Ma femme se laisse baiser quand je veux
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Ma femme se laisse baiser quand je veux
Ma femme se laisse sĂ©duireâŠet baiser
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Elle joue le rĂŽle Ă la perfection. Elle sâassoit en face du bel homme et croise les jambes. Elle sait quâil a vu le haut de son bas et la jarretiĂšre qui remonte jusquâĂ sa ceinture Ă©rotique en une fraction de seconde avant quâelle ne couvre modestement sa jambe. Elle sent sa chatte trembler Ă lâidĂ©e.
La voilĂ , elle est lĂ . Elle lâa rencontrĂ© il y a quelques mois alors quâelle dĂ©jeunait avec une amie. Il dĂ©jeunait lui-mĂȘme Ă la table dâĂ cĂŽtĂ© avec une connaissance dâaffaires. Il nâarrĂȘte pas de regarder dans sa direction. Bien quâil soit subtil Ă ce sujet, elle sent le regard fixe. Elle aime lâattention quâelle reçoit des hommes, mais elle nây pense gĂ©nĂ©ralement pas deux fois. Elle est mariĂ©e. Câest diffĂ©rent ; elle est instantanĂ©ment charmĂ©e par la beautĂ© classique de ce grand et beau gentlemanâŠ. Les costumes ne sont plus Ă la mode dans la culture hipster de La DĂ©fense. Elle nâest pas dâaccord avec cela. Il y a quelque chose Ă dire sur un homme en costume. Elle Ă©vite de tourner la tĂȘte dans sa direction, mais leurs yeux se croisent. Elle sourit.
La nourriture arrive, lâassiette est magnifiquement arrangĂ©e. Tout dans le nouveau restaurant est exquis. Elle est fiĂšre de son travail, lâun des meilleurs. Elle sait quâelle a passĂ© beaucoup trop de temps sur ce projet de remodelage. Travailler avec Fabrice, le restaurateur, un homosexuel flamboyant, lunatique, passionnĂ©, sans compromis, a Ă©tĂ© un dĂ©fi. Ils se sont aimĂ©s et dĂ©testĂ©s durant le projet, mais Ă la fin, ils sont devenus amis.
Le bel homme regarde son assiette â elle voit quâil est sur le point de dire quelque chose⊠nâimporte quoi pour entamer une conversation. Samantha est une femme Ă©poustouflante, une silhouette Ă©lancĂ©e, des seins naturels petits mais parfaits, un visage dĂ©licat encadrĂ© par des cheveux foncĂ©s ondulĂ©s et abondants. Elle sâhabille avec des goĂ»ts impeccables. La plupart des hommes se sentent intimidĂ©s par sa beautĂ© et peu osent lâapprocher. Pourtant, elle est chaleureuse, gentille et attachante.
Avant que le bel homme ne puisse dire quelque chose, une voix tonitruante Ă©clate de lâautre cĂŽtĂ© de la piĂšce, faisant tourner toutes les tĂȘtes : « Samantha, ma chĂ©rie mais que fais-tu lĂ ? » Fabrice a un nouveau petit ami français et a dĂ©cidĂ© quâil parlait couramment. Samantha est toujours un peu gĂȘnĂ©e par le maniĂ©risme enflammĂ© de son amie. Elle rougit.
Fabrice sâassoit sur le banc Ă cĂŽtĂ© de Samantha et embrasse sa main. « Ma chĂ©rie », rĂ©pĂ©tant deux des dix mots français quâil connaisse, « Tu aurais dĂ» appeler. Que pense-tu du restaurant en action ? Nâest-ce pas merveilleux ? » Fabrice se tourne vers le bel homme qui lâĂ©coute en souriant » vous savez⊠elle est la meilleure⊠savez-vous quâelle a complĂštement remodelĂ© cet endroit, câĂ©tait une dĂ©charge, elle est la meilleure designer de toute la ville â si jamais vous avez besoin dâune designer, vous devriez la prendre « . Fabrice aime prendre des Ă©trangers au hasard comme tĂ©moins, essayant maladroitement de faire affaire avec Samantha. Il pense quâil lui est redevable dâavoir obtenu un tel accord sur les frais de remodelage.
