Prisonnière se fait punir

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En matière de torture, on peut dire qu’on a été inventif dans toute l’histoire du monde mondial. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on adore vous en parler (déso on est malsain). Mais si l’on se penche plus précisément sur les tortures faites aux femmes, notre sang se glace. Surtout quand on sait que certaines tortures sont toujours existantes aujourd’hui…
Comme c’était hyper compliqué de vous décrire cette sorte de chaise avec des mots, j’ai préféré opter pour un dessin ludique. Mais en gros, ton corps se déchire très lentement grâce à l’action des poids et c’est peu agréable.
Une coutume qui a perduré quand même jusqu’au XIXème siècle et qui consistait à enrubanner les pieds des femmes plutôt issues de classes favorisées (dans un premier temps, mais rassurez-vous après ça s’est étendu au reste de la société, yay) dès le plus jeune âge, afin qu’ils ne dépassent pas 7 petits centimètres. Evidemment c’était pas très agréable.
Une torture qui a le bon goût d’être encore fortement répandue aujourd’hui. 200 millions de femmes dans le monde sont excisées à l’heure actuelle. On en compte environ 53 000 rien qu’en France . On rappelle bien sûr que l’excision n’a aucune raison d’être et ne peut en aucun cas être comparée à la circoncision. C’est ni plus ni moins une torture.
Un petit truc chouettos qui nous vient du Moyen-Age. Sorte de soutif amélioré, doté de jolies broches qui perçaient les seins de façon à en faire de la purée mousseline. Un traitement réservé aux femmes adultères qui avaient le mauvais goût de niquer sans être mariées, bouh les vilaines.
Ce joli petit instrument était utilisé notamment durant l’Inquisition et consistait à fermer de bec des donzelles quand celles-ci avaient l’outrecuidance d’un peu trop l’ouvrir en public. Les femmes bruyantes qui troublent l’ordre public, on n’en veut pas. Alors coucou la muselière.
Bon on va pas tortiller du boule, c’était bien joli la technique de l’âne espagnol, mais nous on en veut pour notre argent. Alors zou, pas de chichi, on pend la femme par les pieds, toute nue, et on la découpe en deux en partant de la fente génitale. Ça n’a pas l’air sympa dit comme ça mais figurez-vous que ça partait d’un bon sentiment puisque ça permet de tuer les femmes qui étaient très méchantes en peu de temps et en faisant moins mal. L’avantage c’est qu’on a deux femmes pour le prix d’une.
La torture des sorcières c’était un peu un classique au Moyen-Age. L’idéal quand on n’a pas trop d’imagination et qu’on a du bois en trop et besoin de viande en rab pour le prochain festin du village. Le bûcher était unisexe dans l’absolu, mais souvent réservé aux femmes soupçonnées de sorcellerie. L’avantage c’est qu’on meurt avec un délicieux fumet de bacon grillé dans les narines.
Modèle disponible pour les garçons comme pour les filles qui se touchent un peu trop le pipou, cette magnifique ceinture en cuivre ornée de picots rouillés du meilleur goût empêchera ainsi la main perverse de s’aventurer dans le gouffre des muqueuses.
Et tout comme l’excision, la lapidation existe encore aujourd’hui dans certains pays (notamment en Iran, au Nigera ou encore aux Emirats Arabes Unis) où il est normal et tout à fait légal de lapider une femme qui aurait eu des relations adultères. Hello darkness my old friend.
Décidément, les espagnols sont très chauds en torture infligées aux femmes ! Fait de longues griffes métalliques comme, cet objet était chauffé à blanc avant d’être fixé sur le sein d’une femme. Si la poitrine n’était pas violemment arrachée par le bourreau, les victimes étaient suspendues au plafond. Sous leur poids, la peau s’étirait, augmentant le saignement jusqu’à ce que mort s’en suive. Bonheur. Rien qu’à voir cet objet, on se dit qu’on va passer un mauvais moment.
Et toi c’est quoi ta méthode de torture préférée ? On aussi les instruments de torture médiévaux, les superbes instruments de torture de l’Inquisition , les supplices romains qu’on aimerait pas subir et les pires tortures psychologiques .
T'as quelque chose à dire, une réaction ? C'est ici. Oui, c'est bien fait hein ?
Si tu aimes ce Top,
tu aimeras ça aussi. Puisqu'on te le dit.
On sait bien que t'as encore 5 minutes...

