Partage le sperme
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Partage le sperme
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Le microbiote spermatique est encore trÚs peu connu malgré son impact sur la fertilité masculine.
Aha-Soft / Shutterstock
Des microbes dans le sperme ? La fertilitĂ© masculine dĂ©pend aussi de ce microbiote mĂ©connuâŠ
Published: August 11, 2022 6.38pm BST
âą Updated: August 13, 2022 6.54am BST
We believe in the free flow of information
bactéries
microbiote
fertilité
infertilité
micro-organismes
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Professeur des Universités, en Biologie Cellulaire et Biologie du Développement, Université de Lille
Jean-François Bodart does not work for, consult, own shares in or receive funding from any company or organisation that would benefit from this article, and has disclosed no relevant affiliations beyond their academic appointment.
Université de Lille and Université Lille Nord-Europe (ULNE) provide funding as members of The Conversation FR.
Depuis plusieurs annĂ©es, les constats sur lâĂ©volution de la qualitĂ© du sperme inquiĂštent dâautant quâelle semble aller de pair avec un taux de fĂ©conditĂ© en baisse. Une baisse devenue une prĂ©occupation mondiale âŠ
Une des questions les plus cruciales est de savoir si ce dĂ©clin sâexplique uniquement par des facteurs Ă©conomiques et comportementaux, ou si des facteurs biologiques peuvent Ă©galement ĂȘtre impliquĂ©s.
La diminution de la qualitĂ© du sperme fait partie dâune tendance plus large Ă la dĂ©tĂ©rioration de la santĂ© reproductive masculine, qui commence Ă dĂ©gĂ©nĂ©rer en une crise gĂ©nĂ©rale de fertilitĂ©. Sâil est dĂ©jĂ Ă©tabli que des facteurs environnementaux influencent nĂ©gativement la qualitĂ© du sperme , pour bien comprendre la situation, la comprĂ©hension de la biologie des spermatozoĂŻdes reste un enjeu crucial : avec lâimpact de lâenvironnement cellulaire, elles rĂ©servent encore des inconnues.
ConsidĂ©rĂ©s dans un premier temps comme des parasites contenus dans la semence, mi-vers mi-anguilles, les spermatozoĂŻdes ont Ă©tĂ© isolĂ©s puis reconnus comme des acteurs cellulaires de la reproduction chez le mĂąle au XVIIá” s . Mais ils ne sont pas les seuls⊠Depuis quelques annĂ©es, les milieux scientifiques constatent que dâautres cellules, non humaines cette fois, joueraient Ă leurs cĂŽtĂ©s un rĂŽle dans la fertilitĂ© humaine.
Dâinnombrables micro-organismes (bactĂ©ries, levures, champignons et virus) vivent dans tous les organismes pluricellulaires. Ils y constituent de vĂ©ritables Ă©cosystĂšmes que lâon appelle un microbiote, et dont les fonctions physiologiques sont un sujet dâĂ©tude depuis une vingtaine dâannĂ©es.
Ces micro-organismes vivent en colonies au sein de nombreux tissus : appareils digestifs et respiratoires (qui sont particuliĂšrement Ă©tudiĂ©s et bien connus du grand public) mais aussi nez, peau, etc. Pesant de 2 Ă 3 kilogrammes chez un adulte, ces communautĂ©s microbiennes intriguent. Et elles intĂ©ressent dâautant plus quâelles confĂšrent Ă chacun des caractĂšres uniques et sont susceptibles de varier au cours de la vie dâun individu. Elles seraient donc associĂ©es, pour certaines, Ă une bonne santĂ© et une longĂ©vitĂ© accrue.
LancĂ© en 2008, le Human Microbiome Project ( Projet Microbiote humain ) vise Ă caractĂ©riser la diversitĂ© de ces ensembles de micro-organismes et Ă explorer le lien entre la prĂ©sence ou la variation de ces communautĂ©s et le dĂ©veloppement de maladies. PrĂšs de 40000 articles ont Ă©tĂ© Ă©crits entre 2009 et 2021 sur le microbiote intestinal, qui constitue la plus grande masse du microbiote dâun individu adulte.
La dĂ©couverte de lâimportance physiologique de ces microbiotes a bouleversĂ© notre rapport Ă la santĂ© et ouvert des perspectives thĂ©rapeutiques nouvelles. La communautĂ© scientifique a donc commencĂ© Ă explorer les microbiotes dâautres tissus, moins Ă©tudiĂ©s en premiĂšre intention.
