Minet Avale

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Minet Avale
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Il y a quinze jours, une opportunitĂ© se prĂ©senta Ă  moi. J’étais arrivĂ© en avance et attendais sur le bord du court en regardant jouer mes mignons. Sur mon portable, CĂ©dric m’informa qu’il Ă©tait bloquĂ© professionnellement et qu’il ne pouvait pas venir jouer avec moi. J’étais dĂ©pitĂ© de cette nouvelle qui me contraria. À 18h, les minous cessĂšrent leur match pour dĂ©gager le terrain.

— DĂ©solĂ©, leur dis-je, mais mon pote ne vient pas. Si vous voulez, vous pouvez continuer pendant notre heure de rĂ©servation.

— Super! me dit Jeremy. Dommage pour vous par contre, renchĂ©rit-il.

Puis en discutant ensemble, l’un des quatre dit qu’il ne pouvait poursuivre un heure de plus. Le trio restant me proposa de faire le quatriùme avec eux.

— OK, dis-je, mais attention, vous allez jouer avec un «papy». Ne m'Ă©puisez pas! Je me place avec le meilleur d’entre vous pour que la partie soit Ă©quilibrĂ©e!

Cette remarque dĂ©clencha l'hilaritĂ© gĂ©nĂ©rale. Ils affirmĂšrent mĂȘme nous avoir vu jouer avec CĂ©dric et que honnĂȘtement, ils n’étaient pas encore Ă  notre niveau. Belle louange pour se rattraper des pointes vachardes habituelles. Enfin, il fut dĂ©cidĂ© que Maxime serait mon partenaire, ce qui me ravit.

La partie fut rude et mes 15 ans de pratique firent tout de mĂȘme la diffĂ©rence sur la jeunesse. De plus, que pour eux la fatigue de la deuxiĂšme heure se faisait sentir. Le score 6/1, 6/1 fut sans appel. Maxime Ă©tait aux anges :

— Voyez les mecs comment je me suis bien estompĂ© devant mon partenaire pour lui permettre de vous Ă©blouir!

Je lui donnais un tape amicale sur la tĂȘte:

— CrĂąneur! Maxime, c’est pas possible d’ĂȘtre aussi mesquin!

— C’est ma nature me rĂ©pondit-il, vous n’ĂȘtes pas fĂąchĂ©?

Bien sĂ»r que non je n’étais pas fĂąchĂ©, j’avais mĂȘme l’impression d’avoir 10 ans de moins Ă  ce moment avec ses potaches. Et tranquillement, nous allions ensemble en direction des vestiaires en discutant les points marquĂ©s et les erreurs de jeux. Mes trois jeunes Ă©taient cette fois Ă  l’écoute de mes remarques techniques qu’ils commentaient gentiment. Maxime, comme Ă  son habitude, enleva son maillot pour marcher; instinctivement je fis de mĂȘme, prĂ©sentant Ă  mes nouveaux potes ma plastique d’homme pratiquant 4 heures de musculation par semaine depuis de nombreuses annĂ©es.

— Waouh
 dit Maxime
quelle armoire!

— Ah non Monsieur, c’est sincùre! dit Maxime.

S’en suivit Ă  tour de rĂŽle le dĂ©tail de mon corps par mes trois minets qui comparaient le diamĂštre de leurs biceps avec les miens, avec une admiration toute naĂŻve de grands gosses. J’avais l’impression tout de mĂȘme au bout d’un moment d’ĂȘtre une bĂȘte de foire et je mis fin Ă  la sĂ©ance.

— Assez rigolĂ©, aux douches les mecs!

En une fraction de seconde, j’imaginais leur corps mouillĂ©s sous la douche et je ressentis un dĂ©but d’érection. Aussi, je dĂ©cidais de ne pas participer aux douches avec eux mais de me rendre dans les cabines individuelles, ne sachant si j’allais ĂȘtre en mesure de retenir mon Ă©rection. Maxime me fit la remarque :

— Vous pouvez venir avec nous, vous savez, cela ne nous dĂ©rangera pas!

— Non, lui rĂ©pondis-je. Je ne voudrais pas vous choquer avec la vision du reste de mon corps que vous avez dĂ©taillĂ© tout Ă  l’heure.

