Les universitaires me rendent la queue dure

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Les universitaires me rendent la queue dure
Aujourd’hui, samedi 3 septembre 2022

Rima Elkouri
LA PRESSE

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Photo; Andre Pichette - La Presse photo no: 703018-- GÈnÈral - Sujet: Photo UQM de Montreal etudiants corridor .-30- 15-09-2014
« Il me complimentait sur mes fesses quand je portais certains pantalons. [...] Il se tenait toujours trop proche de moi et quand je lui demandais de sortir de "ma bulle", il s'offusquait. Il saisissait chaque occasion pour se coller contre moi. Il me disait réguliÚrement que si jamais il apprenait que je le dénonçais pour harcÚlement sexuel, il ne pourrait s'en remettre. P.-S. J'ai dénoncé la situation, il a été reconnu coupable et suspendu... mais c'est moi qui ai perdu mon emploi, car mon contrat dépendait de lui. »
C'est le genre de tĂ©moignage troublant qu'on peut lire dans le rapport Violences sexuelles en milieu universitaire au QuĂ©bec , qui sera rendu public aujourd'hui. Cette vaste enquĂȘte, dirigĂ©e par Manon Bergeron, professeure de sexologie Ă  l'UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  MontrĂ©al (UQAM), a Ă©tĂ© menĂ©e auprĂšs de plus de 9000 rĂ©pondants de six universitĂ©s quĂ©bĂ©coises. L'Ă©tude, qui est la premiĂšre Ă  dresser un portrait de la situation au QuĂ©bec, confirme que ces cas ne sont malheureusement pas qu'anecdotiques et ne se limitent pas aux activitĂ©s d'initiation. On parle plutĂŽt d'un flĂ©au : plus du tiers (37 %) des personnes travaillant ou Ă©tudiant Ă  l'universitĂ© ont dĂ©jĂ  subi au moins une forme de violence sexuelle.
Au-delĂ  des chiffres, les chercheuses ont reçu quelque 2000 rĂ©cits de victimes - le plus souvent des Ă©tudiantes de premier cycle. Et mĂȘme si les cas d'agressions sexuelles sur des campus universitaires dĂ©fraient la chronique depuis quelque temps, mĂȘme si le quart des rĂ©pondants rapportent avoir vĂ©cu au moins une forme de violence sexuelle dans la derniĂšre annĂ©e, le plus souvent, un grand silence recouvre ce flĂ©au : 90 % des victimes n'ont jamais portĂ© plainte ou mĂȘme signalĂ© la chose Ă  l'universitĂ©. « Cela nous dit que les chiffres officiels sur les plaintes ne rendent pas compte de la situation. Cela rĂ©vĂšle aussi un manque de confiance envers les universitĂ©s », observe Manon Bergeron.
Le fait que la majorité des victimes gardent le silence ne signifie pas que ces gestes sont sans conséquence. Environ la moitié des victimes (47 %) disent que cela a porté atteinte à leur réussite scolaire ou professionnelle, leur vie personnelle ou leur santé physique et mentale. Pour prÚs d'une victime sur dix (9 %), les conséquences s'apparentent à un état de stress post-traumatique. 
« Pour les personnes qui s'imaginaient encore que c'Ă©tait banal, ça montre bien que ce n'est pas le cas », observe Manon Bergeron. Des victimes sont constamment sur leurs gardes et font des efforts pour Ă©viter des situations leur rappelant leur traumatisme. « Alors que l'universitĂ© est censĂ©e ĂȘtre un milieu de vie sĂ©curitaire, oĂč on se sent bien, ce ne l'est plus pour certaines personnes qui changent de programme, Ă©vitent certains endroits et certaines personnes », poursuit-elle.
L'Ă©tude rĂ©vĂšle par ailleurs que les prĂ©jugĂ©s envers les violences sexuelles restent bien prĂ©sents au sein de la communautĂ© universitaire. Les mythes qui contribuent Ă  culpabiliser les victimes, Ă  banaliser les gestes de violence sexuelle et Ă  dĂ©responsabiliser ceux qui les commettent ont la tĂȘte dure. Par exemple, devant l'Ă©noncé : « Lorsque des femmes s'habillent sexy, elles envoient des messages contradictoires aux hommes », 20 % des rĂ©pondants se disent en accord ou neutres. Et on parle pourtant ici de gens instruits qui Ă©tudient ou travaillent Ă  l'universitĂ©.