-Câest impressionnant. rĂ©pond le bel homme.
Il rĂ©pond Ă Fabrice, mais il fixe Samantha. Il a les yeux dâun bleu profond et un sourire chaleureux.
-Jâaurais bien besoin dâaide. Je viens dâouvrir un bureau Ă 10 minutes dâici et franchement, je ne me soucie pas beaucoup du design. Peut-ĂȘtre pourriez-vous la regarder ?
La conversation se poursuit. Philippe Ă©tait un investisseur en capital de risque de Lyon â son cabinet venait dâouvrir un bureau Ă La DĂ©fense. Il partage son temps entre Lyon et Paris tout en formant lâĂ©quipe locale. Des cartes dâaffaires sâĂ©changent et Philippe propose dâappeler le lendemain pour convenir dâune heure pour visiter le bureau.
Samantha continue sa journĂ©e. Elle est une femme fidĂšle et nâa jamais trompĂ© son mari. Elle lâaime lui et sa famille, mais elle ne peut sâempĂȘcher de se sentir Ă©trangement excitĂ©e. Quand elle rentre, Jacques revient tout juste dâune course. Il va prendre une douche. Jacques est un type solide. Elle a toujours Ă©tĂ© attirĂ©e par lui et leur vie sexuelle est fantastique. Tous deux dans la fin de la trentaine, bĂ©nis par deux enfants, ils ont rĂ©guliĂšrement des relations amoureuses passionnĂ©es et mĂ»res. Les enfants ne sont pas encore revenus de lâentraĂźnement de football.
Samantha embrasse son mari et lâodeur animale de la sueur pĂ©nĂštre dans ses narines. Elle mouille immĂ©diatement et tripote lâentre jambes de son mari â Elle nâaime pas les prĂ©liminaires, elle a besoin dâĂȘtre baisĂ©e. Il le sait bien. Sans un mot ou un baiser, il la pousse contre lâĂ©vier, soulĂšve sa jupe, descend sa culotte et lui enfonce sa queue dans la chatte. Elle jouit presque immĂ©diatement, mais il continue de la besogner fort et sans pitiĂ© jusquâĂ ce quâelle revienne, cette fois plus longtemps et plus intensĂ©ment. Son clitoris est maintenant sensible et sa chatte dĂ©licieusement douloureuse. Elle sent la bite de son mari se durcir pendant quâil la remplit de longs jets de sperme. Elle revient. EpuisĂ©, il se retire et file Ă la douche en la laissant penchĂ©e au-dessus de lâĂ©vier, sa chatte dĂ©goulinant de sperme.
Le dĂźner est sympa, la famille est rĂ©unie. Les enfants sont excitĂ©s par leur entraĂźnement de foot. Ils ont marquĂ© quelques buts et sont prĂȘts pour le tournoi ce week-end-lĂ . Ils racontent des histoires de » tuer » lâautre Ă©quipe et de marquer plus de buts que nâimporte quelle autre Ă©quipe auparavant. Jacques, un ancien athlĂšte universitaire, les encourage Ă tuer lâautre Ă©quipe tout en leur donnant des notions de fair-play. Les garçons sont confus mais heureux. Samantha est plus amoureuse de son mari que jamais auparavant. Il la connait si bien. Il sait ce dont elle a besoin â elle se sent un peu coupable dâavoir fantasmĂ© sur un autre homme. Ce soir-lĂ , ils font encore lâamour passionnĂ©ment.
Elle est en plein milieu dâun examen de projet matinal quand lâappel arrive. Elle reconnait lâindicatif rĂ©gional comme Ă©tant lâun des enseignants des garçons qui vient dâĂȘtre transfĂ©rĂ©s dans le nord de la France. Elle dĂ©cide de rĂ©pondre, en espĂ©rant que tout va bien. Quand Philippe parle au tĂ©lĂ©phone, elle rougit immĂ©diatement et son cerveau oublie tout. BĂ©gayant, elle sâexcuse et dit quâelle va rappeler. Elle doit avoir lâair effrayĂ©e quand lâun des entrepreneurs lui demande si tout va bien. Son cĆur bat Ă toute allure. Elle assiste Ă la rĂ©union sans vraiment y ĂȘtre.
