MILF française ne peut plus penser à son mari elle ne veut que niquer

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MILF française ne peut plus penser à son mari elle ne veut que niquer
Publié
le 12/06/2007 à 06:00 , Mis à jour le 14/10/2007 à 22:24
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Dans une interview au Figaro, la présidente du Medef défend la TVA sociale et le choc fiscal, qui ''combine la stimulation de l'offre et de la demande''.
LE FIGARO ÉCONOMIE. – Depuis l'élection présidentielle, on vous sent très enthousiaste. Pourtant, le choc fiscal de Nicolas Sarkozy ne ressemble-t-il pas d'abord à une classique relance par la demande ? Laurence PARISOT . – Nous prônons une politique de l'offre, mais nous n'avons jamais dit qu'il fallait pour autant abandonner des éléments de politique par la demande. La détaxation des heures supplémentaires va dans la direction d'une économie de l'offre, et la déductibilité des intérêts d'emprunt est aussi une orientation intéressante. Mais focalisons sur l'objectif : le plein-emploi. Si la formule « travailler plus pour gagner plus » permet de faire le lien entre le travail et l'enrichissement, alors oui, je trouve cela stimulant. Comme de penser que l'on peut devenir plus facilement propriétaire. Mais pour les très petites entreprises, le dispositif n'est pas spécialement favorable puisque pour des salaires un peu supérieurs au smic, l'heure supplémentaire sera plus chère qu'aujourd'hui ! Vous avez raison, pour qu'il y ait un vrai impact économique, il ne faut pas être dans des demi-mesures. D'autant que les TPE sont un réservoir extraordinaire d'emplois, que la croissance passe par leur développement et qu'il faut effectivement que le système leur donne un vrai avantage compétitif. François Fillon l'a bien compris, et les charges qui pèsent sur elles baisseront dès le 1er juillet 2007. Le mécanisme proposé est une première étape. À terme, il faudra, comme dans la plupart des autres pays européens, qu'on abandonne le concept de durée légale du travail pour négocier cette durée par entreprise ou par branche. Ne redoutez-vous pas la complexité du dispositif arrêté sur les heures sup ? L'application ne sera pas si complexe. La plupart des PME vont voir leur coût du travail diminuer. Or jusqu'à présent, nombre d'entre elles renonçaient à accepter des commandes exceptionnelles parce que le coût de l'heure supplémentaire était dissuasif. Pendant toute la campagne, vous avez appelé de vos vœux une politique de l'offre. Où est-elle ? La mesure dont nous venons de parler combine la stimulation de l'offre et de la demande et je suis convaincue qu'elle est déci¬sive. Il est facile de comprendre qu'une PME qui travaille pour la grande distribution et qui entend son client lui dire qu'il est prêt à mettre tel produit en promotion en juillet à condition qu'on lui en livre telle quantité prendra la commande si elle sait qu'elle peut donner ce coup de collier en travaillant en heures supplémen¬taires à un coût raisonnable. Il faut bien comprendre que c'est le travail qui crée le travail. La France vient de changer. On ne peut plus penser l'économique sans le social. Nous avons eu une campagne intense et de grande qualité. Des tabous ont été levés, y compris par Ségolène Royal et François Bayrou. La confrontation des idées a été saine. L'opinion cesse de faire l'autruche. Les organisations syndicales comprennent qu'il y a de nouveaux défis à relever, sur le marché du travail notamment, et que les enjeux dépassent le cadre franco-français. Deuxième exemple de la politique de l'offre, la réforme de l'université : il faut faire en sorte que notre enseignement soit à la hauteur, et que la gouvernance soit modifiée. Le Medef est favorable à tout ce qui décloisonne et favorise les échanges université-entreprise. Autre exemple, l'accord de Londres sur les brevets, qui permet aux PME de déposer des brevets à moindre coût. J'ai bon espoir qu'il soit ratifié dès juillet. Tout cela, c'est une politique de l'offre. Et l'encadrement des parachutes dorés et des stock-options par la loi ?Lundi, dans les colonnes du Figaro, Jean-Paul Gut vous accusait d'avoir par vos propos – « Je suis fumasse », aviez-vous dit à propos d'une rumeur selon laquelle il partirait avec 12 millions d'euros – crédibilisé une rumeur fallacieuse. Que lui répondez-vous ? Jean-Paul Gut aurait souhaité que j'aie une parfaite connaissance du dossier : moi aussi ! Et si j'étais « », c'était que l'information soit si difficile à obtenir ! Je pense que les stock-options sont un emblème de la participation des salariés à la démarche entrepreneuriale. Je regrette toujours qu'on légifère à partir d'exception et d'abus. En revanche, si la loi