Mieux vaut une star du porno qu'un psychologue

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Par Propos recueillis par Rebecca Benhamou


Publié le
22/02/2013 à 12:46







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« Pourquoi est-il plus difficile d'élever une fille? »


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Pourquoi est-ce plus compliqué d'élever une fille? Réponse du psychologue Steve Biddulph.
Dans les pays anglo-saxons, Steve Biddulph est un "gourou" de l'éducation dont chaque nouvel ouvrage est un best-seller, traduit dans plus de 30 langues. Son sujet d'étude de prédilection jusqu'à présent? Les garçons. Son credo? Aider les parents à faire de leurs fils des hommes adultes, matures, engagés... et, surtout, respectueux du sexe opposé. Rien d'étonnant alors à ce qu'il s'intéresse, enfin dans le détail, à ce dernier. Dans son livre Raising Girls , tout juste paru mais pas encore traduit en français, son postulat est marqué par ce qu'il observe depuis quelques années: dans un monde où les petites filles et les jeunes filles sont devenues, plus que jamais, la cible d'un marketing du corps et de la séduction, leur éducation est devenue très complexe, plus, sans doute, que celle des garçons. Un point de vue qui manque parfois de nuance, mais qui doit attirer notre attention. 

Pourquoi vous êtes-vous intéressé à l'éducation des filles?
Parce que je me suis rendu compte, au fil de mes conférences, que les parents se faisaient de plus en plus de souci pour elles. Elles sont, par exemple, de loin les premières victimes des troubles du comportement alimentaire (TCA), et leur apparence les rend souvent très anxieuses. Chez vous, en France, selon le réseau TCA, 40 000 personnes seraient atteintes d'anorexie et 220 000 personnes de boulimie, dont une très vaste majorité de filles. Elles ont aussi plus de difficultés à se faire des amis et à se sentir acceptées. Certaines font même preuve de violence à l'école. Elles envisagent plus qu'avant le suicide comme une possibilité: selon les données du baromètre santé 2010, les filles entre 15 et 25 ans sont presque deux fois plus nombreuses que les garçons à avoir eu des pensées suicidaires. L'automutilation est également un nouveau phénomène inquiétant. Selon le Royal College of Psychiatrists, à Londres, au moins 1 jeune sur 10 la pratique à un moment donné de sa vie, mais cela peut arriver à tout âge. 

Vous abordez longuement l'effet néfaste de l'hypersexualisation de la société sur les jeunes filles. Ce débat est-il récent en psychologie?
Ce terme n'était utilisé que dans les cas d'abus sexuel et de pédophilie. On l'emploie beaucoup aujourd'hui, car c'est la société tout entière qui se "sexualise". On voit désormais des cas de filles de 8 ans qui adoptent une attitude "sexy", pour se conformer, croient-elles, à ce que l'on attend d'elles. Les adolescentes, elles, ressentent une lourde pression en ce qui concerne la sexualité. Certaines vont même jusqu'à évoquer l'idée de fellation, dès le premier rendez-vous avec un garçon. La nouveauté réside également dans le fait que le rapport à la sexualité qu'elles expriment tient du devoir, de la corvée et présente un caractère d'obligation sociale très anxiogène. 

Quel comportement les parents doivent-ils adopter?
Au coeur du problème, il y a ce flux continu d'images que voient nos enfants à la télévision et sur Internet. Quand ma fille était encore toute petite, elle m'a dit un jour: "C'est super, cet homme va enfin aimer sa femme maintenant qu'elle est mince!" Elle venait de voir une publicité faisant la promotion d'une méthode amincissante. Cet événement a vraiment changé ma façon de percevoir la télévision. Les images peuvent faire de gros dégâts dans la tête d'une petite fille, surtout avant ses 10 ans. Car, à l'adolescence, elle les aura intériorisées. Il vaut mieux en limiter l'accès aussi tôt que possible. Mais il est clair que ce qui l'influencera le plus est ce que dit et fait sa mère. Si celle-ci parle sans arrêt de son poids et de son apparence, alors inévitablement sa fille sera, elle aussi, victime de cette anxiété. 