Coprésidents du Mouvement Impact France
Ancien chef du département de médecine interne, hôpital Lariboisière (Paris), professeur émérite de thérapeutique, Université Paris Cité
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vidéo Découverte par des universitaires coréens, elle aurait été tournée par un soldat américain en 1944.
Le 5 juillet, la Corée du Sud a rendu publique une vidéo qui pourrait être la première montrant celles que l’on a longtemps appelées par euphémisme « les femmes de réconfort ». Ces femmes étaient, en réalité, des esclaves sexuelles exploitées par l’armée japonaise au cours de la seconde guerre mondiale. Selon les historiens, jusqu’à 200 000 personnes, pour la plupart des Coréennes mais aussi des Chinoises, des Indonésiennes et des ressortissantes d’autres pays asiatiques, ont été enrôlées de force dans les bordels de l’armée impériale.
Cette question empoisonne les relations entre Séoul et Tokyo depuis des décennies, nombre de Sud-Coréens y voyant le symbole des abus et violences commis par le Japon durant sa domination coloniale, de 1910 à 1945. Seules des photographies de cet épisode étaient connues jusqu’à aujourd’hui. L’extrait vidéo, qui aurait été tourné par un soldat américain en 1944, a été découvert par des universitaires coréens après deux ans de recherche dans les archives américaines.
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De Jordan - Posté le 3 janvier 2017 à 16h00 dans Histoire

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Alors viens découvrir une sélection d'informations dont tu n'imaginais même pas l'existence dans tes rêves les plus fous.


Hitek >
Histoire >
11 moyens de torture qu'on ne souhaiterait même pas à nos pires ennemis !

