Quand on expérimentait encore

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Quand on expérimentait encore
A l'époque postmoderne, la catégorie du "nouveau" perd sa signification car l'"ancien" a disparu, remplacé par le simulacre
Il faut être absolument modernes hurlait Rimbaud quand les vieux objets était encore là. Parmi les vieilles constructions de l'Europe de 1910, Apollinaire pouvait se dire las du monde ancien. Quand le vieux coexistait avec ce qui était en train de voir le jour, quand on expérimentait encore les monuments médiévaux crasseux et les habitations Renaissance exiguës en même temps que les automobiles, les avions, le téléphone et l'électricité, le "nouveau" avait encore un sens. Dès lors que la modernisation a balayé l'ancien, que la nature est abolie, que les monuments sont nettoyés, ce ne sont plus que des survivances, d'étincelants simulacres du passé.


Fredric Jameson - " Le Postmodernisme, ou la logique du capitalisme tardif ", Ed : Beaux-Arts de Paris, 2007, pp433-4







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Et si on expérimentait de nouvelles formes de management ?
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Dans Apocalypse managériale (Les Belles Lettres), François-Xavier de Vaujany, chercheur à l’université Paris-Dauphine-PSL et spécialiste en théories des organisations, analyse la naissance du management moderne et ses dysfonctionnements actuels. En éclairant le passé, il nous livre des pistes pour mieux comprendre le présent et imaginer l’avenir.
En quoi la Seconde Guerre mondiale a-t-elle permis aux Etats-Unis d’imposer le management tel que nous le connaissons aujourd’hui ?
François-Xavier de Vaujany : Lorsque les Etats-Unis entrent en guerre, le pays est encore très affaibli par la crise de 1929, son taux de chômage est élevé, sa puissance militaire mineure. Pour gagner, il se lance dans la fabrication en énormes quantités d’armes, de tanks et de navires, dans l’urgence. Les Etats-Unis inondent le marché de leur production, grâce à la mobilisation industrielle et à la mise en place de techniques en logistique, en gestion de projet…
Le management scientifique s’impose alors, avec le digital en renfort. A la sortie de la guerre, le pays est la première puissance militaire mondiale, son chômage est quasi inexistant et sa richesse correspond à la moitié du PIB mondial ! Grand vainqueur du conflit, il installe sa domination, avec ses standards, ses écoles de management, ses cabinets de conseil et, bientôt, son industrie informatique…
Comment le digital est-il devenu l’allié du management ?
L’ordinateur électronique, qui permet de traiter une masse d’informations importante, permet au pays d’assurer le contrôle de la production, la planification et l’interconnexion de l’information. L’armée va ainsi devenir le principal financeur de l’industrie informatique, et ce jusque dans les années 1960 (Arpanet, ancêtre d’Internet, est né d’une volonté militaire). Dès lors, le management est équipé.
A cette même époque, un penseur américain, James Burnham, prédit l’avènement d’une société managériale.
Dans L’Ere des organisateurs ( Managerial Revolution ,1941), James Burnham explique en effet qu’à côté des «capitalistes» et des «prolétaires», une nouvelle classe sociale émerge, celle des «managers». Deux caractéristiques à cette profession : la possession d’un titre délivré par une business school et la maîtrise de nouvelles compétences techniques (étude de marché, planification stratégique, contrôle de gestion, etc.) Selon Burnham, cette nouvelle classe va devenir dominante dans le privé, mais aussi dans l’administration, les hôpitaux, les écoles… Il a vu juste !
Cette évolution a été rendue possible notamment grâce à la maîtrise des outils informatiques, laquelle a peu à peu éloigné les managers du cœur de l’action et leur a permis précisément de construire leur pouvoir dans cet éloignement.
L’affaire McKinsey nous le prouve ?
Là aussi, l’histoire est riche d’enseignements. Le marché du consulting naît aux Etats-Unis dans les années 1930, suite à de nouvelles réglementations. Quand la Seconde Guerre mondiale survient, le gouvernement fait appel à ces experts. Lorsque le conflit s’achève, que l’Europe et l’Asie sont détruites et qu’il faut reconstruire, ces mêmes cabinets montent des succursales pour prodiguer leurs conseils et appliquer le plan Marshall.
Pendant une trentaine d’années, ces cabinets américains jouissent d’un quasi-monopole sur le marché du conseil. Cette situation leur permet d’installer leur technique et leur pouvoir. L’affaire McKinsey est la trace visible d’un phénomène émergent sur plusieurs décennies.
Pourquoi parlez-vous d’apocalypses managériales ?
Il faut comprendre le terme apocalypse dans son sens étymologique de «dévoilement», «révélation» d’un monde nouveau imminent. Ce management américain, digital, global, qui se met en place pendant la Seconde Guerre mondiale, fonctionne sur ce mode : il a besoin de rendre incomplets les produits ou services existants pour en promettre de nouveaux, bien meilleurs. Un système qui fait notamment écho au principe d’obsolescence programmée, théorisé dès les années 1930 aux Etats-Unis. Ce modèle fonctionne en établissant la planète comme une ressource infinie, avec les conséquences écologiques que l’on connaît aujourd’hui.
Quelles alternatives, selon vous, à ce style de management ?
Je ne souhaite pas que ces «apocalypses» disparaissent, mais qu’elles deviennent peut-être plus secondaires dans nos vies. Elles ont permis le progrès dans bien des domaines : santé, enseignement, démocratie… Le digital offre des possibilités d’échanges formidables. Je crois dans ce système. Je pense néanmoins qu’il est urgent de le mettre en conversation avec quelque chose d’autre. Dans Le Petit Prince, Saint-Exupéry dresse le portrait d’un businessman qui ne sait plus «rêvasser».
Voilà une piste : flânons, expérimentons, favorisons la dérive et le lâcher-prise ! J’étudie depuis longtemps le mouvement des makers, les coopératives, les tiers lieux. Tous expérimentent un management différent. Les deux managements peuvent – et, selon moi, doivent – coexister : le contrôle et l’expérimentation permanente. Sur mes vingt années d’enseignement, j’ai vu arriver une nouvelle génération poussant de plus en plus dans cette direction. Les jeunes diplômés sont de plus en plus nombreux à tenter des formes de management alternatives ou des sociétés ouvrant à ces alternatives. Je suis donc optimiste !

