Pourquoi est-ce que je suis là

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Pourquoi est-ce que je suis là


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Ce sujet est une demande d'aide , bienveillance et courtoise sont de rigueur.
Bon voila, je suis complètement paumé·e… Je me pose énormément de questions dans tous les sens en ce moment (enfin depuis toujours mais c’est pas simple…).Je suis complètement perdu·e vis a vis de mon identité de genre.
Je vais être honnête, je me sens de moins en moins bien avec les années qui avancent…
Je pense que je dois expliquer ma vie pour que vous compreniez pourquoi j’en suis à ce stade… Cela risque d’être long, parsemé de choses qui n’ont pas de lien direct surtout au début mais j’essaye de remettre le contexte..; désolé·e d’avance y’a des choses pas trop drôles… mais dont j’ai fais le deuil depuis longtemps !
Voila, je suis né·e il y’a 26 ans. “Filston” d’une petite famille rurale, je grandis vite. Trop vite. En avance sur les enfants de mon âge, j’apprends énormément de choses très vite. Mes centres d'intérêts étaient déjà bien différents à l'époque. A 2 ans, on me mettait devant des documentaires animaliers ou géographiques et on ne m’entendait plus. Les dessins animés? C’était pas pour moi.
Ma petite vie s’allonge, je grandis au sein d’une “bonne” famille bien qu’elle manque un peu d’ouverture d’esprit. Mais voilà, je commence à faire tâche. A 7 ans, on me détecte surdoué. Je comprends pas vraiment ce que ça veut dire, puis personne ne m’explique non plus étant donné que c’était peu connu à l'époque. Bref, tout ce que je comprends, c’est que j’attire l’attention et que (je cite) je ne suis pas “normal comme les autres”. Ça ne plaît pas à mon père, lui qui me répétait toujours “Fais ce que tu veux, mais je ne veux pas entendre parler de toi”. La situation est glaciale pendant quelques années, et il m’en a voulu d’être ce que je suis pendant longtemps, préférant passer du temps avec mon frère. Alors j’ai commencé à me recroqueviller sur moi même, gentiment, et essayant d’être normal·e pour que ça le soulage…
Puis viens mes 9-10 ans. Je commence à faire quelque chose dont je n’aime pas parler (et je vais expliquer pourquoi). Je commence à me travestir en cachette… Bien sûr, sur le coup, je ne voyais pas ça de cette façon là. En fait c’était plutôt simple, je me sentais à l'aise dans ses vêtements…Ce n’était même pas une question de se sentir fille à l’époque, juste j'étais bien.
Mais voilà, ma mère l’a découvert au bout de quelques temps. Elle m'a strictement interdit de faire ça, me brimant pendant toute une soirée et me disant que sinon elle en parlerait à mon père. Le lendemain, l'affaire était close, elle n’en a plus jamais parlé. Elle n’en a même jamais informé mon père.
Je m’en suis voulu longtemps, je pensais que je l’avais blessé parce que je n'étais pas attiré par les mêmes choses que les autres… Quel idiot·e. J'étais encore différent.
J’ai tenté de ne plus le faire, mais pourtant je me sentais bien… alors voilà, j’ai recommencé en cachette.
En grandissant, au début de mon adolescence, il m’arrive un drame inhumain. Un an d’enfer, de peur pour ma vie, pour celle de mes proches. Un an de peur d’être différent en d’en mourir (littéralement). Pire, on me traîne devant la criminelle pour témoigner de choses que je n’ai pas vu., me demandant de “trahir” une personne que je chérissait de ton mon coeur en le pensant innocent. J’avais 14 ans. Je deviens amorphe émotionnellement, vidé de mon être. Ne croyant plus personne, ne me confiant a plus personne.
Je me crée un faux-self, celui d’un gamin comme tout les autres. Un gamin qui sourit, qui est heureux. Mais aussi un gamin qui reste seul tout le temps. Personne ne devait savoir. Début de la fin.
