Silvia Saige se tape le chibre de son voisin et boit son foutre
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Silvia Saige se tape le chibre de son voisin et boit son foutre
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L'un était trop bruyant, l'autre trop colérique. Résultat : le premier est décédé, le second est en garde à vue. Vendredi soir, un banal conflit de voisinage a pris un tour dramatique à Martigues dans les Bouches-du-Rhône. Un homme a tué son voisin de 28 ans avec un sabre japonais lors d'une dispute. Juste après avoir porté le coup fatal, l'auteur, âgé de 30 ans, a prevenu la police et immédiatement reconnu les faits, selon la Provence.
Après un échange d'insultes à la fenêtre, la tension est monté d'un cran entre les deux hommes vers 21 heures. La victime, connue dans les résidence des Gardians pour plusieurs différends avec les habitants et des disputes avec sa compagne, décide de monter s'expliquer avec son voisin colérique, qui l'attend avec un sabre. En s'approchant, le voisin se serait «embroché» sur l'arme, selon une source proche de l'enquête. Les secours, aussitôt alertés, n'ont pas réussi à ranimer la victime.
Toujours en garde à vue, le meurtrier présumé devrait être transféré lundi au parquet d'Aix-en-Provence. Une information judiciaire est ouverte. Les enquêteurs vont désormais tenter de savoir s'il avait l'intention de tuer son voisin.
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UNE SOIRÃ?E arrosée, une petite phrase
et la soirée a tourné au carnage. Hier après-midi, Jean-François, 34 ans, était présenté devant
le tribunal de Melun pour avoir tabassé sa concubine et son voisin et saccagé l'appartement
de ce dernier. Il a été condamné à 18 mois de prison, dont 10 avec sursis.
a débuté par un appel désespéré à la police, vendredi dernier, à 5 h 45 : « Venez vite, je crois
que mon compagnon a tué quelqu'un ! » Sur place, à Savigny, les policiers n'en croient pas leurs
yeux : des traces de sang partout, un appartement saccagé, des meubles détruits. Ils se retrouvent
face à une femme qui leur dit : « Allez voir à côté, le voisin est peut-être mort ! » Le président
du tribunal raconte la scène. « La police a découvert un homme allongé sur un lit dans un bain
de sang. Les deux personnes ont été conduites à l'hôpital de Melun. »
cette nuit-là ? Jean-François, 34 ans, vit en concubinage avec sa compagne depuis trois ans.
Il est peintre dans une entreprise de Melun mais a un fort penchant pour la bouteille. Ce soir-là,
de vin sont consommés. Soudain, le voisin a une phrase malheureuse. Jean-François soupçonne
une relation entre sa concubine et lui. « J'étais très jaloux. J'ai
devant le président. Et là, Jean-François se transforme en bête sauvage. Il dévaste l'appartement.
« D'après les photos prises par la police, il n'y avait plus un meuble debout », souligne le
président. « Mais cela ne vous a pas suffi. Vous vous êtes emparé d'un pied de table en bois
et vous avez frappé violemment votre compagne et le voisin sur le corps et à la figure. » Le
procureur parle « de scènes de sauvagerie. On aurait pu penser à une scène se déroulant dans
un milieu misérable. Mais pas du tout. Il s'agit là de violence gratuite et aveugle, notamment
due à l'alcool. La jalousie ne peut-être un prétexte acceptable. Il y avait un risque de tuer
ces deux personnes. » L'avocat de la défense a beau plaider les regrets de son client et son
désir de réparer, le tribunal l'a fait conduire en prison.
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