Ses doigts s'occupent de son clitoris

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Ses doigts s'occupent de son clitoris
© Copyright 2022 St. Joseph Communications.
12 techniques infaillibles pour atteindre l’orgasme en se masturbant

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Photo: Pixabay


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On a beau avoir nos préférences, il n’existe pas qu’une seule technique pour atteindre l’orgasme en se masturbant. Le site OMGYes (prononcer Oh my God Yes) en propose 12. Certaines, étonnantes.
Mouvement circulaire autour du clitoris. Avec les mille variations possibles. Plus ou moins de circonférence (le clitoris n’étant que la pointe de l’iceberg d’un réseau nerveux beaucoup plus large). Ici, chaque millimètre fait une différence.
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Petit guide de la masturbation pour se faire plaisir


Après la lecture de ce sujet, vous saurez tout sur la masturbation. Et vous saurez aussi comment vous faire grandement plaisir. Parce que se masturber est plus que normal, suivez le guide !
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La masturbation, c’est la stimulation manuelle et solitaire des organes sexuels (pénis pour les garçons et clitoris et vagin pour les filles), dans le but de provoquer une excitation et éventuellement un orgasme. Cette pratique sexuelle existe depuis que l’humain est sur Terre. Se masturber est normal et naturel . Tout le monde ou presque s’est déjà masturbé ou se masturbe encore, jeune ou moins jeune, avec plus ou moins de fréquence.
Un petit point avant d’aller plus loin : non, la masturbation ne rend pas malade , ni obsédé, ni stérile, ni impuissant, ni sourd…et oui, même s’il est encore plus courant et facile pour les garçons de parler de ce sujet, les filles sont toutes aussi concernées… et actives !
Quand on débute sa puberté, le corps se transforme. Les organes sexuels (pénis ou vulve) se développent et la production d’hormones sexuelles (testostérone chez les garçons et estrogènes chez les filles) s’accélère. Sous l’influence de ces hormones, notre cerveau est stimulé plus ou moins en permanence par une excitation latente, que l’on qualifie de désir sexuel . Dans l’attente d’une certaine maturité sexuelle (physique et psychologique) et afin de réguler cette montée du désir, les garçons et les filles peuvent avoir recours une stimulation manuelle de leurs organes génitaux, appelée masturbation, plus pudiquement nommée « caresse », ou plus populairement « branlette » (quelle poésie).
Filles et garçons se masturbent tout simplement pour se faire plaisir. La masturbation fait du bien, elle apaise, elle détend … Elle aide aussi à dormir. Se masturber, c’est s’accorder un moment de bien-être !
Une autre vocation de la masturbation est celle de l’apprentissage et de la découverte de son corps . Les transformations physiques qui interviennent au cours de la puberté sont de grandes interrogations de la part des filles et des garçons qui n’ont pas été préparés à cela. Partir à l’exploration des organes et de leur fonctionnement joue un rôle très important à la préparation de la sexualité.
Les garçons utilisent parfois la masturbation, comme d’un régulateur mécanique de leur éjaculation. En effet, en se masturbant peu avant un rapport sexuel (une à deux heures avant), ils réduisent leur « potentiel d’excitation ». Ils retardent ainsi le moment de leur éjaculation , pour être capable de faire durer le plaisir de leur partenaire. Et les filles aussi font ça. Un orgasme solo avant un rapport sexuel retarde le prochain… (orgasme, pas rapport).
Il n’y a aucune règle pour commencer à se masturber. D’ailleurs, dans le ventre de sa mère, le fœtus semble véritablement s’adonner à des attouchements des organes sexuels , cette pratique paraissant se poursuivre durant toute l’enfance avec le tripotage du zizi par les petits garçons ou de la zézette par la fillette. Des études démontrent que l’âge des premières masturbations coïnciderait avec le démarrage de la puberté, vers 12 ans ; mais que le pic de masturbation interviendrait entre 13 et 16 ans… La masturbation subit des rythmes différents selon l’âge et la vie sexuelle des individus ; d’une fois par an à plusieurs fois par jour, le rythme semblant décliner avec la vie en couple et l’âge.
