Etudiantes françaises

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Stéphane Vachon





Established in 1965 in the Department of French Studies (renamed in 2003 Department of Literatures in French Language) at the University of Montreal, Études françaises is a literary critics and theory journal addressing an international readership, its mandate encompassing the whole of French-language literatures history and territory.
Open to dialogues with other discourses – arts, media, history, social sciences and humanities – it often adopts interdisciplinary theoretical perspectives. For over thirty years, the emergence in its issues of new problematics did not break up with the humanist spirit that presided over its foundation: the promotion of the literary text study set in the cultural history context.
Études françaises publishes three issues annually, composed of a “File” promoting an in-depth reflection around a problematics and of free articles, the “Reading Exercises”, reporting the diversity of the current works and providing an essential place for the diffusion of the emerging research. It addresses the specialists in French, Quebec and francophone literature and anybody interested in literature.
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Revue Études françaises
Département des littératures de langue française
Faculté des arts et des sciences
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C.P. 6128, succursale Centre-ville
Montréal (Québec)
H3C 3J7
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Faculté des arts et des sciences, Université de Montréal
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Par
Sophie de Tarlé •

Publié le 04/10/2017 à 17:00
• Mis à jour le 29/01/2018 à 17:17

INTERVIEW - Dans son livre «Les nouvelles courtisanes», la journaliste Nadia Le Brun a mené une enquête fouillée sur ces sites spécialisés qui mettent en relation des hommes mûrs avec des étudiantes.
«Améliorez votre style de vie, sortez avec un “sugardaddy”». La semaine dernière, un site de rencontres d’un genre très particulier a fait polémique en Belgique . Le principe? Il met en relation des hommes âgés, de préférence riches, avec des étudiantes, de préférence jeunes et jolies. Une pratique sulfureuse répandue dans le monde entier, mais qu’il est difficilie de quantifier.
La journaliste Nadia Le Brun a mené l’enquête auprès de ces hommes d’âge mûr et auprès de ces étudiantes afin de connaître leurs motivations et la teneur de leurs relations. Les nouvelles courtisanes, publié le 4 octobre chez Kero, est un livre sans tabou sur un sujet qui l’est hautement.
Le Figaro - Comment avez-vous eu l’idée d’enquêter sur les «sugar babies»?
Nadia Le Brun - J’ai eu l’idée de faire cette enquête parce que les jeunes et jolies étudiantes sont entrées dans
ma vie personnelle et ont mis à mal ma féminité de quadra. Un soir, où je retrouve un homme à une soirée, il me présente sa «sugar baby». Une étudiante en sciences po qui préparait l’Ena. Une jeune fille ravissante, sans aucun attribut d’escort, à qui on aurait donné le bon Dieu sans confession. Il l’entretenait. Autrement dit, il était son protecteur et subvenait à tous ses besoins financiers, le temps de ses études. En échange de rendez-vous réguliers et intimes avec elle, il lui payait le loyer de son appartement, ses factures, ses frais quotidiens, l’invitait dans des grands restaurants ou en voyage…
Quand il m’apprend cela, je suis mal à l’aise, mille questions me traversent l’esprit et le champagne aidant, j’interroge l’étudiante sans passer par quatre chemins. ‘Comment à 20 ans, peux-tu coucher avec un mec de 60 ans passés? Pourquoi te fais-tu entretenir, plutôt que de chercher un job d’étudiant? As-tu conscience que tu te prostitues? Y en a-t-il beaucoup comme toi?’ Elle me répond en toute transparence. J’oscille entre incompréhension, stupéfaction et indulgence. Bref, ça attise ma curiosité et me donne l’idée de réaliser ce livre sur les relations tarifées entre ces étudiantes qui font de grandes écoles ou de hautes études et ces hommes aisés et bien plus âgés.
Dans quelle mesure cette pratique s’apparente-elle à de la prostitution?
Les sites de mise en relation entre ces jeunes filles et ces hommes ne sont pas condamnables par la justice pour proxénétisme. Ils contournent les lois en revendiquant qu’ils ne sont qu’une plateforme de mise en relation et profitent du vide juridique qui entoure le web. Jamais, le mot prostitution n’est évoqué. Le succès de ces sites est basé sur la force de leur marketing: ils sont déculpabilisants! Ils vantent des relations romanesques et hédonistes.