Elle ne peut pas le rappeler, elle ne veut pas le rappeler. Câest stupide ; elle nâa pas besoin de ce genre dâaggravation dans sa vie. Elle a un mari parfait et une famille parfaite. Elle ne veut rien avoir Ă faire avec Philippe. Elle nâarrive pas Ă croire que ce type lâappelle. Elle est en colĂšre contre lui⊠Puis elle sourit, le pauvre gars nâa rien fait, il lâappelle juste pour planifier une rĂ©union de travail, rien dâautre. Ne pas le rappeler est admettre quâelle fantasme sur lui et trompe son mari. Câest ridicule, câest une professionnelle qui le rappelle.
La rĂ©ceptionniste dĂ©croche le tĂ©lĂ©phone. Philippe vient de partir Ă une rĂ©union, mais elle propose de prendre un message. Samantha donne son nom et son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone mais refuse de laisser un message. Pendant le reste de la journĂ©e, Samantha se surprend Ă vĂ©rifier son tĂ©lĂ©phone plus que dâhabitude. Ă 16 h 30, elle est devant lâĂ©cole lorsque le tĂ©lĂ©phone sonne. Elle ne peut pas rĂ©pondre ici, avec trois cents enfants sur le point de sortir du bĂątiment scolaire. Elle le laisse tomber sur la messagerie vocale Ă la fin de la sonnerie.
Elle a promis dâemmener les enfants au nouveau glacier. Deux autres mamans et leurs enfants se joignent Ă la fĂȘte, alors Samantha nâa pas lâoccasion de vĂ©rifier ses messages. Toutes les deux minutes, son tĂ©lĂ©phone vibre pour lui rappeler quâun message lâattend.
Jacques est encore au travail quand elle rentre. Dans lâintimitĂ© de sa chambre, le cĆur battant, elle Ă©coute finalement le message de Philippe. « Salut Samantha, je travaille tard, donc si tu veux passer plus tard cet aprĂšs-midi, je peux te montrer le bureau â On peut aller dĂźner aprĂšs ça si tu as faimâŠ. rappelle-moiâŠÂ » Quâest-ce que câest ? Tu le vois ce soir ? Le souper ? Qui diable dĂźne ? Le dĂ©jeuner est professionnel ; le dĂźner est un rendez-vous ; quâest-ce que le souper ? Non, elle ne le verrait pas ce soir. Câest hors de question.
Elle a chaud et sa chatte picote. Elle se penchĂ©e vers le bas, touche son monticule, sa culotte est mouillĂ©e. Elle ferme les yeux et sâimagine dans ce bureau vide, tard le soir, avec Philippe, un Ă©clair vif lui vient Ă lâesprit, elle lâembrasse. Elle sâassoit sur le lit, sâagrippe Ă son monticule en essayant de contenir le dĂ©sir qui se manifeste dans le bas-ventre. Cela en vaut la peine, sa main se dĂ©tend et elle sent son clitoris durci sous le tissu doux de sa culotte. Son autre main se glisse sous son chemisier et elle saisit un de ses seins, le serrant doucement, puis plus fort. Elle peut sentir le mamelon durci dans la paume de sa main. Atteignant maintenant sous sa culotte, elle passe un seul doigt le long de sa fente. Ses lĂšvres sont engorgĂ©es. Elle presse doucement et son doigt glisse Ă lâintĂ©rieur dâelle, la pĂ©nĂ©trant Ă peine et recueillant une partie de son humiditĂ© intime. Elle dĂ©place le doigt mouillĂ© jusquâĂ son clitoris et commence Ă tourner doucement autour du capuchon. Dans son fantasme, Philippe la lĂšche. Elle commence Ă se sentir incroyablement sensible partout. Elle a les yeux fermĂ©s et les lĂšvres ouvertes. Elle nâarrĂȘte pas de tourner en rond, faisant parfois descendre son doigt jusquâĂ lâouverture de son vagin, le mouillant davantage. Le sentiment commence Ă sâaiguiser et Ă sâisoler autour de son