Il y a quelques temps sur Hitek, nous vous présentions les 15 pires méthodes de torture jamais inventées dans l'histoire de l'Humanité . Si vous pensiez avoir tout vu, détrompez-vous ! Ce n'est rien comparé à ce qui suit ! Âmes sensibles, s'abstenir ... On vous aura prévenu ! Pour vous dire, ces techniques de torture vont faire passer Ramsay pour un petit joueur ...
On commence par une torture très lente où la victime est plongée petit à petit, les pieds en premier, dans de l'huile, de l'eau ou de la cire portée à ébullition . Bien entendu, la douleur ne rendait pas les victimes inconscientes immédiatement mais la brûlure atroce des couches externes de la peau les faisait agoniser. On peut imaginer que ce genre de supplice était réservé pour les pires meurtriers, mais des documents historiques réfutent cette théorie.
En effet, l'empereur Néron aurait tué des milliers de chrétiens de cette façon. De même en Allemagne au Moyen-Âge où des forgerons ont été torturés de la sorte alors qu'en Grande-Bretagne, Henri VIII réservait cela aux empoisonneurs . Dernièrement, en 2002, cette pratique aurait été réalisée par le gouvernement de l'Ouzbékistan pour torturer plusieurs terroristes présumés.
Voici une méthode utilisée pour obtenir des informations ou des aveux. Pour cela, la victime était attachée par les poignets et les chevilles à l'aide de liens fixés à chaque extrémité du cadre en bois . Constitué de deux rouleaux de chaque côté, les bourreaux les faisaient tourner dans des directions opposées dans l'unique but d'étirer très lentement le corps du torturé . En général, d'autres prisonniers étaient obligés de regarder le supplice avant qu'ils n'y passent eux-même, histoire de les choquer psychologiquement. Il existe aussi une variante de cet instrument de torture avec des clous plantés sur la planche, histoire que la victime s'allonge dessus pour assurer davantage de blessures et d'horreur !
Voici une pratique de torture qui nous vient tout droit des anciens guerriers nordiques. L'aigle de sang ( ou blóðörn en vieux norrois ) est un supplice qui mélange à la fois brutalité et poésie propre aux Vikings ... En effet cela consistait soit à tailler un aigle sur le dos de la victime soit à trancher ses côtes tout le long de la colonne vertébrales, à les déployer vers l'extérieur comme les ailes d'un aigle et enfin à extraire les poumons de la poitrine . On ne compte que quatre victimes de l'aigle de sang, toutes issues de la littérature scandinave : deux personnages historiques, le roi de Northumbrie Ella et l'un des fils du roi de Norvège Haraldr hárfagri, jugés tous deux pour parricide ainsi que deux personnages légendaires.
Continuons avec une forme de châtiment corporel utilisé dans les marines militaires jusqu'au début du XIXème siècle . On disait " donner la cale " pour punir l'incitation à la désobéissance. Une pratique spectaculaire pour montrer l'exemple à l'équipage dont une grande partie participait à ce supplice. Il existe plusieurs types de cales. La première, la cale ordinaire où la victime est attachée à une corde puis hissée en haut de la vergue du grand mât par l'équipage . Au commandement, la victime est lâchée et peut rester un certain temps sous l'eau . L'opération peut être répétée plusieurs fois. Même si le condamné a des chances de survie, la plupart du temps il meurt assommé ou noyé . Vient ensuite la cale sèche , basée sur le même principe sauf que la chute de la victime est stoppée nette avant de toucher l'eau . Elle a alors les bras désarticulés ou arrachés et est abandonnée en pleine mer. Enfin, la grande cale où le condamné est ligoté à un cordage qui passe d'un bord à l'autre sous la coque du navire . Les membres de l'équipage tirent le cordage pour le tirer de l'autre côté en le faisant passer sous la quille. Ces techniques étaient employées par les Hollandais et les Français depuis le XVIème jusqu'à son abolition en 1853 mais on retrouve des témoignages de son utilisation par les Grecs en 800 avant J.C pour l'infliger aux pirates qui infestaient la mer Égée.
Voici un outil très populaire au cours de l'Inquisition. Son nom parle de lui-même : écraser les genoux des victimes pour les rendre handicapées . Le principe est ultra simple : on place le genoux entre les deux parties en bois équipés de clous. Ensuite, on actionne les deux vis pour refermer les deux blocs de bois. Bien entendu, on pouvait également utiliser cet instrument pour d'autres membres, comme les bras par exemple !
Le feu est un des moyens de torture favoris des bourreaux. Mais la bougie romaine est certainement une des pratiques la plus cruelle jamais inventée. Imaginée par l'empereur Néron dont sa réputation en terme de folie n'est plus à faire, la bougie romaine consiste à attacher la victime à un pieu et de l'enduire d'un produit inflammable comme de la résine d'arbre ou de plante . Puis, elle est brûlée lentement suivant le même principe qu'une bougie, d'où le nom ... C'est bien trouvé ! A en croire certains documents historiques, Néron aurait fait exécuter plusieurs victimes de la sorte pour lui permettre d'éclairer les banquets qu'il organisait au cours de fêtes privées ...
C'est certainement l'une des plus violentes et plus barbares des tortures jamais inventées. C'est au XIIème siècle en Angleterre qu'on voit cette technique d’exécution réalisée pour la première fois. Réservé aux traîtres à la nation, le découpage était très souvent utilisé jusqu'au XVIIIème siècle pour marquer le coup et surtout, marquer les esprits. On accrochait alors la victime à une planche de bois puis un cheval la traînait jusqu'au lieu de l'exécution à l'aide d'une corde passée autour de son cou . En général, la victime mourrait d'une entaille à la carotide avant d'arriver à destination. Pour les plus malchanceux, ils se faisaient étrangler par un bourreau qui faisait très attention à ce que cela soit le plus douloureux possible et en s'assurant de ne pas tuer la personne. L'étape suivante consistait à étriper la victime . On retirait alors l'estomac, les intestins et d'autres organes du corps. Les organes génitaux n'étaient pas épargnés, puisque le bourreau les mutilait et les déchirait pendant de très longues minutes ! Si la victime était encore vivante, elle avait la chance de voir ses organes brûler devant ses yeux puis se faisait décapiter . Une fois morte, la victime était découpée en quatre morceaux pour les envoyer faire le tour du pays afin de dissuader les éventuelles personnes envieuses de trahir le royaume. Quant à la tête, elle était empalée sur une pique placée en haut des murs de la Tour de Londres.
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