Plan bdsm cors en pleine fort

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Cette fiction encourage les relations BDSM sûres, saines et consensuelles. Pour plus d’information, merci de lire la page A propos .
Ce passage s’inscrivant dans l’ensemble d’un récit, je vous invite à commencer par le chapitre 1.1 .
Mon avenir est scellé, je lâche le stylo qui vient d’ajouter ma signature à côté de celle de ma maitresse. Elle disparaît quelques minutes et me dit à son retour :
–         L’original est à l’abri dans le coffre. Voici ta copie pour que tu puisses l’étudier en détails. Tu n’es maintenant plus maîtresse (un petit sourire apparaît sur son visage), c’est le cas de le dire, de ta vie.
–         C’est un grand honneur pour moi de vous appartenir Maîtresse Claire, merci de m’offrir cette chance.
–         De rien, surtout que je compte bien profiter de toi. Je souhaite tout de même te prévenir, maintenant que tu es esclave à plein temps, je serai bien plus exigeante et stricte avec toi. Je vais te ramener à l’université et tu auras une heure pour prévenir ta famille et tes amis que tu vas être indisponible pendant quelques temps, pourquoi pas un long voyage professionnel dans un pays du tiers-monde. Tu ne seras plus autorisée à les contacter ensuite. À ton retour, on passera aux choses sérieuses.
Elle me tend des vêtements, assez classiques. Cela me rassure, elle aurait pu m’habiller de façon nettement plus gênante. Une fois arrivées devant le bâtiment, bien moins animé que durant l’année académique, je la remercie et me dépêche de partir. Le temps va être serré avec les transports publics.
Sur le chemin du retour, je commence à me demander dans quoi je me suis lancée, surtout après avoir passé une demi-heure à mentir à mes proches. J’ai honte. Le bus arrive et je vois toujours la voiture de ma maîtresse, je suis donc dans les temps. Elle arrive quelques minutes plus tard avec un grand sourire. Elle ouvre le véhicule et, une fois entrée, elle me dit :
–         Je me suis arrangée pour t’obtenir un rendez-vous immédiat, on va directement chez l’esthéticienne pour ton épilation. Dès ce soir, ton sexe et tes aisselles seront dignes d’une esclave.
Le voyage est long, surtout lorsque ma maîtresse ne parle pas, et je sais qu’elle ne souhaite pas m’entendre lorsqu’elle conduit. Alors que je pense à l’épilation que je ne vais pas tarder à subir, je commence à descendre ma main au bas de mon ventre. Je la passe sous mes habits pour atteindre mon pubis, pas parfaitement lisse je l’avoue. Je me touche pour sentir une dernière fois cette zone encore naturelle, bien que fréquemment épilée. Avant même d’y être, je reçois une gifle douloureuse et j’entends :
–         Tu te caresses le sexe sans autorisation maintenant ? Tu penses que c’est un comportement d’esclave ?
–         Non Maîtresse Claire, je ne me caressais pas, je voulais sentir une dernière fois mon pubis avant l’épilation Maîtresse Claire, je suis désolée.
–         Si nous avions le temps je te l’aurais fait sentir à coup de martinet.
–         Désolée Maîtresse Claire, je m’excuse.
–         Et ne te préoccupes pas, tu auras encore l’occasion de caresser un vrai sexe, un sexe magnifique et naturel lorsque tu me donneras du plaisir. Et pourquoi pas celui d’autres femmes ou esclaves de temps en temps.
–         Oui Maîtresse Claire, merci.
Nous nous arrêtons enfin et nous sortons de la voiture. Après quelques mètres, nous entrons dans le bâtiment alors que je suis en train d’imaginer comment cela va se passer. Je suis sortie de mes pensées lorsque l’esthéticienne nous accueille de façon très directe :
–         Bonjour Mesdames. J’ai du annuler plusieurs rendez-vous pour vous alors dépêchez-vous.
Celle-ci nous conduit rapidement dans une autre salle et m’invite à m’installer. Elle commence par me passer une pommade froide sur les zones à épiler, donc mon sexe et mes aisselles. L’opération au laser commence ensuite, la sensation est étrange mais pas si désagréable, cela mêle la chaleur du laser au froid de la pommade.
L’opération est vite terminée et elle ajoute :
–         C’est tout pour aujourd’hui, il faudra faire plusieurs séances pour que l’épilation soit parfaite. Et la prochaine, ne prenez pas rendez-vous aussi tardivement.
