Oui, je suis une petite salope qui adore son entraineur

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Elle emploie trois personnes et élève sa fille seule. Chloé a 43 ans et elle est tombée amoureuse d'un homme de 13 ans de moins qu'elle. Elle raconte.
Questions à l'expert : Tout savoir sur l'attirance
Ils se détestaient, maintenant ils s'aiment profondément
En couple, notre santé mentale "se synchronise" avec celle de notre partenaire
Elles ont pris un amant (beaucoup) plus jeune
Pas peur de souffrir, elles ont renoncé à l'amour
L'ultimatum amoureux, un coup de poker risqué pour l'avenir du couple
Je suis tombée amoureuse de mon meilleur ami
8 couples heureux qui ont réinventé la vie à deux
"J'ai défendu mon homme jusqu'au bout"
Amoureuse d'un autre dix jours avant mon mariage
"Je suis tombé amoureux de la mauvaise personne"
Témoignages : Ils ont tout quitté pour une autre femme
Elles ont épousé leur premier amour

Pas mal comme histoire mais c'est un coup à se venger ! http://albatard.fr/

C'est drôle en lisant ce texte j'ai vraiment eu l'impression de me reconnaître ! Je suis une femme forte voir trop, j'aime bien dominer et contrôler la situation ! Professionnellement je suis plutôt dur à côtoyer, j'ai la lucidité de le reconnaître... Evidemment coté coeur c'est pas la panacée non plus du coup j'erre de rencontre en rencontre ( http://www.macougaramoi.fr/ ) assumant le statut de cougar de plus en plus difficilement.

Le regard des gens me fait mal, ils voient une femme mature avec un jeune homme pouvant être mon fils et ne comprennent pas la relation intense et sincère qui peut exister dans une rencontre cougar... Que faire ? me conformer un mode de vie plus classique mais plus saint ou bien continuer dans ce vice qui me rend heureuse ?

C'est drôle en lisant ce texte j'ai vraiment eu l'impression de me reconnaître ! Je suis une femme forte voir trop, j'aime bien dominer et contrôler la situation ! Professionnellement je suis plutôt dur à côtoyer, j'ai la lucidité de le reconnaître... Evidemment coté coeur c'est pas la panacée non plus du coup j'erre de rencontre en rencontre (http://www.macougaramoi.fr) assumant le statut de cougar de plus en plus difficilement.

Le regard des gens me fait mal, ils voient une femme mature avec un jeune homme pouvant être mon fils et ne comprennent pas la relation intense et sincère qui peut exister dans une rencontre cougar... Que faire ? me conformer un mode de vie plus classique mais plus saint ou bien continuer dans ce vice qui me rend heureuse ?

Du plus loin dont je me souvienne, j'ai toujours eu en moi ce que l'on appelle communément "l'esprit d'entreprise". Mes parents tenaient la seule boulangerie du village, autant dire que chaque habitant connaissait le boulanger, sa femme et ses enfants. Avec mon frère on a monté notre première "boîte" a 10 ans : nettoyage de voiture, intérieur-extérieur, moins de 2h, moins de 50 francs (oui, c'était en francs à l'époque). J'ai pensé, créé et dirigé ma première entreprise 100% girly au lycée : mutualisation de baby-sitters, CV impeccables, tarifs imbattables.

Aspirer à être fonctionnaire ou salariée, travailler pour un autre patron que moi-même, ce ne sont pas des concepts que j'assimile facilement. Depuis maintenant 8 ans que j'ai bouclé mes études, j'ai créé une entreprise de rédaction de contenu sur internet. Certains diront que je suis une véritable "control freak". C'est un peu exagéré... mais ce n'est pas complètement faux. J'aime gérer un progrès de A à Z, connaître les tenants et les aboutissants de mes décisions et assumer mes réussites et mes échecs. Alors oui, ma petite boîte devenue grande représente tout à mes yeux : c'est mon enfant, c'est ma vie. Je lui consacre sans sourciller mes congés, mes week-ends et mes (longues) journées. Et je m'éclate. Et je ne regrette rien.

J'avoue que je conserve une petite partie de mes nuits pour autre chose que mon entreprise. Tout de même, il faut bien vivre un peu ! Tout mon entourage me considère comme une business cougar qui collectionne les jeunes amants fougueux. C'est parfois vrai. J'aime la vitalité sans engagement de la vingtaine. J'apprécie le sentiment d'ascendant sur eux qui me permet de maîtriser la relation de A à Z. Comme au boulot en réalité. J'ai "l'esprit d'entreprise" dans ma vie sentimentale aussi ( http://www.bonjourmaman.net/ ).
[Mais pas seulement. Je sais aussi profiter des hommes de mon âge, et même parfois de collègues entrepreneurs de l'âge de mon boulanger de papa. Il faut savoir varier les plaisirs, et parfois apprécier de lâcher prise et de se laisser porter par l'inconnu et l'inattendu.]