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Expérience d’Art-Thérapie

En haut, on voit bien que la partie arc-en-ciel conservée du premier dessin s’emboîte parfaitement avec le second, comme si c’était sa continuité.


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Et si on expérimentait l'Effet Miroir ...
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Et si on expérimentait l'Effet Miroir ...
Voici ce que j’en ai compris : c’est une méthode d’expression artistique qui révèle ce qui est en soi. L’art-thérapeute nous accompagne dans la lecture des symboles, des signes et à travers notre expression artistique se manifestent des émotions, des croyances, des aspirations, des sentiments. On peut y lire notre histoire avec des faces cachées mises en lumière par notre inconscient.
Cela faisait un moment déjà que j’entendais parler d’art-thérapie. Etant curieuse de nature, je dois faire face à un problème de taille qui est que si je le pouvais, je crois que je testerais à peu près toutes les thérapies qui existent. Non pas que je sois particulièrement aliénée, quoique nous le soyons tous un peu, mais je me dirige professionnellement vers le bien-être et l’accompagnement alors les différents outils thérapeutiques m’intéressent. Malheureusement mon porte-monnaie de « chômeuse en reconversion » lui, n’est pas du même avis que moi, et chaque chose devant se faire l’une après l’autre pour le bien de mes finances, je n’avais donc pas encore eu l’opportunité d’expérimenter l’art-thérapie. Alors quand j’ai vu qu’on me l’apportait sur un plateau sous forme d’atelier au bout de ma rue, j’ai sauté sur l’occasion de découvrir cette technique. Pour le coup, à 10 euros les 2 heures d’atelier, je ne me suis pas privée, car mine de rien, la thérapie, on en a tous bien besoin mais il faut reconnaître que ça reste un budget, que l’on choisit de s’accorder ou non d’ailleurs. Personnellement je vois ça comme un investissement sur moi et un moment où je prends soin de ma santé mentale. Les gens vont bien chez le docteur pour un pet de travers, mais quand il s’agit de soigner leurs névroses et leurs traumas, là y’a plus personne ! Et pourtant, des névroses et des traumas, on en a tous, alors pourquoi ne pas s’en occuper et faire par la même occasion en sorte que le monde aille mieux ? J’ai l’impression que c’est encore perçu comme quelque chose d’honteux de s’occuper de soi en allant voir un professionnel ou thérapeute. Pour moi il n’y a pas de honte et je trouve ça au contraire très sain comme démarche. C’est sûr qu’il faut accepter de montrer sa vulnérabilité et ses failles, mais nous sommes des humains, alors il est bien normal que nous ayons parfois besoin d’aide quand nous sommes face à des comportements qui nous font souffrir ou des réactions que nous ne parvenons pas à gérer seuls.  Oups, je crois que je me suis égarée … Je voulais simplement dire que j’ai trouvé le prix de l’atelier étonnamment bas comparé au temps passé par les 2 thérapeutes et à la qualité de leurs interventions respectives, ce n’est que mon avis. 
Quand j’ai vu que le thème de l’atelier était « le chemin », ça a été un véritable appel, et c’était la veille pour le lendemain, alors autant dire que l’univers me l’a envoyé dans le parfait timing. J’avais hâte de découvrir ce qui allait émerger de cet atelier.
En arrivant, j’ai eu la chance de me retrouver avec une seule autre personne, ce qui fait que nous étions 2 pour 2 thérapeutes, c’était pour ainsi dire l’environnement parfait pour l’hypersensible que je suis. Après quelques explications sur le déroulé de la séance, les thérapeutes nous ont invitées à dessiner ce que représentait pour nous « le chemin », en nous laissant aller, avec comme outil une palette de pastels secs aux couleurs toutes plus jolies les unes que les autres. Je n’avais jamais utilisé de pastels et j’ai vraiment adoré pouvoir estomper au doigt, ça permet de créer quelque chose de joli même quand on ne sait pas dessiner comme moi. Car j’ai oublié de le préciser, il est inutile de savoir dessiner en art-thérapie, on n’est pas là pour devenir des artistes, mais pour laisser s’exprimer notre psyché à travers l’art. 