À peine habillée, j’ai pour consigne de remettre mes lentilles. Cela faisait quelques temps que je n’avais plus eu besoin de les porter, et cela ne manquait pas. Cela semble facile quand on n’a jamais essayé, mais cela devient très vite difficile psychologiquement de ne jamais voir le monde autour de soi. Mais j’ai accepté cette vie, j’obéi donc et remercie ma maîtresse pour ce traitement. Elle ne manque pas de répondre un petit « de rien ma chère » pour me narguer. Une fois dans la voiture, j’essaie tout de même de lancer une discussion pour que le trajet soit plus agréable :
–         Cela fait longtemps que vous pensiez à l’esclavage plutôt qu’à la soumission Maîtresse Claire ?
J’entends un soupir avant qu’elle réponde :
–         Tu penses que le voyage sera moins pénible pour toi avec un bâillon bien serré ?
–         Non Maîtresse Claire, je m’excuse.
Le reste du voyage se passe en silence, comme elle l’apprécie. De mon côté, j’essaie d’imaginer ce que vont penser les gens qui verront mon sexe lisse à l’avenir.
Une fois arrivées, après avoir enfin retrouvé ma vue, elle me demande immédiatement de l’attendre nue à la cave. Elle me rejoint quelques minutes plus tard avec une paire de ciseaux, un rasoir électrique et un rasoir classique accompagné de mousse à raser. Elle reprend :
–         J’espère que tu n’es pas particulièrement attachée à ta coiffure Sophie ? Tu vas commencer à te couper les cheveux aux ciseaux. Tu continueras au rasoir électrique et je t’aiderai à finir avec l’autre rasoir.
–         Vous souhaitez que je coupe tous mes cheveux Maîtresse Claire.
–         Euh bien Maîtresse Claire, merci.
Je commence à me couper les cheveux assez près de leur racine, larmes aux yeux. Elle reprend la parole, pour me consoler j’espère :
–         Tu sais, c’est difficile pour moi aussi. Je sais que tu ne penses qu’à toi mais comment je ferai moi pour te tirer par les cheveux maintenant.
–         Je ne sais pas Maîtresse Claire, je suis désolée.
Ma tonte, oui je pense que l’on peut appeler ça comme ça, avance et ma maîtresse vient m’aider pour terminer. Elle me rince (intégralement) au jet d’eau, eau qui est glaciale comme d’habitude. Une fois propre, elle reprend :
–         Il faut que tu te voies, restes là je vais te chercher un miroir.
Pendant sa courte absence, je passe ma main dans mes cheveux, enfin là où ils auraient dû être, et j’y trouve un crane parfaitement lisse. Je suis presque dégoûtée par cette sensation. De retour, elle me place la glace en face de mon visage. En me voyant, j’explose en larmes :
–         Mais je suis affreuse comme ça, pourquoi m’avoir fait ça maîtresse… Maîtresse Claire.
–         En tant qu’esclave tu n’es pas là pour être belle ou séduire, donc la présence d’une chevelure n’est pas essentielle. Je n’ai pas encore décidé si tu serais tondue régulièrement ou pas, mais si tu ne souhaites pas être tondue régulièrement, tu ferais mieux de te calmer. Plus tu seras attachée à ton esthétique, plus il sera maltraité pour que tu n’y prêtes plus attention.
–         Mais vous au moins, Maîtresse Claire, vous me trouvez belle comme ça ?
Son ton change et elle commence à s’énerver :
–         Je ne pensais pas avoir à te rappeler ça, mais apparemment tu ne me laisses pas le choix. Tu n’es pas mon amante, tu es mon esclave. Tu es là pour me servir, pas pour me plaire. Maintenant nettoies cette cave, c’est dégoûtant et ça sent mauvais. Je reviens dans un moment, tu as intérêt à ce que ce soit propre.
Je reste seule avec mes restes de cheveux, sexe et crâne lisses. Ne sachant pas quand elle sera de retour, je nettoie rapidement à grands coups de jet. Je me place à genoux à l’entrée de la cave pour l’attendre.
Elle revient, je ne sais pas combien de temps après être partie puisqu’il n’y a ni horloge ni fenêtre, mais cela doit être environ 30 minutes après que j’aie commencé à l’attendre. Elle reprend directement la parole :
–         Je ne sais pas si tu as réellement compris ce que je te demande. Puisque tu es de nature dissipée, je vais m’assurer que tu réfléchisses bien au contrat que tu as accepté. Lève-toi maintenant.
À peine debout, elle commence à m’attacher avec une longue corde. Pas de fantaisie dans la façon de faire, simplement de nombreux passages autour de mon corps, bien serrés. J’ai l’impression d’être momifiée. Elle reprend avant d’avoir terminé son travail :
–         En tant qu’esclave, tu dois accepter toutes mes décisions concernant ta vie, en particulier celles concernant ton physique, et t’exécuter immédiatement, sans penser aux conséquences ou aux raisons. Je peux te rendre obèse ou extrêmement maigre, te faire subir une augmentation de la poitrine ou une réduction, te refaire ton nez, tes lèvres, … tu n’es pas là pour être belle ou pour que je sois amoureuse de toi, tu es là pour subir mes envies, mes caprices et me faire plaisir. Si un jour je veux te prostituer, tu le feras avec plaisir car c’est mon souhait. Si tu t’attends à ce que je tombe amoureuse de toi, il vaut mieux arrêter avant que tu sois marquée.