En parallèle de ça, je commence à découvrir les amourettes. Rien de très fantastique avant mes 16ans. Mais voilà qu'à 16 ans, je rencontre une fille au lycée qui me plait. 1ere “vraie” histoire, ca match et sur le coup tout va bien, mais très vite quelque chose n’allait pas… Ce n’était pas elle je pense, juste, le “rôle d’Homme hétéro cisgenre” que je devais tenir devant elle et les autres, ça n'allait pas. J’aurais du mal a mettre des mots dessus, je dirais que ca ne me convenait pas… que c’était pas fait pour moi. Son regard qu’elle portait sur moi aurait dû me rendre content, mais honnêtement j’étais surtout mal à l'aise… pourtant elle était chouette et gentille. Mais de mon côté j'étais vraiment pas bien…Ça n'a donc pas duré. Mais voilà je ne devais pas être différent, personne l’aurait accepté alors je suis rentré dans le déni..
Le lycée commence à devenir dur pour moi, de par les relations sociales, le fait de croiser plein de gens etc.. J’ai fini par planter volontairement mon bac pour aller travailler à l'usine, je savais que ca aurait été le seul moyen. Là, je savais que personne ne me parlerait et je pourrais enfin limiter le regard des gens.
Mais voilà, tout ce que je traîne, le fait de ne pas m’écouter, de renier ce que je pouvais ressentir, de qui je pouvais être… Tout ça a un prix. Je m’isole, d’abord de mes amis d’enfance, puis de tout le monde. Quelque chose n’allait pas avec les rapports sociaux. Je me sentais incompris sans savoir pourquoi, ou du moins consciemment.
A 19 ans je m’effondre. Assez violemment d’ailleurs. Médicaments, alcool, voiture. Je passe les détails je pense que vous avez compris. 2 mois d’Hospitalisations, je fais passer mon état sur les horreurs que j’ai vécu auparavant. Je savais que ce n’était pas ça, que j’avais déjà fait le deuil de ça, mais je ne voulais pas l’avouer. Et encore moins à d'autres.
Alors je ressors, je déménage et vais vivre tout·e seul·e.
La je rencontre un homme “par hasard”, un homme bisexuel. Je ne m'étais jamais posé la question pour mon cas. Mais bon, peut-être que mon mal être venait de ca? Alors on essaye tous les deux, et la relation m’a vraiment plus… On était vraiment bien lui et moi… mis à part une chose. Ce problème de “regard qu’on me porte” était là encore. J’avais encore l’impression de ne pas être à ma place. L’impression de pas être ce qu’il fallait que je sois pour pouvoir m’épanouir. Je me suis rendu compte pour la 1ere fois que mon rapport avec mon corps me posait problème dans une relation… Malgré que je tenais a lui, ca n’a pas pu continuer… la situation le faisait souffrir à petit feu et je me sentais coupable. Encore plus. Alors tout s’est terminé malgré que ce soit ma plus belle relation. Mais je n’arrivais pas à avancer, à me débloquer malgré qu’il me plaisait…
Puis quelques temps plus tard, je rencontre une femme (désolé de l’expression) d’un soir. Dépistage ok, elle prenait la pilule, tout allait bien? Elle tombe enceinte. Elle avouera des années plus tard que c’était voulu de son côté sans que je le sache mais ceci est un autre problème.
Et là, tous mes états d'âme, rebelotte, je remets tout de côté. Je n'ai pas le droit de penser à moi, je vais être Papa de gré ou de force et c’est l’urgence totale. Alors avec mon ex, on tente de s’installer en urgence ensemble. Je lui dis que je suis bisexuel (ce que je voulais penser a l’époque). Grossière erreur, elle me l’a fait payer pendant très longtemps.
La grossesse avance, et moi je m’écroule. Je commence à me dire “pourquoi elle a le droit de porter l’enfant et pas moi?”. Je me fissure, me rends compte que je deviens jaloux·se d’elle sans le lui montrer. “Pourquoi a t-elle droit d’être une femme jusqu’au bout et pas moi?”. 9 mois de bonheur vis à vis de la naissance qui va arriver, et d’horreur vis à vis de la grossesse.
