Premire exprience lesbiennes entre copines terriblement excitant

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Résumé : Une découverte, l’innocence et nous voilà embarqué dans le plaisir et la volupté du corps féminin.
Le corps féminin, j’y ai goûté à l’âge de 13 ans, un classique je pense pour beaucoup d’ados, ce corps c’était celui de ma cousine. Des souvenirs me viennent et je deviens nostalgique de cette époque car à cet âge là on est innocent, on se découvre, on ne sait pas l’avenir de nos corps.
J’ai aimé ce corps féminin, à le parcourir avec d’abord mes yeux, puis osé le toucher, se donner des frissons et ne pas comprendre mais aimé ça, aimé cette sensation. Se retrouver dans cette chambre et ressentir du désir, mais on ne sait pas à ce moment là que c’est de l’excitation, de l’envie. On se déshabille, on rougit, on rit, on prend tout ça un peu à la légère. Pour ma part cela je pense a eu une influence sur moi par rapport à l’attirance que j’ai pour les femmes. A chaque vacances nous nous retrouvions dans ma chambre, et les gestes devenaient d’années en années plus désireux. Ce plaisir entre filles nous l’avons fait qu’avec les mains, des caresses, effleuré avec délicatesse ce sexe, sentir que nos sexes sont mouillés, ne pas comprendre au début mais l’envie est tellement forte que nos caresses deviennent de plus plus insistantes et se laisser aller, pousser un cri, ne pas comprendre pourquoi nos corps réagissent comme ça, sans le savoir avoir pris du plaisir et en donner, une jouissance innocente mais inoubliable, une première expérience qui va en amener d’autre.
Comprendre le corps féminin, pour ma part ma première vraie expérience avec une femme s’est passée il y a 2 ans maintenant. J’ai vraiment apprécié cette douceur et cette tendresse que l’on peut ressentir dans les bras d’une femme. Ses lèvres sur les miennes, des baisers longs et intenses, mêler nos langues, des regards de désir féminin. Prendre nos visages entre nos mains, des caresses qui amènent à l’excitation.
Je me suis régalée à sentir sa langue sur ma chatte. La faire mouiller, se régaler de mon goût, faire gonfler mon clitoris. Elle s’est servi aussi de ses doigts, a écarté ma chatte pour qu’elle puisse me fouiller plus profondément avec sa langue. M’amener à la jouissance. Planter aussi ses doigts, moi écartant encore plus les cuisses, et jouir de ses coups de doigts, de ses coups de langue.
A mon tour de lui donner du plaisir, j’ai hâte mais en même temps j’ai peur de m’y prendre mal, de ne pas savoir comment m’y prendre avec ce corps de femme. Je commence à la caresser de tout son corps, je la fais frissonner, j’aime. J’aime voir ses seins durcir de mes caresses, je prends ses tétons entre mes lèvres, je lui suce, je me régale, sentir sous mes caresses la douceur de sa peau et en même temps la fermeté de ses seins. Je l’entends gémir, me dis qu’elle veut sentir ma langue. Tout en la caressant je me dirige vers ce sexe que je vais dévorer. Envie de la faire mouiller, avoir le goût de son sexe dans ma bouche et le partager avec elle en un long baiser.
Deux corps de femme excités c’est tellement beau, nous sommes seules au monde, elle se laisse aller, je la lèche de plus en plus fort, j’ai besoin de sentir et de voir sa jouissance. son clitoris est gonflé de tant d’excitation, je souffle dessus avec délicatesse et tout de suite après je la lèche. Elle est là, à moi, elle se donne, plus elle gémit et plus je la lèche. Sa jouissance est toute proche, c’est un délice, elle jouit, je la regarde, elle est belle, elle est à moi.
Après cette première et délicieuse expérience, j’ai eu envie de donner encore plus de plaisir à une femme. Me transformer en homme en quelque sorte. Pouvoir dominer une femme, la pénétrer, qu’elle me laisse entrer dans son jardin secret.
Avec toujours les mêmes gestes, l’allonger, lui faire goûter à mes baisers, l’envoûter avec mon regard, l’apprivoiser jusqu’à ce qu’elle m’offre sa chatte. Me planter en elle, moi pour m’exciter encore plus mettre en marche le vibro qui fait parti du gode-ceinture, qu’elle sente aussi ses vibrations, puis voir mon gode se faire engloutir grâce à la mouille qu’elle sécrète. Je la regarde, lui donne du plaisir. Mes coups de hanche de plus en plus fort dans sa chatte, ils sont forts mais en même temps le plaisir que je lui donne lui procure de la tendresse, de la douceur.
Je suis bien en elle, je suis une femme dans une femme. C’est un moment tellement intense de pouvoir faire jouir, surtout une femme. Nous ressentons les mêmes choses au même moment. J’ai envie de lui donner encore plus de plaisir, la prendre en levrette, qu’elle sente ma queue, s’accrocher à ses hanches, la faire gémir de plus en plus fort, lui claquer les fesses pour faire sortir en elle cette excitation si belle, la laisser s’amuser avec ce pseudo sexe, la voir se planter, me faire l’amour, me faire aussi ressentir du plaisir. Le creux de ses reins est tellement beau, je veux lui donner encore plus, je me retrouve couchée sur elle, ce sexe toujours planté en elle, ses mains dans mes mains, je m’agrippe à elle, je lui fais sentir cette queue de plus en plus fort, je veux qu’elle soit totalement à moi. Elle est là, gémit fort de mes coups, je la fais jouir fort. Je me retire délicatement de ce sexe si beau et tellement excité, je la caresse avec ma langue pour la calmer. Ces moments là sont tellement magiques et magnifiques. J’aime le plaisir, le sexe, autant en douceur qu’avec brutalité. J’aime autant les femmes que les hommes !!
très joli, tu m’as l’air très coquine, mais dis moi histoire vraie ou pas
@ laurent, et oui c’est une histoire vraie, et oui je suis très coquine et je l’assume, lorsque j’écrirais des histoires sorties de mon imagination je le préciserais bien entendu!!!!
Que ta description des premiers émois est jolie… Que de souvenirs cela éveille.
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Roman lesbien : Amour virtuel, amour réel

