Une maman sévère avec son fils

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L’enfant roi, c’est fini ! De plus en plus de parents, suivant les préceptes d’Amy Chua, la Tiger Mum sino-américaine, exigent de leurs enfants politesse et excellence scolaire. Faut-il s’inquiéter ou se réjouir de ce revival des vieilles méthodes éducatives ?
« Elever un enfant, c’est du dressage ! » lance Georgina, qui tient ce précepte de sa grand-mère et qui se définit elle-même comme une mère Tigre. Le terme, qui peut indifféremment s’appliquer aux deux parents, vient de traverser l’Atlantique avec la traduction du best-seller américain d’Amy Chua « L’Hymne de bataille de la mère Tigre » (Gallimard). Cette prof de droit à Yale explique avoir éduqué ses filles selon les préceptes chinois de ses origines, stricts et visant l’excellence. Elle l’oppose au modèle occidental qu’elle considère comme « trop permissif et voué à l’échec ». Quant à Georgina, plus modérée, elle n’irait pas comme Amy Chua jusqu’à laisser son enfant dans la neige en T-shirt parce qu’il ne connaît pas sa leçon de piano, mais elle s’insurge contre la dérive permissive et défend l’idée d’une éducation rigoureuse, à l’ancienne. Le pédiatre Aldo Naouri (1) ne lui donne « pas complètement tort » quand elle parle de « dressage » en matière d’éducation et relativise : « C’est simplement l’idée de la mise en place d’un système répressif par rapport à un système laxiste. » Le psychologue Didier Pleux (2) préfère, de son côté, le terme d’« apprentissage » plus que de « dressage ». Mais, au-delà des mots, tous sont d’accord pour estimer que, dans l’ensemble, les parents manquent trop souvent de sévérité. Sus à l’enfant roi, avec lequel la mère doit négocier à coups de bonbons ou de Lego pour qu’il accepte de finir ses carottes, place à la fermeté. Certains parents n’ont pas attendu les conseils de la mère Tigre pour rugir et éduquer leurs enfants avec plus de sévérité. « Jusqu’à il y a cinquante ans, on ne se posait pas de questions en matière d’éducation, on était sévères, comme l’avaient été nos parents avant nous. Avec Mai 68 et l’ère Dolto, on a lâché l’autorité pour plus de compromis, mais, depuis quatre ou cinq ans, on y revient », explique le psychologue Jean-Luc Aubert (3). Pour Marie, architecte, pas question de transiger avec ce qu’elle considère comme les fondamentaux de l’éducation : «Ma fille de 5 ans ne doit pas parler en même temps que les adultes, elle mange avec des couverts depuis ses 3 ans et sait mettre la table. » Des principes qui paraissent évidents, mais ne sont inculqués en réalité que par peu de parents.
Pour autant, la vraie différence entre une mère Tigre et les autres, c’est l’importance qu’elle accorde aux résultats scolaires. Marie a choisi une école très stricte. « Je ne veux pas faire de ma fille une bête à concours mais je ne supporterais pas qu’elle se montre fainéante. Je la stimule avec des livres éducatifs, en jouant avec les chiffres, en faisant des devinettes pour travailler son vocabulaire ou en l’emmenant dans des musées, et mon mari joue aux échecs avec elle. » Chantal, chef d’entreprise, elle, n’aime pas l’appellation mère Tigre mais reste ferme avec ses enfants : « Le sujet de l’école est important et sans discussion. J’ai toujours attendu de mes enfants une implication à la hauteur de la mienne et de celle de mon époux. Je surveille les notes, les carnets de correspondance, les copies, les remarques des professeurs. » Si les parents sévères sont aussi exigeants sur les notes, c’est, expliquent-ils, pour préparer au mieux leurs enfants à leur avenir. Mais tous ne sont pas conscients de la pression à laquelle cette culture du résultat peut soumettre les enfants. « Certains parents placent la barre trop haut, alerte Jean-Luc Aubert. Les enfants sont angoissés s’ils sont en dessous, la pression est un système qui fonctionne tant que les résultats sont là mais qui s’effondre dès qu’il y a une faille. Il faut qu’ils apprennent à être autonomes, ce qui est difficile quand on a été habitué toute sa vie à recevoir des ordres. »