Je ne comprends pas vraiment ce changement soudain. Je sais que je suis son esclave et pas son amante, mais j’avais l’impression qu’elle aussi était en train de développer des sentiments à mon égard. Son bondage étant terminé, elle m’allonge sur le sol et s’éloigne de moi. Elle revient rapidement et ajoute :
–         Tu vas avoir un bon moment pour penser au contrat que tu as signé. Lorsque je reviendrai te libérer, ce sera pour aller te marquer alors tu feras mieux d’être sûre de toi.
Elle me colle des électrodes au cou et reprend :
–         Des décharges à intervalle irrégulier vont éviter que tu ne t’endormes au lieu de réfléchir. Si tu sens un tube dans ta bouche, ça sera pour te nourrir ou boire. Si tu as besoin de faire tes besoins, je te conseille de ne pas te retenir. Je ne sais pas encore dans combien de temps j’estimerai que tu auras assez médité. Tout compris ?
–         Tu veux relire le contrat encore une fois ?
–         Non merci Maîtresse Claire, je le connais.
Elle insère ensuite des écouteurs dans mes oreilles et me fixe une cagoule. Elle vient ensuite fixer un ajout à la cagoule qui couvre les ouvertures des yeux. Un gros bâillon boule vient finalement s’ajouter au tout. Quelques secondes plus tard, j’entends par les écouteurs la voix de ma maîtresse lisant notre contrat. Les premières décharges électriques ne tardent pas et engendrent un mouvement brusque et incontrôlable de mon cou. Pendant la deuxième lecture du contrat, ma tête est relevée et je sens un gros collier se fixer autour de mon cou. Il se serre peu à peu puis je reçois une décharge, plus importante que les précédentes. Mon mouvement est nettement plus limité. Un doigt se glisse entre mon collier et mon cou, se retire et le collier se resserre encore un peu plus. Je reçois immédiatement une autre décharge qui n’engendre aucun mouvement de ma part malgré sa forte intensité. Des décharges, plus faibles heureusement, reprennent périodiquement. J’ai peu à peu perdu le compte du nombre de lectures du contrat. Je profite tout de même de la situation pour y réfléchir comme demandé. Je dois avouer que je l’ai peut-être tout de même sous-estimé et que j’ai là une chance de bien évaluer les choses, surtout avant d’être marquée. Je pense à différentes choses comme être affichée publiquement comme esclave, ce que cela me ferait si je devais me montrer en soumission devant mes amies, voire ma famille. Je pense aussi à mon corps, je me pensais assez belle, je pourrai sans problème choisir un bel homme pour passer ma vie avec lui, ou une belle femme. Je me vois enlaidie par de nombreuses chirurgies effectuées juste pour le plaisir de ma maîtresse, avec une poitrine extravagante et des lèvres trop pulpeuses, le corps tatoué de motifs dégradants…
Mes pensées sont interrompues par le retrait de mon bâillon. Je n’ai pas le temps de comprendre ce qui se passe alors qu’un tube de deux ou trois centimètres de diamètre entre dans ma bouche. Je commence à sucer le contenu du tube, un liquide épais et chaud. Je soupçonne des petits morceaux de pain dans de l’urine. Je n’ai pas vraiment faim ni soif, j’arrête donc. Deux décharges bien plus fortes que les précédentes me rappellent à l’ordre. Je reprends immédiatement. Après en avoir avalé une certaine quantité, quantité que j’estime suffisante, je m’arrête à nouveau ce qui engendre deux décharges supplémentaires. Je comprends que je m’arrêterai lorsqu’il n’y aura plus rien, ce qui arrive un peu plus tard. Le tube est retiré de ma bouche et le bâillon rapidement remis en place. Les décharges d’intensité « normales » reprennent et je recommence à penser à ce qu’aurait pu être ma vie, mon travail, ma nourriture…
Ce petit jeu continue un certain temps, j’ai déjà été nourrie 6 ou 7 fois, toujours de la même façon, mais avec des quantités plus faibles, je crois. Mon repas est identique aussi, sauf qu’il est froid contrairement à la première fois. Je me suis déjà urinée dessus deux fois, j’essaie toujours de me retenir le plus longtemps possible, mais je finis par ne plus avoir le choix. Je commence également à bien sentir la fatigue, normal vu que je dois avoir passé la journée complète et la nuit comme ça. À force d’écouter le contrat en boucle, je le connais par cœur et je pense avoir imaginé l’intégralité de ma vie d’esclave plusieurs fois.