Finalement, ce que vous prônez, c'est une parole libre des mères sur la féminité pour éviter l'écueil de l'hypersexualisation?
Absolument. La psychologue américaine Deborah Tolman a prouvé que, quand les mères parlent de sexualité à leurs filles, ces dernières se sentent beaucoup plus sûres d'elles et ne vont pas avoir de rapports précipités. Ces filles, grâce à ce dialogue avec leurs mères, prendront plus leur temps et seront à même de décider quand et comment elles se sentiront prêtes. Plus les mères diront à leurs filles que la sexualité peut être saine, moins celles-ci seront déstabilisées à l'adolescence. Car elles ont besoin de modèles féminins forts, pas seulement pour parler de sexualité, mais pour les accompagner et les guider tout le long de leur enfance et de leur adolescence. 

Une partie du problème s'explique-t-il par le fait que le rapport à la maternité est de plus en plus complexe?
Le plus grand défi pour les mères d'aujourd'hui est de parvenir à combiner travail et vie de famille. Elles n'ont pas toujours le temps de parler avec leurs filles. C'est pourtant à l'adolescence qu'on a le plus besoin d'avoir de longues conversations avec ses parents. Les filles se tournent vers leurs mères quand elles ont des problèmes en amitié ou quand elles sont stressées. Or si la mère est tout le temps sous pression, son manque de disponibilité peut porter préjudice à l'enfant. 

Face aux nouveaux défis que présente l'éducation des filles, quel doit être le rôle du père?
Il joue un rôle crucial, car il aide sa fille à développer son estime de soi. Il est la toute première figure masculine de sa vie. Et, à travers lui, elle construira un modèle, le référent en fonction duquel elle choisira ses futurs partenaires. Tout ceci se fait bien sûr de manière inconsciente. Un père doit donc s'intéresser à sa fille et être impliqué dans son éducation. A l'adolescence, il devra lui expliquer qu'elle mérite d'être respectée. Si le père n'est pas présent, un grand-père ou même un professeur peut inculquer ces valeurs à un enfant. Quant aux mères célibataires, elles vont enseigner à leurs filles un autre type de leçon, tout aussi utile : qu'elles n'ont pas besoin d'un homme pour survivre. De façon générale, il est important d'avoir des figures masculines dans la vie d'une jeune fille, qui prendront soin d'elle et la respecteront. 

Et qu'en est-il des garçons? Ne sont-ils pas eux aussi soumis à une forte pression sociétale?
Pour les garçons, les vrais dégâts sont causés par une surexposition à la pornographie. Si les parents ne prennent pas conscience de l'impact de ces images, leurs fils risquent de les intérioriser. Beaucoup de psychiatres voient aujourd'hui des cas de jeunes garçons incapables de parler à des filles, qui croient qu'une sexualité violente et sans tendresse est une sexualité normale. Pis, ils pensent que c'est ce que l'on attend d'eux. 

Pourquoi pensez-vous que les filles sont plus difficiles à élever?
Parce qu'elles sont plus complexes. Elles ont une conscience sociale beaucoup plus développée que les garçons -elles comprennent plus vite ce que signifie vivre en communauté, le rapport aux autres et les problèmes de société. C'est une bonne chose, mais, en contrepartie, cela les rend très anxieuses. Les filles ont besoin d'être entourées de modèles féminins plus âgés et avisés. Et, en tant que parent, nous devons d'abord nous remettre en question : beaucoup de mères ont eu elles-mêmes des pères absents et sont souvent rongées par l'incertitude, c'est ce qu'elles transmettent sans le vouloir à leurs filles. Mais il faut rester positif, ce livre n'est pas juste un signal d'alarme. Il incite les parents à renforcer l'éducation de leurs filles et à leur donner les outils suffisants pour qu'elles puissent s'adapter à tout type de situations dans leur vie d'adulte. 

"Les adolescentes en savent plus qu'avant sur la sexualité. Mais la pratique, elle, n'a pas beaucoup bougé. L'âge moyen du premier rapport est 17 ans depuis plus de deux générations. L'augmentation des troubles du comportement s'explique par le fait qu'à vouloir les rendre trop performants, dans un cadre scolaire ou extrascolaire, beaucoup de parents ont stimulé à outrance leurs enfants, ce qui les pousse à rechercher d'autres types de stimulations à l'adolescence (alcool, drogue, sexe). Les troubles s'installent quand cette quête d'excitation se heurte au temps de la maturation, qui s'effectue au rythme lent des changements du corps. Il n'est pas plus difficile d'élever les filles, c'est différent. Avant, elles étaient préparées aux rôles de mère et d'épouse. Le réajustement de ces rôles au fil des générations est forcément source de confusion. Mais il faut préserver les différences entre les identités sexuelles, et non pas les gommer." 