Une question qui n’inquiète pas Amy Chua pour qui la pression est partout, même dans les activités extrascolaires. Elle veut, par exemple, faire de ses filles de vrais prodiges en musique, et n’hésite pas pour cela à faire travailler la cadette qui bute sur un morceau « jusqu’au soir, en sautant le dîner », ne l’autorisant « pas à se lever, ni pour boire de l’eau ni même pour aller aux toilettes ». Une méthode extrême, mais dont l’idée de base convainc Didier Pleux : « Comme la mère Tigre, je pense qu’un enfant n’excelle pas dans un projet sans frustration. Il peut choisir le sport ou la musique, mais doit se tenir à ce choix. » Un principe mis en pratique par Sybille, mère au foyer : « Ma fille fait six heures de natation par semaine. Elle voulait arrêter. J’ai insisté pour qu’elle s’accroche car je sais que ça lui fait du bien, elle est plus détendue. Ça n’a pas été facile de lui tenir tête, mais j’ai résisté et, au bout de quelques semaines, elle a compris et m’a dit qu’elle dormait mieux, qu’elle était moins angoissée. » Une méthode qui marche avec certains enfants, mais en a marqué d’autres. Emma, 25 ans, a vécu avec un père Tigre : « Il a toujours été d’une sévérité très rigoriste. Il est fils de militaire et, à la maison, ça devait marcher à la baguette ! Il n’a fait qu’imposer ses choix, me forçant par exemple à faire du piano, alors que je rêvais de jouer de la guitare. Résultat, j’ai arrêté dès que j’ai quitté la maison et je ne veux plus jamais entendre parler de Chopin ! »
Le vrai secret des mères Tigre pour imposer leurs méthodes ? La présence. Amy Chua répète combien elle s’est impliquée dans l’éducation de ses filles en étant tout le temps là. Marie, elle, ne sort pas le soir, car elle estime être déjà assez absente la journée pour son travail. Chantal et son mari n’ont jamais laissé leurs ados seuls pour un week-end. « On a fait beaucoup de choses avec eux, notamment des voyages, ce qui les a forcés à une certaine discipline, entre autres à manger de tout, à ne pas faire de caprices. » Sybillea même mis sa carrière entre parenthèses pour s’occuper de ses enfants : « Mon mari est absent toute la semaine, il me semblait compliqué de les laisser à des nounous. » Les mères Tigre s’imposent elles-mêmes beaucoup de contraintes. « Angoissées, elles veulent tout contrôler et pensent donner un maximum à leur enfant, mais c’est aussi une façon pour elles de lutter contre leurs propres peurs », analyse Jean-Luc Aubert. Et Aldo Naouri de préciser : « Les enfants de parents sévères vont reproduire la même éducation ou faire tout le contraire. » Ce que confirment nos mères Tigre, Amy Chua comprise. Et chacune de parler de leur propre expérience : « Moi, j’ai reçu ce type d’éducation et je pense que cela ne donne pas de mauvais résultats ! » raconte Marie. De son côté, Agnès, esthéticienne, a vécu la situation inverse : « J’ai été élevée par des parents très laxistes et j’ai souffert du manque de limites, j’ai été très angoissée, j’ai pris beaucoup de risques à l’adolescence. Du coup, je suis devenue réac ! La vie m’a montré que l’éducation n’est pas une équation mathématique qui arrive à un enfant parfait, mais je me suis efforcée de donner des règles à mes trois garçons. »
Autre constante des mères Tigre, le fait d’assumer leurs choix jusqu’au bout. Marina, médecin généraliste, n’a aucun doute sur ses méthodes et se sent légitime comme mère : « Je trouve qu’un enfant serré dans du barbelé grandit parfaitement bien. Avec mon mari, on se fait souvent traiter de réacs, mais je m’en fiche, on s’est éloignés de nos amis trop laxistes avec leurs enfants. » Sophie, styliste, divorcée, a dû accepter le rôle de mauvais flic : « Quand mes enfants sont chez leur père, c’est le Club Med. Donc, avec moi, la vis est serrée et c’est très bien comme ça. Même s’ils me trouvent coincée et sont parfois fâchés contre moi, je ne me pose pas de questions, car je sais ce qui est bon pour eux. » Aldo Naouri soutient la position de Sophie : « La meilleure disposition pour élever un enfant, c’est de ne pas avoir peur d’être haïs, et ce dans une société narcissique où le désir des parents d’être aimés est trop grand. »Alors, faut-il tous devenir des mères Tigre ? Ne le demandez surtout pas à Amy Chua, vous risquez d’écoper de douze tours du pâté de maisons en T-shirt sous la neige. Et si vous insistez, c’est au lit sans manger !