Puis notre enfant est né. Et la, j’ai vécu quelque chose d’incroyable. Je ne l’ai pas accouché, mais c’était tout comme. Je me suis senti poussé un instinct quasi maternel, à tel point que les “rôles” furent presque inversés. C’est moi qui devait laisser de la place à sa mère et non l’inverse.
A côté de ça, forcément la relation de couple n’était pas top. Je me sentais de moins en moins bien vis à vis des critiques qu’elle faisait sur mon orientation et de sa violence vis à vis de moi. Je vivais de plus en plus mal également le fait d’être à côté d’elle, de la voir s’appreter, de voir la façon dont les gens la regardait. Je devenais jaloux, pas des gens envers elle, mais de elle-même. Je m’enfermais dans la case d’homme hetero cisgenre pour que le couple tienne, pour que notre enfant ait deux parents. Elle savait que c'était pas vrai, mais tant que je jouais le jeu et que je ne parlais jamais de ca…
Mais voilà, je suis célibataire aujourd’hui. Perdu·e dans ce que je ressens, ce que je pense être… je fais un gros travail sur moi même pour essayer de me comprendre une bonne fois pour toute…
J’essaye de savoir ce que je suis, dans tout ce parcours chaotique. Je me demande si j’idolâtre la vie des femmes en général, ou si j’en suis vraiment une… Je me pose énormément de questions, trop de questions…
Dans un sens j’ai l’impression de ne pas m’accomplir avec ce corps. Non pas que je le déteste foncièrement, juste j’ai l’impression qu’il est comme “détaché” de moi… comme si ce n’était pas vraiment le mien… Que mon sexe est quelque peu “inutile” voir qu’il me frene dans mes relations… Je suis pas à l'aise avec lui, pourtant il est plutôt “en forme”... Je ne suis pas à l'aise avec la vision que les gens ont de moi, et avec l'être que je me suis crée·e …
Mais voilà, je sais plus quoi penser, ce que je suis pret·e a faire ou pas…
Je suis complètement perdu·e dans ce que je suis.
Je n’ai jamais vraiment pensé·e a ce que je voulais, et je n’ai fait que suivre ce qu’on voulait de moi…
J’ai l’impression, pour une fois, que j’ai besoin de m’écouter mais j’avoue avoir peur…
Habites-tu dans une (grande) ville, où il y aurait une assoc LGBT+ ?
Celle-ci pourrait être le cadre de rencontres d'échanges ?
Au delà du 1er cercle familial, as-tu ressenti une potentielle oreille bienveillante, une grand mère, un oncle?
Au boulot, ce serait à éviter, sauf si des personnes sont ouvertement LGBT+ ?
Pour le moment, dans la sphère boulot, rien ne presse, conserve ton dress code que tu as déjà adopté ?
Dans ton appart, tu peux te lâcher et tout tester ! en dehors de l'appart, ne change rien non plus !
Sans doute des Beto auront-ils d'autres suggestions !
Votre texte est tres emouvant et les questions que tu te pose sont loin d'etre anormale.
Concernant la detection de surdoué, aujourd'hui nous dirions HPI, je concidere que c'est la pire chose que l'on peut faire un un enfant, les parents sont souvent depassé par ça et "laisse aller" sans chercher a voir plus loin... Certains sautent une classe car trop "en avance" et se retrouve, le plus petit, le plus jeune et s'isole car psychologiquement, il leurs manque simplement du temps de vie. Et il se retrouve avec des consignes comme "Fais ce que tu veux, mais je ne veux pas entendre parler de toi" pour te cité.e.
Concernant l'adolescence, dès que l'on est plus emotifs/sensible que les autres, on en prend plein les dents (litteralement) si on passe en plus par l'etape appareil dentaire, chaque coup te dechire l'interieur de la bouche, un vrai bonheur... Etre jaloux des autres car ils sont normaux, ils ont l'air heureux? Serait on heureux en leurs resemblant?
Le temps nous montrera que non, pas plus, puis c'est quoi etre heureux?
Pour le lycée, j'ai trouvé ma voie (professionnel) donc ce point a été sauvé pour mon cas, mais je suis surement une exeption...