*Coauteur du livre Adolescentes. Les nouvelles rebelles ( Bayard, à paraître le 21 février). 

"L'hypersexualisation est la surexposition des individus à des images à caractère sexuel, voire pornographique, dans la société réelle (campagnes publicitaires, médias, etc.) et virtuelle (Internet). Un thème très à la mode, dont on parle depuis une trentaine d'années. A mon sens, ce n'est pas le problème fondamental pour les filles aujourd'hui. La pression est certes plus forte, mais il ne faut pas exagérer. Il vaut mieux parler d'hyperféminisation, car on accentue leur féminité sans forcément les "sexualiser". Certes, on peut s'en inquiéter pour les adolescentes, mais toutes les filles ne sont pas non plus des lolitas en puissance. Quant aux rapports filles-garçons, ils se sont durcis. Il y a plus de violence physique et verbale qu'avant. Les garçons tentent, eux aussi, d'obéir aux canons de la beauté masculine et on voit apparaître de plus en plus de cas d'anorexie. Ils tombent parfois dans l'hypermasculinisation, ou virilité à outrance. C'est une autre forme de machisme." 

* Spécialiste de la jeunesse et de la famille. 

Raising Girls , de Steve Biddulph, Harper Collins, pas encore traduit en français. Du même auteur: Elever un garçon , Marabout. 

Raising Girls , de Steve Biddulph, Harper Collins, pas encore traduit en français. Du même auteur: Elever un garçon , Marabout. 