favorise la transparence, vous l'aurez compris, je m'en réjouis. Vous réunissez le 19 juin tous les numéros un syndicaux et patronaux pour décider des suites de la délibération sociale sur le marché du travail. Le gouvernement vous propose de négocier. Allez-vous prendre la main ? C'est le patronat et les syndicats qui ensemble prennent la main. C'est un moment historique, et l'occasion pour nous tous d'œuvrer à l'intérêt national en contribuant à l'évolution de notre pays. À nous de montrer à l'opinion que nous en sommes capables, et aux leaders syndicaux de prouver qu'ils sont responsables et modernes. Depuis huit mois, nous travaillons sur les contrats de travail, sur la sécurisation des parcours à l'entrée et aux différentes étapes de la carrière, et sur l'assurance chômage. Nous avons maintenant à décider des thèmes que nous retenons, du calendrier que nous nous imposons, de l'opportunité d'ouvrir une ou plusieurs négociations, et d'y intégrer la question de la représentativité syndicale. Mais vous, qu'en pensez-vous ? J'en pense qu'il faut faire baisser le chômage. Et je crois qu'en abordant les trois sujets ensemble, en bougeant l'ensemble des paramètres de façon à ce que le marché du travail devienne plus fluide, et la mobilité de chacun plus facile, nous aurons posé des actes décisifs. Nous avons là une responsabilité immense. Combien de temps vous donnez-vous ? Ni trop, ni trop peu : un temps réaliste. La France est à un point d'inflexion : elle peut basculer dans un appauvrissement tragique mais elle a encore le temps de retrouver la voie de la prospérité et de la compétitivité. Pour cela, il faut mettre l'entreprise au cœur des réflexions, et le faire en prenant le temps de l'échange. Les réformes seront d'autant mieux comprises de l'ensemble du corps social qu'elles seront le fruit de la négociation. Depuis octobre, où nous avons lancé le processus de délibération sociale, quel changement ! Les organisations syndicales ont conscience de la réalité des enjeux. Elles sont lucides et je suis raisonnablement optimiste. S'agissant du « choc fiscal », ne redoutez-vous pas le coût des mesures alors que la France est déjà très endettée ? Il faut accepter d'investir pour débloquer les choses. Les heures supplémentaires, c'est de l'investissement. Arrêtons de raisonner comme dans un simple mouvement de vases communicants. La baisse du temps de travail a freiné notre capacité à créer de la richesse. Tout mouvement inverse est salutaire. C'est pourquoi j'insiste tellement sur les TPE. Parmi les propositions de ce que vous appelez le « choc fiscal », celles qui favorisent l'investissement dans les PME me paraissent essentielles. Autoriser 50 000 euros d'ISF en moins pour quiconque aura investi cette somme dans les PME, c'est une mesure fantastique. On peut aller plus loin : je demande que la valeur d'acquisition de parts de PME soit exclue de l'assiette ISF comme on l'a décidé pour les œuvres artistiques. Il me paraît en effet aussi important de protéger le patrimoine économique que le patrimoine artistique. Le projet de TVA sociale revient à grands pas.Qu'en pensez-vous ? Nous sommes impatients de participer au groupe de travail annoncé. La TVA sociale ne peut avoir d'intérêt que si elle permet de transférer vers la TVA une partie des charges des entreprises, notamment les cotisations familiales. La clé du succès, c'est de permettre à nos entreprises de devenir plus performantes. Or, depuis 2000, leur taux de marge a baissé d'un point, tandis que celui des entreprises allemandes augmentait jusqu'à dépasser le nôtre de près de 7 points ! Tout va de pair, l'augmentation du volume de travail via les heures supplémentaires, l'augmentation de la marge des entreprises, la création de richesse, et la baisse du chômage. Gardons à l'esprit que l'on agit sur le marché du travail pour obtenir des répercussions économiques. Si l'Allemagne a pu faire ce qu'elle a fait, c'est grâce aux réformes accomplies en amont sur le marché du travail. Vous qui êtes très soucieuse de l'environnement, qu'avez-vous pensé de l'accord au G8 sur le climat ? C'est vraiment une excellente nouvelle et elle est loin d'être anecdotique. Nous, les entreprises, nous voulons être moteur sur le sujet et mieux faire comprendre que l'offre économique peut être une offre écologique. Sans les entreprises, seules capables de mettre à disposition une offre non polluante, on n'évitera pas les dangers. Il nous faut définir une économie saine dans une planète saine, c'est une question de civilisation et nous en sommes conscients. Ce sera l'un des thèmes de notre université d'été : il faut que l'économie française et l'Europe jouent le jeu face aux défis à relever pour sauver la planète.