Autre exemple, devant l'Ă©noncé : « Si une personne ne se dĂ©fend pas physiquement ou ne dit pas "non", on ne peut pas parler d'agression sexuelle », prĂšs de 16 % des rĂ©pondants se disent aussi en accord ou neutres. Ce qui montre que le message de la campagne sur le consentement « Sans oui, c'est non ! » n'est pas encore assimilĂ© par toute la communautĂ© universitaire.
À la lumiĂšre des rĂ©sultats finaux de leur enquĂȘte, les chercheuses proposent 15 recommandations pour prĂ©venir la violence sexuelle en milieu universitaire. On recommande notamment une loi-cadre et un plan d'action du gouvernement du QuĂ©bec qui obligeraient les Ă©tablissements d'enseignement postsecondaire Ă  lutter contre la violence sexuelle. Mise sur pied de campagnes de sensibilisation permanentes et d'un programme visant les tĂ©moins potentiels de situations de violence sexuelle et crĂ©ation d'une ressource spĂ©cialisĂ©e accessible Ă  l'ensemble de la communautĂ© universitaire font aussi partie des mesures proposĂ©es.
« On aimerait que le rapport soit un outil de mobilisation. On ne veut pas ce soit un rapport tabletté ! », dit Manon Bergeron. La chercheuse voit d'un oeil trĂšs positif le fait qu'il y ait une prise de conscience autour de ces enjeux qui dĂ©passe le seul milieu Ă©tudiant. Elle espĂšre pouvoir remettre l'Ă©tude en mains propres Ă  la ministre responsable de l'Enseignement supĂ©rieur, HĂ©lĂšne David, aujourd'hui.
« L'enjeu principal, c'est les ressources », souligne Manon Bergeron. Une loi, aussi bonne soit-elle, ne servirait pas à grand-chose si les moyens de la respecter ne suivent pas.
À la suite des cas d'agressions sexuelles rapportĂ©s Ă  l'UniversitĂ© Laval l'automne dernier, la ministre David a annoncĂ© son intention de travailler avec les universitĂ©s pour faire du QuĂ©bec « un chef de file » en matiĂšre de prĂ©vention, de sensibilisation et de gestion des plaintes de violences Ă  caractĂšre sexuel. Elle a invitĂ© les Ă©tablissements d'enseignement supĂ©rieur Ă  consulter leurs membres quant aux meilleures mesures Ă  adopter et Ă  lui envoyer les rĂ©sultats de ces consultations d'ici le 20 janvier. Cinq journĂ©es de rĂ©flexion sont prĂ©vues cet hiver pour en discuter.
Le Bureau de coopĂ©ration interuniversitaire a dĂ©jĂ  pondu l'automne dernier un rapport fort Ă©toffĂ© recensant les meilleures pratiques. En y ajoutant les rĂ©sultats et les recommandations de l'enquĂȘte dirigĂ©e par Manon Bergeron, la ministre David a en main toutes les donnĂ©es pour adopter des mesures musclĂ©es afin de lutter contre les violences Ă  caractĂšre sexuel sur les campus universitaires et dans les collĂšges.
On a cernĂ© le problĂšme. On a proposĂ© les solutions. Maintenant, si QuĂ©bec veut vraiment ĂȘtre un chef de file en prĂ©vention, il faut passer Ă  l'action.
37 % des personnes travaillant ou étudiant à l'université ont subi au moins une forme de violence sexuelle depuis leur arrivée à l'université.
34 % ont subi du harcÚlement sexuel. Exemple : on leur a raconté, de maniÚre répétitive, des histoires ou des blagues sexuelles qui étaient offensantes pour elles.
18 % ont subi des comportements sexuels non désirés. Exemple : on a tenté de les caresser, de les embrasser ou de se frotter contre elles alors qu'elles ne le souhaitaient pas.
3 % ont subi de la coercition sexuelle. Exemple : on leur a fait craindre des représailles si elles refusaient de s'engager dans des activités sexuelles.
47 % des violences sexuelles en milieu universitaire ont lieu lors d'activités sociales ou festives (excluant les initiations).
39 % ont lieu dans le cadre d'activités d'enseignement ou d'études.
31 % ont lieu pendant l'exécution de tùches professionnelles non reliées à l'enseignement.
12 % ont lieu lors d'une initiation.
(Source : EnquĂȘte SexualitĂ©, SĂ©curitĂ© et Interactions en Milieu Universitaire - Ce qu'en disent Ă©tudiant.es, enseignant.es et employĂ©.es. L'enquĂȘte regroupe 12 chercheuses provenant des six universitĂ©s suivantes : UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  MontrĂ©al, UniversitĂ© de MontrĂ©al, UniversitĂ© Laval, UniversitĂ© de Sherbrooke, UniversitĂ© du QuĂ©bec en Outaouais et UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Chicoutimi.)

