Les shows de Tracy prouve que c'est

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Vendeuse de glaces devenue la vedette de «Hairspray», l'adolescente s'est adaptée à la langue de bois hollywoodienne. Mais l'icône se craquelle encore facilement.
Il n'y a pas grand-chose de plus horripilant que ces nouvelles stars hollywoodiennes qui débarquent avec du lait derrière les oreilles en débitant des «tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil». Nikki Blonsky, la pétulante vedette de Hairspray, a conquis la Piazza Grande de Locarno ce week-end à coups de «so nice!», «so cool!», «so beautiful!». Dans le film, rigolote adaptation d'une comédie musicale elle-même tirée d'une satire réalisée par l'irrévérencieux John Waters en 1988, Nikki Blonsky incarne Tracy Turnblad. Elle est franchement formidable en petite boulotte qui réussit à devenir une vedette de la télévision des années 60 qui danse comme une diablesse. Avec le soutien de ses parents (Christopher Walken et, déguisé en matrone, John Travolta), elle devient, à l'écran, l'icône qui fait tomber les barrières entre Noirs et Blancs, petits et grands, maigres et gros.
Au lendemain de cette projection triomphale sur la Piazza, Nikki Blonsky enchaîne les entretiens. Elle a 18 ans. Elle mesure 1m47. Et elle reçoit comme une madone, hautaine et bien décidée à fourguer sa belle histoire pleine de «nice», de «cool», de «beautiful». Un vrai rêve américain. Elle chantait déjà à 3 ans. A 8, ses parents lui payaient un coach vocal, sans, tient-elle à préciser, la pousser à devenir star. Au cours de théâtre de son école, à New York, elle se jetait sur les rôles de Madame Thénardier dans Les Misérables, de Lilly dans Kiss Me Kate et même, rien que ça, de Carmen dans Carmen. Puis, après avoir été éliminée des auditions pour la version scénique de Hairspray parce qu'elle était trop jeune (16 ans), elle a finalement décroché le rôle dans son adaptation cinéma. «C'est incroyable: je me suis simplement inscrite sur Internet...» Nikki est bien rodée: elle mitraille son aventure d'entrée de jeu, rigole quand il faut, roule des yeux le reste du temps, cite les films qui ont changé sa vie: Autant en emporte le vent, La Mélodie du bonheur et Mary Poppins.
Sauf que notre rendez-vous est le dernier de sa promotion européenne. Que son récit commence à sentir le réchauffé. Et que son enthousiasme paraît forcé. Pourquoi ne pas le lui dire et lui permettre d'avoir l'air fatiguée, ou agacée? Pourquoi ne pas lui expliquer qu'elle n'est pas obligée d'être mielleuse? L'idée la choque: «Mais... Tout le monde est tellement gentil...» Elle tente de reprendre le fil de son récit avec l'anecdote qui impressionne: «Quand j'ai décroché le rôle, j'étais vendeuse de glaces dans une crémerie...» C'est ça. Hollywood a toujours aimé vendre ses films avec ce genre d'histoires. La plupart du temps, elles sont inventées. «Mais... je vous assure que c'est vrai. Je viens d'une famille middle class qui n'a jamais eu les moyens de partir en vacances. Je n'avais jamais visité la Suisse avant...» La corde sensible à présent. Encore deux minutes et elle va sortir les larmes en évoquant ses origines européennes. Stop!
Nikki Blonsky a éclusé les shows télévisés les plus intimidants, de David Letterman à Oprah Winfrey. Elle a fait pleurer les chaumières, surtout celles des adolescentes qui ne se reconnaissent ni en Paris Hilton ni dans les actrices anorexiques. Elle est tellement irrésistible qu'elle est forcément passée entre les mains d'une armée de coaches. N'est-ce pas, Nikki? La voilà interloquée: «Non! On m'a juste dit: «Sois toi-même.» Et c'est ce que j'ai fait. C'est ma nature. J'ai toujours aimé la vie.» Ses parents doivent être heureux que Nikki vole de ses propres ailes: enfin le calme à la maison. «En fait, j'habite encore avec eux...»
A l'école, Nikki Blonsky était la fille dont on se moquait. La fille différente. Elle ne veut pas parler de revanche. Elle fait ses prières, remercie le ciel, blablabla, et «espère que, grâce à Hairspray, les enfants se moqueront moins des plus petits, des plus gros et qu'ils comprendront que la différence, c'est cool. Je suis fière de m'être levée pour dire: «Arrêtez!» Nous devons changer les stéréotypes. Il est tellement malsain de remplir l'esprit des enfants avec l'idée qu'il ne faut pas manger.» Difficile d'être crédible avec ce genre de discours. Pour au moins deux raisons. Petit a: Nikki Blonsky est un stéréotype, même si elle s'en défend: «Je prépare en ce moment un rôle très différent. Celui d'une fille qui n'a rien à voir avec moi: elle est très excentrique...» Tiens donc, il existe donc plus excentrique que Nikki Blonsky? «Oui! Je vous assure. Elle n'est pas comme moi: elle est bizarre.» D'accord.