— Le reste est à l’avenant? Alors? me dit Maxime.

Je répondis par un sourire et me dirigeai vers les douches simples.

J’étais sous l’eau et effectivement, imaginant mes petits minous Ă  cĂŽtĂ©, j’avais une Ă©rection du diable. Heureusement qu’ils n’étaient pas lĂ , j’aurais Ă©tĂ© dans l’embarras! J’entendais, Ă  cĂŽtĂ©, les rires et les cris de mes oiseaux qui devaient se poursuivre dans les douches. Étaient-ils nus? Je fantasmais seul dans ma cabine. AprĂšs une bonne demie heure, j’entendis un cri que je reconnaissais ĂȘtre la voix de Maxime:

— Pauvres mecs! Ou ĂȘtes vous? Et mes affaires? Faites pas les cons!

J’entendais les portes claquer, les appels renouvelĂ©s de Maxime. En train de me rhabiller, j’étais encore torse nu mais j’ouvris la porte de ma cabine pour voir ce qui se passait. Au milieu du couloir, Maxime avait sa serviette enroulĂ©e Ă  la taille et arpentait les douches.

— Que t’arrive-t-il Maxime? lui dis-je.

— Mes potes m’ont piquĂ© mes sapes et se sont cassĂ©s! C’est dĂ©gueulasse, je n’ai plus rien pour m’habiller!

J’éclatais de rire, ce qui le fit rougir de colĂšre.

— Allons, ce ne doit pas ĂȘtre la premiĂšre fois que vous vous faites des vacheries entre vous, non?

— Ok mais pas celle-ci, me dit-il. C’est vraiment crade.

J’avais en face de moi un gosse au bord des larmes qui me fendait le cƓur. Le petit dur venait de se transformer en un lamentable gamin. Je repris mon rĂŽle d’adulte en le prenant par les Ă©paules et le fit entrer dans mon vestiaire. Le contact de sa peau me fit frĂ©mir. Il avait une peau d’une douceur extrĂȘme.

— Bon dans l’ordre, tu vas continuer Ă  te sĂ©cher!

Et joignant le geste Ă  la parole, je pris une serviette et, lui entourant la tĂȘte, je me mis Ă  lui frotter Ă©nergiquement les cheveux. Il se laissait faire comme un enfant sage, sans chercher le moins du monde Ă  se dĂ©gager. Profitant de la situation, je lui dis:

Il se retourna, offrant Ă  mes mains ce corps fragile que j’essuyais de haut en bas. Je passais ma serviette sous les bras, sentant ses cĂŽtes sous mes appuis Ă©nergiques.

— Je sais, mes parents me disent mĂȘme que je suis trop maigre.

— Ils ont tort Ă  mon avis! lui rĂ©pondis-je. Tu es bien foutu.

Ma remarque lui fit retrouver le sourire.

— Mais je ne dois pas ĂȘtre montĂ© comme vous! Si comme vous nous avez dit tout Ă  l’heure, le reste de votre corps est Ă  l’avenant!

Je retrouvais maintenant la petite teigne que je connaissais bien. Saisissant la balle au bond, je profitais de la situation:

— Et bien puisque tu es en tenue d’Adam, fais voir, je te dirai si tu peux rivaliser!

— Montre! lui dis-je. Il n’y a que comme ça que je pourrai te dire.

Timidement, il laissa tomber sa serviette et je dĂ©couvrais une belle bite de 17 Ă  18cm non circoncise, au diamĂštre assez respectable. Cela faisait un drĂŽle d’effet de voir ce corps si mince porter deux superbes couilles sans poil et une belle queue entourĂ©e d’une couronne de poils blonds frisĂ©s assez clairsemĂ©es. Sa queue paraissait plus grosse qu’en rĂ©alitĂ© par le contraste avec la minceur du corps. Je constatais aussi qu’elle Ă©tait en semi Ă©rection.

— Waouh
 comme tu disais tout à l’heure! Pas ridicule!

Son Ă©rection se poursuivait lentement et son trouble se lisait dans ses gestes.

— Oui un peu mais je voudrais pouvoir comparer! Vous m’avez promis!