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Parisot : ''On ne peut plus penser l'économique sans le social''
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Enceinte et angoissée, Karine enchaîne les consultations chez l'accoucheur pour divers petits maux mais surtout pour le plaisir...
AMOUR- Dans la salle d'attente, je ne peux m'empêcher de scruter les autres femmes. Et si elles ressentaient la même chose que moi? Je me surprends même à être agacée par les plus jolies. Celle-là par exemple, toute bronzée, juste canonissime avec sa jupe en mousseline et ses jambes de 15 kilomètres. Obligé, elle en pince pour lui. Maquillée, coiffée, parfumée...on dirait qu'elle va à un rencard.
Moi? Ben moi aussi... A chaque rendez-vous, c'est le branle-bas de combat dans ma salle de bains. J'ai besoin de deux heures pour trouver la tenue et les bons dessous (sexy mais pas trop). Il se passe un truc...Dans la tête de mon gynéco-obstétricien, je ne sais pas, mais dans la mienne, c'est l'ébullition à chaque consultation. Ça m'est tombé dessus au milieu de ma deuxième grossesse.
J'enchaînais les petits tracas de la maternité, si bien que je le voyais très souvent. C'était une période compliquée: je dormais mal, j'étais épuisée et très angoissée. Par quoi? Par tout en fait, aussi par une facture impayée que par la brutalité du monde dans lequel je m'apprêtais à élever mes enfants. Je ne trouvais de réconfort nulle part, pas même dans les bras de mon mari, perdu face à mes interrogations et mes sautes d'humeur. Le seul endroit où je me sentais bien, c'était dans le cabinet de mon gynéco.
Rien que de respirer le parfum boisés qui y planait (le sien sans doute) me rassurait. J'aimais sa bonne humeur, sa finesse d'esprit, la délicatesse de ses gestes, et surtout il me comprenait. Je pouvais tout lui raconter, mes doutes de mère, mes peurs de femme, il m'écoutait plein d'empathie et m'apaisait de sa voix doucement éraillée. Il n'était pas spécialement beau. Je dirais même que je ne me serais jamais retournée sur lui dans la rue. D'ailleurs, lors de ma première grossesse, il m'avait laissée indifférente. Mais là, sa blouse blanche et ses mains chaudes et tendres me faisaient un effet fou.
Le déclic s'est produit quand il m'a avoué être, lui aussi, insomniaque. Je ne saurais expliquer pourquoi ce point commun m'a tant agitée. Peut-être à cause de la complicité qui s'est alors nouée. Le soir-même, dans le silence de la nuit, je n'ai pas arrêté de penser à lui. Que pouvait-il bien faire? Est-ce qu'il pensait à moi aussi? Ou bien étais-je un numéro de plus dans son fichier patientes? Lui était-il déjà arrivé d'avoir du désir pour les femmes qu'il auscultait? L'intime est tellement mis à nu sur une table d'examen.