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Ce trouble psychologique, qui va au-delà du complexe de taille, affecterait de nombreuses facettes de la vie des hommes et porte un nom: dysmorphophobie pénienne.
SANTÉ - Steven, soudeur trentenaire originaire de Los Angeles, a un pénis parfaitement normal. D’ailleurs, selon une récente étude qui estime la longueur moyenne d’un pénis en érection à 13,11 centimètres, il est même légèrement avantagé.
Toutefois, durant son adolescence et jusqu’au début de la vingtaine, il souffrait de ce qu’il appelle des “problèmes de pénis”.
“Je me suis toujours cru dans la moyenne basse et, quand on me disait le contraire, j’y voyais un effort pour me réconforter ou me manipuler”, confie-t-il.
Le reste de son physique lui convenait: il allait régulièrement à la salle de sport et on le disait beau garçon. Pourtant, rien de tout ceci ne comptait à ses yeux. Selon les standards pornographiques absorbés au fil des années sur internet, il était persuadé de ne pas faire le poids.
“Quand on a grandi à l’âge d’internet, où le porno est si facile d’accès, on finit par avoir le sentiment que tous les autres se baladent avec un pénis énorme”, explique-t-il.
Cette façon de penser a lourdement affecté sa vie sexuelle.
“Il n’en faut pas plus pour s’imaginer – à tort – que la fille avec laquelle on a couché vous présentera ensuite comme la seule petite queue parmi toutes ses conquêtes, ou qu’elle dira à son prochain amant à quel point il est plus gros que vous”, ajoute-t-il.
La comparaison est un tue-l’amour, surtout en matière de taille de pénis. À l’époque, Steven souffrait de ce que les sexologues qualifient de dysmorphophobie pénienne .
Il n’y a aucune entrée pour cette pathologie dans le Diagnostic and Statistical Manual que les psychiatres et psychologues consultent afin de poser leur diagnostic. Ce trouble est présenté comme une sous-catégorie de la dysmorphophobie corporelle qui se concentre sur le pénis.
La dysmorphophobie pénienne ne se résume pas un simple complexe de taille, déclare Stephen Snyder , sexologue et présentateur du podcast Relationship Doctor .
Tout comme dans le cas d’un trouble corporel général, les hommes se préoccupent tellement de leurs défauts ou tares perçues – ici, la taille – que leur obsession crée un véritable mal-être, entraînant parfois des comportements asociaux.
“Ces hommes ont tendance à se mesurer de façon compulsive et répétée, éviter les relations amoureuses et pratiquer des pseudo-techniques d’allongement vantées sur internet, voire à se tourner vers la chirurgie”, rapporte le sexologue au HuffPost .
À l’instar de la dysmorphophobie corporelle générale, il importe peu que la différence de taille soit insignifiante ou indétectable. Cette affection peut toucher tout le monde: les bien bâtis, les normaux, les moins bien bâtis, avec de grosses érections ou des petites. Une étude menée par le British Journal of Urology tend d’ailleurs à montrer que la plupart de ceux qui optent pour la chirurgie d’allongement du pénis ont un organe génital de taille normale.
“Il est difficile d’évaluer la proportion de réels cas de dysmorphophobie pénienne, car ceux qui en souffrent ne vont le plus souvent pas consulter de professionnels de santé mentale”, ajoute-t-il. “On sait que l’on en est atteint à l’aune des souffrances ressenties, ou si notre vie en est impactée et que l’on est sujet à des comportements inappropriés, comme la propension à fuir toute relation amoureuse ou le besoin compulsif de se mesurer.”
La bonne nouvelle? Dans une étude récente menée sur des Américains, 85,9% des hommes rapportent être plus ou moins satisfaits de leurs organes génitaux. Néanmoins, quand on souffre de dysmorphophobie pénienne, la taille importe beaucoup: on n’est justement jamais satisfait, et tous les potentiels retours positifs sont, par principe, ignorés.
“Une fille que je fréquentais m’a demandé de lui envoyer une photo et elle m’a répondu par texto: ‘Ouahouh! Elle est énorme !’ Beaucoup l’auraient pris comme un compliment mais j’ai eu, encore une fois, l’impression qu’on me mentait.”
Cette affection trouve en partie son origine dans le fait que les attentes masculines sont conditionnées par la pornographie, où les acteurs bien membrés – des exceptions statistiques, en somme – sont la norme.
Dans son livre, The Penis Book: A Doctor’s Complete Guide to the Penis, l’urologue Aaron Spitz déclare qu’environ 40% des patients en urologie venus pour une chirurgie d’allongement du pénis doivent leur complexe au contenu pornographique qu’ils ont regardé, alors que la taille de leur membre est tout à fait normale.
“Le gros problème du porno, c’est que même si la plupart des hommes savent que ça n’a rien de réel rares sont ceux qui ont un autre cadre de référence”, explique le Dr Spitz. ”À moins d’être urologue comme moi, un hétérosexuel aura très peu conscience de la variété de tailles et de formes existantes.”
Même les stars du porno sont surprises de ce qu’elles découvrent dans la réalité, comparé à ce qui est diffusé sur PornHub.
“Dans ce milieu, la longueur moyenne du pénis se situe souvent entre 20 et 23 centimètres”, déclarait Theo Fort , acteur de films pour adultes, dans une interview pour le HuffPost en avril. “Curieusement, c’est un élément que j’oublie souvent et je suis presque surpris de rencontrer un gars avec un sexe de taille moyenne.”
“Même moi, je pourrais potentiellement me sentir défavorisé”, admet-il. “J’ignore ce que nos spectateurs masculins pensent d’eux-mêmes à force de voir des types toujours bien membrés, mais j’espère qu’ils savent que la pornographie n’est qu’un fantasme.”
La pression engendrée par les standards du porno affecte certaines personnes plus durement que d’autres. Étant donné la popularité de la catégorie BBC (“big black cocks” ou “grosses bites noires”) sur les sites pornographiques, les Noirs se débattent tout particulièrement avec les complexes de taille. Les conversations sur Reddit relatives à la taille du sexe sont souvent alimentées par des hommes de couleur qui déplorent l’image que le porno dépeint d’eux: les proportions exagérées de leurs organes génitaux et la perception répugnante, hautement stéréotypée de leur sexualité qu’entretient ce milieu.
Adolescent noir à South Bend, dans l’Indiana, Luke, aujourd’hui âgé de 24 ans, estime que sa dysmorphophobie pénienne allait de pair avec son addiction à la pornographie.
“Tout le mythe des BBC a créé un profond malaise chez moi, au point que j’ai fini par me dire que, si les femmes s’attendaient à des merveilles, je ne ferais que les décevoir. Dans ce cas, autant ne pas me placer dans des situations susceptibles de créer de la déception”, raconte-t-il.
Rongé d’angoisse à cause de sa taille, il est resté vierge jusqu’à il y a quelques mois.
“Mon pénis mesure un peu plus de 17 centimètres mais, avec tout le porno que j’ai regardé, je me croyais – au mieux – dans la moyenne et définitivement petit
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