Alors que la cloche du début des classes a sonné depuis une semaine, il manque encore plus de 200 enseignants à temps plein dans les écoles du Québec, rapporte le plus récent bilan du gouvernement.


Les professeurs sont de plus en plus nombreux Ă  dĂ©crocher Ă  MontrĂ©al : dans l’üle, les dĂ©missions d’enseignants ont connu une hausse marquĂ©e de 53 % en trois ans, et un millier d’entre eux ont quittĂ© leur Ă©cole. C’est qu’en pĂ©riode de pĂ©nurie, les enseignants ont le luxe de choisir oĂč ils veulent travailler.


Les quelque 900 élĂšves de MontrĂ©al qui Ă©taient toujours sans transport scolaire, lundi, prendront finalement l’autobus mardi pour se rendre Ă  l’école. Le centre de services scolaire de MontrĂ©al (CSSDM) s’est entendu avec les deux transporteurs qui n’avaient toujours pas signĂ© l’entente de principe conclue par QuĂ©bec.


C’est jour de rentrĂ©e scolaire pour des centaines de milliers d’enfants de la rĂ©gion de MontrĂ©al. Il reste encore des centaines d’enseignants Ă  trouver partout au QuĂ©bec, mais le ministre de l’Éducation assure que la situation n’est pas pire que l’an dernier Ă  pareille date.


Alors que la cloche sonne le retour en classe pour des milliers d’élĂšves, le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, dit qu’il n’a pas l’intention de baliser l’utilisation du tĂ©lĂ©phone cellulaire dans les Ă©coles, comme cela s’est fait en Ontario et en France. Ce qui n’empĂȘche pas certaines Ă©coles secondaires d’imposer des rĂšgles claires Ă  leurs Ă©lĂšves.


Pour la deuxiĂšme annĂ©e consĂ©cutive, le nombre d’élĂšves inscrits au cĂ©gep Ă  l’automne est en deçà des prĂ©visions ministĂ©rielles. « Un signal d’alerte », croit la FĂ©dĂ©ration des cĂ©geps, qui craint les impacts de la pandĂ©mie et de la pĂ©nurie de main-d’Ɠuvre sur la persĂ©vĂ©rance scolaire.


(Ottawa) Le ministre de l’Immigration, Sean Fraser, a dĂ©clarĂ© que le gouvernement cherchait des moyens de prioriser les demandes de visa pour les Ă©tudiants Ă©trangers qui doivent commencer l’école dans les prochaines semaines, car beaucoup se demandent s’ils arriveront au Canada Ă  temps.