Amour virtuel, amour réel : chapitre 1

Amour virtuel, amour réel : chapitre 2

Amour virtuel, amour réel : chapitre 3

Amour virtuel, amour réel : chapitre 4

Amour virtuel, amour réel : chapitre 5

Amour virtuel, amour réel : chapitre 6

Amour virtuel, amour réel : chapitre 7

Amour virtuel, amour réel : chapitre 8

Amour virtuel, amour réel : chapitre 9

Amour virtuel, amour réel : chapitre 10

Amour virtuel, amour réel : chapitre 11

Amour virtuel, amour réel : chapitre 12

Amour virtuel, amour réel : chapitre 13

Amour virtuel, amour réel : chapitre 14

Amour virtuel, amour réel : chapitre 15

Amour virtuel, amour réel : chapitre 16

Amour virtuel, amour réel : chapitre 17

Amour virtuel, amour réel : chapitre 18

Amour virtuel, amour réel : chapitre 19

Amour virtuel, amour réel : chapitre 20

Amour virtuel, amour réel : chapitre 21

Amour virtuel, amour réel : chapitre 22
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Amour virtuel, amour réel est un roman lesbien sur un amour homosexuel entre femmes après une rencontre sur internet.

J'ai dévoré vos livres et nouvelles. Votre style est frais et contrairement à beaucoup d'autres, ils permettent une identification facile avec vos divers personnages. Vraiment hâte d'en découvrir d'autres car
j'ai tout lu d'une seule traite. J'ai été prise dans vos histoires et certaines m'ont beaucoup aidée. Merci pour ce que ces romans m'ont apporté, je suis définitivement fan.

