L'invité le plus important, mon boss

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L'invité le plus important, mon boss

« Mon boss veut tout changer, pas moi ! » : un roman sur les obstacles au changement en entreprise


par Maïté Hellio publié le 13 juillet 2021 à 14h38

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« Mon boss veut tout changer, pas moi ! » : un roman sur les obstacles au changement en entreprise
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Avoir des idées pour donner une nouvelle direction à son entreprise, c’est bien, mais savoir les faire accepter par l’ensemble des équipes, c’est mieux ! Découvrez le roman caustique de Frédéric Adam sur le changement en entreprise.
Fleuron de l’industrie de la chaussure basé à Romans-sur-Isère, l’entreprise Pinaud n’est pas au mieux. Guerre d’egos, désinvestissement du dirigeant sur le point de céder la place à son fils, inconnu des équipes, situation financière plus que chaotique…
A travers ce portrait d’une entreprise à la dérive, Frédéric Adam , explore, au moyen d’un mode narratif original – chaque chapitre est conté selon le point de vue de l’un des personnages- les obstacles au changement qui gangrènent certaines organisations. Nul doute que cet enchaînement de situations (parfois très drôles) et cette galerie de personnages vous donneront un sentiment de déjà-vu ! A travers ces extraits choisis, l’auteur, également coach professionnel, met le doigt sur les freins au changement en entreprise et explique comment les contourner.
L’extrait, du point de vue de Ludovic Mougin, community manager au service marketing : « Mais qu’est-ce que je suis venu faire dans cette boîte ? Quelle déception ! En me recrutant au web marketing, Cécile m’a vendu du rêve, de la croissance à plusieurs chiffres, mais la vérité est bien différente. Le digital ne prend pas, c’est la guerre ouverte entre elle et la production. Quant à notre patron, il est aux abonnés absents ! » 
Le regard de l’auteur : « Le problème soulevé ici est celui du manque de reconnaissance. Ce jeune stagiaire s’ennuie, a besoin qu’on reconnaisse ses compétences digitales, qu’on le challenge. Pour s’en sortir, il faudrait qu’il puisse exprimer ce manque de reconnaissance. Du fait de son jeune âge, c’est surtout à son manager d’arriver à détecter les signaux faibles le plus rapidement possible. S’il attend l’entretien annuel pour demander à son collaborateur comment il se sent et comment il a envie d’évoluer, il a tout faux ! »
L’extrait, du point de vue de Steve Pinaud, fils du dirigeant destiné à lui succéder à la tête de l’entreprise : « Mon père prend la parole. Il a dans l’idée d’improviser une petite annonce, puis de me laisser m’exprimer et me présenter. Il paraît que l’on a une unique occasion de faire une première bonne impression. J’ai le terrible sentiment que l’on vient de me jeter dans l’arène des lions avec un cure-dent et un stylo quatre couleurs, ou une couleur plutôt, le rouge… sang. »
Le regard de l’auteur : « Steve a envie de faire bouger les choses mais, en même temps, il fait sans doute preuve de trop de loyauté envers son père. Il veut se situer à la fois dans la rupture et dans la continuité mais il n’arrive pas à donner du sens à son projet pour ses équipes. Il n’ose pas dire ce qui ne lui convenait pas dans l’ancien système, il est mal à l’aise avec le fait de renier l’histoire de son père. En tant que dirigeant, il faut s’autoriser à nommer les erreurs du passé, à faire le diagnostic pour expliquer ensuite pourquoi on donne tel sens à son action. Il n’y a pas, ici, de vision de la transmission familiale et un manque de transparence vis-à-vis des équipes. La succession aurait pu se préparer davantage, le père et le fils auraient pu passer plus de temps ensemble et annoncer ce passage de relais aux équipes. »
L’extrait, du point de vue d’Emmanuel Ferchaud, directeur des ventes, farouchement opposé à l’open space : « Allons-nous nous retrouver sur des bureaux blancs dénués de toute identité où les photos des enfants et les dessins de la fête des Pères auront disparu au profit des courbes aseptisées du chiffre d’affaires du jour ? Non merci ! Allons-nous définitivement tuer toute personnalisation de notre espace de travail avec le couteau tranchant de la lobotomisation des individualités ? »
Le regard de l’auteur : « Emmanuel est un « romantique » qui cultive sa singularité. Il porte une autre vision, tournée vers le passé, avec sa bulle, son propre espace de travail. L’open space heurte sa vision du métier et son besoin d’intimité. Il aurait pu dire à son patron que c’était important pour lui de conserver cet espace individuel. De son côté, son chef a été un peu maladroit, il aurait pu consulter les équipes avant de réaménager les bureaux. »