Furtivement, la machine à fantasmes se mettait en marche. Cette-nuit-là, je lui aurais parlé longtemps...A défaut, j'ai téléchargé Ruzzle sur mon smartphone. Un jeu de lettres en ligne auquel il m'avait dit jouer pour faire venir le sommeil. Je suis restée devant mon écran jusqu'au petit matin, espérant disputer une partie avec lui, abrutie et à l'affût du moindre pseudo. Comme s'il allait utiliser "gygy75".N'importe quoi, ce type était mon médecin, pas un plan cul! J'étais mariée depuis onze ans, enceinte, heureuse et comblée, même si, ces derniers temps, il ne se passait pas grand-chose. Ma libido était au point mort. Enfin, juste avec mon mari. Car, à la simple évocation de mon "doc gynéco", je grimpais aux rideaux.
Des scénarios hot affluaient dans mon cerveau effaré. Que m'arrivait-il? Je ne suis pas du genre à fantasmer, moi! Surtout sur le corps médical. Pourtant, le sien occupait de plus en plus mon esprit. Et vas-y qu'on papote au comptoir du café, dans la file d'attente du resto chinois, à la pharmacie...et que ça raconte ses enfants, ses vacances, sa femme. Ça me faisait bizarre de l'avoir en face de moi alors que d'habitude c'est entre mes jambes qu'il était. Était-il sympa comme ça avec tout le monde? Je voulais croire que non, convaincue de mon traitement de faveur. Je devais admettre que ce "jeu", même s'il n'était qu'à sens unique, me plaisait beaucoup. Au fond, j'aimais ce goût d'interdit, ce petit piment qui relevait ma vie.
A chaque rendez-vous, je ressentais cette même excitation. "Dis donc, t'es belle pour aller voir ton gynéco", s'amusait mon mari sans trop d'inquiétude devant mes 19 kilos de plus. Pendant la consultation, j'essayais de me focaliser sur le mur des nouveau-nés placé juste en face de la table d'examen, afin de ne pas divaguer dans des contrées plus extatiques. Sûr qu'il devait être un amant exceptionnel...Qu'il devait savoir exactement où il fallait aller...Je ne pouvais m'empêcher de l'imaginer en grand "master of sex".
Dès qu'il m'effleurait, ne serait-ce que pour prendre ma tension, ma peau frissonnait..."Tout va bien, détendez-vous", lâchait-il alors que je me crispais d'un coup sur mon drap de papier. J'étais convaincue qu'après mon accouchement ces drôles d'idées s'évaporeraient. Mais c'était sans compter la charge émotionnelle de ce type d'événement que j'avais partagé un peu avec lui. Et comme si çà ne suffisait pas, ma mère, après l'avoir croisé plusieurs fois à la maternité, ne cessait de me rabâcher: "Ben dis donc, il est pas mal, ton gynéco!"
Je n'en pouvais plus d'être obsédée par ce type; je voulais partir en vacances de mon gynéco. Je l'ai fait par la force des choses puisque je n'étais plus enceinte. Mais le comble c'est qu'il me manquait! J'avais beau être aux anges (et plus qu'occupée) par ma petite famille, je me plaisais à le retrouver dans les tréfonds de mes pensées, comme si cultiver un jardin secret était devenu une nécessité. Pour ça, j'enchaînais les partie de Ruzzle entre deux biberons et je disséquais son profil Facebook, les photos, les vidéos, et même les commentaires. Pathétique.
Quand je l'ai revu pour un contrôle, mince et toute bronzée (canon quoi), je me suis empressée de lui dire que "j'avais repris une vie sexuelle très active"; Ce n'était évidemment pas le cas, entre la fatigue et les deux enfants, mon mari et moi avions à peine le temps de nous saluer au petit déjeuner. Mais je voulais montrer mon côté femme fatale. Je rêve ou il avait été réceptif? En tout cas, son "hum hum" n'était pas anodin. Pour vérifier, je lui ai envoyé un texto en faisant mine de m'être trompée de destinataire. "Pas grave", me répondit-il accompagné d'un smiley avec des yeux en petit coeur. J'ai eu du mal à m'en remettre, de cet émoticône. Depuis quand un médecin envoie à ses patients un smiley avec des yeux en petit cœur? Voulait-il me dire quelque chose?
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