clitoris. Elle change son mouvement, son doigt oscillant entre lâouverture de son vagin et son clitoris. Tout semble chaud, puis elle culmine. Elle sent son vagin palpiter. Son cerveau est inondĂ© de plaisir. Elle vient durement et longtemps, secouĂ©e par de violents spasmes. Son clitoris et ses mamelons deviennent immĂ©diatement sensibles ; elle sâagrippe Ă son monticule et serre fort un de ses seins, essayant de calmer le spasme qui secoue son pelvis. Philippe lĂšve son beau visage entre ses jambes, sa bouche scintille de son jus. Ă la pensĂ©e, son orgasme fuyant refait surface. Cette nouvelle vague est si violente et si longue quâelle sent ses crampes dâestomac â câest plus quâelle ne peut supporter. Elle est allongĂ©e lĂ , sur le dos, attendant que la crampe sâen aille. Cet orgasme est diffĂ©rent de tout ce quâelle a connu. Pas seulement par sa longueur et son intensitĂ©. Tous ses sens sâĂ©veillent, elle est en pleine possession de ses moyens. Des pensĂ©es lui traversent lâesprit, mais elle se sent incroyablement dĂ©tendue. Elle se souvient avoir lu que les moines bouddhistes sont capables dâatteindre des niveaux Ă©levĂ©s de mĂ©ditation, et elle se demande si elle vit quelque chose de semblable. Elle se fait une note mentale pour manger une banane pour les crampes musculaires.
Elle appelle Philippe et lui dit quâelle ne peut pas venir ce soir-lĂ . Il a lâair déçu. Il prend lâavion le lendemain et il ne revient pas avant trois semaines. Elle accepte de dĂ©jeuner Ă son retour.
Samedi soir, ils sont invitĂ©s chez lâun des nouveaux clients de Jacques dans les collines offrant une vue incroyable sur la Seine. Jacques lâa avertie Ă son sujet. Il a fait fortune du jour au lendemain en vendant son entreprise de logiciels en difficultĂ© Ă lâun de ses principaux concurrents. Un vendeur astucieux et un pauvre ingĂ©nieur en informatique. Il essaye dâimpressionner. Elle sâattend Ă ce que la fĂȘte soit ostentatoire. Elle nâest pas excitĂ©e Ă lâidĂ©e de cĂŽtoyer lâĂ©lite sociale de ce cotĂ© de lâIle de France. Elle prend une robe dâune crĂ©atrice locale qui est aussi ses amies, simple, classique et sexy. Son choix est rĂ©compensĂ© par lâapprobation du sifflet de loup de JacquesâŠ. « Peut-ĂȘtre quâon devrait rester Ă la maison » lui dit-il ? Elle lui gifle les mains et ils partent.
Elle est agrĂ©ablement surprise ; la fĂȘte est un petit rassemblement dâamis dans une belle demeure surplombant la Seine. Il nây a pas plus de vingt personnes. Pas de code vestimentaire formel, un mĂ©lange de robes du soir et de tenues dĂ©contractĂ©es. LâhĂŽte fait visiter sa rĂ©sidence en sâassurant de montrer sa collection de voitures. Câest un homme trĂšs agrĂ©able qui les prĂ©sentes Ă sa femme, une petite tĂȘte ronde et mignonne. Jacques disparait avec lui pour une partie de billard dans la salle des cigares, apparemment un rituel dâattachement masculin.
Ă son retour, Samantha est assise sur un tabouret de bar, engagĂ©e dans une conversation profonde avec un bel homme sombre. Elle ne prend pas la peine de prĂ©senter son mari. Voyant Jacques comme un concurrent, lâhomme lui propose dâaller vĂ©rifier la vue depuis le pont. Elle accepte et le suit, laissant son mari debout au bar. Jacques sourit ; il sait ce quâelle fait. Elle est en colĂšre parce quâil lâa quittĂ©e pour aller fumer un cigare. Elle reviendra vers lui.