Le sperme et lâenvironnement testiculaire ne sont pas stĂ©riles, dans les deux sens du terme : ils contiennent, naturellement, de nombreux micro-organismes. Moins riche mais plus diversifiĂ© que le microbiote vaginal, il sâenrichit ou sâaltĂšre au cours de la vie dâun individu. Ces deux microbiotes revĂȘtent un intĂ©rĂȘt particulier dans les Ă©tudes de fertilitĂ© humaine .
Lâanalyse comparĂ©e de plus dâune cinquantaine dâĂ©tudes a en effet mis en lumiĂšre la complexitĂ© et les modifications du microbiote spermatique .
Initialement estimĂ©s par des techniques de mise en culture, les microbiotes sont maintenant analysĂ©s grĂące aux techniques de biologie molĂ©culaire pour accĂ©der aux gĂ©nomes bactĂ©riens. Les techniques de sĂ©quençage Ă haut dĂ©bit des gĂ©nomes ainsi que les progrĂšs en bio-informatique contribuent Ă la caractĂ©risation et lâanalyse de ces Ă©cosystĂšmes de micro-organismes et de leurs relations avec lâĂ©tat de santĂ© de leurs hĂŽtes respectifs.
Ces deux mĂ©thodes dâanalyse ont pu mettre en Ă©vidence lâexistence de types de bactĂ©ries diffĂ©rents dans le sperme chez les sujets fertiles et non fertiles.
Les mĂ©thodes de culture observent frĂ©quemment la prĂ©sence de Staphylocoques, dâEntĂ©rocoques, dâ Escherichia et dâ Ureaplasma . Les mĂ©thodes de sĂ©quençage rapportent, quant Ă elles, une abondance de Lactobacilles, Prevotella , Pseudomonas ainsi que dâautres pathogĂšnes opportunistes anaĂ©robies (micro-organismes vivants dans un milieu sans dioxygĂšne).
Ces rĂ©sultats illustrent sans doute les limites de ces mĂ©thodes de dĂ©tection , mais ne laissent pas planer de doute sur le fait que les spermatozoĂŻdes ne sont pas seuls dans les Ă©jaculatsâŠ
Deux origines sont admises. Lâune implique les voies gĂ©nitales hautes (incluant la prostate), lâautre des tissus Ă©trangers au systĂšme urogĂ©nital (lâappareil digestif, la cavitĂ© buccale, le sang ou le vagin), le partage de microbiotes entre les deux pouvant se rĂ©aliser Ă la faveur de relations sexuelles.
Plusieurs Ă©tudes rapportent une corrĂ©lation entre la prĂ©sence de microbes particuliers et la qualitĂ© du sperme . Ils seraient par exemple capables dâadhĂ©rer aux spermatozoĂŻdes et, partant, dâen modifier des fonctions â telle la mobilitĂ©, jusquâĂ les immobiliser.
Les effets rapportĂ©s sont trĂšs variables⊠La prĂ©sence de lactobacilles serait ainsi favorable aux fonctions des spermatozoĂŻdes, alors que les prĂ©sences de protĂ©obactĂ©ries, dâ Anaerococcus et de Bacteroides ureolyticus seraient davantage associĂ©es Ă des spermes de moins bonne qualitĂ©. Comment expliquer ces diffĂ©rents impacts sur les fonctions spermatiques ?
PremiĂšre possibilitĂ©, les micro-organismes pourraient avoir une action positive sur les fonctions du testicule mĂȘme⊠Mais, seconde hypothĂšse, ils pourraient agir comme des antioxydants : ils diminueraient la concentration des dĂ©rivĂ©s rĂ©actifs de lâoxygĂšne (ou espĂšces rĂ©actives de lâoxygĂšne, dont lâexcĂšs peut endommager les structures cellulaires) et diminueraient de ce fait la fragmentation et lâaltĂ©ration de lâADN.
Des Ă©tudes plus rĂ©centes dâadministration de probiotiques ont Ă©galement montrĂ© des amĂ©liorations de la concentration et la mobilitĂ© des spermatozoĂŻdes ainsi que des diminutions de la mort cellulaire ou de marqueurs dâinflammation . Pour autant, ces observations nâont pas Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es sur des populations suffisamment grandes pour que des conclusions nettes puissent ĂȘtre posĂ©esâŠ
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Une fois quâils ont pĂ©nĂ©trĂ© les voies gĂ©nitales fĂ©minines, les spermatozoĂŻdes doivent aussi se confronter Ă lâexistence du microbiote localâŠ
Peu dâĂ©tudes ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es sur les effets de cet autre microbiote sur le sperme, mais plusieurs rĂ©sultats indiquent tout de mĂȘme que les bactĂ©ries vaginales peuvent avoir des effets dĂ©lĂ©tĂšres sur la survie des spermatozoĂŻdes. Ainsi, si les lactobacilles auraient plutĂŽt un effet protecteur dans les voies gĂ©nitales masculines, leur prĂ©sence massive au niveau du vagin altĂšre la qualitĂ© du sperme et des phĂ©nomĂšnes dâadhĂ©rence et dâagglutination des spermatozoĂŻdes sont observĂ©s .