Pour moi le deni à cette epoque, c'etait le canabis principalement, alcool pour casser les mauvaises pensées. Comme toi éduqué pour etre un petit male...
Et puis quand tu debranche le cerveau, ça ce passe mieux au final, les imbeciles sont heureux, eux...
Mon coté bi lui a été blacklisté de facon magistrale, quelque derive par ci, par la et aujourd'hui, malgré mon acceptation de cet etat de fait, je ne suis pas sur d'etre capable de franchir le pas, je me sens enfant sur ce sujet...
Concernant ma vie de couple (20 ans deja), je suis tombé sur une nana... difference elle aussi, un coté garconne, elle ne supporte pas les filles car elles sont trop gnangnan, en surpoid, depressive et hyper-anxieuse... mais profondement bienveillante et empathe... une perle rare comme j'en avait jamais vu...
Je me suis retrouvé partiellement dans les emotions que tu as ressenti pendant la maternité, pour le coté positif en tout cas, un papa poule, j'ai pleuré un peut tout le temps et j'ai été le premier à le nourrir (apres 14h, madame etait dans un etat de fatigue absolue) mais comme elle a toujours partagé, je n'ai jamais été jaloux d'elle, elle m'a laissé la place qu'il me fallait pour etre heureux. (et non, moi non plus je ne connaitrai jamais le ressenti d'un accouchement, sniff... apres ca à l'air de faire rudement mal)
Mais revenons en à toi car meme si nos experiences rencontre des points commun, ils y a aussi des differences.
Ton enfance et adolescence, tu ne l'as pas choisi, tu l'as subis comme beaucoup de personnes ici. Si tu arrive à en faire le deuil... ça sera le mieux que tu puisse faire.
Quand a ta vie d'adulte, tu semble ne pas etre tombé sur quelqu'un de bienveillant et j'espere au moins que tu as toujours la possibilité de voir ton enfant puisque tu dit etre celibataire, car la, ca serai profondement injuste.
Pour la suite, il faut que tu te decouvre, que tu decouvre qui tu est! Tu est encore jeune et tu ne doit pas accorder d'importance au regard des autres, dit toi qu'au final, il t'ignore pour la majorité des cas. Tu peux donc exister pour toi.
Si tu pense que ton corps ne te correpond pas, essaye deja d'imaginer ton ideal. Et puis, une fois que tu as mis tout ca dans les bonnes cases, faudra passer par un professionnel du domaine, pour te permettre de mieux te decouvrir et peut etre d'amorcer une transition ou autre chose.
Je ne sais pas si je peux t'aider, mais en tout cas tu as mon soutien (maladroit?) et c'est important d'etre soi sans rancoeur ni regret.
Bon courage à toi et ne sombre pas dans l'obscurité.
Wow merci de ces réponses sincèrement...
Francois77, malheureusement je suis assez loin de la ville... Mais je garde ton idée qui est loin d'être irréalisable. Je pense que, comme tu le dis, j'ai besoin d'échanger de vive voix la dessus.
Surtout que voilà, dans la sphère familiale c'est très centré "vieille France rurale" donc ils méconnaissent beaucoup tout ce qui a un lien avec les LGBT+. A vrai dire, je pu ouvertement faire mon coming out a un seul membre de ma famille mais il est encore bien jeune pour échanger de fond en comble.
Chez moi, j'ai de plus en plus de mal à me lâcher justement ^^' comme si ce que je pouvais faire m'apportait un sentiment d'incompletion...
Alors du coup, je n'ai pas approndi la question HPI mais en effet c'est plus ou moins ce qui s'est passé. Ca a été maladroit de la part de mes parents, mais je ne leur en tiens pas rigueur. Compliqué d'avoir les clés en main quand on sait pas trop de quoi on parle...