Il peut les voir sur le pont ; elle croise les bras pour couvrir ses Ă©paules nues, montrant des frissons. Lâhomme offre immĂ©diatement sa veste et lui frotte les Ă©paules pour la rĂ©chauffer. Elle flirt de nouveau. Elle se retourne. Jacques tourne la tĂȘte, faisant semblant de ne pas faire attention.
Quelques heures plus tard, ils se sĂ©parent de leurs invitĂ©s et se rendent en voiture Ă conflans Sainte Honorine, un joli hĂŽtel oĂč ils ont rĂ©servĂ© une suite. Ils veulent dormir et prendre un brunch au bord de lâeau, avant de retourner en ville pour le tournoi de foot. Leur baby-sitter de confiance sâoccupe des garçons.
Jacques est un buveur lĂ©ger et quelques margaritas suffisent Ă le dĂ©griser. DĂšs quâils entrent dans la piĂšce, il pousse Samantha contre le mur, lâembrasse profondĂ©ment et la touche sous sa robe. Il sent son porte-jarretelles et sa lingerie douce. Il est excitĂ© ! Elle le repousse en souriant.
-Quâest-ce qui tâa pris, Monsieur, je croyais que ça tâintĂ©ressait plus de fumer des cigares avec les garçons ?
-Ăa nâavait pas lâair de te dĂ©ranger, rĂ©pond-il, et ton petit ami non plus⊠CâĂ©tait quoi, vous aviez lâair de bien vous entendre.
-Oui, il était mignon, et il me tenait compagnie pendant que tu étais occupé
Il la pousse contre le lit et tombe Ă cĂŽtĂ© dâelle. Il lâembrasse Ă nouveau et elle lâembrasse en retour.
-A-t-il essayé de te toucher, chuchote-t-il ?
-Peut-ĂȘtre, rĂ©pond-elle dâun air mĂ©chant.
-Non, mais je suis sĂ»r quâil le voulait aussi.
-Ăa tâa excitĂ© ? Lui murmure-t-il Ă lâoreille
Elle peut sentir la bite dure de son mari pressé contre sa cuisse.
-Pourquoi ? Ăa tâa excitĂ© ? Ajoute-elle
-Peut-ĂȘtre. Tu aurais peut-ĂȘtre dĂ» le laisser te toucher si ça tâexcitait.
Il est visiblement de plus en plus excité.
-Hmm ! lâaurais-tu touchĂ© en retour ?
Son cĆur bat fort, son mari admet quâil est excitĂ© Ă lâidĂ©e quâun autre homme la touche â tout ce quâil faut, câest quelques margaritas.
-Aurais-tu voulu que je le baise ? sâaventure-elle Ă dire
Les conversations cochonnes sont souvent excitantes pendant les Ă©bats amoureux, mais ils nâont jamais explorĂ© ce fantasme, et Jacques nâa jamais Ă©tĂ© excitĂ© comme ça.
Il nâen peut plus, il baisse la culotte de sa femme et plonge entre ses jambes. Elle est dĂ©jĂ trempĂ©e. Il adore la manger quand elle est mouillĂ©e, en goĂ»tant son jus. Elle cambre le dos alors que sa langue taquine son clitoris. Câest un expert. Il sait comment la faire gĂ©mir. Lentement, il remonte en rampant en embrassant son estomac, ses seins et en la laissant tĂ©ter sa langue. Sa bite est maintenant Ă lâentrĂ©e de sa chatte. Il prend son temps, il la taquine
-Comment crois-tu quâil tâaurait baisĂ© ?⊠Il pousse brutalement sa bite au fond dâelle⊠Comme ça ?
Mais elle ne fantasme pas sur le mĂȘme type. Câest Philippe qui la baise.
Ils se lĂšvent tĂŽtâŠ. câest inutile. Les parents sont esclaves de leur horloge interne. Jacques a dessoĂ»lĂ©. Ils se blottissent dans leur lit Ă moitiĂ© endormis. Jacques a une matinĂ©e difficile ; il nâest quâĂ moitiĂ© dressĂ© alors que Samantha le frotte avec dĂ©sinvoltureâŠ.
-Hier soir, câĂ©tait sexy, elle dit.
-Tu Ă©tais vraiment excitĂ©, nâest-ce pas ?