Dâautres mĂ©canismes cellulaires peuvent ĂȘtre dĂ©clenchĂ©s tels que la diminution de la mobilitĂ© cellulaire ou la destruction des spermatozoĂŻdes par apoptose. Cette mort cellulaire programmĂ©e pourrait ĂȘtre provoquĂ©e soit par interaction entre des molĂ©cules bactĂ©riennes et la surface de lâacrosome du spermatozoĂŻde (au niveau de sa tĂȘte, soit par lâaltĂ©ration de sa membrane .
Il a été suggéré que le microbiote vaginal puisse agir en discriminant les spermes de moindre qualité, puisque ces derniers seraient plus sensibles aux bactéries hébergées par les voies génitales féminines.
ConnaĂźtre le microbiote sĂ©minal et ses modifications permettrait de mieux comprendre lâimpact de cet environnement sur la qualitĂ© des spermatozoĂŻdes : est-ce que ces bactĂ©ries peuvent avoir un rĂ©el effet bĂ©nĂ©fique sur la qualitĂ© du sperme ? Selon leur nature, ces microbiotes peuvent-ils favoriser ou nuire Ă la fĂ©conditĂ© masculine ?
Le microbiote spermatique tend de plus en plus Ă ĂȘtre reconnu comme une cause potentielle dâinfertilitĂ©, mais trop peu dâĂ©tudes se sont focalisĂ©es sur ces aspects â qui restent par consĂ©quent controversĂ©s.
Il est donc nĂ©cessaire de rester prudent et que soit tranchĂ©e lâhypothĂšse offerte par ces Ă©tudes : si la prĂ©sence de microbiote est parfois corrĂ©lĂ©e Ă des Ă©tats pathologiques, le rapport de cause Ă effet nâest pas clairement Ă©tabli. Lâexploration des mĂ©canismes biologiques de ce compagnonnage spermatozoĂŻdes-microbes ne fait donc que dĂ©buter⊠Elle offre dĂ©jĂ , malgrĂ© tout, de nouvelles pistes diagnostiques ou thĂ©rapeutiques aux couples non fertiles.
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Biologiste, Immunologiste. Directeur de recherches au FNRS,
Université Libre de Bruxelles (ULB)
Merci pour ce trÚs intéressant article.
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17 août 2022 à 5h00 - Rim Hajjoui - Hardbacon
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Pour une Ă©niĂšme fois, un site de piĂšge Ă clics rejoue un article qui affirme que «des Ă©tudes» ont dĂ©montrĂ© que du sperme, câest bon pour la santĂ© des femmes.
Soyons clair, une fois pour toutes: non, avaler du sperme ne comporte aucun avantage nutritif. Zéro . Oui, il y a certains nutriments dans le sperme, mais le volume est beaucoup trop petit pour changer quoi que ce soit. Vous voulez que votre bien-aimée ait du potassium? Faites-lui une salade de kale (il y en a plus que dans les bananes, en passant ).
Ă date, le seul bienfait potentiellement associĂ© au sperme est que le systĂšme immunitaire des femmes enceintes exposĂ©es au sperme du pĂšre de lâenfant pourrait mieux tolĂ©rer la prĂ©sence de lâembryon (oui, le systĂšme immunitaire de la mĂšre doit apprendre Ă tolĂ©rer la prĂ©sence du foetus ). Câest tout (pas mal moins drĂŽle, hein, les boys?).
Cette idĂ©e que le sperme serait un antidĂ©presseur â parce que les femmes qui ont des relations sexuelles non protĂ©gĂ©es souffrent moins de dĂ©pression â provient dâune vieille Ă©tude qui nâa jamais Ă©tĂ© prise au sĂ©rieux par la communautĂ© scientifique (et en passant, encourager les femmes Ă avoir des relations sexuelles non protĂ©gĂ©es en faisant miroiter des effets positifs sur la santĂ© est extrĂȘmement irresponsable, dâun point de vue de la santĂ© publique).
