reprendre de la vitesse, une nouvelle fois je gargouille des mots incompréhensibles, alors que dans ma tête cela résonne très clair :
– Oui je veux jouir, oui je veux jouir, oui je veux jouir !
Jean se rapproche de mon visage en me présentant un pot de moutarde, non je rêve pas , alors que Benjamin continue a me limer la bouche, il est bien plus performant qu’hier. Je vois Jean ouvrir et tremper complètement deux doigts dans le pot, il s’amuse a passer ses doigts près de mes yeux pour que je vois et comprenne bien ce qui vas m’arriver, mais je peux rien faire, je veux rien faire, si j’ai hurlé tout à l’heure c’était pour dire que je voulais jouir, je voulais pas une nouvelle fois tout stopper, Jean avec un air un peu sadique :
– Tu vas jouir comme jamais petite traînée !
Il pose ses doigts sur mon sexe déjà bouillant, je sens cette crème, s’étaler sur mon sexe, me pénétrer, il se passe rien, enfin les dix premières secondes, puis ça commence à chauffer, de plus en plus fort et très vite, en quatre à cinq secondes maximum, c’est devenue brûlant, j’ai la chatte en feu, et jean me masturbe de plus en plus fort. J’essaye de bouger, je suis littéralement entrain de devenir folle, je gueule tant que je peux jusqu’à atteindre un orgasme de folie, alors que je peux à peine remuer.
Quelques secondes après, Benjamin très excité aussi, jouit dans ma bouche tout en continuant les vas et viens, je m’étouffe à moitié avec son sperme, et quand il se retire, je tousse, et pratiquement tout le foutre que j’ai en bouche coule, et la tête en bas il se dirige vers et dans une narine, puis le long de ma joue jusque sur le front. Benjamin me maintien toujours les jambes, je respire la bouche ouverte, et d’après Julien qui c’est rapproché pour mieux me photographier, j’ai un filet de sperme qui relie mes deux lèvres en s’étirant au rythme de ma respiration sans jamais ce casser. Je me redresse, le sperme , et il y en a une grosse quantité, fait le chemin inverse, et coule de mon front jusqu’à mon menton, en coulant le long de mon visage pour qu’une partie finisse sur ma menue poitrine, je le laisse faire, je regarde ma chatte brûlante, toute jaune, toute barbouillée jusqu’à la pointe des poils de moutarde.
Aidée par Célia, applaudi par tous, je marche d’un pas décidé jusqu’à la piscine pour éteindre ce feu plongé au plus profond de mon orifice. Après avoir nettoyé au mieux tout ça, je fait deux ou trois brasses pour me détendre, puis je retourne à table dans la même tenue sans même m’essuyer, il faut dire qu’il fait très beau et chaud.
Je fini ma bière, et l’appétit ouvert par tant d’émotion, je prends le pain et une merguez, Jean me tant le pot de moutarde :
– Tiens tu as l’aire d’aimer ça !
Très sérieuse pendant trois secondes, je ne peux me retenir plus longtemps de pouffer de rire. Le repas continue normalement ou presque, jusqu’à l’arrivé de Cindy et Sulli, le voisin Gérard a du entendre leur voiture, car il arrive en même temps et viens en premier me saluer, je rapproche ma joue de la sienne, au dernier moment il détourne la tête pour me passer un grand coup de langue sur les lèvres, je rigole nerveusement et lui dit bonjour, alors qu’il attrape fermement mon petit sein, Arnaud se lève et pose sa main sur l’épaule de Gérard.
– C’est bon l’ami Gégé, hier tu as eu ton gage, la elle en a pas, donc tranquille !
Célia enchaîne par une petite blague pour faire rire un peu le groupe, et ça marche. L’atmosphère c’est vite apaisée, et Gérard a continué de faire le tour pour dire bonjour à tout le monde. C’est maintenant Cindy et sulli qui viennent me bicher, Célia et Mick se font un plaisir de résumer ce qui c’est passé, en expliquant ainsi ma tenue d’Eve.
Il est bientôt 16h et je m’apprête à partir quand Sulli vient me donner un bout de papier.
Je l’ouvre et commence à le lire quand Mick me rappel qu’il serait bien de faire ça a voix haute.
– Salope vas t’empaler sur l’attelage de ma voiture, tu dois jouir !
Je m’approche de la Renault 21 de Sulli, c’est énorme une boule d’attelage. Je me demande comment je vais y arriver, quand Jean, toujours lui, me dit et il a pas tord, que j’ai besoin d’être préparée. J’accepte sans broncher, alors qu’il traverse le jardin pour aller jusqu’à la maison, j’avoue avoir une montée d’adrénaline quand je le vois passer prêt du salon de jardin ou trône encore le pot de moutarde. Il ressort de la cuisine par la porte fenêtre, puis reviens en notre direction avec une plaquette de margarine, Jean en prenant une grosse poignée de margarine :
– Qu’est ce qu’il faut pas faire pour aider notre petite salope, va y écartes les cuisses que je te tartine !