Depuis combien de temps n’avaient-elles pas fait l’amour ? Quatre mois, six ? Clara fouillait sa mémoire tout en sirotant son troisième whisky. Sa pensée était ralentie, son regard lourd. Elle glissa dans le canapé pour se lover entre les coussins, elle réfléchissait mieux allongée. C’était quand ? En couple avec la même femme depuis douze ans, leur désir mutuel s’était éteint à petit feu. Clara souriait aux anges. Elle revoyait Katy lors de leur première rencontre, sa longue chevelure blonde, épaisse et lumineuse, son port altier et léonin. Il se dégageait d’elle un magnétisme qui attirait sur elle tous les regards. Clara avait été hypnotisée par son regard noir, son sourire carnassier. Sans être belle, Katy avait un charme puissant qui l’avait fait succomber en une seconde.
La suite avait été moins romantique. Passé le cap du coup de foudre physique, Katy s’était révélée assez décevante sur le plan sexuel. Elle n’aimait pas ça et Clara plus d’une fois avait eu le sentiment d’une immense trahison, d’une promesse non tenue quant au message subliminal qu’elle lui avait adressée à son insu pour la séduire. Si Clara n’induisait pas la demande, Katy pouvait rester des mois sans éprouver le moindre besoin. Que de pleurs, de suppliques, de menaces et de chantages pour lui arracher un baiser ou même une caresse. Plus d’une fois Clara avait été tentée de la quitter. Mais en dehors de ce domaine, Katy s’était montré une femme exceptionnelle dans tous les domaines.
Sociable, prévenante, excellente cuisinière, toujours disponible pour les uns ou pour les autres, elle avait su mettre en scène leur couple afin qu’on les envie, qu’on les érige en modèle. Clara s’était retrouvée vite piégée dans ce paraître mais également par le confort moral et matériel que lui apportait Katy. En effet Katy avait hérité de sa grand-mère une fortune, ses parents étant décédés dans un accident de voiture. Clara, rebelle dans l’âme en avait profité pour démissionner et s’offrir le rêve de sa vie : un tour du monde en voilier. Souvenir enchanteur à bien des niveaux. Tout d’abord parce qu’elle avait découvert des lieux enchantés. Et surtout parce que ce fut le début de sa double vie.
Clara avait rencontré Callixte lors d’une escale à Miami. Katy n’ayant pas le pied marin avait refusé de la suivre, la solitude ne les effrayait ni l’une ni l’autre. L’amour n’était plus le seul ciment de leur couple. Elles étaient liées par ce que chacune apportait à l’autre en retour, un pacte du diable qui ne disait pas son nom. Callixte était une navigatrice confirmée et elle savait se débrouiller sur un bateau. Elle voyageait en échangeant son expérience contre une bannette. Dans ce milieu d’hommes elle était appréciée, elle savait leur en imposer dès le départ en les maintenant à une distance ferme mais également en les impressionnant par son endurance, son courage et son insolente maîtrise de la mer et de ses éléments.
Callixte avait proposé ses services au capitaine, Clara n’était ni le commandant, ni la propriétaire du trois mâts, elle n’était qu’un membre d’équipage parmi d’autres matelots plus aguerris qu’elle. D’emblée elle avait remarqué le caractère affirmé de cette brunette, elle-même avait dû s’imposer fermement et elle ne pouvait ignorer que le machisme ambiant obligeait les femmes à se montrer parfois brutale pour gagner leur place sur le pont. Elle ne mit pas longtemps à la dévorer des yeux et à la frôler dès que l’occasion s’en présentait. Elle était troublée par cette femme au physique et au tempérament virils, à cette douceur qui se dégageait de chacun de ses gestes. Quand elle la touchait Clara était dans une transe incroyable, cette femme lui procurait des émois indescriptibles.
Callixte faisait semblant de ne rien remarquer pourtant combien de fois lorsqu’elle effectuait des nœuds les mains de Clara terminaient invariablement sur les siennes, toujours par hasard bien évidemment. Un soir alors que tout l’équipage était parti en virée sur la rade du port, Callixte et Clara s’étaient retrouvées seules à bord à garder le navire, les beuveries et les prostituées trop peu pour elles. Elles avaient dîné en tête à tête sur le pont, laissant enfin libre cours à leur féminité.
Leur vie sur le voilier ne leur permettait aucune coquetterie et pour une fois elles avaient chacune dénoué leurs cheveux qu’elles avaient longs et habituellement coiffés en chignon ou en natte. Callixte avait surligné ses yeux d’un trait de khôl et Clara portait des bijoux aux mains et autour du cou, habituellement prohibés pour les manœuvres en mer. Cette intimité d’un soir entre les deux femmes hâta de les rendre complices mais également plus proches physiquement l’une de l’autre.
La lune brillait puissamment, l’argenté de ses reflets dans les vagues rendait l’atmosphère féerique. Chaque ombre se découpait, on y voyait presque comme en plein jour. Elles avaient débarrassé la table, lavé, essuyé et rangé la vaisselle. L’ancre était jetée, le balancement du voilier les berçait doucement. Elles s’étaient installées sur le pont pour la nuit, elles dormiraient à la belle étoile sur leur matelas posé à terre. Un frôlement de main, une caresse sur un bras, un baiser furtif sur les lèvres, Callixte n’avait pas bronché, elle était restée passive face aux agissements de Clara. Comment interpréter ce manque de réaction ? Un encouragement à aller plus loin ? Une sidération ? Un silence poli pour ne pas froisser sa coéquipière ? La peur de la nouveauté ? Il ne pouvait plus s’agir du hasard, Clara avait montré son désir peu équivoque pour Callixte.