Et comme le fait justement remarquer le site de sexologie de lâuniversitĂ© de Californie Ă Santa Barbara, aux Ătats-Unis, les hommes homosexuels peuvent rĂ©guliĂšrement ĂȘtre exposĂ©s au sperme et ont quand mĂȘme des taux dĂ©mesurĂ©ment Ă©levĂ©s de dĂ©pression et de suicide .
Alors, voilĂ , toute cette histoire est stupide, farfelue et fausse.
Mais ce dernier point amĂšne lâinspecteur viral Ă discuter dâun autre sujet: ces articles ont presque tous des airs sexistes.
Pourquoi dit-on que le sperme est bon pour la santĂ© des femmes, seulement? Pourquoi nâinvite-t-on pas les hommes Ă consommer leur propre sperme, si celui-ci est si bon pour la santĂ©? Pourquoi pas celui de leurs amis, tant quâĂ y ĂȘtre?
Dans lâarticle citĂ© plus haut, on parle dâune vidĂ©o du Discovery Channel, une chaĂźne scientifique amĂ©ricaine, qui affirme que le sperme a beaucoup de nutriments. Or, on omet bien sur de mentionner que la vidĂ©o affirme que lâurine et le mucus nasal (la morve) contiennent eux aussi des nutriments assez intĂ©ressants . Et on ne dit pas «hey, les filles, la morve, câest bon pour votre santĂ©!»
Bref, le seul but de ces articles est de convaincre les femmes que consommer du sperme, câest bon pour elles. Pourquoi? Bah, parce que câest de lâhumour de niveau cour dâĂ©cole. «Gna gna gna, on va convaincre les femmes dâavaler notre sperme, câest drĂŽle, parce quâon est des gars et tout le monde sait que les gars veulent toujours que leur blonde avale leur sperme, gna gna gna.»
Mouain. Lâinspecteur ose espĂ©rer que vous avez un meilleur sens de lâhumour que ça.
Avant de partager un article du genre, posez-vous dont deux questions:
VoilĂ , câest ce que lâinspecteur avait Ă dire lĂ -dessus.
Coprésidents du Mouvement Impact France
Ancien chef du département de médecine interne, hÎpital LariboisiÚre (Paris), professeur émérite de thérapeutique, Université Paris Cité
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Le rĂ©cit dâune femme de mĂ©nage, tombĂ©e enceinte et devenue riche aprĂšs avoir volĂ© un prĂ©servatif usagĂ©, a Ă©tĂ© inventĂ© par un site parodique.
« Cette femme a rĂ©cupĂ©rĂ© la capote dâun millionnaire dans la poubelle de sa chambre, sâest insĂ©minĂ©e son sperme, a accouchĂ© de son gosse, et le tribunal ordonne au mec de donner 2 millions de dollars Ă la mĂšre pour dĂ©dommager son absence quand elle lâĂ©levait sans lui. »
Ce message, publiĂ© le 10 novembre sur Twitter , a Ă©tĂ© partagĂ© plus de 24 000 fois sur le rĂ©seau social. Ici, lâinternaute relaie une histoire qui serait survenue aux Etats-Unis. En source du Tweet, on trouve un article du site anglophone nigĂ©rian Breaking Times titrĂ© ainsi : « Une femme de mĂ©nage qui a volĂ© le sperme dâun millionnaire dans un prĂ©servatif usagĂ© a remportĂ© une bataille pour une pension alimentaire ». Lâarticle, publiĂ© le 10 novembre, a Ă©tĂ© diffusĂ© par de nombreux autres internautes francophones .
Breaking Times donne quelques prĂ©cisions sur cette incroyable histoire : les faits se seraient dĂ©roulĂ©s il y a quatre ans ; la femme en question sâappellerait Jane et serait prĂ©posĂ©e au mĂ©nage dans un hĂŽtel de Las Vegas, aux Etats-Unis. Le site rapporte mĂȘme les « propos de Jane » Ă la barre du tribunal :
« Il a laissĂ© son relevĂ© de banque sur la table de chevet de son hĂŽtel et je lâai vu pendant que je nettoyais la chambre. A lâĂ©poque, je voulais tellement avoir un bĂ©bĂ© et jâai pensĂ© que ce serait mieux dâen avoir un avec un homme riche. »
Le site Breaking Times se prĂ©sente comme un mĂ©dia dâactualitĂ© dont l
Une beauté toute pùle et une grosse bite
Brunette aux gros se prend une bite bien profond
Une maman sévÚre avec son fils