Sans le laisser attendre plus longtemps, je laissais tomber mon survĂȘtement et mon slip pour lui offrir la vue de ma bite de 19cm aux couilles rasĂ©es et Ă  la couronne pubienne taillĂ©e. À la vue de mon chibre, l’érection de Maxime prit soudainement des proportions maximales.

— Je te fais de l’effet, dis donc! lui dis-je.

— Oui, il y a longtemps que je vois que vous me matez, je me rends bien compte que je vous plais.

Sa remarque me laissa sans voix. Mon Ă©rection commençait Ă  venir et cette fois, c’était moi qui me trouvais comme un con, le survĂȘtement et le slip aux chevilles devant un petit minou Ă  poil en face de moi. Il prit l’initiative de tendre la main et du bout des doigts, Ă  toucher le bout de mon gland qui commençait Ă  mouiller. J’avais l’impression de recevoir une dĂ©charge Ă©lectrique! Je m’approchai et enveloppai ses Ă©paules dans mes bras. Sa tĂȘte se posa tendrement sur ma poitrine pendant que je commençai Ă  lui caresser les Ă©paules, le dos, en descendant lentement vers ses petites fesses rebondies. Je sentais son sexe dur contre mon ventre et ses mains qui caressaient ma taille. Lentement, je titillai ses deux superbes fesses fermes, extirpant Ă  mon petit Maxime des soupirs de plaisirs. Je me dĂ©gageai et le regardai dans les yeux, son sourire rivĂ© aux lĂšvres, il Ă©tait rayonnant. Je n’eus aucune difficultĂ© Ă  poser mes lĂšvres sur les siennes et Ă  entreprendre un baisĂ© fougueux qu’il me rendit admirablement bien.

Puis lentement je me laissais glisser le long de son torse en l’embrassant sur les tĂ©tons, les abdos, pour me perdre dans la couronne pubienne et enfin entrer en contact avec cette queue magnifique. Il mouillait tellement que j’ai cru un instant qu’il avait dĂ©jĂ  joui. Je passai ma langue sur le bout de cette bite luisante, avalai les premiĂšres gouttes de sperme et commençai Ă  lui sucer les burnes puis la hampes puis avaler cette merveilleuse bite de minet. Je sentais son corps vibrer de plaisir et mes mains parcouraient son cul jusqu'Ă  sa rosette. Je tentai d’introduire le bout de mon doigts lorsqu’il m’avertit:

Je me repoussai et un flot de sperme chaud vint m’inonder la poitrine. Il Ă©tait lĂ  devant moi, haletant, les yeux mi-clos, dans sa splendeur de statue grec. J’étalais son sperme sur mon corps et il me regardait faire. Puis de nouveau, nous repartĂźmes dans un baiser long et tendre.

— Excuse-moi mais je n’ai pas pu me retenir plus! C’était tellement bien!

Je le congratulais d’un de mes meilleurs sourire:

— C’était merveilleux! lui dis-je. Mais pourrons nous tenter d’autres expĂ©riences?

Maxime à nouveau me tendit ses lÚvres pour un baiser long et tendre puis se dégageant me dit:

— Je rĂȘve de toi, je voudrais baiser avec toi pour que tu m’inities, je crois que je suis PD mais ne suis encore jamais passĂ© Ă  l’acte. Tu veux bien ĂȘtre mon amant?

Nos lĂšvres collĂ©es les unes aux autres scellaient une complicitĂ© que nous commencions. AprĂšs lui avoir prĂȘtĂ© mes vĂȘtements de sport pour qu’il puisse rentrer chez lui, je le quittais joyeusement.

La semaine suivante, nous nous rencontrions un lundi aprĂšs-midi chez moi. Alors commença la plus tendre initiation. Toute notre relation n’était que caresses, douceur, respect et rire. DĂšs la premiĂšre fois, je lui enseignais l’art du doigter pour dilater la rosette, l’utilisation du gel, la bonne mise en place du prĂ©servatif puis l’entrĂ©e de la bite en plusieurs phases pour respecter l’élasticitĂ© de la chaire et enfin, les diffĂ©rentes positions possibles avec leurs intĂ©rĂȘts pour le ressenti de la queue dans les entrailles du partenaire. Nous nous sommes sucĂ©s, doigtĂ©s, enculĂ©s mutuellement, enfin en un mot, aimĂ©.

