N'arrêtez pas la sodomie

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La moitié des Français a déjà pratiqué la sodomie*. L’autre moitié se questionne-t-elle ? Plaisir, jouissance, masturbation anale, précautions à prendre… Vous saurez tout sur la sodomie.
Sophie, 23 ans, était curieuse de découvrir le plaisir anal. Puisque l’occasion ne se présentait pas, elle a décidé de se lancer toute seule. Un sextoy plus loin commandé sur Internet, la jeune femme a tenté et… apprécié : « Je pouvais tout contrôler et ça me rassurait pour une première fois. J’ai trouvé les sensations très agréables », confie-t-elle. Pouvoir « contrôler », c’est ce que permet la masturbation, grâce à une connexion directe entre ses désirs et son ressenti. Exit les éléments perturbateurs : on va droit au but, on opte pour le rythme et les gestes qui nous conviennent. L’idéal pour se tester et apprendre à connaître son corps. Eléonore, 30 ans, a connu sa première sodomie dans les bras de son partenaire. Pour autant, elle invite régulièrement cette pratique lorsqu’elle se masturbe, avec un plug anal. Tout simplement parce qu’elle aime multiplier les sensations : clitoridiennes d’un côté, anales de l’autre. « Ce n’est pas parce qu’on parle sodomie que l’on doit imaginer que c’est sauvage et que ça joue forcément en duel, avec quelqu’un qui donne et quelqu’un qui reçoit », défend-elle. Que l’on soit intriguée ou tout simplement séduite par cette pratique, rien ne nous empêche de la vivre en solitaire ! Cela permet de prendre son temps et d’apprivoiser cette partie de son corps.
Les précautions à prendre en solitaire : on utilise un lubrifiant car l’anus ne lubrifie pas naturellement. Pour éviter la douleur et rencontrer le plaisir, il est donc préférable d’humidifier la zone. Autre conseil important si on se dirige vers un sextoy : le choisir avec un « manche courbé ». Comprenez que l’anus agit comme un aimant (pas de panique non plus) et qu’une petite carotte pourrait se retrouver absorbée ! (Bonjour docteur, j’ai un problème)
« J’en avais très envie mais j’avais peur que mon corps bloque », poursuit Eléonore. L’appréhension est chose commune face une nouvelle pratique. L’essentiel étant de se sentir en confiance et en accord avec son partenaire. Ensuite, la douceur est primordiale et ouvrira la porte du plaisir. L’anus demeure une zone fragile qui demande d’être traitée avec délicatesse. Autre point important : être excitée après des préliminaires dignes de ce nom. Passer le portail de derrière d’un coup sec sans que le corps ne soit détendu et la tête disposée à accueillir un nouveau plaisir, c’est prendre le risque de ne pas savourer. Laure, 34 ans, rapporte que la sodomie intervient toujours lorsqu’elle ressent une véritable déconnexion : « C’est quand je perds mes moyens et que je ressens le besoin de monter toujours plus haut que j’en ai très envie… Jamais je ne pense à la sodomie avant le rapport, ou à froid », précise-t-elle. On s’installe également pour une position adéquate dans laquelle on se sent confortable (pas simple de mêler poirier et sodomie). Les deux positions généralement recommandées sont la levrette et la cuillère. Une fois à l’aise, libre place à l’imagination.
Les précautions à prendre en duo : idem que lors de la masturbation, on a recours à un lubrifiant afin d’éviter la douleur. Et surtout, on se protège si on ne connait pas l’état de santé de son partenaire. La muqueuse anale est plus propice à la transmission des IST. Préservatif indispensable ! Une fois la sodomie terminée, on se lave la verge (ou on change de capote) si un petit tour par le vagin est au programme.
La muqueuse ano-rectale possède de nombreuses terminaisons sensitives donc oui au plaisir ! Cependant, elle ne présente aucun corpuscule de Krause, les récepteurs nerveux que l’on trouve sur le gland du pénis ou le gland du clitoris. Ainsi, logiquement, l’orgasme n’est pas « techniquement » possible. Mais notons qu’une zone, lorsqu’elle est longuement explorée (et fait du bien) a toutes les chances de devenir érogène. Et c’est en s’octroyant ou recevant des caresses parallèles (clitoris, lèves, vagin, seins…) que l’on peut croiser l’orgasme pendant la sodomie pour un max de sensations.
*Les pratiques sexuelles des Français, Ifop pour Marianne, Juillet 2014
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Si certaines femmes préfèrent le sexe anal à la pénétration vaginale, la grande majorité a du mal à parler de la sodomie. Une étude s’est penchée sur la question pour relater les grandes appréhensions concernant cette pratique. 
Menée par la chercheuse universitaire Kimberly McBride, cette étude de taille modeste parue dans le Journal of Sex Research analyse ce que pensent les femmes de la sodomie. Relayée par Terra Femina , elle concerne 33 femmes américaines avec qui la chercheuse a discuté de cette pratique sexuelle et de nombreuses pistes. Si beaucoup ont parlé de facteurs tels que la douleur ou de l’hygiène, d’autres réponses découlaient beaucoup plus de la dimension psychologique. En effet, chaque sexualité est différente et propre à chacun. Il existe d’ailleurs 10 choses pour lesquelles vous ne devez pas vous excuser pendant l’amour.
Si toutes les femmes interrogées se sont accordées à dire une chose au cours de cette étude, c’est qu’il est difficile d’assumer la pratique de la sodomie. Une femme de 27 ans anonyme questionnée déclare : « Je pense que c’est quelque chose que beaucoup de monde essaie mais personne n’en parle vraiment » L’étude analyse que le plaisir limité lié à la pénétration anale découle de sa stigmatisation. Une femme étaie ce phénomène avec un exemple : « Si un homme évoque le sujet, tout le monde va lui dire que c’est génial alors que si une fille lui dit qu’elle l’a déjà fait, elle va être traitée de fille facile » Un deux-poids-deux-mesures qui impacte forcément le plaisir. 