Quoi de mal pour les jeunes filles désargentées de trouver un arrangement financier pour leur permettre de faire de grandes écoles ou de hautes études avec un protecteur, présenté comme altruiste et philanthrope? Ainsi, les jeunes filles ne se voient pas prostituées, et les hommes ne se considèrent pas comme des clients. C’est un jeu de dupe, un jeu de rôle, un double jeu où chacun trouve son compte.
Mais l’argent est tout de même le moteur de ces rencontres?
Oui, bien sûr. Ce phénomène sociétal vient des Etats-Unis, royaume des «babies», où les frais de scolarité sont très élevés. Il a pris son essor via Internet. C’est ainsi qu’il y aurait 679.407 babies au Royaume-Uni, 49.637 en Allemagne, et 40.000 françaises sur le seul site le plus important. En France, plus d’un quart des étudiants déclarent avoir connu de grandes difficultés à se nourrir, à se loger ou régler leurs factures. Face à cette précarité, certains opportunistes ont crée ces sites de rencontres, il y a plus d’une dizaine d’années. Ce qui permet à certaines jeunes filles d’avoir recours à ce genre de liaisons suivies et tarifées… sans pour autant se considérer comme des prostituées.
Quels sont les dessous de ces relations tarifées?
Au fil de mon enquête, je me suis rendue compte que ces jeunes filles avaient, pour la plupart, un passé ponctué de violences physiques ou psychologiques. Et en même temps une farouche détermination de s’en sortir et de réussir. Pour cela, elles jouent le jeu de la séduction qui n’est pas sans rappeler les codes des courtisanes des siècles passés. Elles flattent, elles admirent, elles écoutent et donnent l’illusion aux hommes qu’ils sont des pygmalions.
Sont elles amoureuses de leur sugar daddy? Parfois elles les aiment bien. Quid aussi de la sexualité qui est au cœur de cette relation rémunérée? A tous et à toutes, j’ai posé la question et ils m’ont répondu sans tabous. Beaucoup de ces jeunes filles m’ont dit qu’elles prenaient du plaisir et qu’elles se révélaient sexuellement avec ces hommes mûrs. Ce qui n’est pas le cas avec les garçons de leur âge, trop influencés par les films pornos et qui les déçoivent. S’agissant des hommes, en dépit de leur position sociale élevée, je les ai trouvés souvent étonnement crédules: ils idéalisent leur relation avec une sugar baby, et minimisent le rôle de l’argent dans leur relation.
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Chacun y trouve son compte. En quoi est-ce dérangeant? Si j’avais les moyens je prendrais une sugar baby et peut-être même plusieurs!
bertrand barbet le 05/12/2020 à 15:08
Ce qui est dommage, c'est qu'elles préfèrent vendre leurs corps, plutôt que d'essayer de faire autrement. Il y a le marché de l'emploi, certes fermé et bouché, d'autant plus vrai qu'aujourd'hui avec la crise du Covid, mais il y a un marché en plein essor, comme le marketing de réseau, avec des sociétés légales faisant parti intégrante de la Fédération de la Vente Directe (au même titre que EDF, Engie, KparK, Bonduelle...) Que, malheureusement, en France, beaucoup s'imaginent un système pyramidal à effet boule de neige ou système de Ponzi qui eux, sont illégaux. C'est dommage que les personnes fassent encore la confusion. Car mal compris par les médias qui influencent les gens. Certes il y a des '' faux'' qui ne sont pas référencés par la FVD. Mais il y en a des honnêtes. Ce n' est pas de l'argent facile et rapide comme certains se l'imaginent (vendre du rêve), mais c'est possible d'avoir des compléments (une centaine d'euros) supplémentaires par mois et pourquoi pas plus.
Le Comte de MAQUENS le 27/10/2017 à 20:33
Bonjour, Il s'agit bien d'une entreprise qui incite à la prostitution. Elle commet donc un délit puisque cela est interdit en France. Cela dit, 2 choses : 1). si c'est un délit, il faut interdire et sanctionner. Comment ? La Justice devrait communiquer là-dessus. 2). dans certains quartiers "spécifiques" de Paris, Lille, Marseille, Lyon, Toulouse, etc...on se prostitue au nez et à la barbe des forces de l'ordre, y compris chez les étudiants. Pour ces derniers, soit qu'ils ne peuvent pas subvenir à leurs besoins, parce que "pauvres", soit qu'ils ont simplement besoin d'acquérir plus de produits que leurs camarades qui ont les moyens, acquièrent. Qui interdit et sanctionne fortement cette deuxième catégorie des prostitués ? Conclusion : avec les nouveaux moyens de communication, les initiateurs de cet étalage vont faire travailler leur imagination et changer de modes de "recrutement". On peut supposer que, face à cela, l'imagination des brigades anti-prostitution en tous genres va se mettre en mouvement pour contrer la contre-offensive potentielle des initiateurs de cette publicité "osée" il faut bien le reconnaître. Le Comte de Maquens.



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