Eliane : «Je suis très ferme et mon mari aussi. Les soirées, par exemple, ne sont autorisées que pendant les vacances, et jusqu’à minuit maximum. Je m’assure aussi qu’il y ait toujours un parent, que je veux rencontrer, même si c’est pour une sortie au cinéma. Mes filles sont très studieuses. Avec mon fils, par contre, il faut surveiller ses devoirs. J’essaie d’encourager mes enfants, de les rassurer. Ils sont dans une école privée très stricte. En dehors des cours, nous avons imposé qu’ils fassent de la musique, mais chacun a choisi son instrument. Je fais très attention à leur langage et, quand un professeur punit, je me range de son côté. L’autre jour, Maeva était au téléphone au lieu de dormir, son père a balancé le portable à terre. Je tiens aussi à ce qu’ils aient une éducation religieuse et, deux fois par semaine, un abbé vient les faire travailler et discute avec eux, il est jeune et moderne et peut donc les aider aussi avec leurs problèmes personnels. J’ai arrêté de travailler pour m’occuper d’eux. » Ses enfants, Marine, 18 ans et Maeva, 16 ans : « Nous, on trouve notre éducation normale, ce sont nos copines qui nous disent que, chez nous, c’est sévère ! ». Maxime, 12 ans : « Maman est souvent derrière moi, mais c’estparce que je suis petit et irresponsable ! »
Caroline, directrice d'une PME, mère de Lucas, 6 ans : « Je suis une mère sévère, j’ai un petit garçon très actif qu’il faut tenir. Son père est encore plus ferme, mais, habitant en province, il n’est pas là au quotidien pour faire preuve d’autorité. Je suis à cheval sur la politesse, quitte à répéter plusieurs fois les choses jusqu’à ce que ça entre. Je n’ai pas peur de me mettre en colère, souvent on m’entend de loin ! Lucas est en CP et, tous les soirs et le week-end, on travaille sur les devoirs, mais aussi avec des livres de jeux éducatifs. Il a des cours d’anglais et de tennis, c’est important pour canaliser son énergie, il adore ça. Je ne prétends pas avoir la meilleure méthode d’éducation, je n’ai lu aucun livre de Dolto ou de Pernoud, je le fais à ma manière. »
Emmanuelle, éditrice et Thierry, ingénieur : « Nous sommes des parents fermes qui ont tenu à inculquer très tôt des valeurs comme la politesse, le respect des autres et la confiance en soi. Nous avons toujours encouragé nos enfants, avec l’envie qu’ils réussissent dans la vie, qu’ils aient un bagage solide pour affronter le monde. La télévision et les jeux vidéo ont été longtemps interdits, nous les avons poussés à avoir des activités extrascolaires, mais de leur choix. Par exemple, Damien a choisi tout seul d’apprendre le japonais, mais nous avons insisté pour qu’il continue à un moment où il songeait abandonner. » Leurs enfants : Raphaël, 20 ans : « Petits, nos parents nous ont beaucoup stimulés pour le travail dans les matières importantes, il fallait être dans les sept premiers de la classe. Mais ils nous ont toujours aidés pour les cours. » Natacha, 18 ans : « Ils ont été assez stricts sur les sorties, surtout l’année du bac, mais ça m’a plutôt servi ! » Et Damien, 15 ans : « A la maison, on ne plaisante pas sur les corvées. L’été, pendant un temps, il y avait même un planning des tâches à faire. »
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Expulsée de sa maison, une maman désespérée saute d’un pont avec son fils de 10 ans dans les bras...
Avoir un enfant à un jeune âge peut être effrayant, mais ce qui est surtout terrifiant c’est de penser que l’on devra élever cet enfant sans l’aide de personne. En effet, la charge morale, la responsabilité, la pression sociale ainsi que les innombrables factures qui accompagnent le rôle de parent célibataire peuvent être accablants et susciter un grand désespoir chez celui-ci.
Jessy Paola Moreno Cruz, une jeune maman colombienne résidant à Ibagué, Tolima en Colombie s’est retrouvée dans cette situation lorsqu’elle a eu un fils, May Nicolas Ceballos, à l’âge de 22 ans et qu’elle a dû l’élever seule. Elle n’a toutefois pas pu supporter toute la pression qui pesait sur elle et a fini par se suicider en sautant d’un pont avec son fils dans les bras.
Selon rcnradio, Jessy s’est séparée de son conjoint, qui n’était pas le père biologique de son fils, en juillet 2018 et cela l’avait « fortement affectée ». Le père biologique de son petit garçon, lui, les aurait abandonnés tous les deux alors que May était encore en bas âge. La rupture avec son partenaire aurait considérablement porté préjudice à sa stabilité financière.
Après sa rupture amoureuse, Jessy s’est donc retrouvée dans l’incapacité de subvenir à ses besoins ainsi qu’à ceux de son enfant. Expulsée de chez elle, la jeune maman se sentant incapable de poursuivre ainsi, a décidé de se suicider en sautant du pont La Variante avec son fils, May Ceballos dans ses bras.
Bien que les premiers intervenants aient essayé de la dissuader de sauter, la jeune maman déprimée a sauté dans le vide devant les yeux impuissants des pompiers, emportant son petit garçon avec elle qui la suppliait d’accepter l’aide des secours. Dans la lettre d’adieu qu’elle aurait laissé avant de mettre fin à sa vie, elle explique pourquoi elle a emporté son fils avec elle :
« Je ne peux pas supporter l’idée que quelqu’un pourrait te faire du mal à cause de ce que j’ai fait, je préfère qu’on s’en aille et qu’on oublie ce monde tous les deux »
La maman a également exprimé son grand désarroi face aux difficultés de la vie : « Je n’ai aucun espoir, j’ai été abandonnée et humiliée. L’homme censé m’aimer m’a laissée seule, très seule ». Pour Guillermo Alfonso Jaramillo, maire de la ville d’Ibagué, la mère aurait été dans l’incapacité de gérer la détresse ressentie suite à la pression continue de ses créanciers pour rembourser ses dettes.
Bien que la maman publiait régulièrement des selfies sur Facebook où elle paraissait heureuse et souriante avec son fils, elle
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La sexy Siren Tahlia

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