La masturbation n’est pas systématiquement une pratique solitaire destinée aux « célibataires ». Certes, l’absence de partenaire est souvent propice à la pratique de la masturbation . Mais il arrive souvent que des partenaires réguliers aient recours à cette pratique, pour évacuer un trop plein d’excitation sexuelle entre deux relations (éloignement géographique, rythme et besoins différents des deux partenaires,…) ou simplement pour le plaisir de se faire plaisir . Si vous surprenez votre partenaire en train de se masturber, pas de panique ; cela ne signifie pas que vous ne le satisfaites pas sexuellement ou qu’il ou elle ne vous désire plus.
La masturbation peut également faire partie de la sexualité de couple. Masturber son partenaire ou se masturber devant lui fait aussi partie des jeux érotiques et des préliminaires. Se donner du plaisir sous son regard accroît bien souvent la complicité et excite l’autre qui en plus de ça découvre les gestes que vous aimez.
Il n’y a aucune règle en la matière. Chacun se masturbe à sa guise. En général, on choisit un lieu calme où personne ne viendra nous déranger : lit, douche… Et on part à la recherche des zones les plus sensibles de notre corps : cuisses, seins, vulve, pour les filles et pénis pour les garçons qui ont souvent moins besoin de préliminaires.
La masturbation s’accompagne généralement de pensées érotiques, d’images virtuelles ou réelles associées à des personnes connues ou… pas. Les filles se concentrent plus souvent sur le clitoris , en posant leurs doigts dessus et en faisant des petits mouvements circulaires. Elles jouent aussi avec l’entrée de leur vagin et l’intérieur ; elles peuvent s’introduire un doigt ou un sextoy fait pour ! Les garçons placent leurs mains autour de leur sexe en érection et le caresse dans un mouvement de va-et-vient plus ou moins rapide. Ils stimulent également leurs testicules, zones érogènes.
Pour toujours plus de plaisir, vous pouvez vous amuser à changer de position (pourquoi toujours se masturber allongé ?). Vous pouvez avoir recours à des sextoys (et ça existe pour les hommes ; des sextoys qui simulent un vagin…), utiliser un lubrifiant (à base d’eau de préférence) pour davantage vous exciter.
La masturbation ne traduit aucun comportement pathologique, quelle que soit la fréquence de cette pratique. Ce qui peut poser problème est davantage l’impact d’une masturbation excessive sur la relation avec son partenaire. En effet, la masturbation est légitime et épanouissante quand elle contribue à l’équilibre sexuel d’un homme ou d’une femme. Elle ne doit être « surveillée » qu’à partir du moment où elle joue un rôle soit addictif (quand on ne peut plus s’en passer) ou qu’elle éloigne de son partenaire (lorsqu’on préfère la masturbation aux rapports sexuels « classiques »).
Si vous avez la sensation que c’est votre cas, il devient important pour votre équilibre et votre avenir affectif d’en parler avec un sexologue, afin qu’il vous aide à mieux comprendre les enjeux de ce comportement et qu’il vous accompagne dans le rééquilibrage de vos pratiques.
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Savon, sextoy, poire à lavement, pommade, lingettes… Il y a des produits et objets à ne surtout pas introduire dans le vagin, sous peine sinon de se faire mal et/ou de déséquilibrer la flore. Avec à la clé : irritations, mycoses... et bien d'autres problèmes ! Lesquels ? Comment bien se laver les parties intimes ? A quelle fréquence ? Medisite a posé ces questions au docteur Odile Bagot, gynécologue.
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Publié par Laurène Levy , le 11/01/2018 à 15:05
Cet article est validé par Dr Odile Bagot - Gynécologue
Faut-il ou non se laver le vagin ? "Le vagin est autonettoyant , ce qui signifie avant tout que le vagin n’est pas sale" rappelle le docteur Odile Bagot, gynécologue. Et, dans cette région du corps, tout est question d’équilibre : à la fois en ce qui concerne les micro-organismes qui l’occupent (la flore vaginale aussi appelée microbiote vaginal ) et le pH, une mesure qui renseigne sur son acidité. Un lavage interne risque de casser cet équilibre.