Une semaine aprĂšs, Maxime me contactait Ă  quatre reprises sur mon portable pour refixer une rendez-vous. J’ai cĂ©dĂ© Ă  ses avances et nous avons eu un nouvel aprĂšs-midi de tendresse et de plaisir. À la fin de cette deuxiĂšme baise, je lui fis savoir qu’il valait mieux qu’il rencontre maintenant un mec de son Ăąge afin de savoir oĂč il en Ă©tait de ses sentiments pour les hommes. Ce fut un moment dur pour moi mais je ne voulais pas profiter de cette position dominante.

La semaine derniĂšre, il m’a Ă  nouveau tĂ©lĂ©phonĂ© pour me dire qu’il entrait Ă  l’universitĂ© de Lyon avec Jeremy, qu’ils allaient ĂȘtre colocataires, et qu’il pensait aimer Jeremy avec qui il venait d’avoir sa premiĂšre relation sexuelle. Maxime m’a fait promettre de rester son amant car pour moi, il serait toujours disponible. Je lui ai dit oui sans conviction et j’ai, aprĂšs avoir raccrochĂ© le tĂ©lĂ©phone, pleurĂ©.


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Y AVAIT ces silhouettes, croisées sur les trottoirs du XII
qu'il allait au lycée. Julien était adolescent. La premiÚre fois, il avait 16 ans.
100 francs la pipe, ça c'est passé dans les sanisettes du cours de Vincennes. » Il se souvient
ensuite de cette prostituée « en camionnette » du bois voisin. « J'ai dû y aller cinq ou six
fois en un an. Elle avait la quarantaine, un cÎté maternel que je recherchais sans doute. Tout
un petit rituel et une jolie déco. Il n'y avait rien de glauque. On discutait de ce qu'on avait
fait dans la semaine, elle parlait de ses enfants. C'était sincÚre. »
de temps Ă  autre. Rue Saint-Denis, dans les salons de massage du IX
Ă  Bruxelles. Dans sa quĂȘte « d'expĂ©riences psychĂ©dĂ©liques et joyeuses », il place sur le mĂȘme
plan quelques séances d'échangisme et tournages pornos amateurs.
durant plusieurs années. J'ai toujours dissocié complÚtement les deux. Je n'y suis jamais allé
dans un rapport de frustration, ou pour assouvir une simple pulsion sexuelle. J'avais surtout
envie de me retrouver dans des ambiances un peu bizarres, hors du temps. Il y a cette liberté
qui peut paraĂźtre ignoble : j'ai de l'argent, si je veux, je peux me retrouver dans une situation
étrange. Et puis ensuite, il faut assumer... »
Julien se dit aussi repoussé dÚs qu'il sent que
« c'est trop mécanique » ou que « la situation sociale de la nana est trop sordide ». Pour cette
raison, il n'a jamais envisagé d'aller voir les jeunes étrangÚres des boulevards extérieurs.
« Je n'ai pas de demande particuliÚre. En général, je laisse faire ce qui se passe. Et je fais
appel Ă  mon imaginaire. Jusqu'Ă  fantasmer que nous sommes amoureux ou en couple, jusqu'Ă  rĂȘver
de la sortir de là, jusqu'à oublier complÚtement que c'est une prostituée. »
Paul avait un peu bu. Son moral n'était pas au mieux. Il s'était séparé de sa copine quelque
temps auparavant. « Je suis passé en voiture une premiÚre fois devant des prostituées africaines
», dit-il. Toutes ces filles, il les avait déjà vues de son appartement qui offre une vue imprenable
sur la vie nocturne agitée de Paris. Cette fois-là, Paul a voulu pousser la curiosité un peu
AprĂšs ĂȘtre passĂ© une premiĂšre fois devant quelques filles, le jeune cadre se lance
: « L'alcool m'avait désinhibé. Je ne raisonnais plus ». Sa voiture ralentit devant un feu qui
hésite à passer au rouge. Une prostituée frappe à la vitre. Direction un parking situé un peu
Un peu maladroit, le client novice tente d'établir un contact. « J'ai essayé de lui
parler. Elle ne comprenait pas ce que je disais. J'ai laissé tomber. On était pas là pour ça