– Je peux me coller à toi pour dormir ?
– Non je préfère que tu gardes tes distances, ce n’est pas une bonne idée.
– Ne dis rien, surtout, je ne veux pas l’entendre ! La promiscuité sur le bateau t’a fait perdre la tête, tu as eu un moment d’égarement, c’est tout !
– Tais-toi Clara, tu vas dire une bêtise que tu vas vite regretter. Ne gâche pas ce bon moment que nous passons ensemble.
– Moi aussi, je me sens bien avec toi. En fait depuis que j’ai embarqué je ne sais plus où j’en suis avec toi.
– Oui. Tu me tournes sans cesse autour, toutes les occasions sont bonnes pour que tu me touches. Parfois je me dis que je me fais des films, que tout ça c’est dans ma tête. Je ne suis pas attirée par les femmes mais toi c’est différent apparemment. En fait je ne me reconnais plus…
– Alors je peux te prendre dans mes bras ?
– Juste dans tes bras, je ne me sens pas prête à aller plus loin.
– N’y vois rien d’autre qu’un élan de tendresse, rien que de te sentir contre moi me transporte de joie.
– Que c’est bon de poser ma tête sur ton épaule !
– Que c’est doux de te respirer et d’être envahie par ta chaleur !
– Serre- moi fort s’il te plait Clara, j’en ai tellement besoin ! »
Elles s’endormirent dans les bras l’une de l’autre, pas même un chaste baiser ne fut échangé entre elles deux. Elles se réveillèrent avec les premiers rayons du soleil, les hommes n’allaient pas tarder à rentrer. La croisière se déroula ainsi entre escales et escapades, Clara ne franchit pas le cap entre amour et amitié. Callixte s’arrangea pour que dans leur intimité Clara ne puisse prendre aucune initiative. Elle contrôla de bout en bout leur relation. Elle avait vu clair dans la sexualité de Clara. Son homosexualité était trop refoulée pour qu’elle puisse se révéler au grand jour malgré les efforts désespérés de Clara mais aussi le fait que leur histoire prendrait fin en même temps que leur aventure marine. Clara n’en voulait pas à Callixte car celle-ci lui en donnait bien plus que Katy sur le plan physique.
La frustration qu’elle lui imposait rendait Callixte encore plus désirable aux yeux de Clara. Elle fantasmait sur l’amour qu’elles ne feraient jamais et elle se mettait dans des états incroyables d’excitation quand Callixte venait se blottir contre elle quand les gars étaient à terre. Elles se cajolaient pendant des heures, se caressaient les cheveux, le visage, s’enlaçaient sans que rien de sexuel ne vienne troubler leur jeu ni un mot rompre leur harmonie. Clara fondait littéralement de plaisir et ce fut un déchirement quand leur tour du monde prit fin. Katy de manière autoritaire avait cessé, au bout d’un an d’entretenir Clara dans son oisiveté, les mauvaises langues avaient laissé courir le bruit de leur rupture.
Clara avait été sommée de reprendre sa place dans le nid conjugal, peu importe son épanouissement et ses désirs. Elle n’était pas en position de négocier quoi que ce soit, l’argent était le nerf de la guerre et c’était Katy l’héritière, pas elle. Elle n’avait pas le tempérament de loup des mers comme Callixte et par confort elle renonça à s’opposer à sa légitime, préférant rentrer au bercail savourer le confort matériel plutôt que la précarité de la vie nautique.
Il n’y eut ni larmes ni déchirements entre Callixte et Clara, l’une continuait son périple vers des contrées lointaines pendant que l’autre rentrait au bercail. Heureusement il y avait Internet pour ne pas couper entre elles le lien. Callixte dès qu’elle en avait l’occasion envoyait de chaque port une carte postale virtuelle, osant par les mots et la protection qu’offrait l’écran exprimer pour Clara ses émotions enfouies. Clara qui depuis son retour végétait dans des missions d’intérim sans intérêt parce que Katy le lui avait imposé, fantasmait à loisir pendant la journée sur Callixte. Et la nuit pendant que Katy dormait, elle s’enfermait dans son bureau.
Sur la toile, elle voyageait de site en site, rêvant d’un nouveau périple avec sa bien-aimée. Un lien en amenait un autre et Clara découvrait, au fur et à mesure qu’elle surfait, des horizons insoupçonnés. Ces heures volées sur son sommeil étaient classées top défense, nul n’avait le droit de pénétrer dans son bunker, elle menait de front deux vies parallèles, l’ennui que procurait l’une exaltait la richesse que lui apportait l’autre.
Katy et Clara se croisaient, l’une se couchait lorsque l’autre se levait. Elles s’aimaient pourtant profondément mais elles n’avaient plus grand-chose en commun, le passé les liait plus sûrement que l’avenir. Katy néanmoins croyait encore en leur couple. Aussi pour le sauver, elle proposa à Clara de reprendre des parts dans une petite PME spécialisée dans la fabrication de voiliers. Elles iraient habiter près de l’Océan et qui sait repartiraient sur de nouvelles bases. Au lieu de les unir ce projet les sépara encore un peu plus. Katy s’investit à fond dans ce nouveau challenge, cette usine c’était son
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