Pourquoi ? "La flore vaginale regroupe l’ensemble des germes naturellement présents dans le vagin. Plus de 90% de ces germes sont des bactéries du genre Lactobacille, qui permettent au vagin de s’humidifier grâce à la production de petites sécrétions transparentes et blanchâtres", précise le docteur Bagot. "De plus, les lactobacilles sécrètent de l’acide lactique qui régule le pH du vagin et le stabilise à une valeur acide de 4,2." Or l’eau, comme les antibiotiques, détruit les lactobacilles.
Comment faire sa toilette intime quotidienne ? "Lors de la toilette, il faut bien différencier le vagin, la vulve et le vestibule, la partie de la vulve située entre les petites lèvres qui comprend l’entrée du vagin" détaille la gynécologue. Selon elle, la règle d’or est de ne pas toucher à l’intérieur du vagin : "La toilette quotidienne doit être externe uniquement et réalisée avec un savon gynécologique testé dermatologiquement ou un savon au pH proche de celui du vagin", préconise le médecin.
Bon à savoir : "Quand le pH du vagin est maintenu à 4,2, les germes qui pourraient éventuellement donner une infection (streptocoque, Candida albicans …) ne représentent que 10% du microbiote vaginal. Ils restent alors en dessous du seuil infectieux", rassure la gynécologue.
Attention : "Pensez à bien lire la composition du savon gynécologique que vous achetez pour éviter au maximum l’exposition aux perturbateurs endocriniens tels que les parabènes : la muqueuse est en effet très fine au niveau du vestibule, et absorbe tous les produits de toilette", met en garde le docteur Bagot.
Une tendance qui fait parler d’elle sur internet consiste à introduire du yaourt dans son vagin, sous prétexte que cet aliment contient lui aussi des bactéries du genre Lactobacille. "Les bactéries du yaourt sont certes du même genre que celles du vagin, mais elles ne sont pas forcément de la même espèce" avertit Odile Bagot. "De plus, le pH du yaourt n’est pas aussi acide que celui du vagin et cette pratique risque donc de déséquilibrer le pH intime naturel" ajoute la gynécologue.
Comment faire ? Si vous ne souffrez pas de problème de mycose ou de vaginose , inutile de toucher au vagin. Réalisez simplement une toilette quotidienne externe au savon gynécologique. En revanche, si vous rencontrez un problème d’infection ou de démangeaison, évitez l'automédication et consultez un médecin ou une sage-femme qui, si nécessaire, réalisera un prélèvement local pour obtenir un diagnostic précis. "Des analyses en laboratoire permettront alors d’évaluer s’il s’agit d’un champignon (mycose) ou d’une bactérie comme le streptocoque ou la gardnerella et le médecin vous prescrira un traitement adapté", conseille le docteur Bagot.
Si vous êtes sujette aux mycoses ou aux vaginoses à répétition , le médecin pourra vous proposer une cure de probiotiques pour entretenir votre flore vaginale. En pratique, il s’agit de gélules de probiotiques à prendre par voie orale pendant au moins 30 jours : "les lactobacilles que ces gélules contiennent vont alors coloniser la flore vaginale. Cette cure, qui coûte entre 25 et 30 euros, est souvent utile à la ménopause. En effet, à cette période, la femme fabrique moins d’œstrogène, une hormone féminine indispensable à la survie des lactobacilles. Le vagin d’une femme ménopausée est alors moins riche en lactobacilles et donc plus sec." développe Odile Bagot.
Les lactobacilles existent aussi en ovules ou gélules vaginales pour une application locale, une solution généralement moins coûteuse que les traitements par voie orale.
Vous êtes tentée par la douche vaginale au vinaigre de cidre ? Mauvaise idée, cette pratique risque fort de déséquilibrer votre flore vaginale et d’ouvrir la voie aux infections.
Pourquoi ? "Ce n’est pas parce qu’il est acide que le vinaigre est bon pour le vagin", met en garde le docteur Bagot. "Le vinaigre de cidre a de fortes chances de brûler la muqueuse vaginale et de détériorer le microbiote vaginal : les bonnes bactéries détruites risquent alors de céder de la place aux germes pathogènes responsables de vaginoses et de mycoses" ajoute la gynécologue.