Je commence à sentir des mains sur ma cagoule. Certainement le moment de ma libération dans la mesure où je pense avoir passé suffisamment de temps à réfléchir. Le bandeau qui rend ma cagoule aveuglante commence à se lever d’un côté et « libère » mon œil droit. J’ai la surprise de voir Alicia et non pas ma maîtresse. Elle me fait un petit sourire et me dessine du doigt les lettres C L A I R E dans l’air. Elle indique ensuite qu’elle dort en inclinant son visage sur ses deux mains. Je n’ai donc pas passé plus qu’une partie de la journée dans cette situation et c’est déjà insupportable. Elle me montre ensuite l’appareil m’envoyant des décharges et le lecteur de musique en débranchant respectivement le câble de l’électrode et des écouteurs. Mes oreilles se reposent enfin, j’avais l’impression que j’allais devenir folle. Je réalise seulement d’une fois que c’est terminé à quel point c’était une torture. Cela me fait tellement bizarre de ne plus avoir de son dans mes oreilles, c’est tellement agréable. Elle me fait signe de rester silencieuse en mettant son doigt devant sa bouche et me retire le bâillon. Je lui chuchote immédiatement :
–         Desserre le collier s’il te plait, c’est vraiment désagréable.
Elle me colle immédiatement sa main sur ma bouche et me refait signe de rester silencieuse. Elle me montre le collier et me fait un signe négatif de la tête. Elle me regarde ensuite d’un air triste et me dit, ou plutôt bouge ses lèvres comme si elle me disait :
Elle me montre un grand verre dans lequel elle met le tube et place l’autre extrémité dans ma bouche. Je commence à en boire un peu, mais je n’en peux plus de cette mixture alors je m’arrête à la moitié de verre. Elle me regarde en me demandant toujours sans bruit de terminer le verre. Je lui fais comprendre que je peux plus, mais elle commence à me supplier, toujours avec des gestes seulement. À ce moment, elle regarde autour d’elle, retire le tube de ma bouche pour le mettre dans la sienne et termine le verre. Elle se montre dégoûtée mais sans que cela ne l’ait vraiment gênée. Elle me refixe le bâillon et me fais signe de me reposer. Je ne tarde pas à m’endormir.
Je suis soudainement réveillée par la voix de ma maîtresse et les décharges. Je suis à nouveau aveugle. Quelques minutes plus tard, mon bâillon s’ouvre et le tube revient. Je refuse une fois de plus de boire, mais les violentes décharges me rappellent à l’ordre, comme hier. C’est probablement le matin et c’est de nouveau ma maîtresse. Je m’exécute donc avec dégoût. Le bâillon est remis en place et je retourne à ma réflexion. Ce n’est qu’après trois « repas » aujourd’hui que les choses changent. Le bâillon s’ouvre à nouveau, mais il est suivi par mon bandeau et mon collier. Ma maîtresse m’enlève les électrodes , ma cagoule et les écouteurs. Elle me dit :
–         Tu as suffisamment réfléchi ?
–         Oui Maîtresse Claire. Je veux devenir votre esclave Maîtresse Claire. Merci de vous occuper de moi. Je veux vivre pour vous et par vous.
–         C’est bien. Et ne sois pas triste que ce soit déjà fini, tu subiras d’autres isolements, sûrement bien plus durs.
–         Merci Maîtresse Claire, tout ce qui vous fera plaisir.
–         De rien Sophie, c’est toujours un plaisir de te faire souffrir.
Je conçois que mon acceptation peut sembler bizarre, surtout après avoir réalisé que les traitements allaient devenir toujours plus durs et qu’elle n’avait pas l’intention de partager les sentiments que j’ai pour elle, mais je ressens ce besoin profondément en moins de lui faire plaisir, de la servir. Je commence à regarder autour de moi et découvre Alicia attachée mains au plafond. Ma maîtresse reprend :
–         Alicia s’est occupée de toi cette nuit, mais pas correctement alors elle est punie. D’ailleurs tu n’as pas quelque chose à m’avouer ?
–         Non Maîtresse Claire, je ne vois pas.
–         Ok très bien. Je lui ai fait boire 3 litres d’eau hier soir pour qu’elle te fasse boire son urine cette nuit, mais elle m’assure avoir essayé sans y parvenir. Je lui ai donc promis une belle punition si elle finissait par uriner avant le retour de sa maîtresse.
Elle marque une pause et reprend plus fort :
–         En plus elle aime tellement quand c’est moi qui la puni, n’est-ce pas Alicia ?
–         S’il vous plaît Maîtresse Claire, ne me punissez pas
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Une vraie définition du paradis

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