L’extrait du point de vue d’Emmanuel Ferchaud, directeur des ventes : « J’ai découvert ce matin la liste de Cécile. Elle n’a même pas attendu mes recommandations, à moi, le directeur commercial, pour faire sa propre sélection de produits. Quelle offense ! Quelle tristesse de voir les individus se comporter ainsi, assis sur leurs certitudes égoïstes. J’ai pris soin de solliciter un rendez-vous pour avoir une explication franche mais sa réponse me montre l’écart de savoir-vivre qui existe entre nous : ‘’Bonjour, Dsl, Call avec le boss puis workshop à 12h. Je suis full ! Je ne peux rien deleter pour te voir ce matin sauf à l’heure du lunch ou le break PM. CF’’ »
Le regard de l’auteur : « Cécile estime qu’elle est la seule à se battre pour essayer de sauver la boîte. Sans doute pense-t-elle que ce n’est que dans l’action et la réussite qu’elle a de la valeur, car elle manque, en réalité de confiance en elle. Sa quête de la direction générale n’est qu’une quête de l’estime de soi, mais elle renvoie aux autres l’image d’une arriviste. Le rôle de son manager devrait être de lui dire que sa valeur ne dépend pas que de son action et qu’elle peut aussi mettre sa puissance au service des autres. »
L’extrait du point de vue de Cécile Fierdebois, responsable marketing : « Il y a quatre semaines, Steve est venu me conter ce qu’il avait en tête pour le service, voire pour la société. Je ne sais pas ce qu’il avait pris au petit déjeuner, il m’a parlé d’harmocratie, de besoins de la génération Z, du fait de développer des sortes de mini-entreprises pour que chaque collaborateur puisse exploiter un maximum son potentiel de création…. Et maintenant, voilà qu’il nous amène un responsable bonheur. Je regarde avec scepticisme la jeune fille, jean bien moulé et pull blanc large, impeccable. Je dois bien avouer qu’elle a la tête de l’emploi, douce, souriante, avenante… Raison de plus pour se méfier. »
Le regard de l’auteur : « Steve est empreint de bonne volonté. Il a beaucoup de grandes idées inspirées de l’entreprise libérée, mais il ne sait pas les mettre en œuvre correctement. Il travaille le projet pour le projet et ne prend pas en compte l’humain et les réalités de l’entreprise. Il n’écoute pas assez les autres. De l’autre côté, les salariés sont pétris d’idées reçues, ils sont centrés sur leur réalité et s’enferment dans une posture de victime. » 
L’extrait du point de vue de Claire de Chambord, responsable RH : « Pour Fernand, le père, la fonction RH, c’était établir les bulletins de paie, éviter les syndicats et gérer les départs avec tact. Au moins, les règles du jeu étaient claires. Pour Steve, je dois tout faire, réinventer les méthodes d’entretien de fin d’année, remettre à plat le règlement intérieur, réfléchir à de nouvelles modalités de travail, dynamiser le travail d’équipe. Tout cela avec une hostilité grandissante du comité de direction et sans aucune ressource supplémentaire. »
Le regard de l’auteur : « Claire est tiraillée entre le nouveau dirigeant qui propose une nouvelle vision à laquelle elle adhère et son CODIR. Mais elle n’est pas au rendez-vous ! Les RH ont pour responsabilité de donner des clés de lecture aux dirigeants de ce qui se passe dans leur entreprise. La difficulté de son poste est qu’elle devrait dire à Steve qu’elle comprend son projet mais que les équipes ne sont pas prêtes. Et l’inviter à aller à la rencontre de ses collaborateurs pour répondre à leurs aspirations. »
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Les auteurs vivent à Dar es Salam (Tanzanie) et en Utah (États-Unis).
Comment Ammon peut-il aider sa famille à accueillir un invité important ?
« Établissez une maison qui sera une maison de prière, […] une maison d’ordre, une maison de Dieu » ( Doctrine et Alliances 88:119 ).
C’est un samedi après-midi. Ammon veut s’amuser.
Il demande : « Mamma, je peux aller jouer dehors ?
– Tu dois d’abord ranger ta chambre, lui répond-elle.
– Mais Mamma, ma chambre peut attendre !
– Nous voulons recevoir un invité important. Donc nous voulons que la maison soit propre et rangée.
– Un invité important ? Chez nous ? demande Ammon.
– Oui et tu peux aider à l’inviter, dit Mamma. Va ranger ta chambre. »
Ammon est très content. Il aime recevoir des invités. Il se demande qui est l’invité. Le maire ? Le directeur de l’école ? Peut-être l’évêque !