Bon à savoir : En cas de vaginoses à répétition - des infections reconnaissables par des pertes malodorantes - des traitements adaptés existent pour rééquilibrer la flore vaginale et le pH.
Les lingettes intimes comportent un risque d’irritation du sexe et contiennent de surcroît de nombreux perturbateurs endocriniens (antibactériens, conservateurs ou encore agents de blanchiment) qui rentrent directement en contact avec la muqueuse du vestibule et passent donc aisément dans l’organisme.
Attention : "Ces lingettes sont à utiliser avec grande modération, et sont à bannir chez la femme enceinte", met en garde la spécialiste.
Comment faire ? "Pour se rafraîchir, mieux vaut vaporiser de l’eau thermale sur la vulve et tamponner les lèvres vaginales avec un morceau de coton, en veillant à rester à l’extérieur du vagin", préconise Odile Bagot.
Bon à savoir : "Une seule toilette de la vulve par jour, sans introduire d’eau ou de produit dans le vagin, suffit à avoir une bonne hygiène intime. N’hésitez pas à consulter en cas de mauvaise odeur vaginale, signe possible d’une infection", conclut la gynécologue.
Cet objet était fréquemment utilisé pour la toilette intime au siècle dernier. "Mais attention, l’eau possède un pH de 7,4, ce qui est bien trop élevé par rapport au pH acide du vagin. En plus de faire grimper le pH, l’eau élimine les lactobacilles et crée donc un déséquilibre de la flore", rappelle le docteur Bagot. Comment faire ? N’introduisez pas d’eau dans votre vagin, et contentez-vous d’une toilette externe de la vulve et du vestibule avec un savon gynécologique.
Si vous utilisez un jouet sexuel, il est important de respecter quelques règles d’hygiène. "Entre chaque utilisation, désinfectez votre sex-toy à l’aide d’un savon antiseptique prévu à cet effet. Pensez surtout à bien le rincer après l’application de ce produit désinfectant", conseille le docteur Bagot.
Attention : "Les sex-toys sont individuels. Ne vous prêtez pas ces jouets entre femmes : vous risquerez de partager votre flore vaginale qui peut être déséquilibrée et occasionner ainsi une vaginose", met en garde la gynécologue. De même, n’introduisez surtout pas dans le vagin un sex-toy qui a d’abord été utilisé dans le rectum, sous peine d’y déposer des bactéries fécales potentiellement pathogènes pour votre intimité.
Bon à savoir : "Toute femme qui possède une vulve irritée, fragile ou sensible doit faire un usage modéré des sex-toys, et jamais sans lubrifiant " rappelle la spécialiste.
Comme vous l’apprenait récemment Medisite, les fabricants de la pommade anti-rhume Vicks Vaporub® se désolidarisent d’un mésusage de leur produit : celui de l’application de cet onguent au niveau de la vulve et du vagin.
Pourquoi ? Le Vicks Vaporub® contient du camphre qui a un effet vasodilatateur et qui peut donc à ce titre entraîner une agréable sensation de picotements et de chaleur. Problème : il comporte un risque élevé d’allergie. "Tournez-vous plutôt vers des produits adaptés aux zones intimes disponibles en pharmacie et qui possèdent le même effet excitant sans risque d’irritation, comme par exemple le gel Zestra® ." préconise le docteur Bagot.
Bon à savoir : Le Vicks Vaporub® semble aussi être utilisé parce qu’il apporte une odeur rafraichissante. "Non seulement cette odeur ne tiendra pas, mais il faut également avoir à l’esprit qu’un vagin en bonne santé ne sent pas mauvais", rappelle la gynécologue. "La présence d’une odeur témoigne, en effet d’un déséquilibre de la flore qui doit vous pousser à consulter pour identifier la cause de ce dérèglement et trouver un traitement adapté."
Merci au docteur Odile Bagot, gynécologue à Strasbourg et auteur du Dico des nanas sous le pseudo "Mam Gynéco", aux éditions Hachette Pratique.
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