Au départ, j’ai tracé les lignes d’un chemin sans trop savoir à quoi il allait ressembler, je n’avais pas d’idée précise de ce que j’allais faire. Puis c’est comme si tout mon corps s’était mis à m’indiquer quelle couleur choisir, quelle forme réaliser, des ronds, des traits, estomper, épaissir … Je me suis laissé guider par ce que j’appellerai mon intuition, et j’ai parsemé ce chemin de flammes, de couleurs sombres ou lumineuses, d’un cœur, et d’autres formes plus abstraites. 
Lorsque j’ai terminé mon dessin, on l’a accroché au mur avec celui de l’autre personne, et on s’est assises toutes les 4 devant. J’avais un peu l’impression qu’on était plantées devant une œuvre d’art, un peu comme ces touristes chinois devant la Joconde. Les thérapeutes m’ont d’abord demandé où je me situais sur le chemin que j’avais dessiné. Question fatidique, quand vous allez voir mon dessin (photo ci-dessus), vous allez comprendre. En tout cas, la réponse est venue tout de suite, naturellement. J’avais passé les flammes, et visiblement c’était très chaud ! Est venu ensuite le temps de l’analyse et des interprétations des couleurs et des formes que j’avais utilisées. En sont ressortis des symboles de l’autorité, de douleurs, de peurs, des liens toxiques, des résistances, mais aussi une connexion avec le monde spirituel et quelque chose d’organique dans ce dessin. Une impression de volute, d’aspiration, et de vue d’en haut également, comme si j’observais ce chemin qui est le mien avec de la hauteur. Tout ce qui a été exprimé par mon inconscient sur ce dessin et toutes les interprétations données par les thérapeutes collaient point par point à mon histoire. Avec ce dessin, j’avais bien sous les yeux mon propre chemin, ma vie, telle que je la percevais ce jour-là. C’en était vraiment troublant. Ensuite, j’ai été invitée à brûler ce dessin en prenant soin de découper auparavant une partie que je souhaitais conserver, sans obligation d’ailleurs. J’aurais pu tout brûler, mais j’ai choisi de garder avec moi le pont avec le subtil, le spirituel représenté par l’arc en ciel. Lorsque le dessin brûlait, j’ai prononcé à haute voix les choses dont je souhaitais me séparer et celles que j’avais envie d’accueillir à la place. C’était très symbolique ce feu, ça m’a beaucoup plu. 
Enfin, nous avons été invitées à faire un autre dessin, pour représenter notre nouveau chemin, allégé et libéré de ce qu’on avait brûlé car il s’agissait ici d’art-thérapie évolutive. C’est pour cela que l’on fait en quelque sorte évoluer notre dessin. Celui-ci s’est complètement transformé pour ma part, et lorsque les thérapeutes m’ont proposé d’accrocher la partie du premier dessin que j’avais gardée, celle-ci s’emboitait parfaitement avec mon 2 ème dessin (voir ci-dessous). C’en était à nouveau extrêmement troublant. Si j’avais voulu le faire exprès, je n’aurais sans doute pas aussi bien réussi que mon inconscient. 
Je suis ressortie de cet atelier le cœur léger, en ayant fait de belles rencontres et découvert ce formidable outil qu’est l’art-thérapie évolutive. Je suis impressionnée de la justesse avec laquelle s’exprime notre inconscient. Les messages qu’il a fait émerger m’ont permis de conscientiser là où j’en suis sur mon chemin, ce que j’ai traversé, ce que j’ai à dépasser et ce qui est important pour moi. J’ai trouvé le fait que ce soit évolutif vraiment très intéressant car nous sommes reparties avec notre 2 ème dessin sous le bras, pour pouvoir l’observer encore quelque temps et continuer le travail inconscient chez nous, puis s’en séparer quand nous jugerons que c’est le bon moment. C’est une superbe expérience que je renouvellerai avec grand plaisir et que je recommande à qui est curieux de découvrir les messages cachés de son inconscient. Et vous, connaissez-vous l’art-thérapie (évolutive) ? Avez-vous déjà eu l’occasion d’essayer ?