À l’approche d’une rentrĂ©e scolaire oĂč les autobus menacent de ne pas passer, bien des parents se prĂ©parent Ă  jouer les chauffeurs de taxi. Pour ceux qui ont des enfants ayant des besoins particuliers, c’est une tuile de plus qui s’abat sur un quotidien souvent chargĂ©.


Le CollĂšge de Maisonneuve se dissocie d’un texte paru dans l’agenda scolaire de cette annĂ©e et intitulĂ© « Abolir la police : comment ça marche ? », au moment oĂč le QuĂ©bec connaĂźt une recrudescence des crimes par armes Ă  feu.


(MontrĂ©al) Des chercheurs d’un institut quĂ©bĂ©cois proposent au gouvernement du QuĂ©bec de profiter de la hausse de ses revenus pour introduire la gratuitĂ© scolaire dans le milieu postsecondaire.


À un an de finir son primaire, un Ă©lĂšve de Laval doit quitter son Ă©cole de quartier parce que celle-ci dĂ©borde. Une situation dĂ©noncĂ©e par sa mĂšre, qui ne comprend pas qu’on dĂ©place des enfants sans plus d’égards.


À quelques jours de la rentrĂ©e scolaire, le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, fait preuve de « jovialisme » quand il affirme qu’il y aura un enseignant devant chaque classe. « C’est insensé », dit la prĂ©sidente de la FĂ©dĂ©ration des syndicats de l’enseignement (FSE), JosĂ©e Scalabrini.


Au cours de l’étĂ©, 10 fois plus d’élĂšves allophones se sont inscrits dans les Ă©coles du centre de services scolaire de MontrĂ©al (CSSDM) qu’à la mĂȘme pĂ©riode l’an dernier. Ils seront prĂšs de 1000 jeunes de plus Ă  apprendre le français dans les classes d’accueil en ce dĂ©but d’annĂ©e scolaire.


(MontrĂ©al) Un syndicat qui reprĂ©sente des employĂ©s de soutien dans les cĂ©geps affirme que la pĂ©nurie de main-d’Ɠuvre au sein de ce personnel aura des impacts sur la qualitĂ© des services offerts Ă  la population Ă©tudiante dĂšs la prochaine rentrĂ©e, qui est imminente.


À une dizaine de jours de la rentrĂ©e scolaire, il reste encore 700 enseignants Ă  embaucher dans les Ă©coles du QuĂ©bec.