Ammon va dans sa chambre. D’abord, il trouve des chaussettes sales sur le sol. Il les met dans le panier à linge. Ensuite, il place ses livres d’école sur son bureau. Il veut que l’invité sache qu’il aime apprendre de nouvelles choses.
Angel, la grande sœur d’Ammon, entre dans sa chambre. Elle lui demande : « Qu’est-ce que tu fais ?
– Mamma a dit que nous allons recevoir un invité important. Elle m’a demandé d’aider à préparer son arrivée. »
Tous deux regardent Mamma qui est près de la porte.
« –Que pouvons-nous faire d’autre pour nous préparer ? lui demande Ammon. Nous voulons que notre invité se sente bien.
– On peut dire karibu », répond Ammon. En swahili, cela veut dire « Bienvenue chez nous. Tu as le droit de parler. »
« On peut écouter, dit Angel. C’est important d’écouter.
 Ce sont de bonnes idées, déclare Mamma. Voyons ce que dira Baba (Papa) quand il rentrera. »
Ammon l’attend. « Mamma dit que nous allons recevoir un invité spécial à la maison. On est en train de se préparer.
Baba sourit. – J’en suis content. Viens. Assieds-toi. Parlons-en. Toi aussi, Angel, viens. »
Une fois qu’ils sont tous réunis, Baba dit : « Mamma et moi avons parlé de notre invité spécial et de ce que nous pouvons faire pour bien l’accueillir. D’abord, je vais vous dire qui il est. C’est le Saint-Esprit C’est l’un des invités les plus importants de tous !
Ammon et Angel se regardent. Ammon ne s’attendait pas à ça !
– C’est un invité qui peut rester avec nous tout le temps, dit Mamma. Après ton baptême, Angel, tu as été confirmée. Tu as reçu un don. Te souviens-tu de ce que Baba a dit dans la bénédiction ?
– Il m’a dit de recevoir le Saint-Esprit.
– C’est exact, dit Mamma. Tu as été invitée à recevoir le Saint-Esprit. Ammon, quand je t’ai dit que tu pouvais aider à l’inviter, que voulais-je dire ? »
Ammon réfléchit. Il avait prévu de faire une carte pour leur invité. Comment peut-il inviter le Saint-Esprit ? Il répond : « Je pense que quand je fais des choses pour l’accueillir, je l’invite.
– Très bien ! dit Baba. Une façon de l’inviter dans notre foyer est de mettre de l’ordre dans la maison.
– C’est pour ça que Mamma voulait qu’on range notre chambre ? demande Ammon.
– Oui ! répond Mamma. De quelle autre façon peut-on l’inviter à être avec nous ?
– On peut prier, dit Ammon. Et lire les Écritures.
– On peut écouter de la bonne musique, ajoute Angel. On peut chanter des cantiques ensemble.
– On peut être gentils, ne pas nous disputer, dit Ammon.
– C’est exact, dit Baba. Lorsqu’on essaye de suivre les enseignements de Jésus-Christ, on invite le Saint-Esprit à être avec nous. Il nous aidera à faire de notre foyer un endroit où on ressent l’amour et la paix.
Ammon réfléchit un instant. – Tu as raison, Baba. Le Saint-Esprit est l’un des invités les plus importants de tous ! »
◆ Voir Viens et suis-moi pour Doctrine et Alliances 85-87 et 88 .


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Comment recadrer son boss (sans se faire descendre)
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Lobbyiste expérimentée, Geneviève s'est montrée très agacée lorsque sa nouvelle chef de service s'est mise à lui demander des comptes après chacun de ses rendez-vous. La renvoyer dans les cordes? Tentant, mais cela n'aurait servi qu'à exacerber les tensions. Geneviève a compris que sa jeune responsable, sortie de l'ENA deux ans plus tôt, avait surtout besoin d'être rassurée. Tout en défendant pied à pied son autonomie, elle a donc accepté de partager les grandes lignes de son emploi du temps. Et, très vite, les interrogatoires ont cessé.
Les cabinets de coaching accompagnent quantité de managers qui, confrontés à des dissensions avec leur boss, se trouvent démunis pour affronter sereinement celui qui a la main sur leur évaluation, leur rémunération et leurs perspectives de carrière. «Pourtant, assure le coach Marc Traverson, il faut s'autoriser à parler à son patron, même si l'on n'est pas d'accord avec lui, et à sortir de la position de l'enfant craintif face à l'autorité.» Com ment s'y prendre concrètement? Nous avons répertorié cinq scénarios types. A vous de jouer!