Cougar une jour, cougar toujours......
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"J'ai toujours voulu créer mon entreprise . Et surtout rester indépendante. Ado, je ne veux pas me marier. Et pas plus avoir des enfants. Rien que le mot "maman" m'est insupportable. Je le trouve ringard. Je suis l' aînée de trois frères parfaits et hyper-brillants à l'école. Moi je suis le cancre. Je fais toutes les conneries. Je m'habille en jean troué mais, dans mon petit film intérieur, je me vois bien plus tard diriger ma petite équipe. Mon père répète que je ne suis pas comme les autres. Ma mère, universitaire, docteure en sciences de l'éducation, veille à ne pas employer certains mots qui pourraient me dévaloriser. Ils s'adorent. 
Mais, justement, je les trouve trop gentils. Je n'aime pas voir mon père se faire "bouffer" par des collègues qui veulent prendre sa place. Mes trois frères ont beau être têtes de classe, ils sont comme lui. En réaction, je me sens une vocation de "défenseure des opprimés". Dans ma vie personnelle, j'aime aussi les amoureux sans trop de bagages, qui n'ont pas encore une véritable vie derrière eux, j'aime les conseiller, les aider, les diriger. Un peu comme je mène ma vie professionnelle.
Aujourd'hui, à 43 ans, j'ai trois salariés. Je viens de racheter les locaux de mon agence à Biarritz. Et je ne compte pas en rester là. Après un BTS dans les assurances, à 21 ans, j'ai tout de suite commencé à travailler. Puis j'ai gravi tous les échelons. Très vite j'ai géré une grosse agence à Bordeaux. Des inspecteurs de la compagnie me repèrent et me disent : "Toi tu vas passer les tests pour être agent général . "
Pendant ces années je bosse beaucoup. Priorité à ma carrière. Mais je sors quand même pas mal. 
Un jour, mon gynéco m'annonce : "Vous ne pourrez pas avoir d'enfants." Je réponds du tac au tac : "En voilà une bonne nouvelle !" J'arrête la pilule. Deux ans plus tard, je me retrouve enceinte. Je n'y crois pas. Test. Et re-test. C'est pourtant vrai. Et tellement incroyable que je décide de garder le bébé. C'est une fille. On l'appelle Océane. Le père est aussi heureux que moi. Il veut qu'on se marie. Un an après la naissance, je dis oui. Ce n'était pas une bonne idée.
Nous nous séparons. Ma fille, je l'adore. Je l'élève seule. J'ai des amoureux qui passent. Mais aucun ne s'installe. Je ne veux pas d'autre enfant. Avec mon agence, je cours toute la journée. Entre la crèche, les clients, les relances... je suis un peu débordée. 
On me propose de prendre en stage un étudiant bac + 5 en finances. Je me dis : "Pourquoi pas ? il va nous aider dans l'organisation." Le premier jour, Stéphane arrive en costume-cravate. Il est très beau. Un peu grande gueule. Très efficace. Tout de suite, le courant passe. Lorsqu'on déjeune ensemble, avec l'équipe, je suis surprise par sa maturité. Il n'a que la vingtaine, et pourtant, il a des idées originales sur tout. Je sens à certains signes que, sexuellement, je ne lui suis pas indifférente. Il est intimidé quand il me parle, il rougit... Depuis trois mois, je ne sors avec personne. Mais j'arrête vite mon cinéma. Je me dis qu'à mon âge je suis ridicule, qu'il pourrait passer une soirée avec moi - le fantasme de coucher avec la chef -­, mais que cela ne durerait pas.
Les deux mois passent comme un éclair. Le dernier jour, je dois faire un aller-retour à Paris. Je vais rentrer tard et j'ai peur de ne plus avoir de taxi à la gare. Tout à coup, il lance : "Vous en faites pas, patronne, je viendrai vous chercher !" C'est une magnifique soirée d'été, je l'invite à prendre un verre. Puis on se promène sur la plage. Et comme je le taquine, il me prend dans ses bras et me jette dans les vagues. Cela finit en bagarre amoureuse. On passe ensemble une nuit extraordinaire.
Son stage est fini. Pendant six mois, il poursuit ses études, et très vite il trouve un poste dans une banque. On se voit les week-ends. Je profite de ces moments merveilleux. Le futur, je n'y pense pas. A l'agence, j'ai un employé qui adore tirer les cartes. Un matin, je lui lance : "Tiens, je suis avec un petit jeune !" Il étale son jeu : "Ça va être l'homme de ta vie. Vous allez avoir des enfants ensemble. ­Gilles, c'est pas possible. Qu'est-ce que tu me racontes ?"
A 37 ans, je ne me vois pas de nouveau enceinte. Ma fille grandit. Elle me suffit. Mais je sais que pour Stéphane, les enfants c'est très important. Ils jouent ensemble. Il lui parle, l'écoute, il est patient. Et très doux. A l'appart, il bricole. Et chez moi il y a du boulot ! Justement, je veux déménager. Au printemps, je commence à regarder les annonces et lui demande de m'accompagner pour les visites. Mais aucun appart ne lui plaît.
Je le soupçonne d'avoir envie d'une maison pour qu'on y emménage tous ensemble. Je fais l'autruche. Un soir, il me lance un ultimatum : "Je suis très bien avec toi, mais je veux construire une famille. Si tu ne veux pas d'enfant avec moi, je ne vais pas rester."
Je tombe enceinte, on se cherche une maison. Pour la financer, il vend son appart. Il veut aussi voir grandir sa fille. Le calcul est vite fait. Il gagne beaucoup moins que moi. A la banque, son boulot ne le passionne pas. Il demande un congé parental de trois ans. Avec le prix de la nounou, on est largement gagnants. Moi, cela ne me déplaît pas. Le matin, je pars à 8 heures, lui, il donne les biberons, fait les courses... En même temps, il retape entièrement la maison. La plomberie, l'électricité, il apprend tout sur Internet. Il m'épate. 
Rebelote avec notre deuxième enfant, Jules. Nouveau congé parental de trois ans. On revend la maison pour une autre, plus grande. Il est heureux, et ce que pensent les autres il s'en contrefout. Tous les deux, nous avons eu des parents soixante-huitards, engagés en politique, très bobos, qui nous ont appris à casser les codes. D'ailleurs, je trouve que tout a changé, même en province. Et ses copains l'envient plutôt. 
En fait, nous avons trouvé l'équilibre.
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