Jean-François Roberge assure qu’aucune classe ne sera orpheline cette annĂ©e

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Subrepticement, entre les deux tours, le gouvernement finissant a publiĂ© au Bulletin officiel de l’éducation nationale une circulaire autorisant le tirage au sort pour l’inscription en premiĂšre annĂ©e de certaines formations universitaires oĂč le nombre de candidats est supĂ©rieur aux capacitĂ©s d’accueil.
Un projet d’arrĂȘtĂ© autorisant cette pratique dĂ©jĂ  en vigueur avait Ă©tĂ© retirĂ© de l’ordre du jour du Conseil supĂ©rieur de l’éducation nationale de janvier, l’ensemble des organisations reprĂ©sentatives, tant d’enseignants que de parents ou d’étudiants, ayant vigoureusement protestĂ© contre une telle mesure. L’arrĂȘtĂ© sorti par la porte rentre donc par la fenĂȘtre sous la forme d’une circulaire. Une association Ă©tudiante, Promotion et dĂ©fense des Ă©tudiants, n’a pas laissĂ© passer cette mesure et a saisi le Conseil d’État.
Si la filiĂšre la plus touchĂ©e par l’afflux de demandes est celle des activitĂ©s sportives (Sciences et techniques des activitĂ©s physiques et sportives), le droit et la psychologie seraient aussi concernĂ©s. Cette situation est due Ă  deux raisons. D’une part, Ă  l’augmentation du nombre de bacheliers, premier diplĂŽme universitaire en thĂ©orie, et, d’autre part, Ă  l’interdiction de la sĂ©lection Ă  l’entrĂ©e de l’universitĂ©.
Pour les syndicats Ă©tudiants, la solution serait de construire les infrastructures nĂ©cessaires pour accueillir tout le monde. Mais le budget pour ce faire serait considĂ©rable. Par ailleurs, il n’est pas certain qu’il soit dans l’intĂ©rĂȘt du pays, ni mĂȘme dans l’intĂ©rĂȘt des Ă©tudiants, de former chaque annĂ©e des milliers de psychologues ou de professionnels du sport dont la plupart pointeraient Ă  PĂŽle emploi ou deviendraient finalement caissiĂšres de supermarchĂ©. Sans compter que tout le monde sait bien que la surpopulation dans les amphis ne dure que deux ou trois mois. AprĂšs ce temps, beaucoup se rendent compte qu’ils n’ont pas le niveau pour suivre des Ă©tudes supĂ©rieures. Ou qu’il faut travailler pour y rĂ©ussir.
Il y a deux solutions rationnelles pour rĂ©soudre ce problĂšme. La premiĂšre serait de redonner une vĂ©ritable valeur au baccalaurĂ©at. En cessant de considĂ©rer le baccalaurĂ©at professionnel comme un diplĂŽme ouvrant le droit de s’inscrire Ă  l’universitĂ© et en arrĂȘtant le laxisme dans l’attribution du baccalaurĂ©at gĂ©nĂ©ral et technologique. Mais cela demanderait un courage politique qui n’existe plus en France. La deuxiĂšme serait de transformer le baccalaurĂ©at en diplĂŽme de fin d’études secondaires, n’ouvrant pas automatiquement droit Ă  la poursuite d’études supĂ©rieures. Comme cela se pratique dans la plupart des pays, l’accĂšs Ă  l’universitĂ© serait conditionnĂ© par un examen d’entrĂ©e destinĂ© Ă  vĂ©rifier l’aptitude des futurs Ă©tudiants Ă  poursuivre des Ă©tudes dans la filiĂšre demandĂ©e. Mais on voit mal pourquoi un rĂ©gime dans lequel le copinage, le clientĂ©lisme et le nĂ©potisme sont les meilleurs moyens d’accĂ©der Ă  des fonctions politiques se soucierait de promouvoir le mĂ©rite dans la jeunesse française.
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En ce milieu du mois d'août, à l'occasion des traditionnelles férias de Dax (Landes) 

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Déconseiller fortement à un étudiant de publier un article avec des problÚmes techniques majeurs n'est pas "étouffer" l'étudiant, cela l'aide à éviter une erreur qui peut nuire considérablement à sa carriÚre.
Pourquoi les gens répondent-ils dans les commentaires au lieu des réponses ? Cela va sûrement à l'encontre du but de l'échange de pile, qui est de permettre à la communauté de peser sur les réponses ainsi que sur les questions ?
Je n'essaie pas de répondre à votre question (les
universitaires devraient-ils autoriser les Ă©tudiants Ă  soumettre... ). Je voulais seulement souligner ce que je crois ĂȘtre une erreur dans la question (
le coĂ»t Ă©toufferait peut-ĂȘtre un Ă©tudiant ).
@ user14470 : les réponses courtes en une phrase ne sont pas considérées comme des réponses au format Stack Exchange.
Je l'ai laissĂ© mettre mon nom sur le papier... J'ai trouvĂ© le contenu peu convaincant — Quoi ? Vous n'Ă©tiez pas convaincu par votre propre contenu ? Ou pire : vous mettez votre nom sur un papier sans apporter de contenu ?
Je suis confus au sujet d'une chose. Le papier a-t-il Ă©tĂ© acceptĂ© ? Si c'est le cas, alors peut-ĂȘtre que les normes de la confĂ©rence sont Ă©galement une prĂ©occupation. Si non, alors comment ce postdoc le sait-il ?
@ user14470
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