Petit b: est-il prudent de montrer aux jeunes Américains qu'il est bon de manger? «Plein de filles rondes (elle dit «over-sized» ou «plus-size») me remercient d'avoir joué ce rôle et de montrer qu'il n'y a pas de honte à ne pas répondre aux critères physiques des magazines de mode. Je leur prouve que nous pouvons être comme nous sommes, et être belles en portant des habits cool, par exemple.» Ce n'est pas pour faire l'éteignoir dans toute cette bonne humeur, mais... quid de l'explosion inquiétante de l'obésité chez les enfants américains? «Je sais seulement que je ne peux pas aller chez McDonald's tous les jours parce que ça me ferait mal à l'estomac. Je suis bien consciente que c'est un problème de santé, mais... Mais je ne suis quand même pas une menace pour les Etats-Unis. Qu'est-ce qui est le plus préoccupant, une guerre ou une fille qui a quelques tailles de trop? L'important, c'est de rester actif. De danser tous les jours, par exemple. Il faut trouver une balance dans sa vie.»
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Publié le 21 Mar 2017 à 07H00
Modifié le 21 mars 2017
Par Karine Jacquet


Une observation du cerveau des deux sexes menée dans les années Quatre-vingt est à l'origine de cette idée reçue. Mais la réalité est bien plus compliquée que cela. D'ailleurs, il n'est même pas sûr que le cerveau multitâche existe !
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Contrairement aux femmes, les hommes ne seraient pas doués pour être « multitâches ». Cette idée, bien ancrée dans les esprits, est née dans les années 1980, suite à l’étude post-mortem de 20 hommes et femmes. Les biologistes constatent alors que le corps calleux – le faisceau de fibres nerveuses qui relie les deux hémisphères cérébraux – est plus large chez la femme.
De quoi supposer que si ses hémisphères communiquent mieux entre eux, ils peuvent plus facilement mener deux tâches de front ! Sauf qu’aucune étude n’a jamais pu confirmer cette différence entre les sexes…
Et là où l’affaire se corse, c’est lorsque des neurologues de l’Inserm montrent en 2000 que notre cerveau ne traite en réalité qu’une seule tâche à la fois, et ce, quel que soit le sexe. Ainsi, quand une personne téléphone tout en écrivant un mail, ses deux lobes frontaux s’allument simultanément, chacun traitant une des deux tâches.
Mais en réalité, une troisième zone préfrontale est impliquée. Grâce à elle, le cerveau garde en mémoire les données concernant la première tâche pendant qu’il traite la deuxième. Puis il mémorise la tâche 2 pendant qu’il traite la numéro 1, et ainsi de suite…
Comme la bascule de l’une à l’autre s’effectue en quelques millisecondes, nous avons l’impression que tout se fait simultanément. Mais à proprement parler, les femmes sont donc, elles aussi, monotâches.
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C’est devant une salle comble que s’est terminée la cinquième et plus récente édition du Ploye Show, le 25 aout. À l’instar de ce dernier spectacle de l’année, son créateur, Jason Guerrette, estime que celui-ci a largement dépassé ses attentes.
« Plusieurs personnes nous ont dit que c’était notre meilleur spectacle jusqu’à maintenant. C’est satisfaisant, car ça prouve que la formule fonctionne bien. Je crois qu’on a su utiliser les forces de tout le monde et ç’a donné de bons résultats. Les gens sont passés par toute une gamme d’émotions », a mentionné M. Guerrette.
Pour souligner le cinquième anniversaire de l’évènement une partie de la formule du Ploye Show de cette année a été d’incorporer des pièces qui avaient marqué le public au cours des cinq dernières années.
« Nous sommes allés à l’encontre de notre devise qui était de ne pas faire la même chose deux fois, mais je pense que c’était un concept intéressant quand même. Deux de ces chansons à succès que les gens ont beaucoup aimé et qu’ils voulaient ravoir étaient “The Prayer”, qui était interprété par moi et ma sœur Jessie, et aussi “Purple Rain”, interprété par Daniel Bérubé. »
Selon les premières estimations de Jason Guerrette, le dernier Ploye Show a attiré environ 3 000 personnes, ce qui représente un nombre similaire à l’édition précédente. Les camps d’été en marge du Ploye Show ont aussi attiré une douzaine de participants par semaine sur une période de trois semaines. Le principal intéressé ne s’attendait d’ailleurs pas en lançant cette idée, il y a cinq ans, que celle-ci allait se développer autant.
« Quand j’ai commencé tout ça, j’habitais encore à Montréal et je voulais revenir dans la région. C’est donc parti d’un plan un peu fou, mais qui a fait du chemin. Je ne pensais d’ailleurs pas que j’allais me rendre à ce point avec ce spectacle. »
Aussitôt cette récente édition terminée, les préparatifs en vue d’un sixième spectacle ont déjà été entrepris. Jason Guerrette promet d’ailleurs quelques changements lors du prochain Ploye Show.
« J’ai beaucoup d’idées déjà pour l’an prochain. Ce sera une formule qui comprendra des parties que les gens vont reconnaitre du Ploye Show, mais je vais aussi apporter des changements. Oui, le spectacle fonctionne bien, mais des fois c’est bien de changer le mal de place en s’attaquant à d’autres défis. On a encore du plaisir à faire le spectacle, mais on veut aussi explorer d’autres directions pour continuer d’avoir ce plaisir là à le faire. À la base, pour qu’un projet comme ça continue, il faut aussi que ça nous nourrisse en tant qu’artistes. »
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