1. IL N'EST PAS D'ACCORD AVEC VOUS ? Trouvez des appuis et des alliances
Alors que la direction marketing de 3M ne voyait pas l'intérêt de commercialiser le Post-it, Arthur Fry, son inventeur, eut l'idée d'en distribuer aux secrétaires des membres du codir. Séduites, elles lui firent une telle publicité que le fameux petit carré de papier autoadhésif se vit finalement allouer un budget de lancement. «Au lieu de vous enfermer dans un face-à-face stérile, appuyez-vous sur des col lègues qui soutiennent votre projet», recommande Marie Rebeyrolle, la fondatrice du cabinet de conseil Carré Pluriel. Sandra, responsable de l'administration des ventes d'un géant de la distribution, l'a bien compris. Comme sa directrice commerciale s'opposait à la réorganisation de son équipe, elle a mis au point de nouvelles procédures avec ceux (les VRP et les assistantes) qui partageaient son point de vue. Ainsi ficelé et soutenu par ses troupes, le projet fut finalement accepté.
2. IL VOUS CHARGE COMME UNE MULE ? Contraignez-le à définir ses priorités
A la troisième demande de reporting de la semaine, le responsable d'un plateau téléphonique s'est senti vaciller. Où trouver le temps de réaliser une mission supplémentaire dans un planning déjà surchargé? Face au même constat, son collègue, responsable d'un autre plateau téléphonique, ne s'est pas démonté. Agenda à l'appui, il a prouvé à son boss qu'il n'avait pas une heure à consacrer à cette tâche. Et lui a demandé de lister les dossiers prioritaires sur lesquels il lui conseillait de se concentrer. «S'il n'avait pas réagi, il aurait pris le risque de tout faire mal et de s'attirer les foudres de son supérieur», commente David Destoc, directeur associé du cabinet de conseil OasYs. La clé: oser dire non avec fermeté, mais en rappelant votre investissement dans l'entreprise.
3. IL VOUS FAIT DES REMARQUES DEPLACEES ? Tâchez de savoir pourquoi
Promue à la tête de l'équipe chargée de l'événementiel par la directrice de la communication, Sadia est longtemps restée, aux yeux de celle-ci, une simple employée, subissant d'incessantes remarques, y compris sur sa tenue, jugée sportive et trop peu féminine. «S'entêter à s'habiller sportswear serait revenu à jeter son indépendance à la figure de sa supérieure, tandis que répondre «Je vais faire attention» aurait signé sa dépendance. Il con venait en fait d'équilibrer la relation en interrogeant la directrice sur les raisons de ses remarques et en lui expliquant ses propres choix», analyse Olivier de Clermont-Tonnerre, directeur chez Atomos Conseil. Après un échange, les deux femmes ont trouvé un terrain d'entente: puisque ses tenues décontractées étaient jugées inadaptées à son nouveau statut, Sadia a décidé de porter des tailleurs en réunion ou en rendez-vous et de conserver sa tenue habituelle lorsque son emploi du temps ne prévoyait aucune obligation de ce type.
4. IL VOUS COURT-CIRCUITE ? Marquez votre territoire
Son patron s'incrustait à toutes les réunions avec les chefs d'agence et lui coupait la parole. Pierre, directeur régional d'une banque, ne l'a très vite plus supporté. Le chef qui vous court-circuite est un classique du genre. Il vous décrédibilise en consultant directement vos troupes sur vos dossiers ou en tranchant en faveur d'un de vos collaborateurs en dépit de vos réserves. Réagissez vite et soyez malin. «Votre supérieur a ses raisons: inquiétude, pression de sa hiérarchie, etc. Quand vous les avez identifiées, proposez-lui une solution», conseille David Destoc. Ainsi, vous gardez le contrôle. C'est ce qu'a fait Pierre: son patron avait besoin d'un contact direct avec les chefs d'agence, il l'a donc invité à prendre la parole, mais à la fin de ses réunions.
5. IL NE DONNE PAS L'EXEMPLE ? Gardez vos distances
Si la ligne de conduite de votre N+1 est «Faites ce que je dis, pas ce que je fais», prenez du recul. Le directeur de région d'une enseigne commerciale était confronté à ce problème. Son directeur du développement attendait de lui un management irréprochable. Mais lui-même se montrait incapable d'arbitrer un conflit. «Dans ce cas, la solution est de travailler sur soi, pas de le placer bille en tête face à ses contradictions, souligne Ma rie Rebeyrolle. Interrogez-vous: pourquoi les manquements de votre patron provoquent-ils une telle irritation?» C'est ainsi que le directeur de région a compris qu'il idéalisait son supérieur au point de ne pas supporter ses imperfections. Cessant d'interpréter chacune de ses postures, il s'est contenté d'être, selon ses propres critères, un manager exemplaire. Une façon de prendre ses distances et de faire cesser son ressentiment.

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