», se souvient Paul. Le rapport sexuel se déroule de maniÚre mécanique loin des plaisirs fantasmés.
« C'était vraiment malsain. J'avais un sentiment de dégoût. En fait je ne concevais pas le sexe
sans sentiment », analyse-t-il. Il faut alors ramener la prostituée sur son trottoir. Silences
pesants et remords dĂ©vorants pour le jeune initiĂ© : « J'avais envie de me frapper la tĂȘte. »
Malgré cette déception, il renouvellera l'expérience à trois reprises. L'alcool, un vide sentimental
et « une demande hormonale » l'incitent à y retourner.
Un jour, Paul croise le regard d'une
jeune femme : « Ce fut une courte aventure mais j'ai ressenti quelque chose pour cette fille.
Cela changeait tout. Depuis, j'ai arrĂȘtĂ© de voir des prostituĂ©es ».
se pose en défenseur de « la prostitution libre entre adultes consentants », à l'encontre du
« puritanisme » et de « l'hypocrisie » « Il faut dédramatiser la prostitution. Beaucoup se sentent
mal à cause du regard méprisant qu'on leur jette. Moi je pense qu'elles font un travail utile,
social, et pas seulement pour les relations sexuelles. Un peu comme des conseillĂšres conjugales
Célibataire depuis toujours, Gilles a vécu sa premiÚre expérience sexuelle
avec une prostituée de la rue Saint-Denis. Agé de 21 ans, il était étudiant. « Je souffrais
de cette frustration. Je devenais fou. J'avais besoin d'un contact physique avec une femme.
De sentir son odeur. Qu'elle me serre dans ses bras... J'ai découvert que ce monde n'avait rien
de sordide et que beaucoup d'hommes autour de moi étaient aussi des clients. » Depuis, Gilles
n'a quasiment jamais eu de relations sexuelles en dehors des prostituées. Au point de tomber
amoureux de l'une d'elles, qui n'a pas donné suite. « Je suis un grand sentimental. Je trouve
qu'il y a beaucoup plus de romantisme chez les prostituées que chez les autres femmes qui sont
parfois si vénales que ça me dégoûte. Rue Saint-Denis, j'y vais parfois juste pour parler, ou
pour leur dire bonjour, sans monter. Beaucoup sont devenues des amies. »
une passe financiÚre difficile, Gilles a limité ses visites. « En moyenne, j'y allais deux fois
par mois. Mais si j'avais les moyens, j'irais tous les jours. »
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On entend souvent des fausses idées sur l'éjaculation buccale et sur le fait d'avaler du sperme. Cette pratique, qui n'est pas dangereuse, peut en effet intriguer au premier abord. Peut-on en avaler du sperme, et si oui, quels sont ses effets et quel goût a-t-il ?
Le sperme est le liquide visqueux qui est expulsĂ© du pĂ©nis lors de l'Ă©jaculation masculine. Cette derniĂšre peut ĂȘtre due Ă  une stimulation manuelle comme la masturbation, une fellation ou encore une pĂ©nĂ©tration. Le sperme est sĂ©crĂ©tĂ© par les organes sexuels reproducteurs masculins avant d'ĂȘtre stockĂ© dans les testicules.
C'est dans ce liquide, produit par l'homme dĂšs la pubertĂ©, que sont contenus les spermatozoĂŻdes, qui servent Ă  fertiliser l'ovocyte de la femme. Le sperme est composĂ© majoritairement d'eau, de spermatozoĂŻdes (qui ne reprĂ©sentent cependant que 1% de la composition), mais aussi d'hormones, de neurotransmetteurs ou encore d’endorphines. Enfin, le sperme contient un certain nombre de nutriments bĂ©nĂ©fiques Ă  l'organisme. 
Il n'y a a priori aucun danger à avaler du sperme, à la suite d'une éjaculation. Cette pratique, nommée l'éjaculation buccale, consiste pour l'homme à éjaculer dans la bouche de son ou sa partenaire, avant qu'il ou elle n'avale le sperme.
Cela peut ĂȘtre Ă  la suite d'une fellation ou d'une masturbation. Il faut toutefoi
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