-Ăa tâexciterait vraiment si je baisais un autre mec ? insiste-elle.
Elle nâa pas besoin de rĂ©ponse orale, elle sent sa bite grandir et devenir dure dans sa main.
Maintenant que le chat est sorti du chapeau, leur vie sexuelle prend un tournant pour le mieux. Ils font lâamour presque tous les soirs. Le fantasme de Samantha baisant un autre homme devient un thĂšme rĂ©current dans leur discours cochon. Ils imaginent des scĂ©narios. Elle rencontre un type dans un cafĂ© pendant quâil regarde, elle rencontre un type en voyage dâaffaires, Ă une fĂȘte ; ils lâimaginent en train de la regarder dans un miroir sans tain, ou en train dâĂ©couter son tĂ©lĂ©phone laissĂ© branchĂ© sur la table de nuit, une autre fois il lâattend Ă la maison quand elle sort avec une fille.
Il lui demande si elle a fantasmĂ© sur des hommes depuis quâils sont mariĂ©s â elle ment en disant quâelle a dĂ©jĂ fantasmĂ© sur le fait dâavoir des relations sexuelles avec un autre homme, mais quâil ne sâagit jamais dâun homme en particulier.
Ils conviennent quâils veulent que cela reste un fantasme. Il nây a aucune raison de mettre en danger leur mariage. Au cours dâune de leurs nuits torrides, Jacques lui demande comment elle pourrait hypothĂ©tiquement y arriver. Elle lui dit quâelle nâaurait aucun problĂšme Ă trouver quelquâun, quâil y a assez dâhommes qui la matent ou qui tentent leur chance. Il semble intĂ©ressĂ© et lui demande si des hommes en particulier ont essayĂ© de lui parler rĂ©cemment.
Samantha a dĂ©jĂ mentionnĂ© quâelle pourrait prendre un nouveau projet pour un espace de bureauâŠ. Elle dit Ă Jacques quâelle soupçonne son nouveau client dâĂȘtre intĂ©ressĂ© par autre chose que ses compĂ©tences en design.
-Non, pas vraiment, ment-elle alors que sa chatte vibre et mouille instantanĂ©ment. Je veux dire, il est beau et jâaime lâattention quâil me porte, mais je nâai jamais pensĂ© Ă lui comme ça.
-Alors tu vas travailler sur son projet ?
-Je ne sais pas encore, rĂ©pond-elle. Je nâai pas encore vu lâespace. Câest un bureau. Tu sais que dâhabitude, je ne fais pas de bureau.
-Veux-tu le rencontrer pour jeter un coup dâoeil Ă lâendroit ?
-Je ne sais pas⊠Je suppose que sâil me rappelleâŠ
Au cours des jours suivants, Jacques lui demande plusieurs fois sâil lâa appelĂ©e. Il semble lâexciter incroyablement, mais il nây a toujours aucun signe de Philippe. Finalement, au cours du week-end, Samantha reçoit un courriel de sa part.
« Bonjour Samantha, je serai de retour Ă La DĂ©fense lundi soir. PrĂ©voyons de nous rencontrer le plus tĂŽt possible dans la semaine. Cela fait trop longtemps. Jâai vraiment hĂąte de commencer. On se voit le mardi Ă lâheure du dĂ©jeuner ? »
Pourquoi est-il si impatient de commencer ; elle comprend la nĂ©cessitĂ© de respecter les dĂ©lais lors du lancement dâun nouveau restaurantâŠ. Mais un espace de bureau ? Cette nuit-lĂ , elle est plus Ă©nergique que jamais, elle attaque littĂ©ralement Jacques. Il nây a pas de prĂ©liminaires, pas de discussions cochonnes. Juste du sexe chaud, sauvage et brutal.
Plus tard cette nuit-là , elle ne peut pas dormir. Elle va sur son ordinateur et répond à son courriel.
« Bonjour Philippe, câest bon dâavoir de tes nouvelles, mardi câest bien. OĂč dois-je vous rencontrer ? »
En quelques secondes, lâemail revient
L'invité le plus important, mon boss
Jessa profite d'une belle défonce au bureau
Une caméra cachée pour le dire à cette canaille