Mais j'ai ce sentiment que mon côté HPI joue une rôle important sur mon identité de genre et mon orientation et je pense que la piste est a explorer pour une future introspection ^^
En fait je te rejoins sur un point où, comme tu le dis, j'ai eu tendance a débrancher mon cerveau et mon coeur pendant ma jeunesse... Arriver à l'âge adulte, je n'ai pas vraiment pu me poser les questions que j'aurais du me poser du coup, j'en arrivé là ^^' Mais tout ça j'en ai fais le deuil, c'est plus l'avenir qu'est source d'angoisse pour moi ^^'
T'as l'air d'avoir une nana en or 👍 et franchement je suis sincèrement content pour toi (vraiment ^^).
La grossesse a été un passage dur pour moi c'est vrai, surtout que c'était au début du covid donc bon, j'ai été mis à l'écart indirectement mais jamais je ne le regretterais !
Mon enfant est toujours avec moi, sa maman n'est ni en possibilité ni en volonté de l'elevé... Peut être que c'est pour ça aussi que c'est aujourd'hui que je me pose vraiment ces questions plutôt que de les mettre de côté^^' Je me retrouve à assurer un double rôle sans l'avoir voulu ^^
Ca et le fait qu'après la relation toxique que j'ai eu, je pense que je veux vraiment penser à ce que je veux avant de penser à ce que je peux apporter à quelqu'un...
Et même si ma recherche d'identité est quelque chose que j'ai toujours eu, je pense que tout ça ne fait qu'exacerber mes questions.
Je me rends compte que c'est pas facile de légitimé ses choix quand ça touche a l'identité.
En tout cas merci beaucoup pour les réponses et les pistes de réflexions, je ne sombre pas justement... Le fait que, pour la 1ere j'en parle me fait du bien.
Je suis rassuré.e sur le fait que je puisse être accepté par des personnes, peut importe ce que je puisse ressentir alors merci beaucoup ^^
Salut, je ne sais pas si cela pourra t'apporter quelquechose de le savoir mais je suis arrivé ici avec les mêmes questionnements que toi, et je me reconnais beaucoup en toi.
Enfant j'étais très en avance sur les autres, je m'intéressais à des choses qui n'étaient pas de mon âge. J'etais très studieux. Ça s'est gâté au collège en même temps que les relations sociales me sont devenues très compliquées. J'etais mal avec les filles mal avec les garçons j'étais à part et me sentais rejeté et incompris.
Je suis attiré par les filles mais je ne me sens pas à l'aise en tant qu' "Homme hétéro cisgenre” comme tu dis.
Au lycée je me suis sabordé et j'ai commencé à faire des boulots qui n'avaient aucun sens pour moi et ne m'ont jamais plu. Je suis papa aussi et je me suis découvert un instinct maternel hors du commun à la naissance de mon enfant. J'ai édité ce passage car le sujet est sensible. Je me suis aussi construit une image de gars hétéro banal non sans efforts et en me sentant mal tout durant notre relation. Je ne sais pas si j'ai vraiment fait illusion auprès de ma famille et de ma belle famille. Maintenant je suis séparé.
Je me sens pas très à l'aise non plus dans mon corps. Je ne le déteste pas non plus mais je m'en sens détaché pour reprendre ton expression.
Et je me demande aussi si il n'y a pas un lien entre le fait d'être hpi, hpe, et ce que nous sommes nombreux(ses) à ressentir dans notre identité de genre. Je n'ai jamais été diagnostiqué mais je me sens extrêmement sensible et je vois une psy depuis peu et je compte aborder le sujet prochainement. J'espère qu'elle ne va pas me rire au nez.
Une chose est sûre c'est que vos témoignages m'aide vraiment ^^
Le fait de ne pas me sentir "anormale et seule" me permet d'accepter ce que je peux ressentir...
Comme toi, je me sens distant, coupé de mon corps et c'est une sensation vraiment troublante de donner l'ordre de bouger a un de ses membres sans pourtant le reconnaître réellement ^^
Je pense vraiment que la thématique de la douane peut jouer un rôle dans tout ça... De plus en plus de professionnels tendent à dire que l'état du HP est rarement stable ou court de sa vie, vacillant entre HPI et HPE.
J'ai un peu ce sentiment en ce moment, comme si j'ai créer ma petite bulle de HPI brisant
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