La majorité des participantes ont aussi révélé que cette pratique a été sous l’initiative de leur conjoint. Une des femmes raconte que « les hommes aiment presque tous ça ». « Pour moi, je ne l’ai pas fait parce que je le voulais mais parce qu’il me l’avait demandé. A partir de là, c’est juste quelque chose que tu fais , ce n’est pas pour mon plaisir mais pour le sien » Autre facteur qui participe au déplaisir lié à la sodomie : vouloir garder son partenaire. Cette crainte a souvent été évoquée lors de cette étude qualitative basée sur 33 Américaines. « Ces femmes vont faire ce qu’elles pensent devoir faire pour garder leur petit ami. S’il veut pratiquer la sodomie, elles le feront » déplore une jeune femme. Alors qu’il est complexe d’essayer de nouvelles pratiques à un jeune âge, la quarantaine serait l’apogée de la sexualité.
Alors que l’on pense que les femmes sont opposées au sexe anal, il existe une nuance. Elles appréhendent plutôt cette pratique. La raison ? La crainte que l’anus ne soit pas hygiénique. Autre cause de réticence, la douleur potentiellement engendrée par cette pénétration. Et pour cause, cette partie du corps ne s’auto-lubrifie pas et peut causer de l’inconfort. Le stress lié à cet acte pour la première fois participe également à ce côté désagréable. Les femmes interrogées dans cette étude en ont témoigné. « C’est terrible. J’ai essayé plein de trucs mais ça, vraiment, non » confesse l’une d’elles. Une autre ajoute : « Après un temps, on s’habitue et la douleur devient du plaisir » 
A la question : « Comment faire pour que la sodomie soit agréable ? » , les femmes ont répondu chacune leur tour. Elles ont, pour la grande majorité, recommandé de se détendre mais aussi de s’attarder sur les préliminaires. Et pour cause, cela participe à la détente qui fait partie des facteurs de réussite de cette pratique. Un partenaire à l’écoute est également l’une des clés majeures de la réussite de cette dernière. Il devra communiquer avec sa partenaire pour que le plaisir soit partagé. Alors que la sodomie est encore l’objet d’un tabou lié au jugement, cette pratique est au contraire pour certaines l’apogée du plaisir ou au moins un sujet de curiosité. 
Toutes les femmes interrogées s’accordaient à dire qu’elles appréhendaient cet acte. Seulement, l’idée du plaisir lié à ce dernier n’est pas totalement étrangère. Une des 33 femmes interrogées a une amie qui apprécie cette pénétration profonde. « Quand mon amie a essayé, elle a aimé presque immédiatement . C’était différent et nouveau » raconte-t-elle. Parmi les autres femmes interrogées, d’autres ont commencé à explorer cette piste. Une d’entre elles raconte qu’elle aime que son partenaire stimule son anus pendant la pénétration. « C’est une sensation très agréable » conclut-elle. De nombreuses idées reçues perdurent autour du sexe anal et la majorité sont fausses. Parmi elles : celle selon laquelle nous n’avons pas besoin d’utiliser un préservatif pendant cette pénétration. 
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La majorité des participantes ont aussi révélé que cette pratique a été sous l’initiative de leur conjoint. Une des femmes raconte que « les hommes aiment presque tous ça ». « Pour moi, je ne l’ai pas fait parce que je le voulais mais parce qu’il me l’avait demandé. A partir de là, c’est juste quelque chose que tu fais , ce n’est pas pour mon plaisir mais pour le sien » Autre facteur qui participe au déplaisir lié à la sodomie : vouloir garder son partenaire. Cette crainte a souvent été évoquée lors de cette étude qualitative basée sur 33 Américaines. « Ces femmes vont faire ce qu’elles pensent devoir faire pour garder leur petit ami. S’il veut pratiquer la sodomie, elles le feront » déplore une jeune femme. Alors qu’il est complexe d’essayer de nouvelles pratiques à un jeune âge, la quarantaine serait l’apogée de la sexualité.
Alors que l’on pense que les femmes sont opposées au sexe anal, il existe une nuance. Elles appréhendent plutôt cette pratique. La raison ? La crainte que l’anus ne soit pas hygiénique. Autre cause de réticence, la douleur potentiellement engendrée par cette pénétration. Et pour cause, cette partie du corps ne s’auto-lubrifie pas et peut causer de l’inconfort. Le stress lié à cet acte pour la première fois participe également à ce côté désagréable. Les femmes interrogées dans cette étude en ont témoigné. « C’est terrible. J’ai essayé plein de trucs mais ça, vraiment, non » confesse l’une d’elles. Une autre ajoute : « Après un temps, on s’habitue et la douleur devient du plaisir » 
A la question : « Comment faire pour que la sodomie soit agréable ? » , les femmes ont répondu chacune leur tour. Elles ont, pour la grande majorité, recommandé de se détendre mais aussi de s’attarder sur les préliminaires. Et pour cause, cela participe à la détente qui fait partie des facteurs de réussite de cette pratique. Un partenaire à l’écoute est également l’une des clés majeures de la réussite de cette dernière. Il devra communiquer avec sa partenaire pour que le plaisir soit partagé. Alors que la sodomie est encore l’objet d’un tabou lié au jugement, cette pratique est au contraire pour certaines l’apogée du plaisir ou au moins un sujet de curiosité. 
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