Je m’exécute sans dire un mot, déjà très excitée, Mick ajoute :
– Elle va être cuisinée à toute les sauces !
Arnaud ajoute :
– Carrément !
Benjamin tout fier :
– Moi je l’ai cuisinée à la sauce blanche, c’est divin !
Cindy et Sulli :
-Oui on a raté ça nous !
Jean :
– Vous inquiétez pas, vous aller me voir la farcir !
Célia :
– Une dinde farcie hihi !
Benjamin :
-Pense à la dépoiler !
Moi :
– J’ai rendez-vous a l’esthéticienne mardi soir !
Cindy :
-Heuuuu, attends Juju, il y a mon gage aussi, je te donnerais ton billet , t’inquiètes pas, il faut juste que je le peaufine, disons rendez-vous demain soir à 18h après le taf !
Célia :
– Ah oui, mais rendez-vous ici !
Sulli :
– Oui c’est le plus simple !
Moi, alors que Jean a commencé a m’étaler la margarine dans ma chatte, ce qui ne me laisse pas indifférente :
– Ok, hummm, ok !
Jean a déjà commencé à me masturber énergiquement avec deux doigts, ce qui laissent échapper de ma bouche des petits soupires. Quand il se retire, je suis vraiment dans une position inconfortable les cuisses écartées, debout, et il s’en rend compte, car il me dit :
– Tournes toi ma petite salope, je voudrais pas que tu es mal aux cuisses, je veux juste t’ouvrir ta petite chatte !
Je me retourne, j’écarte les jambes au maximum, comme demandé par Jean, puis d’une pression ferme sur le dos il me fait pencher en avant. Mon sexe ainsi offert, Jean reprend le travail sans prévenir, et la c’est bien plus que deux doigts qu’il met, ce qui me fait me relever et m’enlever en râlant.
Jean bougon :
– Bon écoutes, débrouilles toi toute seule si tu veux pas de mon aide !
Moi :
– Mais je….
Jean :
– Non non, c’est trop tard !
Je me sens bête d’avoir vexé Jean.
Suli :
– Bon allez, en position, perdons pas de temps !
Je me retourne face à mes amis et dos à la voiture, je m’accroupis en descendant doucement jusqu’à ce que mon sexe touche cette boule bouillante.
Moi en me relevant légèrement :
– Putain c’est bouillant avec le soleil !
Cindy :
– Ça va faire fondre le beurre de ta chatte, Ahahah !
Arnaud :
– Ça peut pas être plus chaud que toi !
Mick :
– Tu l’as dit !
Célia s’approche de moi avec sa canette de bière, en verse un peu sur l’attelage avant de me la tendre :
– Tiens fini la, et baise cette foutu bagnole !
Je prend une grande gorgée pour finir d’un trait le reste de la canette, un peu de bière coule de ma bouche à mon menton. Je rend la canette, et me rapproche une nouvelle fois de cet attelage, la boule est chaude mais plus bouillante, je descend dessus et essaye de l’enfoncer, sa bloque, à ce moment je sens la main de Célia se poser sur mon épaule, Mick fait pareil de l’autre côté, et ils appuient fermement , la boule pénètre d’un coup mon vagin bouillant et beurré. La pénétration est douloureuse et soudaine, je suis là, assise sur cette boule de fer, avec mes amis qui m’encourage sauf Sulli qui proteste :
– Mon gage disait d’être empalée, tu n’es pas empalée là !
Mick :
– Cindy mon cœur tu m’aides ?
Cindy enthousiaste :
– Avec plaisir !
Une nouvelle fois mes chevilles sont attrapées fermement par ce jeune couple vicieux, mes jambes sont tendues et écartées au maximum, pour que personne ne rate rien du spectacle, je m’accroche comme je peux au par-choc de cette vielle bagnole à moitié rouillée , cette fois je suis littéralement empalée. Célia et Mick de chaque côté de moi ont maintenant leur mains sous chacune de mes aisselles, ils me lèvent, puis me reposent en me lâchant, il ne faut pas longtemps pour que j’atteigne une nouvelle fois l’orgasme, quel week-end !
Moi :
– Il est presque 18h, il faut que je rentre me reposer, car demain il y a les cours !
Célia :
– Ah oui c’est vrai c’est la semaine, tu vas pas vendre tes meubles pourris alors ahahah !
Arnaud :
– Non elle vas pas vendre, elle vas apprendre a les vendre !
Moi :
– Et oui c’est ça l’alternance !
Arnaud :
– Tiens Juju, Euhh Salope, voilà mon gage, pense à le lire à voie haute !
Moi :
– Comme une pute, tu devras rentrer chez toi, laisse Cindy et Célia te maquiller, tes vêtements sont dans la salle de bain !
Ils ne sont pas sans savoir que ma voiture est garée dans un parking souterrain, à un petit kilomètre de mon appartement en plein centre ville. Je me dirige vers la salle de bain, là je vois Célia et Cindy qui m’attentent déjà avec le maquillage, on me fait asseoir et après un c
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