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Publié
le 12/03/2022 à 07:00
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Suite à la sortie, ce 5 mars, de son dernier album Dissidænce , et alors qu'il se produit ce samedi à l'AccorHotels Arena de Paris, le producteur de musique électronique français, revient sur son succès construit en marge du système musical.
Vitalic, son visage vous est inconnu. Pas ses tubes qui, depuis deux décennies, ont marqué l'électro française. Vingt ans d'une carrière riche en tournées internationales et collaborations prestigieuses, des Daft Punk à Björk .
L'homme ne se met pas en avant. Dans ses clips, il faut guetter ses apparitions furtives, crâne glabre et barbe sous stroboscopes dans le récent Rave against the system ou silhouette immobile quand tout le monde bouge autour dans le plus ancien My friend Dario .
Le quadragénaire utilise d'ailleurs les mots «en parallèle, à part» pour qualifier son parcours, quand l'AFP le rencontre à Paris avant son passage à Bercy (Accor Arena) dans le cadre de sa tournée anniversaire. Le musicien n'a jamais été suiveur, plutôt pionnier, ce qui explique quelques succès à contretemps.
Au début de sa carrière, alors qu'il se produit dans un milieu où la techno tabasse, il glisse un jour du côté de Nice des boucles de Giorgio Moroder , figure du disco, dans son set. Trop précurseur : la salle se vide. «Les gens qui restent sont ceux qui font le ménage, j'entends le bruit des gobelets vides sur le sol (rires)» , se souvient-il. Avant d'ajouter : «Mais j'ai insisté, et à mon premier Sonar (festival couru à Barcelone, NDLR), vers 2001, j'ai à peine commencé, ça s'est embrasé dans le public, c'était vraiment dingue.»
La presse anglaise qualifiera son électro de «metal-disco» . «Ça me va, il y a du disco dans ma techno, du disco qui envoie» , sourit l'artiste, également influencé par l'énergie punk. Même histoire avec le morceau Poison lips (2009). «Quand il est sorti, je me suis fait incendier par le public et la presse, mais huit ans après, utilisé dans un film, il a marché, c'est maintenant mon morceau le plus écouté» . La pub s'en est aussi emparée et le titre cumule aujourd'hui plus de 27 millions d'écoutes sur Spotify, leader mondial des plateformes musicales.
«C'est ça aussi la dissidence, faire son truc, ne pas chercher à être dans l'air du temps car ce n'est déjà plus l'air du temps» , commente-t-il. Dissidænce , fusion de dissidence et du mot anglais dance , c'est le titre de son dernier album, diffusé en deux volets, le dernier en date ce mois-ci. «Je l'ai appelé comme ça car l'atmosphère dans la société ces dernières années s'est tendue, polarisée, fracturée, l'album parle de cette tension mais ce n'est pas non plus plombé, c'est un appel à la fête» .
La fête, le gamin qui a grandi à Dijon y a d'abord goûté par les vinyles de sa mère, notamment une compilation disco avec Giorgio Moroder . «Quand je demandais aux adultes comment on faisait cette musique, on me répondait ''avec des synthés qui coûtent une fortune'', ça paraissait inatteignable depuis ma campagne bourguignonne» .
Plus âgé, il pousse les portes de l'An-Fer, club électro réputé à Dijon où il verra Laurent Garnier et les Daft Punk , sans masques à l'époque. «Je me suis dit : ''j'ai vraiment envie de faire ça.'' J'ai commencé à m'équiper tard, vers 24-25 ans» . Il entre alors dans les radars d'un label allemand défricheur, Deejay Gigolo, sa rampe de lancement. Mais, là encore, plutôt que de déménager en Allemagne ou à Paris, il restera en marge du circuit, restant domicilié du côté de Dijon. «J'avais une petite maison le long d'un canal, dans la cambrousse, d'un côté, je regrette, j'aurais
Une baise comique 3D fantaisiste
Paire de pastèques bien juteuses
Une rousse pulpeuse et chaude

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